3/3.-La Marocophobie à l'algérienne..!
Suite et fin.
S.M.le Roi Mohamed VI se marre avec Mme Hilary Clinton, Secrétaire d'Etat aux AE.US.
Je disais dans une précédente note que la rédaction du blog doit dorénavant, "Consacrer son énergie aux affaires purement Marocaines et que la faculté de traiter la sale cuisine algérienne ne nous apportera que des ennuis et des casse-têtes". Mais la subite Marocophobie à l'algérienne m'avait obligé de revenir à cette saleté algérienne. Mes éxcuses aux lecteurs, leur demandant une bonne compréhension.
S'il était une fois..:
Les algériens disent que l'honneur est sauf pour les Marocains. Il n’y a pas qu’eux qui baisent fougueusement la main du Roi. Récemment j'ai vu une vidéo dans laquelle il y avait un petit passage de l'ex-président algérien Mohamed Boukharouba, alias Houari Boumédiane faisant signe à cela. Cette vidéo, retirée probablement des archives de la caserne Daly Brahim, est mise en Youtube, que pour rappeler aux autres que les algériens sont des "maîtres" selon les termes de Boukharouba, aprés la polémique créée, lors de la visite d’Etat du président Français en Algérie, par l'Algérien, qui s’est jeté sur François Hollande, a presque arraché sa main et l’a baisée.
Un acte, dit-on désolé, considéré "honteux" pour l'arrogance algérienne, c'est pourquoi, il se trouve menacé de mort par l'orgueil abusif, dont elle est atteinte la mentalité algérienne. Tandis que Bouteflika, le président idéal, qui avait droit à devancer tous, pour baiser la main de la maîtresse de Hollande, vit seul, la vie de vieux célibataire, aux traces de sa mère, sans conjoint, obnubilé par qu'un souci, de paraître toujours jeune, avec l’impression que le temps passe trop vite et que la promesse de briguer une 4ème chance au palais d'ElMoradia est déjà loin.! Ce n'est pas pour "R'faâ Rassak Abba", mais pour réaliser son programme visant à stopper son vieillissement. Il se dit que c’est une chance unique qui s’offre à lui pour continuer aux commandes d'un peuple dingue..Un peuple qui ne peut lever la voix pour dénoncer les 20 milliards de dollars, passés au-dessous table à François Hollande pour acheter la position Française dans la'affaire du Sahara Marocain et l'usine Renault d'Oran.
A travers ce souhait irréalisable pour diveres raisons, Bouteflika qui aurait commencé à perdre le cordon ombilical avec les casernes, surtout avec celle de DRS, aborde la question au centre de la société civile : l’apparence. Paradoxalement, dans une algérie mourante, où il veut le plus rapidement, au terme de ses jours, être autorisé à tout, à aller toujours plus vite, il veut aussi arrêter le temps, le figer, et que tout soit aussi beau que les mandats écoulés. Car il y a de l’antigone chez lui, ce «je veux tout, tout de suite, et que ce soit entier, ou alors je refuse». Elle veut que le temps s’arrête à son âge trop avancé, même s'il n’a pas encore eu le temps d’apprécier la «fleur» de l’âge et qu’il est déjà dans le regret de l’arrogance, dont il n’est pas sorti, dans une relation fusionnelle avec son jeune frère gâté qui va malgré lui l’entraîner vers l’opération fatidique.
Pour nous au Maroc, qu'il soit Zaid ou Amr, ne nous sommes pas optimistes et nous le seront jamais, tant qu'il y est toujours un voisin du mal en algérie. La pratique nous a démontré que le président le plus proche de nous, quel qu'il soit, est soumis souvent par la force de bottes et de crosses, soit à quitter la filière, soit à l'assassinat ou à l'ingratitude, comme ce dernier qui mâche le "Chwin Gum" en pleine assistance.
A défaut d'une fin du monde le 21 décembre 2012, selon les prévisions inversées de l'agenda Maya, la fin de l'année a eu lieu. Information se confirme automatiquement, à chaque fin décembre, que Mr.Med Bel'3ouchi du Département National Météorrologique, qui part en retraite cette année, ou le trio féminin de la RTM, ne peuvent en démentir, malgré la précision qu'ils nous présentent chaque soir à la télé. Ainsi nous refermons une page et nous ouvrons une autre, avec une tendance de dessiner les traits d'optimisme et d'avenir meilleur pour notre pays.
Mais une fin d'année, pourquoi ? Pour les comptables, elle sert à faire des bilans, pour Mr.Abdel Illah Benkirane à empocher le poids du bon et du mauvais de sa première année à la tête de la primatie Marocaine, pour les imprimeurs à vendre des calendriers et pour les journalistes et médias à publier des éphémérides censés résumer l'année. Et pour les fêtards ? C'est l'occasion d'une tentative d'amusement pour consommer les dernières miettes de l'année sans modération. Sauf qu'une fois de plus, les Algériens auront encore du mal à réveillonner au parc des Pins d'Alger ou ailleurs, sans cette coupable impression de vendre leur âme au diable occidental.
En farfouillant dans le cuvettes de l'Evangile, j'ai trouvé un verbe de Dieu qui correspond bien à la race algérienne: « Serpents, engeance de vipères! Comment pourrez-vous échapper à la condamnation de l’ Enfer ? Mais ne vous réglez pas sur leurs actes, car ils disent et ne font pas » (Jésus dans l’Évangile de Matthieu, 33,2-3).
Parlons témoins oculaires..
Les algériens tiennent à une repentance Française, malgré que le président Hollande a reconnu à Alger, à juste titre, la dureté de la colonisation et l'inhumanité de la torture pratiquée par la France durant la guerre. Mais inversant les cas, qu'en est-il des milliers de Français disparus après le cessez le feu du 19 mars 1962, et vraisemblablement assassinés par les Algériens ? Qu'en est-il des deux mille Français enlevés et probablement noyés ou enterrés dans les environs du Petit Lac à Oran le jour de l'Indépendance de l’algérie ?
N'oublions pas non plus les harkis, Français abandonnés sur le terrain par la France, et qui furent, eux et leurs familles, massacrés par les Algériens après un Cessez le Feu aussi théorique que sanglant. Femmes violées ou éventrées, enfants égorgés, hommes émasculés paieront au nom d'une France oublieuse de ses devoirs et d'une Algérie avide de vengeance, ce qui est une honte pour les deux pays. Quand connaîtra-t-on la vérité sur l'assassinat des moines de Tibhirine décapités près de 25 ans après l'indépendance, et dont une rumeur persistante dit que cette horreur a été perpétrée avec la complicité des dirigeants Algériens en particulier les agents du DRS, si friands des excuses de la France ?
Après le pas pour la réconciliation fait par François Hollande, tous ces massacres commis sur des Innocents alors que la guerre était finie et l'Indépendance acquise, doivent être à leur tour reconnus et éclaircis par les Algériens. Faute de quoi, jamais le rapprochement ne pourra avoir lieu avec une algérie têtue.
Le Sahara oublié, une pièrre au botte algérien.
On se demandera certainement pourquoi la rédaction met le nez dans une affaire qui ne concerne notre pays, ni de prés ni de loin! C'est une introduction, pour jeter les bases et mettre en exergue un autre dossier épineux en cache, avec les algériens, qui peut s'ajouter d'un moment à l'autre, à celui du Sahara actuel que les algériens tiennent avec insistance, à faire perdurer trop longtemps que possible. Il s'agit du Sahara Marocain oriental, une terre paradis, offerte gratuitement sur un plateau d'or à l'algérie par la France Gauliste.
Sur un site local "Bouarfa City",une ville de l'oriental, un article signé "Rabia Al 'Asfar", a bien retenu mon attention. Il décrivait la situation désastreuse de dispersion et de division de certaines tribus Marocaines, en chevauchement entre l'algérie actuelle et la mère patrie, le Royaume du Maroc. L'auteur de l'article, que je reproduis ci-dessous, se plaint de la façon provocatrice d'un jongleur-charlatan que certains le désignaient, à tort en "doyen du journalisme Marocain". Il s'agit de l'éditeur de l'hebdomadaire qui change d'intitulé comme de petits pains, cumulant dans toute sa trajectoire un bilan négatif, injurieux et diffamatoire.
Vu l'importance des axes traités par l'auteur, je me trouvait dans l'oblogation de reprendre cet article , tel quel est, et d'y parler à nouveau d'un sujet préoccupant davantage les populations de l'oriental Marocain, d'autant que la rédaction avait déjà soulevé et traité largement ce sujet dans la catégorie «L'algérie et la frontière Est». Évoquant que le Sahara Marocain Oriental de Hassan premier est contraint de disparaître contre le Sahara Marocain "Occidental" de Hassan II.
2012-12-10 بواسطة: التحرير بتاريخ
و بعد نشر هذا المقال أوقفت "الكواليس" عن الصدور لاسيما وان ردودا صحفية صدرت عن نخبة من المنطقة تستنكر وتستغرب أن تأتي هذه الكبوة من صحيفة يديرها صحفي مقتدر ، والأدهى والأمر أن يصدر هذا الزعم الباطل عن شخص يحمل لقب " العلوي " ، فهذه القبيلة التي لطخت سمعتها " الكواليس " هي التي ساهمت في مقدم أول علوي إلى المغرب ، فضريح مولاي الحسن الشريف ( الحسن الداخل ) يحتضن في مدخله قبر "مناع" مرافقه من الينبع إلى تافيلالت ، وتشير المعطيات التاريخية إلى أن العلويين وقبيلة دوي منيع قدموا جميعا من الينبع ، فمصطفى العلوي حين يشكك في مغربية ووطنية دوي منيع قد يشكك في جزء من تاريخه المشترك مع هذه القبيلة .
وفي أواخر شهر يوليوز 2012نشرت جريدة " الأسبوع الصحفي " التي يديرها الأستاذ مصطفى العلوي مقالا آخر تحت عنوان : " القبيلة الجزائرية النائمة في فكيك .. ماذا تنتظر؟ " يتهم فيه " لعمور " إحدى قبائل الصحراء الشرقية التي وجدت نفسها كقبيلة دوي منيع وأولاد جرير – بعد الاستقلال – مشتتة وموزعة بين المغرب والجزائر ، يتهمها بالانفصال والخيانة وخدمة أجندات معادية ....
إن المرء حين يقرأ مقالات " الأسبوع الصحفي " وقبلها " الكواليس "يحق له أن يسائل الراي العام والدولة المغربية بكل أجهزتها ومخابراتها هذه الأسئلة الملحة :
-1- من يتهم من ؟ ومن يكون السائل ومن يكون المسؤول في قضية الصحراء الشرقية؟
في سنة 1957 وفد على قبائل الصحراء الشرقية ببلدة " أمفيس "شرق الريصاني ، وفد مغربي رسمي رفيع ، وأخبر الناس بأن بيعتهم في أعناقهم للملك والعرش و أن الدولة المغربية ترى ضرورة تأسيس إدارة لسكان الصحراء الشرقية تحت اسم : " قيادة دوي منيع " لإدارة أحوال السكان في انتظار ما ستسفر عنه المفاوضات مع فرنسا لاسترجاع المناطق التي لم تحرر سنة 1956 ، لكن المسار أخذ اتجاها آخر ، فالمغرب ارتأى تأجيل موضوع هذه الأراضي إلى أن تنال الجزائر استقلالها ، ولما تم ذلك الكل يعرف ما آلت إليه أحوال الحدود والصحراء الشرقية .
يحق أن نسائل الجميع : ألا تعد هذه المقالات وهذه الاتهامات ظلما مريرا وتشويها للحقائق وقلبا للمسؤوليات ، فعوض أن يطالب السكان الدولة بالتزاماتها تجاههم نرى أن بعض النخب وبعض المسؤولين يجنحون أحيانا إلى تحريك برك كان الأولى أن تظل بعيدة عن الصراع السياسي والتوظيف الإعلامي .
صحيح أن أحداثا وقعت ، ففي السنين السابقة حدث أن نزحت بعض الأسر من قبيلة "لعمور " نحو موطنها الأصلي : "العين الصفراء " بسبب الأوضاع الاجتماعية القاسية ورأينا أن الإعلام الوطني انكب على الظاهرة و أولاها اهتماما خاصا وكأنه يترصد المواطنين لتسجيل بعض الهفوات ، لكن هذا الإعلام لم يحرك ساكنا في سنة 2007 ، فعقب أحداث ما يعرف بانقطاع التيار الكهربائي بمدينة "بشار" اتهم الامنيون الجزائريون السكان بولائهم لملك المغرب عبر شعارات رفعوها و كتابات حائطية خطوها فأعتقل منهم أزيد من 105 شخصا وأطلق سراحهم فور وصول جنيرال جزائري إلى بشار .
3- إن هذه الاتهامات قد تثير نقاشا مشروعا حول" الوطنية " ففي ظل العولمة تعد الوطنية نسبية ، وفي الحالة المغربية ونظرا لما آلت إليه أحوال" الرقعة الجغرافية "للبلاد بعد الاستعمار ، فإن الوطنية لا ترتبط بحدود مسطرة ولا باجتياز لها من قبل جماعة مضطرة ، فحين تقر قبائل خلف أسلاك " حدود موروثة عن الاستعمار " ، بالبيعة ، يصير للبيعة طابع استثنائي ويظهر للعيان كم كان البعض " غير واقعي ولا ملم بالتاريخ وملابساته" حين دعا إلى إعادة النظر فيها وفي طقوسها ، أن هذه البيعة بالنسبة لقبائل كثيرة مشتتة في أقطار مختلفة هي المرادف للوطنية !
إن من يرى في البيعة انحناء وطقوسا مذلة يكون كمن تخفي عنه الشجرة الغابة ، فالبيعة تراث ثقافي وتاريخي وحضاري ساهم في انصهار قبائل واثنيات متعددة ، فالمغرب بالمفهوم السياسي ما كان له أن يعانق المغرب التاريخي في انسجام تام لولا البيعة ، فالمغرب التاريخي على الرغم من جنسياته المتنوعة –اليوم – يتماهى وينسجم مع المغرب السياسي الموروث على الاستعمار بفضل البيعة ، فالبيعة إثبات لحقوق حاول الاستعمار ويسعى المستفيدون منه إلى طمس معالمها .
-4- إن الرأي العام يجب أن يكون على بينة من تواجد أجزاء هامة من قبائل تنحدر من الصحراء الشرقية بالمغرب وتحديدا بالرشيدية وفجيج ، فجزء من النخبة المغربية يعلم أن المغرب بالمفهوم التاريخي كان يضم جزءا من الجزائر اليوم وموريطانيا ، وان سكان هذه المناطق ظلت مرتبطة بمناطق أخرى من مغرب اليوم ، فقبيلة دوي منيع على سبيل المثال تنحدر من منطقة بشار ( أو كير) لكن ظلت تتحرك بين بشار تافيلالت ... لكن بعد 1962حدث شرخ في التاريخ والجغرافية وفي الذاكرة أيضا ، فلأول مرة تنتصب الحدود لتشتت قبائل بين دولتين وجنسيتين وتوجهين اديولوجيين ، وتشاء صدف التاريخ الماكرة والسياسة الفاجرة أن يتم هنا وهناك التشكيك في وطنية السكان : هنا يتهمون بخدام أجندات غير"وطنية " وهناك ينعتون بكونهم ملكين ومغاربة .
-5- وإذا كان رئيس جماعة "عبو لكحل " ببوعرفة ، باعتبار الجماعة تمثل قبيلة لعمور قد رفع دعوة قضائية ضد جريدة " الأسبوع الصحفي " فإن سكان الصحراء الشرقية يترقبون الحكم ومآل القضية لأنه سيكون مناسبة لاستشراف الموقف الرسمي ، ففي القضايا المصيرية كهذه ستكون للحكم إشارات وقراءات في السطور وما بين السطور !
إن الحكم قد يفصح عن الموقف الرسمي من " إرث " سكان الصحراء الشرقية المقيمين بالمغرب ، فالسكان حين قبلوا سنة 1956 بأمفيس " البقاء في التراب الوطني المحرر سنة 1956 كان ذلك وفق اتفاق ووعد من قبل وفد رسمي أهم ما كان فيه استعادة تراب الصحراء الشرقية إلى الوطن ، لكن لحدود الساعة لم يتم استرداد هذه المناطق ، بل أن اتفاقية إفران المبرمة يبن المغرب والجزائر سنة 1972 سطرت الحدود وفق الموروث الاستعماري الشيء الذي يقتضي من الدولة المغربية التي يستقر على ترابها جزء من قبائل الصحراء الشرقية والدولة الجزائرية المستفيدة من الأرض وجزء من السكان أن يعيدا فتح المفاوضات حول قضايا السكان لتدشينمقاربة أخرى تليق بإنسان الألفية الثالثة ,ربيع الاصفر Feu Hassan II se rappellait...
En parlant du traité de Mineraie de fer de "Ghar Garat Jbilat" dans la région de Tindouf, signé avec l'algérie sous la supervision Soviétique en 1964, Sa Majesté le Roi-Génie feu Hassan II, que Dieu ait son âme disait : «Je me rappelle que nous sommes allés à l'exil le 20 Août 1953, le jour de l'Aid Adha. Deux mois auparavant, le Pacha de Tindouf était venu présenter l'allégence à Sidna feu Mohamed V au palais royal à Rabat, c'était à la fin du mois de Ramadan. Il était connu jusqu'au 1953 qu'il ne circulait à Tindouf que le timbre-poste Marocain, sans parler évidemment des autres terres.»
En réponse à autre une question - Est-ce vrai, la France avait proposé au Maroc de récupérer ses terres en marge des pourparlers d'Evian?-. Il affirmait solennellement à ce sujet qu'un Mr Baroudi, fût envoyé à Rabat par le général Charles De Gaules, alors président de la république Française, venant suggérer au Maroc: «Nous sommes sur le point d'un gélement pacifique avec l'algérie. Nous croyons qu'il est convenanble que la France et Maroc négocient maintenant le problème de leurs frontières»
La réponse de mon regrétté père, ajoutait-il, était: «Il est hors de question de négocier dans ces circonstances, Ce serait poignarder l'Algérie du dos. Nous réglerons nos affaires à postériori». Ainsi commença une relation algéro-Marocaine parfois trés tendue, pour l'une des parties, que quelque chose lui est volée.!, et pour l'autre à ne rien concéder, se basant sur un article de la charte d'Addis Abeba, siège de l'ex-O.U.A(Organisation de l'Unité Africaine), qui a vu naissance en 1961 à Casablaca, stipulant l'intangibilité de frontière héritée du colonialisme.
A mon avis la grande erreur impardonnable qu'avait fait l'Etat Marocain, c'est qu'il n'a pas imposé sa présence aux négociations d'Evian en tant qu'observateur pour redresser à temps toute situsation portant préjudice à l'intergrité territoriale du Maroc et militer pour récupérer pacifiquement toutes les terres du Sahara Marocain Oriental emputées par la France de Colomb jusqu'au 1903 et 1953 en ce qui concerne Tindouf et sa région.
Si la France et l'algérie se confrontent, chacun en ce qui en concerne, pour la souverainté de l'un et la dignité de l'autre, ils ont oublié tous les deux les horreurs qu'ils ont infligé au Maroc par les accords sinistres d'Evian sur l'indépendance de l'Algérie. Des accords signés derrière un écran sombre par les uns et par les autres, portant préjudice flagrant aux territoires historiques du Royaume du Maroc. Ils oublient aussi, qu'ils ont vachement emputé du Maroc une grande partie de ses terres, en l'occurence le Sahara Marocain oriental, regroupant la Saoura, le grand Touat et Tindouf, injustement spoliés par l'Algérie qui , en acceptant cette offrande Française, met en péril les populations et les tribus de - Laâmour - Bni Guil - Doui Menia - Ouled Jerir -Ch'âmba et Rguibat, chevauchant la frontière algéro-Marocaine de 1962. Un dossier épineux que notre pays garde officiellement en suspens jusqu'à nouvel ordre.
Pour précipiter les choses et mettre à table cette situation irrégulière, une association, dite "Association Marocaine pour la libérations des territoires Marocains spoliés " s'est permis unilatérallement en 2006 de s'adresser au Tribunal International de la Haye pour demander l'arbitrage international dans cette affaire.Mais cette Instance Internationale avait rejetté la doléance et refusé de trancher, se basant sur sa charte qui préconise de traiter qu'avec les États et pas avec les associations.
Nous Marocains, nous attendons officieusement des autorités Françaises, qu'elles soient de gauche ou de droite, qu'elles ouvrent librement les archives concernant cette grave erreur Gaulliste, pour couper court aux allégations algériennes concernant cette occupation illégale d'une terre Marocaine et le vol à grande échelle prémédité d'États, dont les responsables sont le FLN algérien et les gouvernements du Général Français Charles De Gaules. Cela ne remet pas en cause,évidemment, l'attitude de la France d'aujourd'hui, mais oblige logiquement les Algériens, en contre partie, à s'auto-analyser à leur tour, et nous verrons bien s'ils en seront capables de le faire, mais je le pense pas, car ils se sont élevés dans école politique particulièrement hypocrite.
La presse purée algérienne, celle qui suit et déforme avec prémiditation notre intégrité territoriale depuis des années, raconte toujours les mêmes âneries sur un Maroc fort, plus fort encore qu’une algérie en déflagration interne. Une entité qui vient de tomber du plafond Français pour nous enlèver, voire pour nous priver de nos droits terrestres légitimes au Sud profond et du Sud-Est de l'Empire Marocain, et les chahuter à bas prix dans des « Souks » régionaux et continentaux, souvent remplis de petits États fantôches corrompus, groupés en agences politico-immoblières y compris le grand pays de Nelson Mandela, devenu malheureusement, un simple pion de la junte d'Alger. le seul but algérien, étant satisfaire sa gourmandise expansionniste au détriment de nos provinces du sud et passer l’éponge sur «le butin» qui lui est offert par la France Gaulliste, dans des circonstances marquées durement par la panique et l’atrocité de la guerre de bandes, dite de libération algérienne .
Pour que rien ne résiste au régime éboueur d’Alger, il a fallut à un certain Boukharouba, l'élèvre brillant de la chawia d'algérie, qui a su comment dominer le vieilles hyènes de l'ALNA, doter son système d’un moyen de sauvegarde et de surveillance, tout en préservant, sans se creuser la cervelle, cet acquis approprié, qui représente pour lui une "valeur ajoutée" au territoire de l’algérie Française (ex-Othmane) d’avant 1830. La nécéssité de céer un peuple et une république fantôche au sud du Maroc était de mise et une obligation pour affaiblir et désorieter, ce Maroc généreux de nature, victime de l'ingratitude inopportune des algériens, vers une guerre d'usure et de chantage. Et nous voilà depuis 1963, devant une relation constamment tendue avec l'algérie, une relation appuyée au sens d'hostilité et de crampe, aprés dix ans d'agitation et de fraudes, par une autre affaire plus dangereuse, créée artificiellement en toutes pièces au sud Marocain pour ouvrir une fenêtre sur l'atlantique, une affaire fortement coûteuse pour la trésorie d'algérie, soutenue aveuglement et médiatisée par le pétodollar algérien qui tombait inopinément aux algériens du ciel.
Le papier chifon du G.P.R.A.!
Figurez-vous que ces terres qui nous sont dérobées, se sont rappatriées à la mère patrie, comme il a été convenu avec le GPRA¹(Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne) qui reconnaissait, sans ambîguité, la Marocanité de ces territoires-là en paraphant avec le Royaume du Maroc, l'accord y afférent, du 6/7/1961, cela occasionnerait sûrement, au lendemain de l'indépendance de l'algérie, une bonne entente à gagner pour nos deux pays. Il était fort possible, si nos voisins du mal, en avaient la bonne foi. Encore faut-il savoir à qui appartient l’état de tension qui sévit actuellement ? A la junte militaire algérienne qui a violé l’amibtion d'entente à nos deux peuples, c’est à lui bien sûr. Sauf que non seulement il la soumise à cage, mais qu’en plus il a demandé de valider l’état actuel des frontières "héritées" pour nous en débarrasser.
La responsabilité est évidemment engagée par la France Gaulliste et par l"Algérie, ce qui ne peut, à mon sens, se prévaloir d'une propriété contestée, dont elle a la garde provisoirement jusqu’à nouvel ordre.. Pour être propriétaire d’une éponge comme d’un vélo il faut être passé par la caisse, ce que font les usagers en achetant leurs produits. serait-il temps à l’algérie de fermer le clapet de son égoïsme, qu’elle a hérité du l'ex-clan des soviets, qui continue à lui imposer encore les conséquences les plus lourdes d'un ledership perdu, renaissant des ruines de la guerre froide.
Peut-être qu’il faudrait que nos nations puissent mieux vivre en paix avec un peu de raison de la part des algériens, permettant à notre pays la récupération pure et simple de son Sahara oriental ?. Le Royaume du Maroc n’est décidément pas actuellement l’icône de discorde dans la région. Sachant que la gratuité ou le saut sur les biens d'autrui ne sont pas non plus à l’ordre du jour et nos terres spoliées sont et seront désormais surveillées comme des succursales des générations à venir.
Alors que le monde fait le plein de divergences et de conflits territoriaux. La redevance poubelle de cette situation stérille continue de nous empoisonner la vie avec en plus une morale visant à nous culpabiliser si on continue à négliger encore le sort de ces terres Marocaines spoliées. Les prochaines générations de la société Marocaine déploreront le silence de part et d'autre, qui touche ce dossier menaçant à l'avenir, les deux pays, de graves conséquences, s'il n'y aura pas d'amélioration, y sont conscientes et feraient bien de prendre ce dossier à bras le corps avant qu’il n’explose aux générations algériennes entre les mains.
Lorsque l’on sait que le plafond d’une conquête d’expansion improvisée par le pouvoir algérien de l'ère de Boukharouba, projetant s'étendre jusqu'à l'atlantique, s’élève à nos jours, à des milliards de dollars gaspillés par une poignée de mauvais décideurs à la magistrature suprême algérienne. Les tribus Marocaines coincées dans cette zone spoliée, ont du bien rigoler en entendant parler de "L'algérisation" du Sahara Marocain oriental, en tant que terre purement algérienne, faisant partie de l'ensemble du territoire national algérien, récupéré à force de combats de libération. Cet alibi encré ,au fil de temps, à la mémoire des nouvelles générations algériennes doit disparaître avec la disparition des pédagogues algériens, des vieilles hyènnes de la génération de libération algérienne.
Depuis l'arrivée de Bouteflika au pouvoir algérien en 1999 disposant que « l'appaisement et le rapprochement avec le Royaume du Maroc reconnaissent en particulier le rôle positif de sa présence au palais d'ElMoradia d'Alger. De nombreuses voix issues du corps politique, et d’intellectuels de gauche- si j'ose employer le mot, puisqu'il y a de gauche et de droite en algérie, se sont élevées pour demander, avec véhémence, l'abrogation de toute attitude anti-Marocaine, au motif que cet état des choses, serait de nature à menacer gravement la nécessité d'ouvrir une nouvelle page de l’histoire avec le Maroc. A pareille époque, le président algérien Bouteflika, fort de l’appui que lui assure en toutes circonstances son intelligentsia, réitérait ses provocations et exigeait que l'algérie de l'ère Boumediane continuât. Et il s’est trouvé, dans notre pays, aux funérailles de feu Hassan II pour cautionner que l'hypocrisie algérienne.
Avec ses parrains des Ben Aâknoune et Daly Brahim d'Alger, et avec l’appui de médias algériens pré-payés partageant la même idéologie de haine, dans un esprit de culpabilité congénitale outrancier et suivant la tendance malencontreuse qui est la leur depuis un demi-siècle, ne cessent depuis lors, de déverser leur haine empoisonnée, leur farouche vénéneuse foisonnante et pullulante, identique à celle qui s’était déjà proposée de révéler aux algériens, la continuité pure et simple de l'ère de Boukharouba sous tous ses aspects, avec une intimidation bien taillée à la mesure algérienne à la Maroco-Phobie.En tout état de cause, nous tiendrons à ouvrir, tôt ou tard, ce dossier avec l'algérie sans pour autant nuire à nos amis Français.Bonne lecure et bonne navigation sue Chihablog.
Cordialement,Chihab25.
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1.-Le GPRA, c'était le négociateur d'Evian. Les algériens acceptent la moitié de son travail, qui est l'indépendace et rejettent en bloc ses engagements, dont le papier-chifon, selon le terme employé par Boumédiane-, signé avec l'Etat Marocain sur les frontières?