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Un sale pouvoir - Page 73

  • Le Coup d'Etat contre Bouteflika a déjà eu lieu...(1)

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                                             Bouteflika en convalescence, le statu quo, jusqu’à quand ?

    Arrêt à mi-chemin.. Permettez-moi mes chers lecteurs de développer une idée qui tient mon attention depuis longtemps. Telle que : A qui nous nous adressons en algérie?..Tous nos appels, qu'ils soient officiels ou officieux sont adressés à des "dirigeants connards" qui détiennent les destinées de ce pays depuis son accéssion à l'indépendance en 1962.

    (...) Mais l’idée que la fabrique du connard est principalement de la culture et de la mentatlité algérienne, et pose un autre problème : Celui des effets délétères de la multiplication des connards au régime autoritaire algérien, où chacun se sent dans son bon droit de biaiser les règles de l'état à son propre avantage. Plus particulièrement, on s’intéresse làbas à la dégradation possible, voire l'inéxistane de la culture de liberté et de droits de l'être algérien dans une forme dévoyée, que les officiels et leurs sujets algériens appellent aveuglement, sur le même pied d'égalité et sur le même angle de vision: “ L'algérie des martyrs, pays de fièreté et de signité?".  

    Commençons par préciser que le régime militaire, depuis son existence en algérie était favorable  pour un slogan dérisoire, à véhiculer par tous les moyens de l'Etat, qu'est "République algérienne démocratique et populaire", un principe qui définit le socialisme dans une société qui s’appuie principalement sur l'égalité, sur la distribution des biens, des services et l’allocation de rentes et du capital pour la prospérité de tous, et la maximisation des opportunités offertes à chacun. Les décideurs algériens pensaient alors, que ce système, si lui on adjoint les mécanismes correctifs adéquats, il serait bien le bon système de "Diviser pour Régner", on fixant comme objectif, le développement de liberté aux compte-gouttes, selon le temps, le lieu, la mentalité et l'humeur de la junte de Ben Aâknoune, de Daly Brahim, et pas de ce que dirait le résidant du palais d'ElMoradia d'Alger et ses valets de chambres...

    Ce qui préoccupe l'algérien aujourd'hui,à mon sens, c’est que le nombre de connards responsables augmentant de façon significative, il y en a pas de socialisme, tel qu'ils l'ont préconisé dès le départ comme idéologie. A fort de pression d'autorité et de médias, l'algérien a apprit les ingrédients-pub du pouvoir, plus qu'on apprend les versets du saint coran, il a apprit  aussi que le tous les détergents de l'Etat éxistent que sur du papiers et  fiacres du gouvernant, et que son État algérien de "loi et de droit" est dépourvu, depuis sa naissance, de toute forme de crédibilité avec ses sujets et avec l'extérieur sur le même pied d'égalité.

    Selon  les observateurs le socialisme algérien qui est devenu capitalisme pour les opportunistes, est très sensible à la présence de connards corrompus : en effet le système militaro-mafieux algérien repose sur un certain nombre d’institutions et de règles, qui n'ont jamais existées et que les partenaires du peuple sont appelés à respecter pour que la coopération soit bénéfique au plus grand nombre  de militaires et de politiques corrompus. 

    Cela étant est pris d’autant plus au sérieux par les algériens, les simples citoyens algériens, que, selon eux,, l'algérie est déjà dans une telle situation. En effet, les algériens ont vu au cours de ces dernières années se développer, chez eux, une “culture du bon droit", selon laquelle chacun est spécial et justifié à chercher son enrichissement personnel et à contourner toutes les règles à cette fin.  

    Nous avons appris chez nous au Maroc que notre Etat est un vrai Etat de loi et de droit, de même que la politique est la manifestation des forces qui traversent la société et celles qui agissent sur elle d'une manière ou d'une autre. L’art de faire de la politique est l’art de comprendre et d’apprécier correctement le rapport des forces en présence et d’élaborer une démarche optimale en conséquence.

    Mais en politique à  l'algérienne, comme à la guerre, accuser l’adversaire de nous empoisonner la vie, c’est faire preuve d’inconséquence. L'adversaire et l'ennemi de l'algérie, c'est les Marocains qui, selon l'invention -made in algéria- sont faits pour lui empoisonner la vie.

    Par ingratitude et égoïsme le pouvoir autoritaire en algérie, , n'arrivait pas, jusque-là, à sortir de l'impasse qu'il créa face à un potentiel ennemi qui le menace de l'Ouest, pour lequel il choisissait de marteler, par la simple solution possible convenable aux règles de casernes...«le réduire par la force, voire l'anéantir». Et c'est dans ce seul stade que tous les crimes contre notre pays sont commis depuis la guerre des sables à nos jours. 

    J'ai souvent remarqué que la meilleure façon d'oublier le passé avec cette algérie est de rencontrer quelqu'un qui vous le fasse oublier, alors ce "quelqu'un" représentait pour moi l'avenir. Il est quelquefois difficile de "lâcher-prise", on a beau savoir, faire des efforts, il y des liens qu'on a du mal à oublier. Il ne s'agit pas d'oublier, d'ailleurs, mais bien plus, de regarder en avant, car en général, ce qui vient après est bien meilleur.

    Je termine ma petite introduction accidentelle par un beau témoignage. Mr.Naîm Kamal, un journaliste Marocain chevronné était l'invité de la radio privée "MedRadio"dans une nuit ramadesque. Avec Mr. Redouane RAMDANI, le patron de la radio, Il racontait presque toutes les histoires qu'il a vécu depuis son jeune âge d'extrêmiste, sa vie professionnelle,de grand reporter, des circonstances improvistes qui l'ont emmené à faire un tournant de 360° vers une droite inconnue pour couvrir les grandes séquences politiques  et cotoyer des personnalités politiques de taille, soit à l'UNFP, l'USFP, PPS, soit au Parti de l'Istiqlal à qui il appartient aujourd'hui.

    Ce grand politico-journaliste visionnait son monde Marocain par une petite fenêtre au quotidien Marocain -l'Opinion-. Ce que j'ai retenu de particulier, quand il parlait de l'entourage régional "arabo-Africain" du Maroc, en particulier de l'Algérie est ce qui suit.. «L'algérien, l'homme algérien, veut dire, est trés sympa, il est compréhensif et raisonnable quand on lui parle "Tout seul",. Mais dès que le nombre d'algériens dépasse "4 ou 5", la donne change automatiquement et le ton devient forcément égoïste, ingrat avec toutes autres sortes d'arrogance et d'hypocrisie».C'est vrai un algérien dans sa solitude, est un facteur normal, comme nous autres ..! Pour en juger, je renvoie mes lecteurs aux archives du blog et voir les impressions d'une femme algérienne qui avait visité le Maroc pour la première fois, il y a presque 5 années et vous verrez le coté positif de l'algérien.(نطباعات سيدة جزائرية تزور المغرب لأول مرة) Catégorie espace: algérien sans voix, en ligne depuis le 29/10/2008,ou tout simplement aller directement aux archives par mois..10-2008.

    Je ne fais pas de réserve à ce témoignage qui ne nous parvient pas de n'importe quel journaliste , par exemple les pseudo journalistes- "les fils de papa et de maman d'aujourd'hui"  et les autres éxclus du périmettre-Younes Moujahid, président du SNPM (Syndicat National de la Presse Marocaine)-. Un témoignage référence d'une manne historique "rare" du journalisme professionnel, plusque partisan, ce journalisme qui a eu, en quelques sortes, sa part d'offrandes de ce qu'on appelle, les années de plomb.

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    La chaîse roulante de Val-De-Grâce?..Après 82 jours d’absence, Bouteflika est rentré à son pays sur une chaise roulante. La TV algérienne a fait découvrir aux Algériens un homme à la santé chancelante et très amoindri physiquement. Partis politiques, médecins et citoyens doutent de la capacité de Bouteflika à continuer de mener lucidement à terme les affaires du pays et s’interrogent sur une situation de statu quo qui ne profite qu’à ceux qui ont des desseins politiques inavoués.

    Abdelaziz Bouteflika, a regagné, mardi 16 juillet, Alger après avoir achevé la période de soins et de réadaptation fonctionnelle, en période de repos et de rééducation» La durée de cette nouvelle convalescence n’est avancée. Alors que les Algériens ont découvert un président de la République incapable de marcher et physiquement très affaibli, la Présidence n’a pas jugé utile de fournir des détails sur ce handicap.

    Black-out ! La communication autour de sa santé est, pour le moins que l’on puisse dire, catastrophique. Les services de la Présidence, censés éclairer l’opinion sur l’évolution de la maladie du chef de l’Etat, ne donnent que très peu d’informations. Et souvent, ce sont des informations incomplètes et très peu fiables qui suscitent des questionnements. Ayant publié trois communiqués depuis l’évacuation du président Bouteflika à Paris, le 27 avril dernier, la présidence de la République n’a toujours pas précisé la nature du handicap dont il souffre, suite à l’AVC dont il a été victime. Les communiqués officiels publiés jusque-là se sont avérés contradictoires : l’AIT devient AVC et l’amélioration sensible de l’état de santé du chef de l’Etat semble finalement synonyme d’une paralysie de ces membres inférieurs qui nécessiterait un déplacement sur un fauteuil roulant. Le même flou est maintenu dans le tout dernier communiqué, rendu public mardi 16/7/13 à l’occasion du retour de Bouteflika.

    Le coup d'Etat a déjà eu lieu contre Bouteflika..En recevant le message de félicitations signé Abdelaziz Bouteflika, à l'occasion du 14 juillet, François Hollande s'en est-il amusé ou vexé ? Un homme convalescent qui a la force et la lucidité de rédiger un si long texte protocolaire est donc sorti d'affaire, et cela devrait réjouir le président français qu'on a entendu souhaiter un rapide rétablissement et retour d'Abdelaziz Bouteflika dans son pays.

    Mais personne ne croit à la fable du malade assez rétabli pour adresser un message de félicitations à l'occasion du 14 juillet, mais pas suffisamment guéri pour faire une plaisanterie pareille. Du reste, les récentes images tournées à l’occasion de la visite du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et du chef d'état-major de l'armée, le général-major Ahmed Gaïd Salah, au président de la République, le 12 juin dernier, sont éloquentes. Les Algériens avaient découvert sur leur télévision un homme totalement amoindri, visiblement aphasique et peut-être même partiellement hémiplégique.

    Comment croire qu'une personne si handicapée puisse diriger les affaires de l'Etat ? Et le ferait-il qu'il serait hors-la-loi. C'est une dame encore inconnue du grand public algérien qui vient de l'apprendre aux algériens : le pouvoir algérien, déjà illégitime, est désormais illégal. Depuis près de trois mois, il dirige les affaires du pays en totale violation de ses propres lois. Une dénommée Fatiha Benabou, prof constitutionaliste, parait-il, révèle, en effet, que les actes de gouvernement amlgéroien ne peuvent être décidés à partir d’un territoire étranger. «Le sceau de l’Algérie ne doit pas sortir du territoire national. C’est une question de souveraineté», dit-elle aux algériens, disqualifiant, du coup, toutes les dernières décisions prises par Bouteflika à partir de Paris. 

    Nos voisins sont donc bien face à une usurpation de prérogatives présidentielles par un groupe non identifié qui décide à la place d'un président malade. Cette coterie, qui fait signer le Président ou qui signe à sa place, cherche à gagner du temps, remplir le vide, jusqu’à la guérison d’Abdelaziz ou, tout au moins, une amélioration qui permettrait de donner l’illusion qu’il est toujours à la tête du pays. C'est capital pour contourner l’article 88 de la Constitution algérienne qui prévoit le cas d'empêchement du président de la République « pour cause de maladie grave et durable». Cette conjuration, dont le peuple algérien ignore tout, semble décidée à affronter la loi biologique.  C'est autour de cette illusion fatidique de l'immortalité du Grand Parrain, que se sont formées les coteries prédatrices autour du « Président Dieu vivant ». Immortalité a commencé, alors, à rimer avec impunité.

    Les algériens assistent malgré eux à un transfert de souveraineté à des groupes mafieux qui profitaient déjà du pouvoir irresponsable de Bouteflika mais qui, depuis la maladie de ce dernier, se sont emparés des dernières manettes qui leur manquaient. Les affidés du cercle présidentiel qui hurlent au «coup d'état médical» savent bien que le vrai coup d'État a déjà eu lieu et que, faute d'un sursaut salutaire, ils sont repartis pour 50 autres années d'hégémonisme. Avec le pétrole en moins.

    Où va l'Algérie?..Une question lancinante que s'était déjà posé feu Boudiaf, mais avant même qu'il n'ait eu les premiers éléments de réponse à son interrogation, il fut sauvagement et impitoyablement exécuté « en directe », par qui tout le monde sait, y compris le DRS, chef de gouvernement d'alors (allusion au bouc émissaire, Boumaarafi), et depuis cette question récurrente ne cesse de faire son bonhomme de chemin et tarauder les esprits bouleversés des algériens, qui assistent impuissants au naufrage de l'Algérie, qui par crainte de subir les foudres et le sort de feu Boudiaf, pour avoir osé franchir les limites «acceptables», qui de crainte de revivre les affres des années 90, tellement ressassés dans un but dissuasif, par ceux là même responsables des crimes contre l'humanité subis par le peuple algérien, qui enfin contre vent et marées, osent défier le diable et son arsenal.

    Le fait de reposer cette question voulue tabou, au même titre du « qui tu qui ? », que voulaient bannir ceux indisposés par ce genre de questions imprescriptibles et ô combien troublantes, allant jusqu'à criminaliser les poseurs de ces questions, tant pour eux l'Algérie va bien, l'Algérie est une île de démocratie et de prospérité, ceux qui tuent sont connus, puisque révélés par la vénérable TV algérienne, et toute autre version qui contredirait la version officielle n'est que pure non sens dans le meilleur des cas, sinon du pur terrorisme subversif, dont les auteurs ne sont que des agents de connivence et d'intelligence avec, tenez-vous bien, pour la consommation locale, il n'en manque pas au dictionnaire du pouvoir algérien les termes injurieux, diffamatoires, ce qui reste de l'ère communiste lui permettant régulièrement l'injection des petites doses de haine contre n'importe qui, mais qui fait l'affaire. En exemple:  Avec l'ancienne force coloniale, la France, l'impérialisme occidental et pourquoi pas, avec les Juifs et les sionistes Marocains.(!)

    Tout ça que pour évoquer les termes "sionisme et Marocain!. Je reviendrai  largement là-dessus dans l'épisode qui suit, ou plutôt dans la 2ème page de cette même note. Nécessité oblige pour dissiper toute ambiguïté dans ce sens et connaitre pourquoi les algériens nous envient..!? Ils envient ce Grand Royaume Chérifien qui nage dans son histoire glorieuse avec des point forts d'autorité, que les algériens et leur pétrodollars n'en ont pas pu en acquérir. «Ne considérez pas ce qui suit de plaisanterie, non, il s'agit d'une Marocanité qui gouverne à distance hors de son territoire. . Oui le Maroc gouverne l'Algérie avec une cabale de batards, il gouverne aussi Israël et quelques Etats Américains par ses précieux lobbys de juifs Marocains». Ce don divin est le facteur principal qui ne fait que véxer et gèner les algériens, à suivre pour en savoir davantage.

    Cette catégorie de citoyens endurcis, de plus en plus nombreux, et de plus en plus organisés, ne craignent plus de tenir le taureau par les cornes et oser ce que leur concitoyens n'osent pas encore, à savoir reposer ces questions, et oser donner la contradiction aux thèses pré établies, et proposer même des alternatives concrètes, une manière pour eux de briser le mur de la peur et du mensonge entretenu près de deux décennies, et même plus, grâce à leur acharnement que rien ne peut arrêter, ni phagocyter, réfractaires aussi bien au bâton qu'à la carotte, pour éviter à l'Algérie, ou ce qu'il en reste de l'algérie la déliquescence que lui prédestine ses fossoyeurs.

    Ce même pouvoir persiste dans son alchimie moribonde et aventureuse concoctée dans ses officines macabres, aidé de ses lèche-bottes à qui profite le statut quo. Le seul projet dont dispose le pouvoir est celui du maintien en l'état du régime grâce à la rente des hydrocarbures, qui lui prodigue un très important matelas financier lui permettant d'acheter un semblant de paix sociale et de conforter ses fragiles alliances extérieures. «Ce que l'on constate aujourd'hui c'est que l'algérie est le seul pays immobile dans la région» Elle est sans voix alors même que l'OTAN est à ses portes.Le régime actuel est complètement dépendant pour sa survie de ces caporaux qui ne rencontrent donc plus aucune résistance dans leurs stratégies de domination. Mais cette situation ne peut perdurer, c'est le même personnel, en place depuis l'indépendance il y a cinquante ans, qui conduit dans une impasse renouvelée la société algérienne en panne ».

    Seulement, force est de constater qu'il ne suffit pas de bien diagnostiquer le mal, ni d'être en majorité contre ce pouvoir corrompu, et de sa gestion catastrophique, pour que celui-ci ne s'effondre de lui-même, sous l'effet des espoirs des algériens, de même s'il n'est un secret pour personne que ce pouvoir est illégitime, vu son rejet par la majorité des citoyens, qui restent en dehors des cercles effectifs de ce pouvoir depuis plus d'un demi siècle, et non pas uniquement depuis le putsch électoral de janvier 1992, et par conséquent non représenté dans aucune des instances et des structures de l'Etat, cela ne veut pas dire pour autant, que cela suffit à lui seul pour précipiter la chute de l'oligarchie. Les décennies passées marquées par les tergiversations qui ne finissent pas des forces de l'opposition réelle, je ne parle pas des satellites mis sur orbite, sont autant de preuves de la fatalité de ce vœux pieux, chose qui conforte ce pouvoir dans son arrogance aveuglante, et consacre sa longévité finissante. Partant de là, la question s'impose :Où va l'Algérie?

    Au péril imminent..Elle risque de ne plus exercer sa souveraineté. Un conférencier algérien qui jouait à la récréation en l'absence de son prof-président avertit sur les menaces multiformes qui pèsent sur l'agérie et notamment le risque d’être intégré bien malgré elle dans un mécanisme dont il ne pourra plus se libérer, ne dissociant pas cette situation de la crise sociale qui continue de secouer le Grand-Sud algérien.

    Si les algériens n’avaiens pas été touchés par le Printemps arabe parce que le pouvoir a pu disposer d’une manne financière pour pallier au plus pressé en refrénant les ardeurs des jeunes algériens en concédant des prêts et autres facilités au crédit et en abusant des dispositifs d’insertion à la vie active, mais cela ne saurait durer.devant l'affichage d'un mot d'ordre disant que l'algérie a déjà vécu son printemps noir dans les années quatre vingt dix.

    Avenir sombre et incertain..L’Algérie va mal, très mal, et tout le peuple sait bien que son avenir est incertain ! Son destin est entre les Caporo-généraux d’une part et, d’autre part, entre les mains d'une élite-mafieuse qui, surement et  à l'insu du peuple algérien a déjà préparé un scénarii à deux constantes : une fausse paix sociale et la sécurité de la junte ! par des séquences pub à la longueur de la journée d'Al-Jazzera portant sur «Le peuple algérien libre - la démocratie - liberté d'expression politique et les droits de l’Homme» seront alors les revendications que chantera le chorale du pouvoir.

    En retournant le problème algérien dans tous les sens, en comptant le nombre de morts, les occasions ratées pour sortir du marasme multidimensionnel qui ronge l'algérie, et pour préserver leur avenir, je propose aux algériens, dans mes divagations : Pourquoi ne pas proposer l’amnistie générale pour les généraux, pourvu qu’ils partent ? C’est malheureux de le dire en pensant à toutes les victimes de ses criminels, mais ne faut-il pas aller de l’avant pour préserver l’avenir, celui de votre Algérie et des générations à venir ? N y a-t-il pas eu des précédents dans le monde et dans tous les continents (Pinochet et Salvador allende en Amérique Latine).

    Je sais qu'il sera dur pour les algériens de faire de telles propositions ; ceux qui veulent en finir avec seront désarçonnés et les malhonnêtes diront que cela émane  du quartier général de la junte militaire qui coupe le souffle aux algériens !

    Mais en allant au fond de la chose après l’avoir contournée, je me pose la question, je doute aussi, sur la capacité des généraux à accepter une telle offre, si généreuse, qu’on leur présente sur un plateau en or massif ! Ces assassins sont-ils vraiment libres pour en décider ? C’est là que le doute survient ! Leurs mentors, à Paris et dans d’autres pays, les laisseront–ils rendre l’Algérie aux Algériens ? Vont-ils accepter de perdre tout le business qui coulent à flot et qui arrose en premier lieu certains groupes dans l’hexagone ? Car à ce moment-là, c’est la bataille des approvisionnements qui deviendra l’enjeu politique majeur et qui ne sera pas sans dégâts sur les Algériens.

    Issue de sortir?.. Je n'éxagère pas si je dis qu'une fatalité incessante règne en algérie ?Je constate pour mon compte deux situations globales, d'autres pourraient voir plus :

    A la lumière de ce qui se trame à l'intérieur des pays arabes nouvellement libérés de leur dictateurs, la vigilance reste de mise et beaucoup de risques de récupération ou de dénaturation guettent les révolutions arabes.

    Nous voyons se dérouler ce triste scénario en Egypte, où l'armée est le mandataire d'une transition contrainte, et, plus encore, en Tunisie, où la préoccupation des dirigeants, de moins en moins sourde, est l'élection des élites anciennes de Bourguiba et de Ben Ali. Le pire des cas reste, bien sûr, la Libye, où c'est la « crème » de la corruption qui ramasse la mise avec le soutien de l'OTAN. Une révolution authentique est celle qui œuvre au changement de la nature des régimes et non celle qui cherche à recruter dans les mêmes viviers de l'autoritarisme des compétences moins décrédibilisées, un peu plus présentables. »

    Pour le cas de l'algérie, tout le monde, ou presque, s'accorde à dire que ce changement tant attendu ne pourra se réaliser et prendre forme qu'au moment où commence l'action sur le terrain, menée sur la base d'une plateforme commune à laquelle souscrivent l'ensemble des partenaires et adeptes de ce changement réel et non violent, les opposants algériens de l'étranger et les opposants algériens locaux, désireux de sauver leur pays avant le déluge, sans pré conditions ni autre apriorité.

    En conclusion, je pense qu'il est impérieux aux forces algériennes du changement, de ne pas attendre le consentement de tous, pour entamer l'action sur le terrain ; ces forces peuvent jouer le rôle de locomotive, des pionniers dans leur genre, pour entamer cette œuvre titanesque, et à la lumière des efforts des uns et des autres, nul doute que le reste, jusqu'à présent indécis, craintif ou tout simplement indifférent, emboîterait le pas, pour peu qu'il fasse preuve d'efficacité et de bonne foi.

    Cet effort, même modeste au début, redonnera au peuple algérien, jusque là dénigré et indifférent, l'espoir de croire en un avenir meilleur et ultérieurement, plus vite que ne l'imagine certains escros politiques algériens, assurera sa participation dans l'élaboration de sa destinée, dont il a été que trop longtemps mis en marge, exclu des décisions prise en son nom et à son insu.

    A ces forces qui ont tout notre respect, Nous Marocains internautes, et qui commencent à redonner de l'espoir à de large pans de  la société algérienne, n'en déplaise à ses détracteurs qui prétendent le contraire, ces forces qui forgent, du moins en virtuel, l'image d'une nouvelle Algérie qui prend forme dans les esprits libres, à l'instar du FCN, (Front du Changement National-Rachad) les opposants Praticiens de la Santé et d'autres¹, d'assumer leur responsabilités, de prendre l'initiative, sachant la confiance dont ils jouissent au sein de leur peuple algérien opprimé. De la sorte, l'Algérie bougera, elle ne fait pas exception, et se ralliera inévitablement au train du changement arabe, n'en déplaise à la cabale et ses porte-voix et plumes, qui sèment les graines de la peur, de la discorde, sous prétexte de sauvegarder les acquis inestimables (outre les leurs), ceux de la sécurité des geôles et des cimetières.Bonne lecture.

                                                                                                                      Cordialement,Chihab25

    A suivre..

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    1.- Un certain Mohamed Larbi Zitout et les ex-officiers déserteurs de l'armée et du DRS en fugue à l'étranger qui  ne font remuer la marmite algérienne que par du bla-bla qui change en rien.

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