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Un sale pouvoir - Page 42

  • Algérie: M6 en patrouille à l'est...?

                                 Un syrien accuse Mohamed VI d’abandon

     MarocLe Maroc source de l'Africité..Avant de recevoir l'ordre de faire la patrouille à l'Est..la nécessité m'oblige de rappeler aux algériens que le Maroc est la source de l'Africité. Il n'a jamais tourné le dos à ce contient..Feu Sa Majesté le Roi Hassan II, que Dieu ait son âme disait toujours que le Maroc ressemble à un «Arbre qui jette ses branches au vieux continent et garde son tronc et ses racines en Afrique», ceux qui nous envient et qui ont toujours tendance à mettre le Maroc à l’œil du cyclone et démentir la chose Marocaine, je veux dire, plus précisément, les algériens qui déforment l'histoire, n'ont qu'à aller revoir l’étendue géographique de l’empire Marocain de la dynastie d'Almoravides ( دولة المرابطين ) pour se rassurer que le Maroc n'est pas tombé,  en goutes d'eau du plafond, pour appartenir à l'Afrique.

    Même en dépit de sa non-adhésion à l'UA, le Maroc jouit d'une présence agissante sur la scène africaine, et il ne serait disposé à réintégrer l'Union africaine, à la demande des sages de l'Afrique, sans le règlement de ce dysfonctionnement.

    Son retrait de l'OUA était motivé par des raisons connues et claires relatives à l'admission de la pseudo-rasd, Sur les 53 pays membres de l'Union africaine, 17 n'ont jamais reconnu l'entité factice, 12 ont retiré leur reconnaissance et six autres l'ont gelée, ce qui porte à 70% le taux des pays ne reconnaissant pas cette république fantoche, alors que cette anomalie patente devrait être corrigée.

    La Maroc, acteur agissant sur la scène internationale, a su convaincre bon nombre de pays du continent africain, qui avaient reconnu la prétendue rasd pour des raisons d'ordre politique ou corruptionnel,(si j'ose employer ce terme) à retirer ou geler leur reconnaissance.

    Les motivations sont toujours présents.. Si on s'interroge sur le retour du Maroc à cette organisation régionale, pas un seul Marocain ne peut accepter que le Royaume réintègre l'organisation panafricaine pour siéger aux côtés d'une république fantoche créée par les conneries de l'Algérie, et l'admission d'une telle entité fictive au sein de l'union porte préjudice à la politique marocaine de défense de son intégrité territoriale conformément aux traités internationaux, dont la Charte des Nations unies. 

    A rappeler aux algériens que le Maroc, avait quitté l'OUA il y a 30 ans en protestation contre la violation flagrante de sa charte, violation qui consistait à admettre parmi ses rangs une entité imaginaire ne jouissant, jusqu'aujourd'hui, d'aucune reconnaissance internationale crédible par l'ONU - Ligue Arabe - MENA, ni d'aucune souveraineté, sachant que cette même charte énonçait que seuls les États indépendants et souverains sont admis en tant que membres.

    la problématique qui se pose de nos jours tient à ce que l'OUA, dont le Maroc est pays fondateur, s'est muée en Union africaine, avec comme corolaire la suppression de l'article sur les conditions d'adhésion.Le Maroc a dans ce cadre toujours insisté sur l'impératif de mettre à profit les changements en cours dans la région, au premier rang desquels la chute du régime de Kadhafi qui était l'un des plus forts soutiens des séparatistes à travers le monde, soutenant l'importance de l'action diplomatique et de l'aide au développement qu'entreprend le Maroc dans ses relations avec plusieurs pays d'Afrique. Mettant en avant les efforts soutenus du Royaume dans le but de contribuer au développement du Continent africain et à la coopération internationale en sa faveur, Le Maroc a toujours mis l'accent sur le fort déploiement du secteur privé marocain et des banques marocaines dans plus de 20 pays africains.

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    M6 en patrouille à l'Est..C'est ce que disait la presse algérienne sur la visite Royale en Tunisie. Une sale plume algérienne se réjouissait de dire que, je cite : "cela fait longtemps que le monarque a oublié cette destination pourtant si proche à tout point de vue, tant qu'il ne regardait que vers le nord et accessoirement vers le sud du continent, non pas pour aider les peuples africains dans le besoin, mais pour y gagner des soutiens à sa politique au Sahara (occidental)"fin de citation.

    En effet, ce jeune Roi, qui est notre fièreté, à nous Marocains, continue son offensive diplomatique entamée voici près d’un an. Après plusieurs déplacements en Afrique Subsaharienne, des visites politiquement très remarquées et économiquement fort utiles, le voilà qui se trouve officiellement en Tunisie pendant trois jours, enjambant l’Algérie, pour s’en aller porter la bonne parole maghrébine sur les terres Tunisiennes, les plus accueillantes, aidant la Tunisie à se soulever et ne pas tomber dans le giron hypocrite Algérien. Ni Bouteflika ni son fondé de pouvoir en coulisses ni celui qui lui change les couches-bébé (!), ne pourront en faire de même, (même pour plébisciter les Tunisois).

    Laisser le feu se propager chez soi et aller au rescousse d'autrui, c'est les symptômes de la défaite de la diplomatie algérienne. Le pouvoir-dz décide d'aller détruire l'unité nationale d'un autre pays Maghebin, tout en créant axe "Alger-le Caire" et chargeait les Drsistes  de compter les pots cassés dans le fief de son ex-ami intime Kaddafi que la malédiction divine soit sur lui aussi.ُ Et ce en conformité exactement avec l’anecdote Marocain :«خلات ولدها يبكي,, ومشات تسكت ولد الجيران»                                                                    

    On ne répète jamais pour des cons..Il serait inutile de répéter pour des cons, comme un certain "Bouguettaya et d'autres opportunistes algériens" que le but de la visite Royale en Tunisie est clair et loin de tout soupçon, étant donné que Sa Majesté était accompagné d’une centaine d’homme d’affaires, ce qui signifie qu'en plus des impératifs sécuritaires, le rapprochement Maroco-Tunisien revêt aussi un volet économique de grande importance. 

    Or les algériens eux, constatent avec amertume leur isolement en tant que composant "banni" du grand Maghreb¹ et savent plus que d'autres, que leur pays l'Algérie est déjà au bord de la faillite où ses sujets souffrent terriblement de la mauvaise gouvernance, de la corruption et de l'anarchie qui griffonnent, bien avant la mascarade du 17 avril,tous les secteurs.  Il n’ y a plus de doute que l'Algérie regrette et déplore que la Tunisie est résolument engagée dans un processus de redressement national ponctué par une démocratisation de la vie politique. 

    C’est à peu prés cela le sentiment du pouvoir algérien qui n'arrivait pas à offrir une «cure» à Bouteflika de quelques jours à Tunis, ou  à Hammamet pour l'aider à la récupération à la suite de son nouveau malaise survenu juste à sa sortie de prestation de serment. 

    La patrouille à l’Est de M6, la phrase qui reflète la mentalité malencontreuse des gouvernants; a toutes les chances, pas de tourner court, comme elle le souhaitait la sale plume..! mais d'aller fructueusement plus loin au profit de nos deux peuples Marocain et Tunisien, laissant l'Algérie patiner dans le vide et lécher de son hypocrisie amère.

    Les algériens font le semblant d'ignorer qu'au-delà des opportunités d'affaires, le royaume chérifien entend aussi faire entendre sa voix sur les questions religieuses dans la région sahélienne, où l'Algérie se met de l'eau à la bouche, car elle n'a pas d'opportunités qualificatives ni de rôle à jouer dans ce domaine, outre que désinformer ou de saboter.                                                                                        

    Il y en a aussi M6 l'Africain..Je suis toujours dans l'obligation de rappeler, à chaque fois aux algériens, les choses qu'ils ne veulent pas entendre, voire les succès de la diplomatie Royale en Afrique qu'ils ne peuvent les admettre ou les avaler tout simplement.. C'est que les sages de l'Afrique nomment dignement Sa Majesté le Roi Mohamed VI en "M6 l'Africain".

    Lors d'une tournée qui l'a mené au Mali, en Côte d'Ivoire, en Guinée et au Gabon, le souverain a su ménager ses hôtes, n'hésitant pas à faire de longues escales.©DR

     لحديث والمغزل C'est-à-dire. On ne perd pas de temps, nous travaillons même en parlant.C'est le cas de Sidna..Le Souverain qui mène des Partenariats économiques, alliances politico-sécuritaires avait achevé sa tournée Africaine par le Gabon. Une longue tournée africaine qui a marqué sa volonté de positionner le Maroc comme un acteur majeur au sud du Sahara.

    Lors de sa tournée qui l'a mené au Mali, en Côte d'Ivoire, en Guinée et au Gabon, le Souverain a su ménager ses hôtes, n'hésitant pas à faire de longues escales (photo), passant en moyenne de 3 à 5 jours dans chaque pays. "C'est une tournée très importante, qui concrétisait et consolidait les liens extrêmement important entre le Maroc et ces pays", a déclaré à l'AFP, en marge de cette visite, le Ministre marocain de l’Économie et des finances, Mohamed Boussaid, qui accompagnait le Roi parmi une importante délégation de conseillers royaux, ministres et hommes d'affaires.

    Au total, "Nous avons dépassé 90 accords économiques (conclus avec) les 4 pays, ce qui est énorme". Ces accords et conventions concernent des secteurs aussi variés que l'agriculture, le commerce, le tourisme, l'hydraulique, l'énergie ou les mines, dans des pays où les entreprises marocaines sont déjà bien implantées. "Il y a d'importants enjeux économiques: la croissance au Maroc est faible et il y a besoin de relancer les exportations", explique Mr.Pierre Vermeren, professeur d'histoire du Maghreb à Paris. 

    SM le Roi reçoit à Marrakech le secrétaire général du mouvement national pour la libération de l'Azawad

    Ainsi le souverain s'est-il rendu au Mali pour la deuxième fois en six mois, réitérant sa volonté "de contribuer à une solution" au conflit dans le nord, disputant à l'Algérie le rôle de médiateur entre la rébellion touareg et Bamako. Fin janvier de cette année, a Majesté le Roi, rappelons-le, avait déjà reçu Bilal Haj Achérif, secrétaire général de l'Azawad (MNLA), l'incitant au dialogue avec Bamako. A souligner que le MNLA venait alors de claquer la porte d'une réunion organisée à Alger avec les groupes armés du nord du Mali. Et pour cause..le MNLA avait senti l'odeur du chien DRS sous la table.

    Pour arriver à ses fins, le Maroc sait qu'il peut compter sur un autre atout de taille, la religion, grâce aux liens profonds existant "entre la Monarchie Marocaine et l'islam africain qui est un islam confrérique", notamment au Mali, où les autorités essaient, parait-il,de repousser l'islam wahhabite, "Cet atout-là fait défaut à l'Algérie qui  ne fait aucune différence entre cet atout et la laïcité".

    Depuis des années, le Maroc se fait d'ailleurs le héraut d'un islam modéré, à l'image du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération Mr.Salah Eddine Mezouar: "les extrémismes religieux constituent de vraies menaces et il faut prendre le taureau par les cornes, agir de manière à préserver les sociétés africaines de ces dérives".

    L'atout Chérifien.. Le Maroc de son habitude, ne joue pas avec la religion et n'a jamais essayé de la politiser ni de la traîner par terre comme se fait en Algérie,. La religion est pour nous Marocain, l'aspect le plus sacré et un atout chérifien mis à profit avec la formation d’imams venus de plusieurs pays Africains. Pour des raisons culturelles, géographiques et de culte, le Mali, le Niger, la Guinée-Conakry, la Libye, la Tunisie et tout récemment le Nigéria qui vient d'en faire la demande officielle au Maroc pour couper court avec l'islamisation de Boko Haram. Et pourtant c'est un pays qui suit encore, les traces hostiles au Maroc que prend gratuitement l'Afrique du Sud-Zouma dans les instances internationales et reconnait encore le bâtard de l'Algérie à Tindouf. Mais ça vient sûrement, car chaque mensonge tire à une fin?

    Ces États reconnaissaient l'atout religieux et le rôle d’Émirat El Mouminine qui en fait,  fait grain de sel à la gorge Algérienne, et exprimaient spirituellement beaucoup plus et sans réserve, leur attachement au Maroc, que de s’intéresser aux fourbies Algériennes, qui n'exportent à leurs pays effectifs que le terrorisme déguisé en religieux et en psychotropes. Le Maroc a bien réussi à s'y positionner ainsi, même si l'Algérie tente souvent de l'exclure de cette région.

    Ainsi en septembre 2013, 500 Maliens se sont vus octroyer des bourses, invités à venir au Maroc étudier un "islam de tolérance" pour devenir imams et contrer l'influence des islamistes radicaux. Au cours des dernières semaines, des accords similaires avec la Libye, la Tunisie, mais aussi la Côte d'Ivoire et la Guinée et tout dernièrement le Nigeria ont également été acceptés par le Souverain en tant qu’Émir El Mominine et Roi du Maroc, dont les exécutions sont confiées ponctuellement à Mr. Ahmed Toufik, le Ministère des Habous et Affaires Islamiques, le garant de la bonne gestion .

    D'autre part, et dans le cadre de la Haute sollicitude dont Sa Majesté le Roi Mohamed VI, Amir Al Mouminine, que Dieu L’assiste, entoure la chose religieuse, le Souverain a donné le coup d'envoi du "plan de soutien" à l’encadrement religieux au niveau local, touchant l'étendu de chaque  conseil provincial local.                             

    Ce plan représente un nouveau jalon sur la voie des réformes opérée, jusque-là par le Souverain, y compris la réforme du champ religieux que Sidna n’a eu de cesse d’entourer d’une sollicitude particulière, depuis son accession au Trône de ses glorieux ancêtres, ce qui a fait que le modèle Marocain de gestion de la chose religieuse suscite l’intérêt aux plans continental et international.

    Il intervient en application des orientations royales pertinentes visant à promouvoir et moderniser le champ religieux, en le dotant notamment des ressources humaines qualifiées et des moyens matériels nécessaires et en lui permettant de s’ouvrir sur les nouvelles technologies et ce, dans le cadre du respect des constantes de la nation.

    Ce gigantesque plan vise à prémunir les mosquées de toute exploitation et améliorer le niveau de qualification au service des valeurs religieuses, notamment celles relatives à la citoyenneté et ce, en conformité avec les principes du rite malékite que les Marocains ont adoptés. C'est un autre grand chantier religieux qui s'ajoute au premier et que les deux ne s'ouvrent naturellement qu'au Maroc. Regardez la vidéo réalisée par la chaîne satellitaire Britannique "Sky News arabic", portant le témoignage de Mr. Mohamed Benhamou, expert Marocain au terrorisme et à l’extrémisme.(http://youtu.be/kS2wT7h9hWk).

    La sécurité n'en manque pas..D'autre part, n'oublions pas le coté sécuritaire, soit au Maroc, soit aux pays amis Africains. Les efforts déployés par notre pays depuis des années, dans le domaine de la lutte contre le terrorisme, ont abouti à des résultats positifs, du fait que  le Royaume a adopté une politique claire pour lutter contre le terrorisme, basée sur “la fermeté et l’intransigeance face aux menaces terroristes”,notamment en matière de démantèlement de cellules terroristes. Et ce depuis l'acte criminel de l’hôtel Asni-Marrakech  perpétré en juin 1994 par  les services secrets de l'Algérie (supervision Karim Moulay) et les explosions qu'a connu Casablanca le 16 mai 2003.

    Le Royaume ait fixé un objectif pour venir à terme avec ce phénomène sans faire appel à l'armée. Notre armée Royale est une armée professionnelle, non engagée dans ce genre de pratique, elle ne perd pas son temps dans des ratissages comme se fait infructueusement en Algérie par une armée de 'hitistes dégoutés. Notre pays a réussi le démantèlement de dizaines de cellules terroristes dormantes ou pro-actives à travers tout le territoire national, dernière opération en date «Le démantèlement d'une nouvelle cellule terroriste spécialisée dans l’embrigadement et l’envoi de volontaires Marocains dans les rangs des groupes terroristes en Syrie et en Irak».

    Nos Forces Armées Royales sont à l'aise, elles n'ont jamais fait l'objet de réquisition pour lutter contre le terrorisme, elles s'occupent essentiellement de leurs principales tâches, proprement militaires et se perfectionnent davantage pour être toujours en mesure de gifler et "re-gifler", s'il le faut, les bestiaux de la grande écurie du général-bougre Algérien Gaid Ahmed Salah, si celui-la se chauffe les nerfs et prétend dépasser les lignes rouges Marocaines frontalières.(La guerre des sables, les Amgala et les batailles du Sahara Marocains sont toujours de référence).

    D'autant plus, l'armée Marocaine honore son pays par sa présence particulière, comme armée Onusienne pour le maintien de la paix à travers le monde depuis le Congo 1960. Cette présence très remarquée par la communauté internationale, est couronnée, au fils des années, par des trophées et médailles de récompense, d'hommage- et de reconnaissance, décernées aux divers contingents Marocains de paix par le Secrétariat général des Nations Unies. Notre armée Royale de fièreté ne coure pas derrière les sorcières et d'ailleurs elle ne crée pas de terroristes pour les attaquer après, comme l'armée algérienne qui se fût toujours menacée par sa propre création, une création Drsiste mal calculée, soldée par la procréation de groupes armés. Des groupuscules à l'Afghanisation, inventés initialement pour contrecarrer le FIS, le parti politico-islamawiste Algérien de Abbasi Madani et d'Ali Belhaj (Front Islamiste de Salut) qui en 1991 a remporté largement les élections en Algérie.(وانقلب السحر على الساحر)

    En plus l'Algérie, ou plutôt, l'armée Algérienne ne trouve pas d'issue, surtout avec le nommé Mokhtar Ben Mokhtar, alias "le borgne", un chef jihadiste algérien, qui a été façonné, comme d'autres, par l'innovation de la junte militaire algérienne de Ben Aâknoune après le complot électoral du 11 janvier 1992 qui a dissout le FIS.

                          La mentalité de l'Algérien,un petit "chat se croit en lion"   

    L’échec d'une imitation..L'imitation à l'algérienne, ne tient pas ici, dans de grands aspects pareils,  et ne se joue guère à ce haut niveau. Si l'Algérie imitait souvent toute innovation Marocaine, cette foi-ci elle ne peut le faire, étant donné qu'elle ne possède pas les ingrédients nécessaires, au premier plan de formation des Imams, au second de soutien à l'encadrement religieux au niveau local, à la participation au maintien de la paix au monde.

    Cette Algérie, rappelons-le, nous a toujours montré et à tout autre observateur de sa seule capacité en hypocrisie, de façon qu'elle s'empresse d'ajouter, avec une arrogance particulière, à son dictionnaire domestique, une qualité spécifiquement algérienne, c'est qu'elle est le"bon élève, le plus intelligent" en mensonges, en désinformations, en distorsion, à la déformation des faits et en hypocrisie tout court, ce qui fait que sa mentalité remplie d'ingratitude n'est pas faite pour du bien ou du fructueux. Néanmoins, elle n'aura jamais la même capacité spirituelle comme ce grand et haut Maroc, ancré dans  l'histoire honorable de piété, pour en ouvrir des chantiers similaires ou de faire tout simplement des contrefaçons à la chinoise.

    Le Royaume Chérifien du Maroc progresse, grâce à son jeune monarque et l’Algérie, en parallèle, régresse à cause de son régime autoritaire qui ne sait où poser le pas dans un monde crédible. L’Algérie collectionne les mauvais points dans les rapports de classement mondiaux, et ce, dans tous les domaines surtout ceux liés aux libertés individuelles et collectives. Son mauvais classement reflète sans conteste une absence de vie démocratique.Un nouveau rapport établi par (The Economist Intelligence Unit) sur l’indice de démocratie dans le monde pour l’année 2012 place l’Algérie dans la catégorie des régimes autoritaires.

    En Algérie, le pluralisme politique est absent malgré les abois de certains opportunistes politiques qui se comptent sur les doigts d'une main.L’Algérie est donc un pays de la catégorie des dictatures pures et simples où les institutions démocratiques formelles ne peuvent exister à l'ombre d'une junte militaire féroce, héritée de l'ère "Faffa²" (!). Les élections, si elles se produisent en Algérie, ne seront ni libres ni équitables, sans tenir compte des abus et autres violations des libertés civiles.La mascarade du 17 avril écoulé en témoigne.

    Les médias appartiennent généralement à l’État ou sont contrôlés par des groupes liés au régime en place. La répression de la critique du gouvernement et la censure sont omniprésentes. Et il n’existe pas de système judiciaire indépendant, telle est la définition donnée par le dit rapport qui classe l’Algérie à l’avant denier plan des pays examinés. Ce classement est le résultat d’une moyenne de notes accordées à l’état du pluralisme et du processus électoral, au fonctionnement du gouvernement, à la politique de participation à la vie publique, au niveau de la culture politique et aux libertés civiles.

    Même si les gouvernants algériens n'aiment pas qu'on leur fait des remarques, qu'on leur montre du doigt leurs points faibles.. Nous tenons (nous la rédaction) à les rappeler à l'ordre en leur disant que leur peuple, le peuple algérien, avait rêvé au moment de l’indépendance de l'Algérie du début d’une sublime représentation. Mais cinquante ans de la même performance par les mêmes comédiens(les sergents et les caporaux Gaullistes), ont fini par lui faire jeter l’éponge.

    Frustré sur bien des plans, et dans un flou artistique déroutant, ce peuple dingue écoutait malgré tout le metteur en scène, affirmer, en un jour ensoleillé, à Setif en Algérie «Jili,tab,jnanou» (ma génération est arrivée à son terme) Nous Marocains, nous ajouterons à cela «Jilak Kh'mejj? (ta génération est pourrie). Aujourd’hui le jeune algérien demeure prisonnier d’un passé qui ne lui appartient pas, un passé qui n’en finit plus, parce qu’une génération de vieilles hyènes, plus que grisonnante, refuse de quitter la scène et de lui permettre d’être acteur de l’essor de son pays.                                                          

    Chez nous au Maroc, Dieu merci,les générations changent de flambeaux grâce à une plateforme fructueuse mise en place par une Monarchie clairvoyante ancrée dans l'histoire, contrairement au régime algérien qui passe de "mains  en mains" depuis l'injection Gaulliste.Un algérien écrivait dans un électronique algérien (AT) que  : "Ce qui s'est passé en Algérie en 1962 est une transition du "colonialisme traditionnel au colonialisme professionnel", il n'y aurait pas de vrai changement, tant qu'ils existent encore -Ouled França-. Tout ce qui se joue actuellement et à postérité c'est que de la comédie.Bonne lecture.

                                                                                         Cordialement,Chihab25 

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     1.-En son temps fort et dans un de ses discours enthousiastes,Bouteflika blâme le Maroc et la Tunisie pour avoir conclu séparément des accords avec l'UE à l'insu de l'Algérie.C'est pourquoi l'Algérie bloque l'UMA.

    2.-Faffa c'est la France pour les Algériens indignés quand ils veulent faire la comparaison de liberté et de droits civiques entre l'ère de l'Algérie-Française et l'Algérie indépendante. Pour se soulager ils respirent profondément en murmurant avec amertume:  "fi..nek..a..yam faffa..?"