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Mes écrits - Page 12

  • Maroc-Algérie : La véritable histoire de l'Algérie, n'est pas celle de la contrefaçon qu'on invente en Algérie ..!

                                                                                                                         drapeau-du-maroc-image-animee-0008

                                                                                 

                                                                                                  «En Algérie, il y a une élite stupide et un peuple perdu?»  

                                            

    En fait : En ce qui nous concerne à la rédaction du blog, «on considère qu'un ami est celui qui ne ment pas, ne fait pas semblant et parle avec sincérité, franchise et de ce que l'amitié véritable requiert. C'est ce que j'appelle l'exigence amicale : -Dire ce qu'on pense sans, bien sûr, être blessant. J'évoquerai dans ce sens le côté qui blesse davantage les Algériens, tant qu'ils se considèrent, les plus intelligents du monde et qu'en réalité, sont meurtris par un régime pratiquant le camouflage et la tromperie. Je serais, contraint en substance d'augmenter le volume d'humiliation envers tout stupide Algérien, se vantant meilleur que les Marocains, que nous sommes..!

    Sachant que le Maroc officiel, rappelons-le, préfère ignorer les danses de coq émanant de l'Algérie et de sa junte militaire. J'en prend en exemple le côté Ouest de l'Algérie pour préciser aux Algériens la vérité de leur origine. L’Ouest algérien reconnaissait l’autorité spirituelle du sultan du Maroc. Rien d’étonnant à cela d’ailleurs, puisqu’il y avait un représentant, (khalifa) qui, quelques années auparavant, était un certain Mohyeddine le propre père de votre charlaton "Emir Abdelkader" le Berger-Marocain qui débarqua de Fès pour enrouler les Algériens dans ses tapis.

    Témoignage évident..En 1831, alors lieutenant, le général Français -Louis de Lamoricière (1806-1865)- écrivit à sa famille en France, parlant des orientations politico-religieuses des habitants de l’Algérie : «À Oran, ils font (la prière) pour le roi du Maroc; à Constantine, pour le sultan Constantinois à Alger, afin de ne pas se compromettre, pour celui qui marche dans la bonne voie». 

    Comme de son côté, l’Est Algérien était tourné vers le sultan d’Istanbul, nulle part dans ce qui allait devenir l’Algérie, la prière du vendredi était dite au nom d’un quelconque chef national. Un peu plus d’un siècle plus tard en 1959, le général Charles De Gaules déclara quant à lui, je cite :

    «Depuis que le monde est monde, il n’y a jamais eu d’unité, ni, à plus forte raison, de souveraineté algérienne. Carthaginois, Romains, Vandales, Byzantins, Arabes de syrie, Arabes de Cordoue, Turcs, Français, ont tour à tour pénétré le pays, sans qu’il y ait eu à aucun moment, sous aucune forme, un État algérien». fin de citation (visionner vidéo en bas).

    Ainsi, parlant avec sincérité, le général n'était pas un auteur de dérapage quelconque envers l'Algérie, ne mâchant pas ses mots, il savait ce qu'il dit, évoquant la position de France sans tromperie, c'est dire qu'il faut dégommer ces-gens-làOn comprend donc le malaise des historiens algériens, condamnés par l’histoire officielle à présenter Tlemcen ou B'jaya comme des pré-Algérie, alors que nous ont été en présence de principautés, certes brillantes, mais qui n’ont jamais constitué de noyaux pré-étatiques d'Algérie.

    À la différence de Fès et de Marrakech qui créèrent le Maroc, lequel développa des empires à travers ses dynasties, qu’il s’agisse d'«Almorabitine,  d'Almowahidine, Essaadeyine,  AlMeriniyine et Alawyine actuels». Rien de tel à l’est d'Oujda où, prises en étau entre le Maroc et la Tunisie, même si (l'Algérianité) des villes B'Jaya et de Tlemcen ne fut que ponctuelle.

    Plus tard, les Turcs ne favorisèrent pas l’évolution vers l’État nation. Aussi, en 1830, quand l’armée française débarqua à la localité (Sidi F'rej, l’Algérie n’existait toujours pas. Ce fut donc la France qui créa l’Algérie en désenclaver et rassemblant ses régions, ses populations, en lui donnant ses frontières et jusqu’à son nom.

    Des frontières qui, à l’Ouest, furent tracées par l’amputation territoriale du Maroc (Tidikelt, Gourara, Tindouf, et toute la Saoura y compris Colomb Béchar et Kenadsa.), et qui, au sud, ouvrirent l’Algérie sur le Sahara oriental Marocain, et que ni Tlemcen ni B'Jaya, ni la Régence Ottomane n’avaient possédé auparavant.

    Les historiens algériens connaissent évidemment ces réalités, mais il leur est interdit d’en faire état sous peine de voir s’abattre sur eux l’accusation de traitrise… Ce qui donne donc naissance à une sorte d’équilibrisme scientifique parfaitement bien illustré par une Tlemcenie Fatima-Oufriha, autrice d’un livre intitulé «Au temps des grands empires Maghrébins et La décolonisation de l’histoire de l’Algérie», dont elle a ainsi expliqué la finalité:

    «C’est le rôle du Maghreb central que je cherche à réapprécier par rapport à une lecture, partiale et biaisée, une interprétation de l’histoire qui pour moi est coloniale, dans la mesure où systématiquement, le rôle du Maghreb central qui deviendra l’Algérie est escamoté au profit du Maghreb extrême qui deviendra le Maroc (…) Derrière cette lecture, il y a la thèse coloniale (…) qui pose que l’Algérie et Maghreb central n’ont jamais existé. C’est toujours le Maroc que l’on met en exergue».

    La colonisation Ottomane de l’Algérie...La colonisation Turque de l’Algérie est divisée en quatre grandes séquences qui sont -La période des -Beys(homme respectable) (1544-1587), -La période des -Pachas (1587-1659), -La période des Aghas (1659-1671) et -La période des Deys (1671-1830).La période -des Beys vit le pouvoir de ces derniers oscillant entre «la taïfa des raïs et les peuples Turkemans». Durant cette période se succédèrent huit Beys.(Bey,Day,Agha= l'équivalent au Maroc de Caid, super-Caid et Gouverneur). 

    Ce n'est qu'après le XIe siècle que la langue berbère amorcera son déclin par les dynasties locales. C'est depuis cette époque qu'existe l'antagonisme entre Berbères et Arabes, ce qui inclut les Berbères arabisés. Les dernières communautés issues du monde romain, pour leur part, ne disparurent qu'au XIIe siècle.

    Durant une grande partie de son histoire ancienne, l'Algérie était, avant 1830, une région où de puissants seigneurs de la guerre, généralement des faux-émirs, ont régné en maîtres sur ce vaste territoire. En fait, toute cette région, qu'on appelle aujourd'hui l'Afrique du nord, fut longtemps dominée par des dynasties locales Arabo-Amazigh...-Marocaines, Tunisiennes, égyptiennes ou Algériennes, l'une chassant l'autre pour sa survie en force dominante.

    Toutes ces dynasties ont régné, tour à tour, sur la région avec des destins différents. Progressivement, les royaumes locaux se fragmentent et s'affaiblissent par des luttes entre principautés et par des querelles familiales. Par la force des choses, ce morcellement politique favorisa le fragmentaire linguistique, tant pour l'arabe, que pour l'Amazighité locale.

    Au XVIe siècle, l'Algérie devint une province de l'Empire Ottoman et fut gouvernée par un Dey et ses Bey. Au cours de l'occupation Turque, qui dura de 1515 à 1830, l'Algérie bénéficia, sous l’autorité d’un pouvoir militaire exercé par le Dey et contrôlé par la milice des peuples Turcs.

    Les Ottomans construisirent des fortifications tout le long du littoral et y installèrent des garnisons. Mais ils ne se limiteront pas au contrôle du littoral méditerranéen, car ils disposaient de postes militaires dans les hautes plaines du Sud d'Algérie.(Les Touareg et les Azawad de Mali et de Niger, tandis que la Kabylie au nord-Est, elle était un peuple séparément indépendant à part entière.

    Ce sont les Ottomans qui délimitent le futur territoire algérien par des frontières bien définies avec la Tunisie et le Maroc. L'«émir des émirs» de la Régence d'Alger de 1552 à 1556, obligea les seigneurs de Touggourt et d'Ouargla à payer tribut pour leur protection. Il conquit le Sud grâce à l'aide des Béni-Abbés, d'origine Kabyles demeurant la Saoura au Sahara Marocain oriental.

    Comme les Vandales avant eux, les Ottomans ne s'assimilèrent pas aux populations locales. Durant trois siècles, ils ne sympathisent pas avec ces peuples parlant l'arabe ou l'Amazighité. Ils demeurèrent une communauté distincte vivant comme étrangers en Afrique du Nord, jusqu'en 1830. La présence Ottomane en Algérie ne fut pas le fait d'une domination de type colonial.

    Les seuls Turcs présents en Algérie étaient ceux qui faisaient partie de la caste dirigeante ainsi que les militaires. Néanmoins, un certain nombre de Turcs, finirent par épouser des femmes indigènes; de ces unions sont nés les «qul oghlu», signifiant les «fils d'esclave» en terme Turkish.

    Encore aujourd'hui, de nombreux Algériens ont des origines turques et ont conservé leurs patronymes d'origine. C'est pourquoi on trouve en Algérie tant de noms turcs tels «Bedroni, Betroni, Bedrina, Traria», des noms berbères appartenant à des peuplades qui habitaient au nord de Tlemcen entre la côte méditerranéenne et les monts Marocains. 

    La colonisation française de l'Algérie...La colonisation française commença à l'époque de Charles X (1757-1836) et la conquête de l’Algérie s'inscrivait dans une tentative de restaurer l'autorité royale et se débarrasser des turcs dans la Méditerranée, préparant, à la mi-décembre de 1829, une expédition d'envergure en vue de conquérir l'Algérie soumise à la souveraineté turc d'Istanbul depuis trois siècles, sous le nom de «Régence d'Alger».  

    Certains intellectuels français ont qualifié l’émir Abdelkader de «meilleur serviteur de la France». On résume ainsi les trois grandes étapes de sa vie: «Notre adversaire, pendant seize ans;- notre serviteur, pendant quatre ans; - notre ami, durant trente ans.»

    Dès 1839, les territoires d'Afrique du Nord situés entre le royaume du Maroc à l'ouest et le beylek de Tunis à l'est furent appelés Algérie, mot créé à partir d'Alger.  le ministre de la Guerre Français, adressa, à ce sujet, une lettre au gouverneur général en Afrique du Nord l'informant d'une mission délicate :

    À partir de 1839, la France entreprit la véritable conquête de l'Algérie en y disposant d'une armée de cent mille hommes. Cependant, cette conquête de l’Algérie fut longue, contrairement au Maroc et à la Tunisie où quelques accords avaient suffi pour imposer des «protectorats». La conquête se fit par la force des armes, ville après ville, village après village. Certaines villes furent dévastées par les troupes d'occupation françaises: Alger, Constantine, M'déa, Kh'mis Miliana, Tlemcen.

    L'armée française parvint à occuper entièrement le pays en 1848, lorsqu’Abdelkader déposa les armes et se rendit. La France le garda prisonnier jusqu'à ce que Bonaparte autorise sa libération en 1852. Il se réfugia en Syrie où il devint une autorité banale, une sorte de pont-cassé entre l'Occident et l'Orient; il mourut à Damas en 1883.

    Le pays occupé par les Français dans le nord de l'Afrique sera, à l'avenir, désigné sous le nom d'Algérie. En conséquence, les dénominations d'ancienne Régence d'Alger et de Possessions françaises dans le nord de l'Afrique cesseront d'être employées dans les actes et les correspondances officielles.  

    Même si cette nouvelle appellation d'Algérie allait être acceptée par les Algériens eux-mêmes, il n'en demeure pas moins qu'elle avait pour effet de nier la dénomination originelle d'El Jazaïr, signifiant «royaume de Ziri». Le mot (Ziri) renvoie à Bologhin ben Ziri de la tribu des Zeralda. Celui-ci fut le fondateur de la dynastie Ziralda régnant sur l'Ifriqiya de 972 à 1152. Le nom arabe de Bologhine devint.

     

                                                                                                           

    Témoignage inédit....En tant qu'Admin du blog, je termine ce récit par cette vérité accablante dérangeant tout Algérien! un point de vue particulier se concordant avec la ligne de rédaction suivie jusque-là pour dévoiler les conneries du pouvoir Algérien qui, devant ses défaites et échecs diplomatiques, s'attache à emmerder davantage notre pays. Ce que je comprend que l'auteur de cette correction, ne cherche pas à s’immiscer dans les affaires diplomatiques du Royaume, en s’autoproclamant porte-parole d'Algérie, ni d'outrepasser les prérogatives d'un simple Algérien

    «Un volontiers Algérien s'adressait aux siens, témoignant de son bon gré, en les éclaircissant par des vérités dont il en dispose dans son fond. C'est une première depuis que la rédaction décidait, via ce blog, de s'attaquer à tout mensonge, portant préjudice aux intérêts du Maroc». C'est un plaisir pour moi de mettre en exergue quelques passages au bienfait du lectorat.

    Début citation...«« Imaginez, cher compatriote Algérien, qu'un pays comme notre misérable pays l'Algérie, dont l'histoire officielle dure moins de 62 ans, et que notre histoire réelle soit constituée d'occupation et d'usurpation par les grands empires, en commençant par notre occupation par les Byzantins et en finissant avec la chute de l'Empire Ottoman au début du 18ème siècle.(1830).

    Après avoir occupé notre territoire pendant exactement cinq siècles, vint le tour de l'usurpateur Français, qui dura plus d'un siècle et demi, et malgré le départ des colonialistes français, nous devons toujours une loyauté et une obéissance totales aux dirigeants de l'Elysée, d'après des accords et des contrats conclus par les fils Harki avec leurs maîtres français, qui leur donnent le droit et la priorité sur tous nos biens et richesses sans objection ni abstention.

    Ceci n'est qu'un petit aperçu de notre réalité historique réelle actuelle. Ce que le régime des gangs veut promouvoir, comme nous sommes habitués à vous cher confrère, nous disons la vérité, même si elle est amère. C'est notre histoire et c'est notre vérité. Nous ne devons pas être les interprètes de «J'ai honte d'admettre tout cela». Personne ne peut mentir sur l'histoire, même si c'est pour racheter les louanges de toutes les chaînes et médias internationaux. En fin de compte, la vérité reste la plus inébranlable...Une honte sanglante de vous rappeler qu'ils (les militaires) vous ont trompé, en disant que :

    1-les descendants des Algériens sont plus âgés que notre mère Eve et notre père Adam, et que l'arche de Noé (-Sidna Nouh-) a accosté en Algérie. 2-Ceux de la Grotte étaient originaires de Khenchela en Algérie. 3-Les pyramides et les rois Pharaons étaient en Algérie. 4-les Egyptiens ont volé notre civilisation et la leur ont attribuée. 5-Médine et la Mecque- étaient à Oran avant d'être volées aux Saoudiens. 6-le Mur Al-Bouraq était une dotation Algérienne construite par Boumediene. 7-le fait que l'Algérie soit celle qui a libéré la Tunisie, l'Égypte, l'Arabie Saoudite, l'Allemagne et la moitié des pays du monde pendant la 1ere et la 2eme Guerre mondiale. 8-Nous sommes le berceau des civilisations Européennes et des mouvements révolutionnaires. 9-nous donnons l'exemple en matière de libertés et de droits de l'homme.

    C'est trop, en vous disant tout cela, mais le plus surprenant, c'est que vous croyez si vite, sans hésitation ni doute. Je me réjouis de dire, en toute franchise, que le véritable origine de l'Algérie...«Est que nous n'étions que des tribus dispersées, pratiquant la loi de la jungle, bloquant le chemin de marchands et de pèlerins, errant dans les déserts et terres incultes.

    Puis il change d'interlocution : «Vous n'avez aucun documents historiques prouvant vos origines et votre identité, affiliation, ni aucune allégeance à votre égard...Telle est votre situation aujourd'hui, usurpée par une poignée de vieux "pisseurs" à la tête d'un peuple tout entier. Comme un troupeau de moutons, vous êtes soumis et toujours soumis car tels sont vos gènes depuis des siècles»». fin de citation.

    Quand on entend, ce qui se dit de mal envers la grandeur Marocaine, par ceux d'Alger, je me sens censé de répliquer et c'est la ligne de rédaction du blog et c'est ce que je fais d'ailleurs,tout le temps, via mes écrits..…«Il faut dégommer, ces gens-là, si j'ose employer ce terme, empiètant toutes les normes et terminer par ceci :

    «Oui, bien sûr, souffleter l'Algérie encore une énième fois et peut-être aussi «physiquement», si ses décideurs se trompent davantage et se chauffent les têtes». Puisque  feu général Driss Ben Omar, ne manque pas à l'appel il est toujours-là pour remplir son devoir militaire et peut à chaque instant, ressortir de sa tombe et rappeler ses guerriers pour de nouvelles guerres de sable fulgurantes contre cette folle voisine l'Algérie».

                                                     

                                                     Bonne lecture. L'Admin, Chihab25 

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                                                                         De Gaulle,le 16/9/1959