Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Un sale pouvoir - Page 4

  • Maroc-Algérie : Malgré sa force d'ivresse et d'illusion,l'Algérie en quête d'identité ratée ..!

                                                                                                                       drapeau-du-maroc-image-animee-0008     

                                                                                                                                                                                                                                   ¹لسان حاله يقول : المروك وجعلي راسي        

    Début de conte : En tant qu'administrateur du blog, je dois d’abord confirmer, un concept inévitable qui s'accroche au coup de la voisine de mal d'à côté (l'Algérie). Entre chausse-trappes présidentielles et révélations sur sa junte, l'Algérie, qui semble s’être affirmée sur le trône de mensonges, marche en réalité, en face du Royaume au milieu d’un champ de mines tracé par ses gouvernants militaires.

    En fouillant aux réseaux sociaux, je trouve que les Marocains sont mobilisés pour s'attaquer -virtuellement- aux ennemis Algériens, tout en essayant de leur corriger les failles touchant la souveraineté Marocaine. Ils sont dans leur  élément quand ils parlent de sa grandeur et de la Marocanité de ses deux Sahara Marocains, l'Occidental libéré bien évidemment depuis 1975 et l'Oriental se trouvant encore spolié par l'Algérie.Et ça, nous oblige à sauvegarder nos réalités Marocaines, parce qu’elles nous renvoient à une image de nous, que le régime Algérien,par sa mauvais fois tente, vainement, de defigurer avec frivolité assez stridente. C’est insultant, toute phrase émise de la part de la junte d'Alger envers le Maroc ne pourrait être que du mal, préjudiciable aux intérêts Marocains. 

    Je trouve que ces Marocains sont des braves qui n'entachent guère l'honneur Marocain avec des petits riens. C’est là le talent, l'art capital chez le Marocain de défendre sa Marocanité, loin des manies des uns, des habitudes des autres. Ils sont impeccables, soucieux de frustrer toute haine, hostilité et ingratitude Algériennes avec l’air de volontaires qui s’étonnent.

    J'ai eu l'opportunité de suivre leurs commentaires accablants. Non seulement ils n’ont rien perdu de leur mordant, mais ils se sont renouvelés avec talent et beaucoup d’imagination envers la folie Algérienne contre le Maroc. Ils rodent toute manière trompeuse, doublant vigilance pour préserver la raison Marocaine devant un fou qui veut "le beurre et l'argent du beurre". À aucun moment la tension ne baisse avec cette voisine de mal. La frivolité Algérienne nous mène, malheureusement, vers des rivages risqués. -C’est pour cela que nous devrons êtres  bien éveillés, en «garde-à-vous» et qu’il serait bien de ne pas baisser les bras devant un ennemi ingrat, aveugle de haine. 

    Sachant que le parcours de la diplomatie Royale est trés remarquable. C’est sur scènes, régionale et continentale qu’elle est la meilleure. En preuve, le redressage permanent des brebis galeuses par l'agent d'exécution Royal M.Bourita qui fait de ce travail de gros succès, tout observateur peut constater la preuve qu'en est visible à l'oeil nu, même du myope : (multiplication d'ouverture de consulats étrangers au Sahara Marocain à Laâyoune et Dakhla en particulier)-

    Et pourtant cela conviendrait à tout Marocain, de se produire au bon, et se mettre au poids de ses paroles dans un monde sévère, qui ne laisse rien passer. Le Maroc, ne souhaiterait soutien de quiconque pour préserver sa cause nationale, il est contraint de confronter l’inimitié  du dernier jalon Algérien «l’Afrique du Sud» qui ne fait, avec son mirage Algérien, que secouer Nelson Mandela dans sa tombe. Ne pouvant ignorer cette attitude, notre pays doit   agir pour le mieux et gérer, éventuellement toute possibilité pour y faire changer  d’avis à des pays d'Afrique, qu'ayant dégusté l'offrande pétrolière Algérienne et qui l'ont pas digérée encore, continuant à se salir, dans les boues d'illusion Algérienne contre le Maroc.

    Et pourtant, Le Maroc ambitionne de devenir le sérieux -«Chef de pôle»- de premier plan, pour atteindre ses objectifs Leadership. Une optimisation de rentabilité, de compétitivité et d'infrastructure essentielle, passant par une amélioration significative de services proposés aux pays amis. Cependant, l'Algérie restera, en parallèle, rescapée des massacres perpétrés par ses bourreaux des années 90 (Nezzar-Toufik) qui reviennent à Alger, têtes hautes, avec innocence soupçonnée, pour se réhabiliter après une longue traversée du désert (en Europe), chargeant notamment leur ministre aux affaires mensongères de mettre, sur  l'échiquier mondial l'imposition et la reconnaissance du mirage Polisalgérien-, en unique et seul point à l'ordre de mission de la junte, au détriment des files d'attente, ici et là, des Algériens pour de simples denrées alimentaires au quotidien.

    En politique générale Onusienne, les choses concrètes se précisent à grande échelle contre l'Algérie. Après avoir toujours démenti son ambition politique vers l'océan Atlantique,en  multipliant néanmoins les signaux contraires, l'Algérie est désignée "clairement" via la résolution Onusienne 2703 d'octobre dernier, comme partie prenante au conflit du Sahara Marocain., elle  a été officialisé, en tant que telle, s'opposant à toute solution au problème, tout en employant davantage que le film plastique (sorte de scotsh) pour emballer ses échecs diplomatiques, éviteant se soumettre à la bonne fois, gérant la nature des choses, négligeant, en parallèle, regarder en face ou lire ce que permettent les lois.

    Essuyant les revers diplomatiques face au Maroc, mais faisant de sa guerre sur atlantique son épine dorsale, la junte tentera le -tout pour le tout- afin de marquer un retour improbable sur la scène diplomatique internationale et jouer des coudes sur le dossier. C’est ce qu’affirme l'expert Américain (Institut Américain D'étude au Moyen Orient) dans une analyse qui décrypte les ingrédients d’une tentative de revenir en avant-garde, reposant sur ses vieux réflexes, tout enroulant son opinion publique, la faisant croire que l'Algérie est vraiment un Etat existant à part entière parmi les Etats respectables, émettant du jonglage sur tous les fronts,  ne lâchant pas pour autant, sa passion pour la politique anti-Marocaine. Elle n'a jamais fait de vide médiatique à ce sujet, elle est constamment présente partout, avec un seul mot d'ordre : «Imposer son Polisalgérien».

    Je me permet de revenir au vif du sujet et à la notion «Lahdith wal Moghzel», n'oubliant pas la cause nationale. S'attachant surtout, à l'illusion Taflikienne, quand en 2002, sous l'ère de Bouteflika, l’Algérie s’était dite «disposée à négocier une division du Sahara Marocain, comme solution politique au différend avec le Royaume». L’option, soumise ensuite par James Baker, alors Envoyé personnel du SG de l’ONU, a été catégoriquement rejetée par le Maroc, refusant «toute proposition visant à porter atteinte à son intégrité territoriale et à sa souveraineté sur ses provinces du Sud». C'est le maux qui fait toujours grincer les dents et l'esprit de vengeance de la junte d'Alger. Je dis bien la junte et pas d'autre, étant que son président de vitrine n'est qu'un jeton à jeter aprés expiration de sa validité.      

    En quête d'identité...En retour à la question de - «la force de frappe et la supériorité ratée»-, qui explique le malaise identitaire de l’Algérie d’aujourd’hui. Au lendemain du second conflit mondial, à travers la «crise berbériste», se posa en réalité la question de l’identité algérienne : Est-elle arabo-musulmane ou, tout simplement bien berbère? Puis, après l’indépendance, comme les berbéristes affirmaient la double composante de l’Algérie, arabe et berbère, les leaders du FLN, véritable parti-Etat, parlèrent de dérive «ethnique, raciste et xénophobe».

    Pour Messali Lhaj², alors leader Algérien arabo-islamiste incontesté, les éléments constitutifs sans lesquels -l’Algérie algérienne- ne pourrait pas faire «coaguler» ses populations. Pour lui l’Algérie était une composante arabe, son islamisme et son berbérisme, à  majorité Kabylo-Azawad, étaient des moyens pour le colonisateur Français de diviser les Algériens.

    Il était autorisé, en tant que tel, à rejoindre l’Algérie, après son arrestation en 1937, pour s’y installer à Bouzareâh, près d’Alger, où une conférence décida la constitution du (Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques, (MTLD) suivi à l'initiative d'autres activistes par la création du PPA (Parti du peuple algérien) en vue des élections législatives en novembre suivant. Les Comités de ces mouvements étaient composés de 30 membres, à moitié égale, dont le président élu était Messali Lhaj.

    En l'absence d'une Algérie physique et officielle, ces deux mouvements, inscrivaient dans un appel adréssé à l’ONU, la phrase suivante: «la nation algérienne, arabe et musulmane existait depuis le 7eme siècle sous dominations multiples». Une affirmation qui provoqua la fureur de la Kabylie, qui un an plus tard, en 1949,  faisait éclater la «crise Berbériste» au sein des sections métropolitaines de ces deux entités. Tout partit d’un vote quand le Comité directeur de la Fédération de France PPA/MTLD, largement dominé par les berbéristes vota à une écrasante majorité une motion rejetant le postulat d’une Algérie arabe.

    Après ce vote, les deux camps en vinrent aux mains, à couteaux tirés. Mis en accusation pour régionalisme et anti-nationalisme, les cadres Kabyles furent écartés, puis exclus de toute gestion politique, cependant que certains furent, tout simplement, assassinés au sang froid, dans les coulisses.Les partisans de l’idéologie arabo-islamique allèrent alors jusqu’à affirmer que les Berbères étaient sortis de l’histoire.

    La revue -Al Maghrib- publia ainsi un article dans lequel était écrit : «à force de perdre de généalogie, les Berbères ne pourraient accéder au parti que s’ils se rattachaient aux lignées arabes... Quant un ministre Algérien fut engagé par le pouvoir pour y jeter de l'huile sur le feu,  déclarant en 1962 que «les Berbères -Kabyles et Azawad- sont une invention des Pères Blancs Français». 

    La guerre interne au courant nationaliste laissa des traces et l’opposition entre berbéristes et arabo-islamistes se prolongea durant la période de la guerre d’indépendance durant laquelle le berbérisme fut évacué de la revendication nationaliste au profit de l’arabo-islamisme qui devint la doctrine officielle du FLN. Or, sur le terrain, la guerre contre la France fut essentiellement menée par des Berbères dont les chefs étaient Abane Ramdane, le colonel Amirouche, Krim Belkacem ou encore toute la Kabylie en la personne de Hocine Aït-Ahmed. 

    Qu'elle serait sa place au monde. Une fois l’indépendance obtenue, face au rouleau compresseur du FLN et après l’échec de la rébellion kabyle de 1963 menée par les colonels Tahar Zbiri et Mohamed Belhaj, la revendication berbère fut clandestine. Avec le maudit Boukharoube (Boumédiène), la politique d’arabisation devint en effet systématique, fondée sur les conclusions de la -Conférence sur l’arabisation- qui fit totalement encadrer le pays par la langue arabe et nia toute existence à l’Amazighité. Le courant berbériste se reforma ensuite, notamment à Paris où, en 1967, fut fondée l’Académie Berbère d’Echanges et de Recherches Culturels (ABERC) qui se transforma, deux ans plus tard, en 1969, en Académie Berbère dont la revendication fut plus militante.

    A l’ouverture démocratique donna une forte impulsion à la revendication berbériste avec la création du MCB (Mouvement culturel berbère) mais, au même moment, Abassi Madani et Ali Belhadj fondèrent le FIS (Front islamique du salut) dont le programme était la création d’un Etat arabo-islamique et au mois de juin 1990, ce mouvement remporta largement les élections municipales.

    Pour tenter de freiner la montée du courantislamiste, les autorités lui donnèrent des gages en renforçant encore cette orientation de l’Algérie. La loi du 16/1/1991 renforça ainsi encore davantage l’exclusivisme de la langue arabe, de fortes amendes étant prévues pour les contrevenants. La contestation berbère reprit ensuite avec la «grève du cartable» quand, durant les années 1994-1995 les élèves kabyles boycottèrent les écoles. Ce mouvement réussit à faire plier les autorités qui créèrent le HCA (Haut-Commissariat à l’Amazighité), rattaché à la Présidence, puis la langue berbère fut introduite dans le système scolaire.

    Ces mesures cosmétiques ne freinent cependant pas la prise de conscience berbère et en 1998, de très violentes émeutes suivirent l’assassinat du chanteur Maâtoub L'ouanès. A partir de là, le climat devint insurrectionnel. Au mois d’avril 2001, la Kabylie fut même en feu à la suite de la mort d’un lycéen, abattu par la gendarmerie. Puis, le 14 juin, les Kabyles marchèrent sur Alger avant d’être durement réprimés en route par la police.

    La revendication ayant échoué sur le terrain politique, les militants berbères choisirent d’abandonner ce dernier pour mener le combat culturel. Ce retour aux sources leur fit alors déchirer le voile de la fausse histoire enseignée depuis 1962 et ils découvrirent ce qui se murmurait, à savoir qu’ils avaient été les «dindons de la farce» de l’indépendance algérienne. Certains affirmèrent même que les Berbères avaient subi une nouvelle colonisation Algéro-Algérienne dès le départ des Français. 

    La véritable histoire : Mentir c'est l'art Algérien..! Imaginons qu'un pays comme l'Algérie, dont l'histoire officielle a moins de 60 ans, et que son histoire ancienne ait été toute occupée et usurpée par les grands empires, depuis son occupation par les Byzantins, jusqu'à l'occupation effective par l'Empire Ottoman pendant cinq siècles.

    C'était au tour de l'usurpateur français, qui a duré plus d'un siècle et demi, et malgré le départ des français de l'Algérie, les Algériens devont toujours allégeance et obéissance complète aux seigneurs des Champs-Elysées, selon les accords et contrats conclus entre les Harki³ et leurs maîtres français, qui leur donnent droit et priorité sur tous les biens et richesses sans objection ni abstention, ce que le régime de la junte veut promouvoir, comme autrefois, défigurer la vérité, même si elle était amère, c'est ça l'histoire Algérienne et c'est sa vérité.

    On  appelle ça au Maroc : «les Slouguiyate», en référence aux lévriers qui courent plus vite que leur ombre Personne ne peut mentir sur l'histoire, même en s'achetant hors des normes, toutes les chaînes et médias internationaux. En fin de compte, la vérité demeure inébranlable. Ils trompe les dupes et les dingues, quand ont dit vachement en Algérie que les descendants d'Algériens sont plus âgés qu'Adam et d'Eve, et que :

    «1-le navire de Sidna Neuh (Noé) a débarqué en Algérie. 2-les Compagnons de la Caverne étaient originairement des Algériens de Khenchela. 3-les pyramides et les rois des Pharaons étaient en Algérie, que les Égyptiens ont volé civilisation Algérienne, en la leur ont attribuée. 4-le Mur d'Al-Bouraq à Jérusalem était une dotation Algérienne construite par Boumediene. 5-Que l'Algérie a libéré la Tunisie, l'Arabie Saoudite, l'Allemagne et la moitié des pays du globe pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale».

    La réalité, c'est que les Algériens n'étaient que des tribus et entités sauvages, dispersées, se disputaient entre elles, occupées par les grandes nations, ils en avaient l'habitude de voler et de bloquer le chemin des pèlerins et marchands, errant dans les mers, les déserts et les friches. C'est ainsi, il n'y a pas de documents historiques prouvant leurs origines et leur identité. Ils n'en avaient aucune affiliation ou allégeance sur le cou, c'était, tout simplement, un troupeau de brebis soumis, à leurs gènes depuis des siècles.

    Les caporaux d'Alger excédés par les -fake news-(fausses informations) de Tebboune. Ils se sont réunis en urgence, selon des sources locales, expédiant vite fait, la problématique des pattes du poulet qui deviennent inaccessibles pour la plus part des démunis en Algérie pour s’attaquer au plus grave. Ils en ont assez des -fake news- lancées de gauche et à droite par le président Algérien, alias «Le Cadre». Tebboune, lui, en a collectionné toute une meute, pour user de ses expressions grossières.

    Après 6 ans de révolution, c'est-à-dire depuis 1960, l'année où le grand traître Boumediene a commencé à planifier avec le général De Gaulle d'usurper la révolution de novembre 1954 et de chasser les moujahidines et de les remplacer par des militaires français d'origine algérienne, à condition que ces militaires n'avaient pas participé à la lutte contre les révolutionnaires de novembre 54.Imaginez, cher lecteur, qu'un pays comme l'Algérie, dont l'histoire officielle a moins de 62 ans, que son histoire actuelle ait été toute occupée et usurpée par les grands empires, depuis son occupation par les Byzantins, jusqu'aux Ottomans Occupation effective par l'Empire Ottoman pendant cinq siècles. 

    C'était au tour de l'usurpateur français, qui a duré plus d'un siècle et demi, et malgré le départ des colonialistes français de l'Algérie, les Algériens devons toujours allégeance et obéissance complète aux seigneurs des Champs-Elysées selon les accords et contrats conclus par les fils de Harki avec leurs maîtres français, qui leur donnent droit et priorité sur tous les biens et richesses sans objection ni abstention, ce que le régime de la junte veut promouvoir, comme autrefois, dire la vérité, même si elle était amère, car c'est ça l'histoire Algérienne et c'est sa vérité. Et pourtant le Maroc se tiendra, amèrement debout, contraint de combattre les invectives haineuses qui deviennent, monnaies courantes, d'une voisine atteinte de toutes les maladies d'égoïsme de l'univers., de façon qu'elle n'occuperait jamais de place dans la cour des grands.

    Le mirage d'Algérie...Tandis que de l'autre côté de l'Hexagone tout est possible en politique de rangs. Certains engagés du pétrodollar Algérien, (hommes politiques français de droite) ne  cessent de répéter, ouvertement, qu’il n’y a rien à attendre du Royaume du Maroc du (M6! sic), appuyant, en parallèle, une Algérie qui même, dirigée par une junte militaire, cultive la haine anti-Maroc et cherche à provoquer le Royaume contre (-la France-). Sachant  qu'en  cette année 2023 qui finit traduit, entre autres, la poussée de l’extrême droite en Europe. Ce courant se développe sur la base d’un discours populiste, identitaire, d’exclusion, mais il se cristallise autour d’une islamophobie persistante, et activiste même.

    En contrepartie, Le sous-secrétaire d’Etat Américain «Joshua Harris» vient de réaffirmer, depuis Alger, le soutien constant et inamovible des Etats-Unis au plan Marocain d’autonomie et démentir les propos néfastes de responsables Algériens à l'issu de son passage. Il s’est rendu, rappelons-le, pour la 2ème fois en Algérie, en l’espace de trois mois seulement, pour faire d’une pierre deux coups : «-remettre les pendules d’Alger à l’heure concernant la Marocanité du Sahara et -nettoyer les écuries d’Augias au sujet de l’escalade militaire nourrie par l’armée Algérienne, principal fournisseur d’armes au Polisario. 

    Enfin, je constate de ce qui précède, que les USA n'ont plus de confiance en Algériens et dans leur déontologie de mensonges. Leur parti pris est si flagrant qu’on sent partout en Amérique. Une Amérique puissante, avec son savoir-faire, à découvrir le réel et le non-réel de ses interlocuteurs, à rétablir, haut et fort, la vérité sur ce qu’il se passe contre la stabilité du Maroc, soucieuse d'en juger que :

    «les gouvernants d'Alger sont sans permis de bonne conduite diplomatique, sans-papiers de crédibilité Etatique et y sont, tout simplement, sous l’effet de la drogue mensongère de haut rang» et je dirai moi aussi de mon côté ce que disait un jour de l'étranger, l'écrivain Marocain Mr.Tahar Benjelloune, dans une de ses chroniques c'est «Tristesse et morosité», et que j'appliquerai désormais, de ma part à l'Algérie actuelle.

    Comme j'écrivais, en chroniqueur apprenti, que je suis..Je n'ai jamais eu confiance aux Algériens, surtout de ceux "d'aujourd'hui", comme je l'étais toujours, depuis la guerre des sables63, et même d'avant. Leurs débats sont au sens unique...«Que du bluff et du mensonge, portant atteine aux intérêts du Maroc». Au fond, leurs thèmes récurrents, tournent toujours autour de la haine et l'hostilité au Marocain, en plus d'imiter, tout ce qui est Marocain, ils savent plus que d'autres, qu'ils n’ont jamais espéré êtres pris au sérieux, ni respectés, ce qui se matérialisant, au bon sens, chez la plupart des pays amis du Maroc et se traduisant par la progression des partis anti-dz, privant ainsi l’Algérie, a bon dos, et à bonne tangente vers le champ de la raison! Bonne lecture.

                                                           Très cordialement,Chihab25

                            -------------------------------------------------------------------------------------

    ¹.Souffrant d'une  morale instable, Tebboune vient de décorer un -journaleux- qui, selon la malsaine Tebounienne, aurait brillé, en haine et hostilité, envers le Maroc, tout en lui attribuant le -titre de journaliste chevronné.Un geste qui plaiderait pour la continuité de tensions envers le Royaume. Il encourage les journalistes de son pays à se spécialiser dans l’insulte du peuple marocain. -

    ².Messali L'Haj, un activiste Algérien. Son grand-père maternel était cadi, membre de la confrérie Sophie Marocaine «Derkaoua de Fes». Sa mère était d'origine andalouse. -

    ³.Les harkis sont des opportunistes Algériens qui voulaient, à la dernière minute, pousser la France à ne pas quitter l'Algérie. Ils se sont enrolés dans des contingeants "spéciaux" qui ne cachaient pas leur désir de combattre les fellaga.