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Mes écrits - Page 17

  • Maroc-Algérie : Privés de toute crédibilité, l'Algerie et l'Afrique du sud, s'allient aux cotés du diable pour ennuyer davantage le Royaume

                                                                                                              drapeau-du-maroc-image-animee-0008

                                                                                                                                                                                    En Algérie: les légumineuses font limoger les ministres 

    Lahdith wal Moghzel¹..Je m'excuse si j'emploie souvent ces termes pour me créditer.  La rédaction du blog se réjouit de commencer par les phrases suivantes : «Je n'ai peur que de ceux qui ont peur», écrivait Victor Hugo dans «Choses vues²».  J'ajouterai en ce sens ce que disait, en parallèle, Montesquieu dans l'esprit des lois : -Il faut être fidèle à la vérité même lorsque sa propre patrie est en cause. -Tout citoyen a le devoir de mourir pour sa patrie, mais nul n’est tenu de -mentir pour elle-». Je ne suis pas au niveau culturel de ces grands ténors littéraires de la langue de Molière. Mais je me comporte, selon de ma capacité culturelle, autour de laquelle moi aussi, je fais cette petite interrogation : «Mentir pour elle, dites-vous?»

    Le verbe «mentir» est la devise de la folle voisine de l'Est, en ce moment de panique et de désordre qui sévissent la bas causant, en quelque sorte «la fraternité trompeuse et insoumise avec laquelle, on entend claquer les genoux d'Algériens, par peur de l'ogre Marocain». A qui donc profite le crime?. Une interrogation du journaliste Français François Soudan, de (-Jeune Afrique-), faisant allusion aux dernières attaques d'Iran via son engagée : (Hamas) contre Israël et au droit de cette dernière à riposter sans limites.

    Je me suis dit, pourquoi pas émettre cette même interrogation à ce que trame le pouvoir d'Alger contre le Maroc depuis plus d'un demi-siècle! Au point de vue académique, chaque conflit génère son lot d’horreurs érigées en douleurs et celui-là n’échappe pas à la fatalité. Il y a eu, depuis, la venue de cette Algérie au monde, beaucoup d'harcèlement, voire beaucoup de provocations Algériennes visant le Royaume. Mais à chaque fois, le Royaume garde sa retenue, pour éviter escalades et carnages face au terrorisme d'Etat qui s’est conforté en Algérie, offrant aux lâches du pouvoir carte blanche pour mentir et aveugler un peuple déjà myope d'arrogance.

    Nous enregistrons avec regret l'offensive diplomatique d'arrogance Algérienne hostile au Maroc, nonobstant de ce qu'on a vécue, malheureusement, avec depuis 1962, dresse un constat, sans appel, d’une relation gangrenée par les manœuvres fallacieux, et analyse les différents moyens dont dispose le Maroc pour en faire face à la haine et l'hostilité Algériennes, renforçant en parallèle, sa présence dans un monde mouvementé, en quête d'intérêts, où le pouvoir d'Alger repose toujours sur l'ingratitude et le narratif anti-Marocaines.

    Et pourtant, le Maroc restera toujours le dresseur de l'Algérie, voisinage oblige, jusqu'à ce qu'elle revienne à la raison. Malgré que certains de l'élite Algérienne dénoncent le «deux poids deux mesures» qu'entreprend ce régime, exprimant leur frustration concernant ce qu'il perçoivent, comme traitement inéquitable envers la générosité Marocaine, racontant leur mésaventure et poussent un véritable coup de gueule à leur pouvoir.

    Mais jusqu'à quand, ira le bras de fer avec le mal de cette  junte de merdes?. Une interrogation qui demeura en suspens, étant donné qu'éventuellement, le redressement de la situation et la réponse à cet état de tension stérile avec l'Algérie reste à deviner ultérieurement, selon le concept de l'humanité, le bon voisinage, méritant mieux qu’une frivolité clairsemée,  au lieu d'invectives stériles, marquant l'unique -mot d'ordre de haine anti-Maroc- dans l'agenda de la bande d'Alger. 

    Nonobstant, le Maroc prouvera, sans équivoque, son leadership prometteur pour l’Afrique, projetant, selon le dernier discours Royal à l'occasion de l'anniversaire de la Marche verte, d'épauler les pays du Sahel pour y accéder à l'Atlantique, déguster de sa saveur et en profiter de sa richesse, dont ci-après l'extrait de confirmation Royale : «Nous sommes déterminé à entreprendre une mise à niveau nationale du littoral, incluant la façade atlantique du Sahara Marocain. Nous sommes également attaché à ce que cet espace géopolitique fasse l’objet d’une structuration de portée africaine. Notre souhait est que la façade Atlantique devienne un haut lieu de communion humaine, un pôle d’intégration économique, un foyer de rayonnement continental et international (…)». fin de citation.

    Que nos ennemis Algériens devront avaler, avec amertume bien sûr, que l’initiative Royale pour l’espace afro-atlantique est une décision souveraine de dimension stratégique et d'enjeux économiques, qui revêt par ailleurs une portée symbolique et induit la pleine réaffirmation de  l'identité océane du Maroc. L’heure de tant de clivages, d'ouvrir de larges horizons fédérateurs de développements et de coopération commune, résonne comme une voix de sagesse doublée de pragmatisme. Le discours royal en l'objet, apporte, évidemment, une bouffée revigorant, faisant cap sur l’Atlantique, qui ouvre un «accès complet sur l’Afrique et une fenêtre sur l’espace américain», ajouté à la façade Méditerranéenne avec un solide arrimage à l’Europe.

    Une phrase de famille : Mon père était -Goud- dans ses comprtements. Quant à moi, j'ai beaucoup fréquenté les bétises Louis de Funès quand j'étais petit. Je suis ravi de rire et d'être le faire-valoir de Petits neuveux."

    La non vulgarité. Faisant de ma modeste chronique, l'objet de ce dicton que je viens, tout juste, de rédiger. «L'Algérie, qui n'a pas trouvé de solution à ses problèmes», tente de se positionner en Etat leader, face aux crises des pays de Sahel, rivalisant le Maroc dans ses exploits constructifs qui, selon les experts en la matière, est la locomotive-leader tier-mondiste».

    Alors que la junte d'Alger et celle de l'Afrique du sud s'allient aux cotés du diable, s'incrustent dans des couloirs sombres qui mènent à l'enfer, créant, consciemment, que les divergences diplomatiques préjudiciables aux intérets d'autrui. L'exemple, en étai la perturbation des mesures de préparation le sommet -arabo-africain en Arabie saoudite, mais reporté -sine die-, en raison de l’insistance de l’Afrique du Sud et de l’Algérie pour y faire inviter -Ben Batouche-, que la Ligue arabe ne reconnaît pourtant pas.

    En voici encore ce véritable cancer -Polisalgérien- qui ronge le corps africain et qui empêche son essor, tout en prenant de devise, par esprit de casernes, la nage contre le courant, et que, tout observateur avéré, ne pourrait voir une cause convaincante, méritant maintenir l'hostilité Algérienne envers le Maroc, une hostilité  émaillé par de nombreux scandales algéro-algériens, qui lui ont valu d’ailleurs la sortie par la petite porte, au moment où le Maroc gagne du terrain, se trouvant sur son prestigieux podium de respect.

    La rédaction du blog rappelle, en parallèle, au lectorat que Tebboune avait déclaré, un jour à sa presse jaune qu'il s'attaquera éventuellement et sans pitié, à tout spéculateur de lentilles, riz et de niébé (حتى يندم على نهار للي زاد فيه). Immédiatement après l'annonce, des insectes Algériens ont publié sur Facebook, des commentaires sarcastiques tels que : «La force de frappe!»" est obligée de fournir aux Algériens d'abord les légumineuses de la présidence pour que la joie soit complète avant la rigueur de l'hiver qui s'approche.

    Et pourtant, pour enrouler son peuple dans de sales draps, la racaille des hitistes (armée) positionne ses drones "épuisés" près de la frontière avec le Maroc pour montrer à son opinion publique locale qu'elle prête à toutes éventualités en provenance de l'ennemi Marocain. Un pièce théâtrale dont le mauvais-metteur en scène vit péniblement ses illusions de fausse supériorité, refusant de reconnaitre que son Algérie, est tombée, en énième fois, dans le piège depuis l’attaque terroriste perpétrée par son proxy Polisario, contre la ville Marocaine d’Es-Semara, attaque ayant fait l'objet de condamnations internationales croissantes. 

    En preuve de panique, la junte militaire au pouvoir d'Alger multiplie ces jours-ci les réunions de crise, espérant trouver une échappatoire, quitte à sacrifier son protégé Ben Batouch qui, fort probable, pourra être déféré devant la Cour pénale internationale. Agissant avec deux poids deux mesures, l'Algérie membre de l’UA, et de la Ligue arabe, était en conclave (les 10/11 novembre courant) à Ryad à travers deux sommets séparés. L’Algérie en tant que telle, était quasiment aux abonnés absents, non satisfaite de ne pas avoir réussi à imposer la présence de son Polisario au sommet arabo-africain, son régime à cet effet, a déclaré forfait à ces deux sommets, dont l’un était consacré à la Palestine.

    Déviations médiatiques-dz : Comme c'est l'habitude des médias jaunes sanitaires de l'Algérie, le pays de tambouriner et d'applaudir pour chaque mouvement et chaque parole prononcée par son voyou Tebboune, voici l'Algérie de l'humiliation et de la honte qui flotte dans le ridicule que celui-ci a mis en place pour résoudre,  les crises de légumineuses en Algérie, dont personne ne se souciait, ni les militaires, ni les hauts responsables de la présidence. En termes simples,  le soi-disant président Algérien n'a aucun prestige, ni position souveraine parmi les Rois et présidents du monde, qui par conviction considèrent Tebboune n'est qu’un -clown- plus qu'un président marionnette des généraux, et rien d'autre.

    Il a été rejeté, rappelons-le, par toutes les forces du nouveau monde, et c'est lui qui est à l'origine du retard de l'Algérie et de sa position humiliante dans laquelle elle est aujourd'hui. Avec insolence et sans vergogne, les médias jaunes Algériens tentent, avec vainement, de promouvoir l'idée que cet ivrogne est le seul sur le continent à avoir les solutions magiques à la crise de guerre au Niger, et c'est en publiant de faux articles et des émissions sur les chaînes et sites Internet Algériens, en un seul titre : «Le président Tebboune est le seul leader africain et personne d'autre, qui pourrait, parfaitement surmonter, les crises des pays du Sahel».

    «Oui, en s'adressant aux misérables Algériens, nous leur disons que : C'est votre président, qui a plongé vous a plongés dans toutes les merdes en l'occurrence : «la faim, la pauvreté, l'ignorance, des vagabonds, des enfants des rues, et sous sa garde le taux de chômage, la criminalité et la prostitution ont augmenté, et l'homosexualité est apparue au public avec ses briseurs du Ramadan,  la prolifération des fils d'attente et vous avez échoué sous sa garde dans tous les domaines vitaux économiques, diplomatiques, politiques, et même sportifs, pas de pain, pas de nourriture, pas d'eau, pas d'électricité, pas d'internet, pas de fruits et pas de viande à part celles d'ânes et de bovins en charogne ( اكل الجيفة ).

    Ce n'est pas la rédaction du blog qui l'évoque à votre insu, non c'est vos exilés Algériens à l'étranger qui le disent et le répètent avec grande amertume. Ce que Tebboune a réussi à fournir aux personnes lésées C'est la cocaïne, les pilules hallucinogènes et le vin frais. Ô sages du pays, comment Tebboune, qui ne peut pas former une phrase simple et compréhensible pour les citoyens, peut-il résoudre des problèmes que même les Nations Unies ont n'a pas réussi à résoudre avec son poids!.

    Guerre de clans et bras de fer... Au sommet de l’État Algériens qu'en cache au peuple. Au mois d'août dernier, la télévision algérienne a diffusé une rencontre du président Tebboune avec les mêmes journalistes locaux qu’il a l’habitude d’inviter au palais d'AlMouradia d'Alger. Face à la guerre  entre le clan présidentiel et celui des généraux, Tebboune a reconnu qu’une «Issaba-Bande» entrave son action, allant jusqu’à insinuer qu’une menace de mort pèse sur sa vie.

    C’est quasiment le même rituel auquel s’adonne Tebboune depuis maintenant trois années. Frappé d’une interdiction d’aller à la rencontre des foules à travers le pays, de crainte de réveiller la contestation populaire du Hirak, un mouvement qui n’a jamais reconnu sa légitimité. En tant qu'engagé de l'armée, il  se contente d’inviter dans son réduit d'AlMouradia des journalistes triés sur le volet au sein des médias du pouvoir.

    C’était le modérateur de porte-voix du régime algérien qui a tendu à Tebboune un couteau en vue de le remuer dans la plaie de ce qui reste des relations Maroco-algériennes. Interpellé, non pas pour donner sa réponse à la main fraternelle tendue par Sa Majesté le Roi à l’Algérie lors du discours royal du 31 juillet dernier, mais sur la reconnaissance par Israël de la Marocanité du Sahara, Tebboune en qualifiant ce nouveau coup dur pour la diplomatie algérienne de «non-événement», et pour plaire à ses maitres militaires, il a également dérapé en frisant la négation d’un Royaume Marocain fort et souverain à côté de son écurie Algérienne.

    Usant de l’adage de «celui qui n’a pas, ne peut donner - فاقد الشيئ لا يعطيه», il a ainsi insinué que l’État d’Israël, membre de l’ONU, ne peut reconnaître la souveraineté d’un autre État. On n’en saura pas davantage, car le passage de Tebboune sur le Maroc a fait visiblement l’objet d’une grosse coupe dans le montage. Tebboune, qui s’est enflammé à l’occasion, a dû débiter quelques propos lunatiques dont il a le secret.

    L’essentiel est toutefois ailleurs. Les nouvelles Tebbouneries ont été précédées d’un mépris à l’égard de ses concitoyens mêmes. Alors que des centaines d’Algériens, dont des familles entières, meurent chaque année dans les feux de forêt, Tebboune continue de botter en touche sur les raisons de la non-acquisition par Alger d’avions bombardiers d’eau pour faire face efficacement à ces sinistres meurtriers.

    Il a renvoyé la patate chaude vers l’armée qu’il dit avoir chargée d’acquérir des avions bombardiers. Et d’ajouter qu’«actuellement, il n’y a pas d’avions bombardiers d’eau sur le marché international». En d’autres termes, Tebboune insinue que l’armée algérienne est incapable d’acquérir des Canadairs. Ce qui veut dire que le responsable des morts et des feux de forêt, ce n’est pas lui, le plus proche du peuple, mais l’incompétent du général-pisseur Saïd Chengriha qui n’a même pas été en mesure d’acheter des bombardiers d’eau en dépit des milliards de dollars mis à sa disposition. Voilà pour le tacle d’entrée de jeu de Tebboune à l’adresse de Chengriha. Un tacle qui en dit long sur l’intensité de la guerre qui oppose son clan à l’armée.

    Selon Tebboune, qui a lancé l’opprobre sur ceux qu’il appelle des membres de la «Issaba» ayant sévi durant les années Bouteflika (2000-2019), ces derniers utilisent aujourd’hui la surfacturation et la spéculation pour créer un renchérissement des produits de base. Il les a menacés vulgairement en affirmant que «s’il les coincerait, ils regretteront le jour où ils sont nés».

    Très curieuse, cette menace sur sa vie que Tebboune introduit dans ses réponses. Car la «Issaba», terme dont la paternité appartient au défunt Gaïd Salah, qu'il l'a  décimée. Ses membres sont en prison ou en fuite à l’étranger, à l’exception de ceux qui ont été graciés ou ceux qui sont rentrés au pays avec les honneurs. Parmi les réhabilités, les caciques de la décennie noire : «Khaled Nezzar, Mohamed Mediène, dit Toufiq, et Jebbar Mhenna, le patron des renseignements extérieurs».

    Les présidentiels-dz 2024 : D'ici-là, un bras de fer acharné se livre déjà entre les deux clans du pouvoir actuel, à savoir les généraux et la présidence. Si l’entourage de Tebboune tente de lui déblayer la voie vers un second mandat, le clan des généraux non seulement voit d’un très mauvais œil ces manœuvres, mais s’en prend ouvertement à tous les hommes du président, quitte à mettre en péril les intérêts vitaux du pays.

    Le constat est déconcertant. L’arène politique en Algérie est tout simplement déserte, et la loupe la plus grossissante ne peut y déceler le moindre homme politique de poids. Seuls y sont visibles, comme d’habitude, ces vieux généraux retraités, ou en service, qui se cramponnent de toutes leurs forces avec leurs doigts crochus au pouvoir. Ces généraux ont en commun d’avoir été des acteurs de premier plan durant la décennie noire qui a fait plus de 260.000 morts en Algérie.

    En face, Tebboune, à la santé qu’on dit vacillante ces jours-ci, et qui veut aller, coûte que coûte, au-delà de son mandat qui s’achève au début décembre 2024. S’il échoue dans cette mission, c’est la prison assurée pour lui et ses trois fils gâtés, au détriment d'un peuple opprimé. C’est donc à l’aune de la détermination féroce à contrôler sans partage le pays des protagonistes de la décennie noire, dont les figures proéminentes sont : Saïd Chengriha, Jebbar Mhenna et les généraux à la retraite Nezzar et Toufiq, et de la nécessité vitale pour Tebboune de rempiler pour un second mandat, qu’il convient d’envisager la lutte à mort que se livrent les deux clans.

    Jusque-là discrète, la lutte entre le clan présidentiel et celui des protagonistes est désormais publique et fait de nombreuses victimes parmi les potentats du Système.Abdelmadjid Tebboune, orphelin du général qui l’a parachuté en 2019 à la présidence, a certes réussi à constituer autour de lui un noyau dur de soutiens, mais la meute de puissants généraux, dont certains agissant à l’ombre, ne cesse de lui mettre des entraves, en attendant de sortir de son sac et imposer le futur président qui le remplacerait.

    Le bras de fer entre le clan présidentiel, dont le noyau dur est formé d'un certain Boualem, conseiller de Tebboune, du général Ben Ali, commandant de la Garde républicaine, et de Farid Ben Cheikh, patron de la police, bat donc son plein face au puissant clan du chef d’état-major de l’armée, entouré du chef de la Gendarmerie, des généraux dirigeant les différents services de renseignements, ainsi que les généraux de l’ombre, Toufik, et Khaled Nezzar.  

    Sachant que l'exacerbation des tensions entre l'Algérie et le Maroc inquiète plus qu'un, surtout en Europe via l'Espagne. Leurs relations rompues, semblent inquiéter outre-Méditerranée, notamment en Espagne où un journaliste analyste a publié une tribune dans laquelle il met en garde contre une exacerbation, sans fin, entre les deux pays voisins.

    Pour lui, Alger veut s'imposer sur le plan international en tant que l'unique leader, ce qui n'est pas bien vu par le Maroc. Soixante ans après sa naissance, Alger est dans l’incapacité de sortir de ses paradigmes post-haineux, divertissant sa soif de haine contre le Maroc ou de formuler une politique cohérente de bon voisinage, tant qu'il y a plus de doute que d'espoirs de voir l'Algérie revenir à la raison. Mais malheureusement, les sales bottes insistent à la pousser, contrainte, au fond de l'abime plongée de l'enlisement durable.

    Pour rappeler à nos ennemis Algériens la Grandeur Marocaine, je reviens au discours du 6 novembre, dans lequel Sa Majesté le Roi a réaffirmé la vocation atlantique du Sahara Marocain comme locomotive de coopération, dont le littoral est bien placé pour s’insérer dans la mise à niveau de cette façade maritime qui compte pas moins de 23 pays.

    Une vision stratégique purement Marocaine qui ne peut exister en Algérie et qui s’impose pour l’essor de la coopération dans l’espace Sud-Sud, vu que le Maroc dispose déjà, d’acquis et d’expériences d’une grande utilité, présentant l'avantage de saisir toutes les opportunités, offrant aux sujets de Sa Majesté le Roi toutes les possibilités d'en profiter, laissant, en parallèle, l'Algérie stagner dans ses illusions et dans son arrogance.Tandis que le Royaume mise sur l’impératif d’une approche novatrice basée sur un agenda d’actions concrètes qui s’articule autour de ses priorités fixées par la volonté Royale, visant à voir le Maroc progresser en leadership vers un  avenir somptueux.  

    Innocence de Jugements..Pauvreté, indignation et inégalité s’accentuent en Algérie, ajoutant à ces connotations, l'humiliation et l'oppression des casernes. Les opportunistes Algériens restent mieux lotis et la tendance passe à l’inversion, touchant presque toute la population Algérienne. «La force de frappe de Tebboune» qui a passé sa vie à trimer sous les bottes Gauloises, ne sait plus à quel saint se vouer. Pour la soi-disant, élite intellectuelle, ils sont partagés entre deux rives. Pour une bonne partie des illettrés, qu'ayant vécu toutes les merdes des militaires se retrouve, depuis la venue au monde de l'Algérie en 1962, dans une situation difficile en raison de la dématérialisation des démarches d'ouverture et de démocratie optimisées en Algérie.

    Un algérien vivant dans l'oriental Marocain se lance en historien et en politologue , il apporte une analyse sur l’après-guerre de la décennie noire 90, sur l’avenir de l'Algérie, et la carrière politique de ses casernes. Disant, en partisan de paix et d'entente entre (Marocain et Algérien), le durcissement des positions de la junte envers le Royaume est un traumatisme des Algériens depuis la rupture de relations diplomatiques en août 2021. Selon lui, le jour d’après sera fraternel, ou ne sera pas, malgré l'entêtement du pouvoir algérien accusant le Royaume "d'actions hostiles" à l'égard d'Alger, cette rupture intervient après des mois de tensions exacerbées entre ces deux pays aux relations traditionnellement difficiles. Rabat estime que cette décision "unilatérale" est "injustifiée". Cela étant, les crises avec cette voisine de mal, l'Algérie ne tireront jamais à leur fin? surtout que les progrès du Maroc s'accentuent, dernier en date : l’ambitieux projet de connexion entre le Maroc et l’Espagne via le tunnel du Détroit, qui est sorti des limbes après une longue hibernation, ne fait pas que des heureux chez nous Marocains, mais l'inverse en Algérie.

    Alors que les responsables et gouvernants algériens, de haut niveau, parlent plus qu'en descendre sur terrain et évaluer l'enlisement du pays, et que leur président, n’a pas été, en aucun moment, aperçu dans les parages «préférant» semble-t-il, de demeurer dans son bureau, au lieu de côtoyer des bains de foules populaires, se murant ainsi politiquement dans un silence obstiné, laissant aller, à anormale, les choses, au détriment des intérêts du peuple, interceptés par   la croissance de la consommation du "Qarqoubi",encourageant toute action devant éliminer l'espoir d'instaurer, éventuellement, un État Algérien démocratique.

    Ce n'est pas seulement, les Marocains qui évoquent l'oppression du peuple Algérien par ses militaires, il y a d'autres qui s'exclament en l'objet. Les libéraux, de droite comme de gauche, plusieurs eurodéputés représentant tous les courants politiques en UE ont alerté, le vice-président de la Commission aux Affaires étrangères et politique sécuritaire, sur les graves atteintes aux droits de l’Homme perpétrées par le régime algérien contre son peuple et appelé à des sanctions contre la junte.

    D'autant plus,   le régime algérien a beau s’en cacher, imposant une véritable chape de plomb sur la scène politique et sur la société civile, ses manœuvres n’en sont que plus grossières et grands scandales. Dans une énième dénonciation des graves atteintes aux droits de l’Homme et aux libertés publiques, ils sont ainsi plusieurs eurodéputés à monter au créneau pour alerter contre un «système» de plus en plus sourd à sa propre société, se réfugiant derrière une gestion dictatoriale pour fuir ses responsabilités et réprimant sans ménagement et sans distinction toutes les voix dissonantes.Bonne lecture.

                                                                             Cordialement,Chihab25

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    1-.Une femme fait appel à ses voisines pour l'aider à filaturer  de la laine,  pour les inciter a travailler, elle les pria : «Alallyati..lahdidh wal Moghzel!».

    2-.Est un recueil de notes et de mémoires de Victor Hugo, publié sous forme de séries, (1887/1900. Dans ce recueil, Victor Hugo relate les événements survenus au cours de son existence culturelle.                                                                           

                                                                      
                                                                               La politique légumineuse de la"force de frappe"