Algérie : Chaque mensonge a une fin..?
Sa Majesté le Roi Mohamed VI décorant le président Tunisien.(photo MAP)
L’OUA s'éclipse à cause du Maroc.. Les algériens qui avaient frivolement parié sur l’éclipse du Maroc dès son départ de l'OUA en 1984 doivent revoir leur copie. Plus que jamais, le Maroc dans sa nouvelle ère est présent en tant que partenaire influent en Afrique. On le voit souvent au premier plan lors des rencontres continentales. Tout laisse croire qu’il est appelé à jouer un grand rôle derrière son jeune monarque qui est en train d’insuffler une nouvelle dynamique à l'Afrique subsaharienne, aidé en cela par sa clairvoyance et son savoir faire en politique étrangère, étant élevé dans les hospices de la bonne gestion Étatique depuis son enfance.
Dans une Afrique idéologiquement diversifiée, surtout pendant la période de la guerre froide, et avec l'accentuation du conflit du Sahara, après 1975, les pays africains ont vite perçu la complexité et l'influence de ce dossier sur les travaux de l'Organisation de l'Unité Africaine, qui réglementait alors et jusqu'à 1984, le cadre de son dénouement. Une rétrospective du conflit démontre la réussite de l'Algérie à rallier plusieurs pays à sa fausse cause avec l'appui de la Libye aux dépens de la faiblesse de la communication et la diplomatie Marocaines,dont les portefeuilles étaient détenus à l'époque par les Istiqlaliens.( M'hamed Boucetta et Larbi M'ssari).
Le Maroc qui constatait la violation flagrante du statut de cette organisation, dont il était le principal membre ayant contribué à sa mise en oeuvre à Casablanca en 1961, s'est vu trahi par une Afrique influencée par le pétrodollars algérien, il claqua la porte en 1984, de manière aussi violente qui correspondait à la colère de son Souverain feu Sa Majesté le Roi Hassan II que Dieu ait son âme.Et depuis les résolutions et les recommandations issues de cette organisation, sont pour le Maroc nulles et non avenues, ne le concernaient ni de loin ni de prés, tout en traitant ses affaires africaines autrement.
Mais dans une interview accordée au quotidien Marocain Al-Bayane du 11 novembre 2005, Edem Kodjo qui aurait influencé l'OUA en tant que son S/G pour admettre le (mirage-Algérien-Rasdiste) comme membre à part entière dans ce rassemblement continental «a dénoncé l'hypocrisie» des chefs d'Etat africains qui lui font porter seul la responsabilité de la prétendue RASD à l'OUA». Il a affirmé que les chefs d'Etats africains doivent endosser leur responsabilité et ne continuent pas, année après année, à rejeter la responsabilité sur un fonctionnaire international qu'il était au moment où il dirigeait l'OUA.
Arrivant à ce poste hiérarchique de responsabilité, Edem Kodjo, le Togolais fut emporté par la saveur des offrandes et par l'odeur de corruption, au prix de telle ou telle position politique en Afrique et se comportait beaucoup plus suspect contre tout Etat avare, ce qui fait que l'arôme du billet vert le rendait trop exigeant et moins rentable, pas en sa qualité de fonctionnaire international digne de respect, mais en vrai "esclave" de ses maîtres algériens qui l'ont généreusement bien arrosé pour son acte.
En dépit de l'absence du Maroc, des émissaires de S.M le Roi Mohamed VI, apparaissent de temps à autre en Afrique pour consolider les liens du Maroc avec le continent. Dernière en date qui me reste en mémoire. MM. Mohamed Benaïssa, alors Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération et Mohamed Yassine Mansouri, Directeur Général des Etudes et de la Documentation (DGED) se sont rendus à Acra afin de tenir au courant les dirigeants africains des développements de la question Sahara Marocain et dès lors, le Royaume du Maroc empreinte toutes les pistes pour convaincre l'Algérie à revenir à la raison. Mais celle-ci qui ne veut rien entendre,elle est restée fidèle à un faux testament qu'elle aurait hérité du maudit soit-il Boumédiane qui a succombé, parait-il, comme son ami Franco d'Espagne à cause des éclats de la Cours Internationale de Justice qui tranchait, avec transparence,sur l'avenir du Sahara Marocain sous domination Espagnole..En fait, le contenu du testament, qui a déjà 40 ans d'effet, invite ses successeurs, à veiller à la mise de "pierre fourchon" dans le soulier de Hassan II. Mais hélas, aucun des président algériens n'est arrivé à le faire. Et la grande intransigeance algérienne continu et bat son plein contre le Maroc.Pour toute mémoire, il est toujours indispensable de revenir en bref à ce point et rappeler que: «Suite à la demande de l'Assemblée générale de l'ONU aux termes de la Résolution 3292 du 13 décembre 1974, la Cour Internationale de Justice a rendu public un Avis sur la question du Sahara le 16 octobre 1975. La Cour a rejeté la thèse Espagnole qui avançait que le territoire était " Terra Nullius", c'est-à-dire que le Sahara était un territoire sans maître lors de son occupation par les Espagnols; elle a effectivement reconnu l'existence des liens d'allégeance entre certaines tribus du Sahara et les sultans du Maroc».
L'impossible réconciliation..L'impossible réconciliation avec l'Algérie fait parler d’elle dans toutes les tentatives diplomatiques qui peuvent renforcer le lien entre les deux pays et mettre en avant la sécurité de la région, et comme toujours et de tout temps le Maroc doté d’un esprit très crédible semble prendre le devant en un plaisir de se défendre authentiquement de façon à ne pas dénigrer l’Algérie qui a toujours cherché sa déstabilisation par tous ses moyens, en s’impliquant davantage dans ses affaires internes et à augmenter le volume des conflits qui empoisonnent les relations algéro-Marocaines.
En outre, ils accentuent leur ingérence dans les affaires des autres pays africains qui soutiennent le Maroc dans ses positions constructives, à l’exemple dans le Mali, le Niger et la Mauritanie, qui selon l'Algérie devront meubler sa basse-cour au lieu d'aller faire l'aumône religieux au Maroc. Quand le Maroc fait un pas pour se rapprocher à l'Algérie, cette dernière s'en fuit deux pas en avant. Le dernier saut acrobatique de la diplomatie algérienne en Mauritanie le montre clairement et fait de Ramtane Lamamra, le bienvenu, voire l'heureux donateur avec qui la Mauritanie de Mohamed Old Abdelaziz (un autre ingrat) devrait entrer en relation suspecte et passer avec, lune de miel, à la veille des présidentielles prévues en Mauritanie le 21 de ce mois de juin, tout en s'éloignant du Maroc.
Certains commentateurs sont même arrivés à conclure que «le Maroc crée de la richesse chez soi et en Afrique et l’Algérie distribue les siennes!». Et ainsi donc, Alger annonce avoir procédé, pour la seconde année consécutive, à l’annulation des dettes d’un montant de près d’un milliard de dollars qu’elle détenait sur une quinzaine de pays comme le Bénin, la Mauritanie,le Mozambique,le Niger, et encore sur le Sénégal,le Mali et la Guinée. Ces trois derniers pays ont reçu dernièrement la visite de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, qui a présidé à la signature de plusieurs conventions de coopération économique et financière. La dépêche ci-dessous rapportée par un site électronique algérien évoque plus que ça (!).
من جهة أخرى.. تقول إحدى الجرائد ألإلكترونية الجزائرية التي استندت في مقالها على مصدر مقرب من المعارضة الجزائرية ، أن زيارة رمطان لعمامره وزير الخارجية الجزائري الأخيرة لموريتانيا كانت لترتيب البيت الداخلي لمحمد ولد عبد العزيز ولدعمه في الاستحقاقات الرئاسية بكل الوسائل المادية منها والمعنوية ودلك بتعليمات من بوتفليقة، وأكد المصدر أن الجزائر تكلفت بجميع مصاريف الحملة التى يقوم بها محمد ولد عبد العزيز عن طريق رجال أعمال موريتانيين ووثلاتة أخرين من أكبر أباطرة التهريب بمخيمات تندوف يتاجرون في جميع أنواع التهريب بالساحل أوكلت لهم مهمة نقل وتسهيل دخول الصحراويين الموريتانيين.
-. وتجدر الإشارة الى أن الغالبية العظمى للبولزاريو تتكون من الموريتانيين الهاربين من جحيم ألإنقلابات، ومن الذين زرعهم بالخصوص "ولد هيدالا"، لتقوية صفوف البولزاريو بعد تكرار هروب الصحراويين الحقيقيين من المخيمات وإلتحاقهم بالمغرب، وهِؤلاء الموريتانيون يكونون خزانا كبيرا من ألآصوات - في مخيمات تندوف، مستعدون، بل ومجبرين على التصوت لصالح محمد ولد عبد العزيز في حالة تأثير مقاطعة المعارضة الموريتانية للرئاسيات.
-.وقال ذات المصدر أن الجزائر ضخت 200 مليون دولار، وهو مبلغ يساوي(200 مليار سنتيم) في خزينة الحملة الانتخابة دفعة واحدة، من أجل تجهيز مقرات الحملة الانتخابية إضافة إلى وسائل لوجستيكية أخرى، حيث ستوضع حظيرة سيارات بأزيد من 170 وحدة، تحت تصرف إدارة الحملة الانتخابية، في الوقت الذي تعيش فيه أغلب العائلات الجزائرية احلك الحالات المعيشية الصعبة.
-. وتكون الجزائر بذلك قد زادت في تبدير المال العام الجزائري الذي بلغ، حسب مختصين
للبوليزاريو وحدها 200 مليار دولار، منذ ولادة البوليزاريو "القيسرية" في ليبيا القدافي الى ألآن، وذلك في غقلة من الجزائريين أو رغما عنهم، وهم المغلوب على أمرهمم . ناهيك عن ما يبدر باسم التأهيل الى منديال البرازيل لهذه السنة والتي كان أخره وليس بأخر,,200 مليون دولار، ما يعادل(200 مليار سنتيم) لإحدى القنوات القطرية لا لتغطية مباريات المنتخب الجزائري في المنديال، بل لتغطية عملية رجوعه المبكر بعد ألإقصاء ألآكيد منذ الدور ألآول.!
-. وللتذكير فإن الرئيس الموريتاني هو من خريجي ألآكاديمية الملكية العسكرية بمكناس، وبانحيازه المحتمل للجزائر يكون قد عض اليد المغربية التي كونته ايام كان في حاجة الى ذلك، دأبه في ذلك، دأب الجزائريين الذين أحسن اليهم المغرب هم كذلك، باختضانه لهم ايام كانوا في أمس الحاجة الى المساعدة..! وصدق من قال :« إتق شر من أحسنت اليه»
Fidélité à la controverse...Il est utile de signaler que l’Algérie, est un pays qui a toujours répondu présent à tout action hostile au Royaume du Maroc et à son Roi, et qui a fait de sa controverse sa priorité politique et diplomatique, c’est dans ce cadre qu’elle a tenu à marquer par sa présence tous les congrès et rencontres internationaux où se trouve toujours le Maroc pour le contrecarrer avec des mensonges.. L’objectif de l'Algérie dans tout rassemblement, n'est toujours pas une mission d'action participative ou à venir en soutien et en action fructueuse en délibérant objectivement les points à l'ordre du jour y afférent, mais pour, seulement, encercler avec ses micro-Etats-pions au sens négatif toute activité et intervention du Maroc.
Et pourtant le Maroc y participe avec bonne volonté, dans presque toutes les rencontres internationales, équipé de son savoir faire politique et diplomatique ayant pour objectif de lutter contre la propagation du terrorisme algérien et d'éradiquer le crime organisé sous toutes ses formes. Ce qui est regrettable, c’est que l'Algérie ne manque jamais d'hisser un seul mot d'ordre et tienne à le faire circuler dans les coulisses en l’occurrence.. "Le Maroc est le principal fournisseur de drogue, une des principales ressources bénéfiques’ qui vient au secours de millions de marocains,un trafic de poison toléré par son Bailek..! (mot turc signifiant le Makhzen)".
Dans ce contexte, Alger fait tout pour accuser le Maroc de vouloir marginaliser l'Algérie,comme ce fut le cas de Mr.Omar Hilal, le représentant permanent actuel du Royaume du Maroc aux Nations Unies, alors ambassadeur permanent du Maroc à Genève qui défendait la cause nationale aux hospices des droits de l'homme de l'ONU à Genève, dénonçant les faux alibis de l'Algérie sur le non respect par le Maroc des droits de l'homme dans ses provinces du sud. Toutes ces contradictions ne semblent pas impressionner ni influer sur les objectifs tracés par notre pays qui répondant à une stratégie internationale et qui a déjà soutenu la coopération "Sud/Sud pour venir en aide à l'Afrique dans presque tous les domaines, la dernière visite Royale en Afrique en témoigne.
L’Algérie, semble s’être résolument engagée dans sa politique de présence et d’actions hostile à toute démarche Africaine du Maroc et ce dans le simple souci de voir le leadership Marocain évolué dans la région, soutenant la stabilisation dans les pays voisins de l'Algérie et dans tout le continent africain. D’un autre côté, il est clair qu'en l'absence d'un vrai capitaine de navire, commandant de bord, l'entourage enragé du président Algérien, le "mort-vivant", fera toujours de son mieux pour éviter au Maroc de s’impliquer dans une coopération active avec l'ensemble de la communauté internationale pour la lutte anti terroriste.
La fin d'un mensonge..La guerre diplomatique feutrée se poursuit acharnement avec Alger, qui semble ne pas apprécier la visite de Sa Majesté le Roi Mohamed VI sur les terres Tunisiennes. Certains observateurs ont même imputé la fausse information de l’altercation entre le Roi et Moncef Marzouki à la presse algérienne soumise aux services, qui voyaient là une occasion de nuire aux relations entre la Tunisie et le Maroc. Les Algériens ne se contentaient pas de dire uniquement, que "M6 en patrouille à l'Est!, Mais ils allaient plus loin en créant pour se soulager davantage qu'une violente algarade se serait produite entre les deux chefs d’Etat.Ils collaient à un site Tunisien ce qu'il n'a pas dit..tel que : le deuxième jour de la visite Royale à Tunis, je cite:
«Un différend se serait produit entre les deux hommes, « le président Moncef Marzouki ayant remis sur le tapis du conflit du Sahara occidental, Le roi Mohamed VI n’aurait donc pas apprécié, et aurait insulté son hôte, avant de quitter la salle, avec la ferme intention de quitter aussi le territoire tunisien dans le quart d’heure.?»
Les médias algériens et pro-algériens se sont enflammés et portés volontaires pour diffuser et rediffuser cette histoire, et chacun y allait de sa version, avant qu’un communiqué du palais royal de Rabat ne tombe, et mette un terme à une controverse naissante, suivant en cela le démenti franc et massif de la présidence tunisienne.Voir cette vidéo et écoutez le président Tunisien dans un démenti catégorique. ( http://youtu.be/YycESe1GCZg )
Sa Majesté le Roi que Dieu le glorifie est resté d’ailleurs en Tunisie en visite privée. Après le visite officielle, comme à l'accoutumée dans ses visites en étranger, il a surpris les Tunisiens par sa présence parmi eux dans la rue, se promenant à pieds, dans la grande artère de Tunis, "le Boulevard Habib Bourgueba", sans protocole et en mode décontracté. Sur une photo on le voit en jean avec un dispositif de sécurité réduit à son strict minimum.
Mais même sans ces démentis, par ailleurs nécessaires pour donner une dimension officielle à l’absence de toute altercation verbale, ou altercation tout court, il aurait été difficile d’imaginer cela, en dépit des informations affirmant que Moncef Marzouki serait coutumier de bourdes diplomatiques. Voici quelques années, selon des informations parues dans plusieurs organes de presse, un malentendu avait éclaté entre l’ex-président Ben Ali et Sa Majesté le Roi, quand Ben Ali avait appelé le Roi pour lui «suggérer fortement» de fermer le bureau d’al Jazeera au Maroc pour cause d’attaques successives contre son régime ; face au refus poli du Roi Ben Ali avait menacé d’ouvrir un bureau du Polisario à Tunis, ce à quoi le Souverain lui avait répondu de faire comme il l’entendait, avant de couper tout court. Mais de là à insulter, on revient aux propos d'un ex-ambassadeur Marocain à Tunis « à ce niveau, on n’insulte pas »…
S'ils en veulent ou pas..Je me porterai volontiers pour leur rappeler, aux algériens évidemment, que la visite officielle qu'entreprenait Sa Majesté le Roi Mohamed VI en Tunisie révèle par son timing le positionnement du Maroc comme facteur de stabilité pour toute la région Maghrebine, et que le Royaume du Maroc se positionne clairement en cette qualité, après être sorti renforcé du Printemps arabe qui a bouleversé plusieurs pays arabes durant les trois dernières années»,
Le Souverain que Dieu l'assiste tient à cœur de donner une nouvelle impulsion à l'axe Rabat-Tunis au moment où la Tunisie tente de sortir de la crise politique et économique consécutive à la révolution de 2011 dont les répercussions continuent de rejaillir parfois violemment.
En invitant le Souverain à effectuer sa première visite depuis le départ de l'ancien président déserteur, le chef de l'Etat Tunisien Dr.Mohamed Merzouki, fin connaisseur du Maroc, compte sincèrement, comme tous les Tunisiens, sur le soutien du Royaume pour préserver à la Tunisie un équilibre délicat dans la région.
Ce déplacement royal en Tunisie plein de symboles et de dimension éminemment économique, s'illustre à travers le forum des hommes d'affaires organisé, jeudi à Tunis, 24 heures avant le début de la visite Royale officielle, à l'initiative des organisations patronales des deux pays, lesquelles ont placé très haut la barre des ambitions exprimées de part et d'autre pour la période à venir.
Et encore? je leur ferai injecter dans les veines, le temps fort d'activité du Souverain qui y vexera davantage leur envie et piquera en profondeur le cœur de tout ingrat algérien, en l'occurrence...«Sa Majesté le Roi donne à chaque déplacement à l'étranger une belle leçon de morale politique et du sens aigu des responsabilités. Le voilà après dix jours, de travail et de galas à Tunis-Capitale, il rentre chez lui sain et sauf, contrairement au désir des ingrats qui misaient sur l’insécurité Tunisienne, et voyaient en Tunisie, un pays très fragile incapables de sécuriser ses hôtes. Ces ingrats qui ne sont que nos voisins algériens souhaitaient vivement voir la visite royale en Tunisie se termine bouleversée, sous les éclats de Jbel Chaânbi?.
Pour rappel à ceux qui auront encore besoin de rappel, qu'il a bâti son trône sur la prospérité sociale de son peule, du fait qu'il a misé et gagné le pari sur la réconciliation nationale, sur les décombres de ce que certains de chez nous appellent les années de "plomb"».
L'IER (Instance d’Équité et de Réconciliation) une instance de référence unique au monde Arabo-Africain, précédée par une ou deux au monde, instance à vocation de réparer les dégâts et tourner honorablement la page du passé avec toutes ses douleurs politiques, après avoir senti que le moment est venu pour que le Royaume du Maroc passe à la vitesse supérieure dans sa nouvelle ère, avec le sentiment de bien accomplir le devoir au profit de ses fidèles sujets.
Il n’échappe guère à personne jouissant de la crédibilité que pour le présent et la postérité, il restera une figure légendaire, homme d'action, pas homme de paroles stériles, un acteur dynamique de la transition démocratique et du progrès économique du Maroc. Il incarnera pour ses sujets le monarque qui a mis sa couronne dans un sac marin, sur ses épaules au service de la démocratie et du progrès social et économique de son pays - à l'instar de l'un de ses ancêtres, le Sultan Hassan premier qui mettait son trône sur son cheval pour sillonner tout le Maroc inspectant l'état de ses sujets -. De ses nombreux bienfaits, l'INDH (Initiative Nationale de Développement Humain) et le programme des Grands Chantiers ouverts à travers tout le territoire national qui en témoignent.
Et ce ne sont pas les petites histoires fictives et les mensonges que les algériens distribuent gratuitement "à flot" à son encontre, directement ou indirectement, et à l'encontre du Royaume Chérifien, qui vont ternir cette image du Roi populaire et simple.Ces acquis ne sont qu'une goutte d'eau dans un océan ambitieux de réalisations et une parti du bilan d'une seule décennie Par contre nos voisins ingrats de l'est hurlaient pendant un demi siècle sous la pression de la peur et de l'insécurité, sous les sales bottes d'une junte corrompue, dont son seul bilan est sanctionné par une décennie noire que les algériens payent encore le prix.
Pourquoi pas, un «Garde-à-vous»?.. Les Marocains, rien que les Marocains garderont à jamais la grande figée Mohamed VI : Celle du jeune Roi en uniforme de chantier et de navigation qui, à un après midi du 12 octobre 1999 à Casablanca, à peine trois mois de son intronisation, dans un discours historique en première sortie, ordonne aux autorités Marocaines l'application d'un «Nouveau Concept de l'Autorité» le message est adressé exclusivement aux cadres de l'Etat (du ministère de l'intérieur surtout).
Le nouveau concept de l'autorité signifie en fait- mettre le responsable de l'Etat au service du citoyen, contrairement au passé où le citoyen était contraint de servir le responsable. C'est dire, au passage du citoyen,le commis d'Etat doit lui réserver un garde-à-vous, c'est-à-dire..une prise de position réglementaire. Selon le langage militaire, «l'assujetti ou le tributaire doit être débout, talons joints et les bras le long du corps».
Ce jour-là, tous les Marocains avaient compris que ce Roi-là que leur offre la volonté divine, est digne du pouvoir, de respect et d'amour et qu’il est le sauveur qui allait enterrer les cicatrices du passé politique du Maroc depuis son indépendance et faire entre autre, entrer son pays dans la vraie démocratie. Les sages disaient que "la grandeur d’un homme se mesure à l’aune de ses réalisations" Heureusement, Sidna..c'est quelqu'un qui réalise en silence et sans compter, en compensation du vide qui peut y être engendré par les divergences politico-politiques des alternants au pouvoir.
Il a fait l’exact contraire de Abdelaziz Bouteflika, qui, gravement affaibli par la maladie et sur un fauteuil roulant, crée et garde un faux «trône» contre vents et marées. Difficile de résister à la tentation de la comparaison en ce début d’un 4e mandat de trop. Il y a, d’un côté, l’acte majestueux de Mohamed VI et, de l’autre, un acte manqué de son Excellence, Abdelaziz Bouteflika qui vit le temps mort, et qui dans ses derniers jours de pouvoir se fût encerclé par des chiens qu'il a mal dressés, au moment de son temps fort, et qui se sont mis à lécher l'Algérie à "petit feu", devant ses yeux et à son insu (!). D'autant plus, son voisin d’Espagne lui a donné une belle leçon d’exemplarité. C’est tout le paradoxe d’une monarchie espagnole résolument républicaine et une République algérienne abusivement monarchiste.
Ces ci-devants gouvernants-Algériens refusent de disparaître politiquement, et même médiatiquement. C’est pour cela qu’ils n’ont cessé de se chercher des visibilités, avec ou sans occasion, et quelle que soit la nature de cette présence médiatique, prenant toujours l'objet de Maroc pour le durcissement, pour tremper, et faire peur à leur opinion publique tout en prolongeant leur séjours aux commandes de l’Algérie et faire perdurer la souffrance des Algériens.
Ces jours-ci on entend parler, partout en Algérie des concertations entre opposition et quelques factions de la société civile pour créer ce qu'ils appellent "Le Front National pour le Changement". A mon avis c'est l'attitude du perdant devant ses fans et la façon de faire écouler du temps, dans l'attente de voir éventuellement se produire la surprise du haut sphère du pouvoir.
On va pas pleurer à leur place, nous leur rappelons seulement ce qu'avait expliqué en son temps leur président Boutef. quand il parlait encore "Notre maison est de verre". Du verre peut-être mais du verre fumé, car à l'heure actuelle de Google Earth, des satellites qui se bousculent sur l'orbite géostationnaire comme s'ils étaient sur la place "Jamaâ Lafna de Marrakech à midi, il est toujours difficile de filmer l'Algérie après la mascarade du 17 avril dernier.
Cordialement,Chihab25