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Mes écrits - Page 14

  • Maroc-Algérie : Aux sources du mal et de la diplomatie d'oignon de l'Algérie..!

                                                                                            drapeau-du-maroc-image-animee-0008                                             

                                                                               

                                                                                          les conards-dz  face au lion Marocain¹

    Un p'tit clin d'œil.. Tout d'abord, je dois me libérer de la charge de ce que j'ai à dire au lectorat : On terminant une nouvelle chronique de routine pour la publier à temps ici en blog, je me suis retrouvé dans un état de surprise dans laquelle, il y en avait de l'humour. Un Algérien disait, sans sobriété, je cite : «Si nous seront vaincus par la Mauritanie en CAN Côte d'Ivoire, nous ne jouerons jamais le foot» (sic). 

    La volonté divine était à l'écoute et passa à l'acte pour le contrarier, avec preuve à l'appui, par une intervention insolite d'«-El Morabitoune²-», giflant, en distancie, Mahrez et ses co-équipiers par «Un but à zéro !» - «Dieu attend et ne néglige pas.ان الله يمهل ولا يهمل», si j'ose traduire ainsi! 

    La presse jaune Algérienne disait comme à l'accoutumée des inventions visant cette fois-ci Mr.L'kjaâ écrivant, je cite : «le surnommé L’kjaâ : soudoie le joueur Algérien -Mahyous- pour qu'il rate un pénalty... -expulse l'entraîneur  Amroush... -fait peur et terrorise les caporaux.

    Contrairement à cet anecdote mensongère et selon le réel vécu par les myopes de la junte d'Alger». Nous leur disons que Ssi L’kjaâ, ne cesse de mettre en avant, avec une sobriété clairvoyante, son savoir-faire footballistique, et sa particularité en économie et de finance, au service de l’intégration du Maroc aux hauts rangs leadership (point-barre).

    Témoignage et sérénité... C'est un livre finement documenté que j'ai eu l'occasion, par coïncidence, de feuilleter ses pages chez un de mes proches, revenant d'ailleurs, écrit par deux économistes Français (Jean-Louis Levet et Paul Tolila) qui étaient en poste en Algérie durant plusieurs années, met en évidence les racines de ce qu’ils définissent comme le «mal algérien». Un livre qui devrait être lu et relu par tous ceux qui continuent à avoir les «yeux myopes» pour l’Algérie et sa fâcheuse révolution. Pour moi en tant qu'un simple observateur, je constate que :

    Dans ce livre, publié en juin 2023 et disponible au Maroc, ses auteurs ne se contentaient pas de brosser un impitoyable tableau de la prédation exercée par les dirigeants Algériens depuis la naissance de l'Algérie en 1962. Ils l’inscrivaient dans le cadre d’une histoire fabriquée, truquée par des engagés, dit-on, élites intellectuelles  Algériennes, destinée à légitimer la mise en coupe réglée de l'Algérie par une curieuse «alliance des coffre-forts pétroliers, des baïonnettes et des sales bottes» formant le «Système militaire Algérien».

    Cet ouvrage particulier met en évidence les racines de ce qu’ils définissent ses auteurs, comme le vrai mal de l'Algérie. Un livre qui devrait également être la bible de cette gauche française qui porte un regard négatif sur le Maroc, mais qui met genou à terre dès qu’il s'agirait de l’Algérie…

    Pour plaire ses opportunistes Algérois Macron, a justifié par avance, les exigences Algériennes de «réparation mémorielle» quand, d’une manière totalement irresponsable, et de plus à Alger, il a parlé de la colonisation comme d’un «crime contre l’humanité» faisant entre autre allusion indirecte aux crânes Algériens entassés dans des placards Français, comme moyen  de régulation à toute négociation bilatérale avec l'Algérie. En effet, comme l’écrivaient les auteurs : 

    «Depuis que les mots de ”crime contre l’humanité” ont été prononcés (par Macron) pour qualifier la colonisation, les autorités Algéroises ont la capacité de nous placer dans la position d’éternels coupables puisqu’il s’agit du seul crime imprescriptible». Une situation joliment résumée d’une phrase par ces mêmes auteurs: «Demandez-nous le pardon… que nous ne vous accorderons jamais».

    Dans ce livre, les auteurs ont même arrivés à défier le mensonge Algérien en l'objet, écrivant, je cite : «nous suivons pas à pas la construction de la fausse histoire de l’Algérie, nous assistons au naufrage économique et social du pays dû à l’immense corruption-prédation opérée par les profiteurs de l’indépendance. Nous restons sidérés par l’ampleur des règlements de comptes entre les clans maffieux qui se partagent le pouvoir».

    Mohamed Harbi, un historien et universitaire Algérien, spécialiste de la vie politique et de l'histoire de son pays,  avait écrit que «l’histoire est l’enfer et le paradis des Algériens». -«Enfer» , parce que l’histoire est une manipulation des faits reposant sur un complexe existentiel rendant difficile toute analyse rationnelle. -«Paradis», parce que pour oublier cet «Enfer», les dirigeants algériens vivent dans une histoire fabriquée à laquelle ils font semblant de croire à travers une «incantation épique permanente» destinée à protéger le système algérien et les intérêts de la nomenklatura qui en profitent.

    Comme l’écrivent encore les auteurs osent dire ce qui est leur droit d'expression : «L’aiguille historique de l’Algérie semble bloquée sur sa guerre d’indépendance qui occupe une place et un statut officiels pour l’État algérien qui revendique ouvertement le monopole de sa narration officielle; elle n’est en aucun cas un objet d’investigations libres pour les historiens» .

    D’où l’impossibilité de la réviser, car il s’agit d’un dogme. Dans ces conditions, on comprend donc que le «travail de mémoire commun» si cher à la France n’est qu’une farce, car si Paris ouvre largement ses archives, Alger ferme les siennes...

    Quant à certain Abdelmajid Cheikhi, le supposé conseiller à la présidence de l'Algérie, chargé des archives et directeur général des archives. C'est un pendant algérien de Benjamin Stora, selon Jean-Louis Levet et Paul Tolila, il se «comporte comme un procureur général et non comme un simple historien».

    L’histoire est donc au cœur de ce mal de l'Algérie, car elle occulte ce qui s’est passé durant la guerre d'Algérie, avec notamment l’assassinat de vrais révolutionnaires, dont le dénommé Abane Ramdane, un vrai Moujahid, parait-il, le piège tendu au colonel Kabyle Amirouche, et surtout, le coup d’État de 1962, quand l’armée des frontières venant du Maroc et de Tunisie, dominée par Boukharouba et ses acolytes (...),qui n’avaient jamais tiré un coup de feu contre l'armée Française, renversa le GPRA et écrasa la résistance des vrais maquisards.

    Matrice du «Système» qui fit et qui fera tout pour se maintenir au pouvoir, l’histoire officielle ne pourra donc être remise en question tant qu’il dirigera l’Algérie. Un «Système loin de toute crédibilité» qui n’a pas craint d’user du grotesque pour survivre. Ainsi, quand, était victime d'un AVC, et incapable d'exercer ses fonctions Bouteflika, en tant que président, était représenté, par ses décideurs, lors des cérémonies officielles par son portrait…C'était du sarcasme made in Algérie, tendant à éclabousser davantage l'oeil déjà myopie. de l'Algérien. 

    Le livre montre que ceux qui jouissent directement ou indirectement de la corruption sont les bénéficiaires de l'écurie des Moujahidine et tous les membres de ce qu’on appelle là-bas la «famille révolutionnaire», intégrée notamment dans cette écurie, ainsi que leurs descendants. Or, selon un ancien ministre Algérien (A.Rachidi), «tout le monde sait que 90%  des moujahidine, sont des faux».

    Depuis la mort du grand rabbin, l'inhumé général Algérien Gaïd Salah, purges et règlements de comptes s’abattent ainsi sur les proches de celui qui était surnommé le «Glouton» et qui était connu comme l’un des officiers les plus corrompus de l’armée. L’actuelle manœuvre réparatrice est dirigée par le nouveau, le capo- général-pisseur de la racaille Saïd Chengriha.

    Ce dernier a fait destituer et passer en justice cent cinquante officiers, dont plusieurs généraux, ainsi que des dizaines de hauts fonctionnaires et de ministres. Mais, comme certains l’accusent d’avoir plus que trempé dans les trafics, les jours seront difficiles pour les siens, quand il aura été rappelé à l'enfer et cesser d'uriner involontairement.

    Vu ce qui se passe et bloque toute évolution en Algérie, j’ai le sentiment que les Algériens se trouvent à deux doigts d’une nouvelle tension sociale explosive à l'instar de 1988, probablement autant sinon plus dangereuse que celles que l'Algérie a connues au cours des années noirs de la guerre civile, déclenchée par le complot électoral de 1992. Il paraît que pleins d’indicateurs sociaux et politiques du tableau de bord de la junte en poste sont au rouge.

    Pour avoir vécu les crises violentes du Hirak de 2019, les appréhensions actuelles de tout Algérien me surprennent personne, d’autant plus que d’ordinaire, il n'est pas porté sur le pessimisme. Il y a d’abord la cherté de la vie qui pèse de tout son poids sur toutes les classes Algériennes parallèles, qui appauvrit davantage les couches défavorisées, à part celle des casernes, provoquant des colères massives que les cercles du pouvoir cherchent à exploiter aux plans politique et idéologique.

    La détérioration du pouvoir d’achat des citoyens et la hausse du chômage, particulièrement chez les diplômés des universités et des instituts supérieurs, aggrave d’autant la crise et assombrit l’horizon de l'Algérien qui ne pense qu'à une place privilégiée aux fils d'attente pour s'en procurer d'aliments nécessaires au quotidien de sa famille.

    C'est de la routine que l'Algérien, le simple Algérien est confronté quotidiennement, pour un simple sachet de lait en poudre ou du semoule, pas pour les matières dont trouve souvent des difficultés pour s'en procurer dans le pays du pétrole et du gaz, comme de la viande, du poissons ou la banane.Des produits qui s'entassent en pagaille fortuite, à la portée de tout le monde dans les quartiers populaires surtout chez nous au Maroc. 

    La diplomatie d'oignon-dz.. Le ciel est à nouveau tombé sur l'Algérie, elle est mise avec préméditation, par la diplomatie Royale sur un siège éjectable. La solution magique pour sa junte militaire de se conforter et reprendre, à nouveau, le souffle, c'est de contrarier le Maroc et aller au fond de l'Afrique par tout moyen possible, permettant à son Ahmed Attaf, le jongleur aux affaires mensongères de l'Algérie, même d'attirer encore de l'humiliation à la force de frappe Tebounienne, une force qui s'épanouit et disparaisse avec la disparition des jeux infantiles de Aâchoura.

    C'est donc, l'exportation de l'oignon rouge, après l'échec d'exploiter le tabac à choquer (chemma) dans ce sens, l'Algérie est donc entrée dans la ligne de ce qui était devenu médiatiquement connu sous le nom de « crise douanière» silencieuse entre le Maroc et la Mauritanie, résultant de la décision de cette dernière de plus que doubler le prix des taxes dues aux douanes, annonçant l'exportation vers la Mauritanie. de plus de 25 tonnes d'oignons rouges, qui figurent en tête des exportations du Marocaines vers la Mauritanie depuis des décennies..

    Il semble que l'Algérie cherche à concurrencer le Maroc sur le marché mauritanien, étant donné qu'elle est le premier fournisseur de légumes, en exploitant cette tension imposée par la situation des autorités mauritaniennes qui ont promulgué des augmentations douanières qualifiées de «fusée» et empêché un certain nombre de camions Marocains d'accomplir les démarches de passage depuis le poste frontière Marocain de Guerguerat.

    Face à cette situation tendue à la frontière sud du Maroc, l'Algérie, de son côté, a décidé d'exploiter la circonstance pour annoncer l'exportation d'une cargaison d'oignons rouges vers la Mauritanie et elle est restée stagnante car elle n'avait connu que des opérations de bla-bla, pas plus.

    Les exportations sont limitées et très largement réparties, ce qui fait que l'Algérie, faible de sa volonté de concurrencer le Maroc sur le marché mauritanien, a décidé pour relancer une traversée maritime incertaine, autrefois considérée comme une «porte d’entrée» du palais El Mouradiya d'Alger vers les pays d’Afrique de l’Ouest.

    L'Algérie, selon les déclarations de ses responsables, parie sur cette étape, afin de réaliser «un saut qualitatif dans le domaine de la promotion du commerce extérieur entre l'Algérie et les pays voisins de manière à renforcer les relations économiques de l'Algérie avec l'étranger, face à l'influence Marocaine», ce qui nécessite l'intervention du Maroc de sa part, et dans le cadre de ses «bonnes» relations avec la Mauritanie, au sud de nos provinces Sahariennes pour résoudre le problème douanier avec elle et c'est pour cela, que le Ministre Mauritanien aux affaires étrangères (Mohamed Salem Ould Merzouk) était venu prendre,  certainement, un vert de thé chez Bourita.

    La saleté des saletés...Les gouvernants militaires Algériens n’auraient jamais dû atterrir au pouvoir, s'il en existait vraiment des hommes Algériens, remplissant les conditions de  gouvernance, aptes d'occuper, par mérite, l'écurie d'ElMouradia d'Alger. ils sont inenvisageables dans un monde normal.

    Les plus curieux du lectorat se rappelleront sans doute de l’affaire Thabit, que l’on avait qualifiée à l’époque de «procès du siècle». Une affaire d'opinion publique, même les Martiens connaissent. Fermez les yeux et imaginez, un seul instant, que l’étrange cas du commissaire Thabit, violent exhibitionniste et violeur en série, n’avait pas eu lieu en 1993, mais aujourd’hui. Imaginez les torrents d'envie et d'insultes d'Algériens, circulant sur le Net, les délires des réseaux sociaux contre la grandeur Marocaine, etc.

    Aujourd’hui, et dans un autre genre, nous n’avons pas un Thabit mais plusieurs. Une flopée. Les cas sont aussi spectaculaires les uns que les autres. En face, ils provoquent une sorte de levée de boucliers, avec des révélations et des rebondissements à n’en pas finir. Toujours plus haut, plus loin, plus sordide…Ce grand déballage mêle le meilleur au pire. Le meilleur, c’est la libération de la parole, qui a des vertus thérapeutiques. Le pire, c’est le reste, tout le reste.

    Regardez le Pouvoir de mules et de caporaux en Algérie, qui vit ses heures les plus sombres. Oui, c’est une lapalissade. Mais il faut quand même le rappeler. Il y a le feu. Ceux qui s’en «foutent» sont dans le tort. Aussi nul soit-il, la lâcheté de leur pouvoir les représente, qu’ils le veuillent ou non.

    Ce pouvoir, c’est le produit de vide, sa famille, son ADN aussi. Il ne sert à rien de feindre l’indifférence. Chacun des Algérien a, au fond de lui, une fibre amertume, quelque chose qui remue encore…Il y a les concurrents et activistes politiques qui sont jetés en prison et autres menacés à l'étrangers, pour des chefs d'accusation fau-montées...«trafic de drogue, corruption, viols, détournements en tous genres, spoliation foncière, etc ».

    Et il y a les mal élus, les transhumants qui changent de chapelle ou de vestes, qui n’ont jamais milité nulle part, qui ne servent que leurs intérêts personnels au détriments de longues chaines d'attente, sans pour autant pouvoir secouer la sobriété du pouvoir.

    Les sales bottes d'Alger ne peuvent cacher, par le tamis-propagandiste que l'Algérien d'aujourd'hui est comme -le poisson mort qui empoisonne l’aquarium-. Ils réduisent à néant les efforts des autres y compris particulièrement.. «Ce Grand Royaume Chérifien». Ils ne cessent de ternisser et dévoyer la députation. Ils coupent ainsi, le cordon avec la démocratie, tout en interdisant aux Algériens l'acte de s'exprimer librement, dont ils en regretteront à jamais.

    Comment ne pas avoir honte du «niveau» affiché par ces spécimens? Comment ne pas avoir peur et mal pour son pays? Comment garder son calme quand ces incapables peuvent faire capoter tous les projets leadership du Maroc? Bien sûr, on ne va pas jeter la pierre à tout le monde. Certains élus font le boulot et mouillent la chemise, mais beaucoup sont comme «ça»: incompétents et malhonnêtes, sans instruction et sans moralité.

    Beaucoup d’entre eux sont incapables de réussir le moindre concours d’accés à la phase normale de crédibilité. Parce que trop nuls. Ils n’ont pas le niveau et ne remplissent pas les conditions d'honnêteté, en plus y sont des tricheurs et malhonnêtes.

    Mais ils se retrouvent quand même parachutés aux alentours du palais d'AlMouradia d'Alger que pour applaudir à tout venant tricher, mensonger et faire de la propagande pour une fausse 'Force de frappe'. C’est cet aspect honteux qui entache l'Algérie actuelle et que n'importe quel opportuniste ne peut  l'empêcher.

    La perspicacité Marocaine...L'acquisition par le Maroc du statut d'observateur aux élections présidentielles des Comores reflète la confiance du Parlement africain dans le Royaume, faisant avorter les machinations algériennes visant à l'exclure du suivi du processus électoral, alors que cette mission vient porter un deuxième coup à l'Algérie, dont les tentatives de l'Afrique du Sud n'a pas réussi à bloquer la voie à la présidence Marocaine du Conseil des droits de l'homme.

    Le Maroc a ainsi remporté la présidence de ce Conseil des Nations Unies qui n'est pas des moindres, malgré l'acharnement de l'Algérie et son Afrique du Sud, qui n'ont obtenu que la poussière dans ce sens.Egalement, la présidence du Maroc du CPS de l’UA durant ce mois de février pour un mandat de trois ans (2022-2025), s’inscrit dans un contexte où l’Afrique fait face à des défis de sécurité croissants nécessitant des réponses innovantes et globales.

    Encore plus, -Le Royaume, malgré l'opposition Algéro-Sudafricaine accède, haut et fort, à la présidence du Conseil Africain de Paix *Organe décisionnel chargé de promouvoir la paix, la sécurité et la stabilité sur le continent africain. La présidence du Maroc du CPS de l’UA durant ce mois de février s’inscrit dans un contexte où l’Afrique fait face à des défis de sécurité croissants nécessitant des réponses innovantes et globales, a souligné M. Arrouchi dans une déclaration à la MAP.

    La consolidation d’un tel espace géopolitique par l'effort indéniable Marocain, pourrait indéniablement constituer le facteur de stabilité politique dans une région longtemps balkanisée par divers groupuscules criminels, entrainés et financés, par l'Algérie qui, de par leurs méfaits, justifiaient l'ingérence à l’Algérienne, comme en témoignent les tensions diplomatiques actuelles entre Bamako et Alger.

    Reste à savoir que l’année 2023 a été un exercice record pour la destination Maroc, a enregistré plus de 15 millions de touristes, contrariant l'Algérie et son acharnement contre le Royaume. Plus d’un tiers de ces arrivants venait de France, malgré politique déniable de Macron envers le Royaume. Car le Maroc s’impose comme la destination préférée «par excellence» des Français en dehors de l’Europe, révèle le quotidien français Le Figaro dans un article 

    Il est devenu clair que l'état de confusion qui règne dans la diplomatie d'oignon algérienne est dû à l'échec de ses efforts pour renforcer son influence dans la région, alors que se renforce la position du Maroc, qui exploite toutes ses capacités pour être une porte d'entrée vers le développement en Afrique. à travers de nombreuses initiatives, comme l'Initiative Atlantique Royale, à laquelle les pays du Sahel ont adhéré, considérant qu'il s'agit d'une opportunité historique pour dynamiser leurs économies.Bonne lecture.

                                                                           Cordialement,Chihab25

                                                                  --------------------------

    ¹La force de frappe de clown : Un caporal pisseur et un chef menteur