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Un sale pouvoir - Page 6

  • Maroc-Algérie : Dépourvue de toute sincérité, l'Algérie envahie par l'Iranisation...!

                    

                                                                                          drapeau-du-maroc-image-animee-0008   

                                                                                                                                                                                Ayett Achaitane Kedhboune

    L'Iran cherche midi à 14 h. Les barbus Perses cherchent du savon pour se laver le linge. L'Iran s'active à renouer ses relations avec le Maroc. Tout d'abord, avant d'aller fouiller dans cette saleté Perse,  je dois leur souffler à l'oreille que : Chez nous au Maroc, on n'oublie pas les morsures de vipères ou les piqures de scorpions. Nous savons comment en remédier, à notre manière le poison, ne lui permettant pas de balayer le système nerveux ou de s'introduire dans tout le corps. 

    Les relations  diplomatiques mouvementées avec l'Iran en témoignent depuis fort longtemps, avant  l'apparition du Khomeiny dans l'empire du Shah Mohamed Réda Bahlawi. Certains curieux qui ne savent pas le poids Marocain, doivent prendre en considération, que le Maroc est le -mur-rempart- contre l'expansionnisme Iranien en Afrique de l'ouest, dont le Royaume du Maroc. Il n'y a pas longtemps, nos FAR  réussissaient à dévoiler la présence militaire d'Iran, via Hizb Echaitane du Liban dans le conflit Maroco-Algérien et y sont même arrivées  à  mettre à nu les opérations militaires mises  au profit de la milice -Polisalgérienne- à Tindouf par Hassan Sakht Allah. 

    Pour corriger cette faille et par coercition et contrainte de corps, l'Iran exprime le souhait de se laver, visiblement, la figure et se rapprocher du Maroc pour rétablir ses relations diplomatiques rompues à cet effet depuis 2018. En fait, les relations entre le Royaume et l’Iran ont été récemment évoquées dans le contexte d'une initiative prise une fois de plus, par les barbus Iraniens. Cette démarche, me paraît-il, pourrait être influencée par le rapprochement récent entre l’Iran et l’Arabie saoudite, l'allié indéfectible du Maroc.

    N'oublions pas dans ce cas qu'il existe en suspens le litige arabo-Iranien autour du champ Gazier -Addourra- qui pourrait allumer le feu, d'un moment à l'autre dans cette région entre l'Arabie Saoudite et le Koweït d'un côté et de  l'Iran de l'autre, lesquels se disputent le droit maritime de possession. 

    Bien que le chef de la diplomatie iranienne ait exprimé la volonté de son pays de rétablir ces relations. Nos décideurs n’ont pas officiellement réagi. Cependant, selon l’avis de certains éditorialistes, cela n’exclut pas la possibilité de négociations officieuses entre Bourita et son homologue d'Iran. Il est fort probable que les tractations se focalisent certes, sur la reconnaissance par l'Iran de la Marocanité du Sahara, le sujet sacré qui occupe une place centrale dans la manière, dont le Maroc appréhende ses relations internationales et ce serait difficile pour les Ayett Echaitane de digérer facilement.

     C’est également un critère pour mesurer la sincérité des amitiés et l’efficacité des partenariats établis par le Royaume, comme a était souvent exprimée par le Maroc. Les relations entre l'Iran et le Royaume du Maroc sont dans l'ensemble inexistantes, et y sont souvent été compromises par des différends ne récoltant que la soif sulfureuse. En historique, l'Iran a rompu toutes relations diplomatiques avec Rabat en 1981, en réponse à la décision de Sa Majesté le Roi feu Hassan II d'accorder l'asile au Shah d'Iran Mohamed Réda Pahlawi en exil. Il faut attendre près d'une décennie pour que ces relations se dégèlent pour renouer les liens. Feu Abderrahmane Youssoufi, alors Premier ministre, conduisait alors une délégation Marocaine en Iran et les liens économiques se sont considérablement intensifiés en son temps.

    -Le 6/3/2009, Sa Majesté le Roi feu Hassan II a rompu les relations diplomatiques avec l'Iran, en invoquant plusieurs raisons. Le ministère marocain des Affaires étrangères a déclaré le vendredi suivant dans un communiqué de presse que le Maroc avait rompu ses relations diplomatiques à cause de l'ingérence de Téhéran dans les affaires internes du Bahreïn et du prosélytisme chiite de l'Iran dans le Maroc sunnite. 

    -Le 02/5/2018 cependant, le Maroc coupe à nouveau ses relations diplomatiques avec l'Iran. Selon le ministère marocain des Affaires étrangères, la décision a été prise car l'Iran aurait fourni un soutien financier et logistique au mouvement sécessionniste Polisario par l'intermédiaire du Hezb Echaitane, qui échouait son jeu de *billes* devant la demeure de Bourita.

    -En décembre 2020, l'Iran critique la décision du Maroc de reconnaître l'Etat Hébreux. Néanmoins, en octobre 2021, l'Iran manifeste sa volonté d'en passer cette  situations de divergences politiques, souhaitant d'avoir des relations amicales avec le Maroc, considérant les motifs ayant menés à la rupture comme infondés.   

    Le soutien militaire de l'Iran au Polisario, dernièrement était présent en séance du Parlement Britannique. Selon la Grande Bretagne, le sujet iranien constitue une menace en Afrique du Nord. Selon des rapports, des députés Anglais parlaient de coopération militaire entre le régime iranien et Polisario, lors d'une session de discussions parlementaires, dans lesquelles le secrétaire britannique des Affaires étrangères a intelligemment répondu à des questions orales concernant les risques que représentent les ayett iraniennes pour le monde,

    Au centre de ces discussions Sir (James Doderidge) homme politique britannique et membre du Parti conservateur, à la circonscription de Rochford dans l'Essexa, a posé une question au ministre britannique des Affaires étrangères, sur la menace de la coopération militaire avec le Polisario, lui demandant de regarder les activités de l'Iran ailleurs; mentionnant la fourniture de drones Russes au Polisario dans le sud de l'Algérie, ce qui déstabilisera la paix très fragile, entre Marocains et Algériens et trainer toute la région au désastre.

    Réconciliation impossible. Selon ma propre conviction, l’épineuse question des relations entre le Maroc et l’Iran refait surface après les déclarations de ministre des Affaires étrangères iranien, Amir Abdollahi. Ce dernier a annoncé vouloir une réconciliation avec le Maroc, oubliant ou faisant semblant que les sujets de divergence entre son pays et le Maroc sont profonds, relations rompues depuis le mois de mai 2018 à l’initiative du Royaume qui a découvert l'implication de l’Iran dans le conflit Maroco-Algérien autour du Sahara Marocain en soutenant et armant les séparatistes polisalgérienne à travers son ambassade à Alger.

    «Le Maroc dispose à ce sujet des preuves irréfutables, de noms identifiés et de faits précis qui corroborent cette connivence entre le polisario et le Hezb Echaitane Libanais contre les intérêts suprêmes du Royaume», avait déclaré à l’époque Mr.Nasser Bourita, expliquant causes de cette décision. Depuis fort longtemps, le Royaume et ce pays ne se parlent plus et la situation serait restée la même, si Téhéran ne s’était pas rendu compte que l’Iran était devenu un Etat -paria- dans le monde.

    Depuis le début de cette année 2023, les barbus en, noir et blanc, tentent, tant bien que mal, tentaient de retrouver et se donner une meilleure image sur la scène internationale. Leur stratégie adoptée visait, en premier lieu, la réconciliation avec les pays (musulmans!) usant de la proximité religieuse, l'élément qui leur facilite l’accès, à près d’une cinquantaine de pays. En tête de liste, figurent des pays forts et stratégiques et c’est ainsi que s’est opéré un rapprochement et une réconciliation surprise avec l’Arabie Saoudite grâce à une médiation chinoise.

    Plus récemment, le chef de la diplomatie Iranienne a dévoilé lors d’une réunion avec les ambassadeurs de pays musulmans, que parmi les priorités de la politique étrangère de son gouvernement, figurait une attention particulière à la relation avec le monde islamique et les pays de la région, citant ainsi : «Nous nous félicitons du développement des relations et de la normalisation avec d’autres pays régionaux et musulmans, y compris la l’Egypte et l’Etat musulman et frère du Maroc», faisant en sorte le vœux de son pays de voir un rétablissement des relations diplomatiques avec le Royaume du Maroc. Cette annonce n'est pas passée inaperçue en Algérie.

    Elle a aussitôt précipité le président algérien Tebboune, pour prendre son téléphone et appeler le président Iranien, «Ebrahim Raïssi», sous prétexte d’échange de vœux de l’Aid Al Ad'ha mais surtout l’activation de la coopération entre leurs pays. Selon la presse jaune d'Alger ils auraient : «convenu aussi de renforcer la coopération bilatérale et d’accélérer la tenue de la réunion de leur  commission mixte». Le régime Algérien ne veut surtout pas perdre le soutien de Téhéran dans le dossier du Sahara Marocain et craint qu’une envie de reprise des relations diplomatiques avec le Maroc ne signifie un retrait de reconnaissance de la (pseudo rasd) et l’arrêt systématique du plaidoyer de l’Iran en faveur du polisario à l’ONU.

    En effet, il faut rappeler déjà que celles-ci ont été rompues en 2009, avant une reprise en 2014, ce qui fait que le Maroc est deux fois plus méfiant avec l’Iran. Par ailleurs, le discours Royal à l’occasion de La commémoration de l'anniversaire «révolution du Roi et du peuple 2022» avait été clair sur la question du Sahara pour le Maroc. Sans équivoque, le dossier du Sahara est le prisme à travers lequel le Royaume considère son environnement international, et l’aune qui mesure la sincérité des amitiés et l’efficacité des partenariats que le Royaume établit, avait ainsi affirmé le Souverain.

    Le Maroc attendra donc un changement de position sur le Sahara incluant un retrait de la reconnaissance du mirage Algérien de Tindouf, et des garanties d’une bonne foi de la part de l’Iran pour espérer qu’une relation de confiance soit installée sur un long terme. Téhéran aura donc la lourde de tâche de convaincre et de restaurer la confiance perdue.Malgré les tensions persistantes et les griefs du Maroc qui semblent indiquer une décision de non-retour du côté Marocain, les relations entre les deux pays ne sont pas vouées à rester inexistantes. La preuve en est la réconciliation entre l’Arabie saoudite et l’Iran qui étaient pourtant des ennemis jurés et déclarés.

    Le maux de falsifier...Revenant à falsification de 60 ans d'histoire de l'Algérie, de sa déformation et de son remplissage dans le cerveau Algérien de nombreux mythes et appréhensions et la falsification des faits ont effacé l'histoire des vrais martyrs Algériens et établi une histoire qui coups dans le rôle du maudit inhumé Boukharouba qui a fait sa révolution dans les rue d'Oujda et de Nador au Maroc, où lui et ses joueurs de "cartes de poker", conspiraient avec le général De Gaulle pour étouffer la révolution et assaillir le pouvoir en Algérie. Et après la publication de nombreux articles objectifs liés à la révélation de faits amers sur ce que les Algériens, dont le maudit Houari Boukharouba ont fait pour construire une histoire falsifiée et déformée qui n'a rien à voir avec la vérité de l'histoire de lutte pour la libération de l'Algérie.

    Aujourd'hui, en l'absence de toute crédibilité, les teneurs du cercle de décisions en Algérie, les gouvernants surtout reviennent sur terrain, cherchant dans les poubelles pour trouver, au hasard,  un fait honorablement majeur pour y crédibiliser l'histoire de l'Algérie-Française. Ils n'ont trouvé qu'une -option avoisinante à un petit rayon qui pourrait en glorifier leur histoire, en citant avec fierté grandiose une personne qui est, d'ailleurs qu'une personne aux allures Marocaines, la comptant comme l'un des "leurs". Il s'agit d’Abdelkader Old Mohyeddine, alias "Emir Abdelkader", dont la rédaction du blog parlait déja de lui et de son origine dans une précédente note. Ils ont décidé d'édifier en son honneur -une statue, la plus grande au monde, en jumelage avec l'édiffice que les rigollots appelaient le - Maqam Houbel -.

    Selon l'ouvrage «Le mal algérien» des experts français : (Jean-Louis Levet et Paul Tolila), qui est une véritable radioscopie qui met à nu la véritable nature du régime d'Alger, tout en dessinant une Algérie «aux antipodes d’une propagande officielle», cette statue serait le symbole d’une polémique flagrante  et pour cause :

    1-Elle est d’abord rejetée par la religion Musulmanes. 2-Et elle fait aussi l’objet d’une instrumentalisation malsaine par un pouvoir illégitime. La statue serait le monument à l’image du mal Algérien, liée à une quête identitaire impossible, sans admettre la réalité historique et accepter que l’Algérie est une pure création Française. Cherchant l'illégitime d'existence, les gouvernants fouillaient depuis 1962, une aiguille dans le foin. Ils s'attachent aussi à une poussière d'histoire, ouvrant la page par un personnage, simple comme les autres.

    Par ailleurs, il faut préciser que la qualité d’«Amir» accolée à Abdelkader Old Mohyeddine ne signifie pas qu’il est descendant d’une lignée de Rois ou de Sultans. Ici, «émir» est le titre porté, vaguement, disons par le plus malin des générations Algériennes multicolores, venues de toutes parts pour former un peuple sous domination étrangère, principalement les (Ottomane et Française).En fait, Leur émir Abdelkader (1808-1883), est d'origine Marocaine. Il est, une vérité ne pouvant être cachée, ni par le tamis, ni par l'orgueil Algérien. 

    Selon les chercheurs et historiens Marocains, il est l'un des descendants d'une famille ou d'une autre de la région de Fès. C'était un simple des bergers aux alentours de Sidi H'razem. Se rendant en Algérie, il trouva un peuple dingue qui croit, propice aux miracles de magicien et serviteur du démon. Un champs fertile pour semer les fausses idées et prédications. Par ce cas de Abdelkader, le régime Algérien cherche ainsi une figure fédératrice à laquelle s’accrocher pour asseoir le récit historique d’un pays qui préexistait à la colonisation française.

    Et ce n'est pas nouveau pour lui,  il a déjà créée une petite séquence d'histoire à la mesure d'un autre jongleur, que les Algériens se contentaient d'appeler «Cheikh Bouâmama» un cheikh de tribu nomade à Al Bayedh, wilaya de N'aâma à l'Ouest d'Algérie. Seulement, ce narratif ne fait pas l’unanimité parmi les Algériens eux-mêmes. À ce sujet, Nourdine Aït Hamouda,  le fils du colonel Aâmirouch, grande figure Kabyle, dont la dépouille a été outragée par Boukharouba qui, selon les auteurs du «Mal algérien». Nouredine Ait Hamouda qui était ministre et à la hauteur de ses paroles, a tenu des propos forts en juin 2021 disant, je cite :

    «Abdelkader est un traître qui a vendu son pays à la France (…) Ce n’est pas moi qui dis qu’il est un traître, c’est l’Histoire qui l’a condamné. Il a combattu la France pendant 15 ans, puis il a combattu aux côtés de la France (…). Tout le monde sait que l’émir Abdelkader s’est rendu à la France. Tous ses enfants, ses petits-enfants et sa veuve ont reçu des pensions de la part de l’État français. Lui-même a reçu la Légion d’honneur. Tout cela suffit amplement pour savoir que l’émir Abdelkader est un traître». Il fut arrêté et poursuivi pour «incitation à la haine» et «atteinte aux symboles de la nation et sa révolution» fin de citation. 

    Conclusion : Nous n'avons pas l'idée de s'ingérer aux affaires d'autrui, et nous n'aborderons pas, les crises internes de l'Algérie causées par ses généraux. Le général De Gaulle ne plaisantait pas envers ses sujets Algériens d'autrefois, il savait plus que d'autres, la stupidité d'Algérien qui ne savait pas ce qui se passe dans ses aspects, alors comment comprendra-t-il de son orgueil et ingratitude envers la générosité Marocains qui l'inondait durant sa peine de libération? Et nous savons que les Algériens nient carrément, l'effort Marocain dans ce sens.   

    J'en suis certain que les Algériens, les opportunistes surtout, ne comprennent pas le -terme lignage-. C'est un réseau complexe de mafia parentale. C'est un arbre avec de mauvaises branches. Bref, ce sont des descendants de démons. Ceux que les Algériens les plus curieux appellent (les héritiers de Boukharouba ), c'est-à-dire ceux qui ne connaissent pas le sens de la lignée, mais adorent la connexion à l'odeur de la racaille sacrée. 

    Les faussaires connaissent bien, tout comme le peuple les -Caporaux de France- et leurs fils, devenus des acteurs corrompus, qui en profitent de la précarité de tout un peuple opprimé, coupant son souffle, dépourvus d'initiatives, d'organiser des maraudes pour une démocratie gouvernante. C'est vrai, le maudit Boukharouba, avait raison quand il disait : «La seule crise de l'Algérie est une crise d'homme s». Le Royaume est  contraint, en face, d'opter pour continuer d'âpres batailles, convainquant haine et hostilité provenant de l'ennemi Algérien. Bonne lecture.

     

                                                                         Cordialement,Chihab25