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Mes écrits - Page 15

  • Maroc-Algérie : Pourquoi maintenant l'Algérie fait la cour..au Maroc?

                                                                                         drapeau-du-maroc-image-animee-0008 

     

                                                 

                                                             La puissance Marocaine (pour éradiquer la racaille d'à côté)

    Encore que du chantage : l'Algérie est plus encline à trouver rapidement une solution avec le Maroc. Elle raconte encore des bêtises que personne n’a vues jusqu'ici pour faire endormir davantage son opinion publique, ses élites dormantes et montrer au monde qu'elle est digne de respect et qu'elle a toujours son leadership envers des pays pauvres, souffrant de famine pétrolière.

    Surtout que la junte militaire ne pourrait imposer, à sa façon, l'hypocrisie diplomatique et propager ses mensonges à travers le monde. Pour cela, elle est contrainte, par les faits, de faire appel à ceux qu'elle croyait capables d'en convaincre et d'en acheter encore les brebis galeuses et de faire tromper un monde de clans en mouvements compétitifs.

    Si la phrase faisant titre de cette chronique, n'avait pas été entendue de la bouche du chef de la diplomatie algérienne, et aussi à l'image humiliante de l'Algérie actuelle... et sur la plateforme de la chaîne Qatarie Al Jazeera, les plus grands imbéciles n'y auraient pas cru.

    -Alors qu'en est-il des rêveurs et des plus grands optimistes...

    -Alors certains considéraient cela comme une des plus grandes surprises de l'année 2023...

    -Pour que d'autres s'interrogent sur la santé mentale de Ahmed Attaf, le nouveau  jongleur de la diplomatie Algérienne Démocratique notamment, quand il évoquait ce qui contredit ouvertement son prédécesseur (Lahmamra), qui lui laissait dans les placards des Affaires mensongères une instruction définitive et capitale, éteignant ainsi toute lueur d'espoir de réconciliation ou de cour au Maroc, quand Il disait :

    «La rupture des relations avec le Maroc ne tolère pas la médiation, ni hier, ni aujourd'hui, ni demain»?. Sachant qu'un an aprés, Tebboune n’a-t-il pas déclaré à son tour, dans un entretien à la tv Qatarie Al Jazeera, que les relations entre son pays et le Maroc «ont atteint un point de non-retour?».

    Telles sont les questions que se posent ceux qui s'intéressent aux affaires Maghrebines et régionales, qui cherchaient les motivations fondamentales qui ont poussé la racaille algérienne (armée) à ce changement radical de position...Et pourquoi maintenant, cette cour au Maroc,  juste en ce début d'année 2024?, à l'horizon de la réunion semi-internationale sur les questions de sécurité au Qatar...

    Ce sont ces interrogations-là et les constats légitimes pour l’opinion publique continentale et internationale au milieu des paradoxes qui imprègnent le corps de l’État militaire d'Alger, notamment en cette époque tibétaine.(Tibet¹).

    Mais pour nous, Marocains, nous ne croyons pas avoir de problème avec le régime Algérien avant même que le cœur d'Attaf ne soit enclin à le résoudre rapidement, sauf l'ingérence abusive de ses commanditaires militaires dans notre d'intégrité territoriale, concernant les deux Sahara Marocains (Oriental et occidental)...

    Comme en témoigne la bonne volonté Royale et le geste noble humanitaire que voulait instaurer Sa Majesté le Roi, avec une folle voisine,tendant à maintes reprises, la main  à l'Algérie et aux Algériens, plus de cinq fois... en plus de son insistance récente sur la situation d'incertitude de la voisine de l'Est.

    Iimplicitement, nous n'avons aucun autre problème avec l'entité que ce Attaf veut sauvegarder,m parait-il, aux yeux de ses concitoyens Algériens en politique mensongère..! sauf la question de frontières.

    Au contraire, je vois que le nom Maroc est un problème Algérien par excellence, et que le régime d'Alger insiste, vainement, de placer «-la pierre à son soulier-» comme le souhaitait , dans son vivant, le maudit Boukharouba. Cela étant, ne fait que durcir davantage les maux de tête à la junte militaire surtout... 

    Par contre, chez nous les choses marchent normalement, la machine à explorer le temps ne s'arrête jamais, notre système veille à sa crédibilité et à être propre, éligible et à jour, épluchant les sales patates qui l'entourent, enlevant les mauvais herbes, faisant également sanctionner les mauvais créanciers pour y être en bonne santé financière.

    Nous sommes aujourd’hui à la veille d’une nouvelle campagne d’assainissement. Certains ingrédients de base sont déjà là. Pas de pardon...Le Maroc a lui aussi son -Escobar- avec des acolytes (Said Naciri-Abdenbi Bioui) sont au bout l'embrasement, certainement beaucoup de tête tomberont, prochainement dans les ravins de transaction de drogues. Mais (Alli ifarratt ikarratt) disait l'argot populaire Marocain.En preuve l'incarcération de grands barons.

    Une avant-première et une particularité Marocaines.. Dernier en date, un ex-ministre -Med Mobdi'ei- se fait écroué, au su et vue de ses pairs politico-jongleurs.De même, nos élus sont en train de tomber. Certains ont été déchus de leur mandat parlementaire et attendent jugement et verdict, alors que d’autres croupissent en prison.

    On parle d’une trentaine de personnes, le chiffre est assez fou… Ils sont accusés de détournement d’argent et de biens publics, de corruption et, pour certains, de trafic de drogue, avec spoliation foncière, faux et usage de faux, etc. On ne va pas entrer dans les détails, ni interférer dans des affaires en cours de jugement. L’essentiel est ailleurs, la coupe est pleine. Il y a des enseignements à tirer.

    Je me permets de changer de ton et de m'adresser aux ennemis de la raison, à nos ennemis Algérien, via le plus intelligent d'eux. A un certain Ahmed  Attaf, en tant que "pompier de secours", pour le corriger, malgré ma simplicité en diplomatie, étant qu'il ignore ou faisant semblant, que ses pas, le trompent énormément, et y sont devenus tellement dispersés, quand sans surprise, il a évoqué le nom-Maroc, durant l'interview, plus de 37 fois en 45 minutes, sur le plateau de la chaine Qatarai d'Al Jazeera-tv...

    Cela prouve qu'il était chargé par ses maitres militaires de parler uniquement -Maroc-!  substituant à  une junte de caporaux en panne, incapable de réparer la confiance brisée entre l'État et son peuple.

    Aux connards-dz... : Je m'adresserai volontier via cette petite fenêtre, par laquelle, les chiens Drsistes du général Toufik ne manqueraient pas de mettre le nez pour, éventuellement,évaluer les points de vue anti-dz que fait marquer, ponctuellement, la rédaction du blog pour y avertir davantage son lectorat des méfaits propagandistes qu'entreprend, continuellement et avec insistance la junte d'Alger, visant que les intérêts du Maroc.

    Je mettrai en ligne de mire en particulier, le pompier-sauveur (Attaf) appelé à la rescousse de la diplomatie de mensonges Algérienne. Je vais le vouvoyer même s'il ne le mériterait pas, -honnêteté de rédaction oblige-...

    «Vous resterez, malgré vous, un véritable témoin du chemin pierreux hostile à la Marocanité qui a commencé en 1975 et bien avant, depuis la guerre des sables-1963, avant même de votre intégration dans le travail diplomatique...et l'un des justes élèves du maudit Boukharouba, alias Boumediene... que la malédiction divine soit sur lui.

    Témoin visuel, loin de toute virtualité, du déportation forcée des Marocains dans la nuit de l'Aïd. Al-Adha  en 1975 et contemporain des défaites des batailles d'Amgala et de Bir Anzarane au Sahara Marocain, supervisées par les faucons Marocains, surtout par le colonel  Ghoujdami, qui avait terrassé le polisario et les algériens dans les années 70/80, et le témoin qui aurait collaboré avec le palais d'AlMouradia d'Alger pour initier la fermeture les frontières avec le Maroc...

    Après votre retour au service, les rides de votre figure seront des lignes qui relateront cette série de défaites de votre projet séparatiste Polisalgérien... et vous essayez de ressembler à votre connard Président qui a voulu entrer dans une phase utile, offrant son aide au moment du séisme d'AlHaouz- et Marrakech...

    D'ailleurs, M. Nasser Bourita vous a répondu, en écrivant au consulat d'Algérie à Casablanca  confirmant officiellement, qu'on avait pas besoin de votre aide.. C'était une leçon diplomatique éloquente.

    «Oui...votre présente cour au Maroc, n'est pas innocente...car elle vient de la psychologie d'une personne vaincue, isolée, qui nous agresse et continue de le faire, depuis plus d'un demi siècle et plus...».

    Nous sommes vaincus, la pire défaite, de votre pays, qui joue avec élégance diplomatique au niveau international et avec accumulation qualitative au cours de plusieurs années pour couper notre Sahara de ses racines Marocaines, avec le Conseil de sécurité tout en exprimant le doute sur l'opportunité de l'option Marocaine de l'autonomie du Sahara, comme l'unique solution de mise.

    Ce que vous ne pourrez piger davantage en diplomatie, c'est que l'élégance diplomatique Royale a réussi - et en douceur - à couper l'herbe sous le pied de votre État et son régime militaire, et a su balayer d'importants sites stratégiques susceptibles d'accélérer le renversement de la carte des équilibres régionaux...

    Ses débuts ont commencé à Marrakech.. moins d'un mois après le lancement de l'initiative royale, en l'absence de votre Algérie. Mais lorsque les masques tombent et que vous vous retrouvez dans un vide complet, comme c’est le cas pour la plupart des résultats de votre régime, votre diplomatie ne saura inévitablement, comment nager dans un espace plein de gravités boueuses.

    Mode d'hésitation-dz : Je veux, je ne veux pas»: les sidérants faux-fuyants de l’Algérie sur une solution avec le Maroc. Une plaisanterie se conformant au dicton populaire d'hésitation :  Après avoir clairement fait part à la chaîne «Al Jazeera» de la volonté de son pays de trouver une «solution rapide» aux différends minant les relations avec le Maroc, le ministre algérien des Affaires mensongères Ahmed Attaf, pressé par la junte, a vite marqué une calamiteuse marche-arrière où il nie en bloc une telle «volonté». Un rétropédalage indigne d’une diplomatie qui se respecte, reflet d’un pays qui, plus que jamais, marche à hue et à dia².

    C’était, à la limite, trop beau pour être vrai. Mais le rétropédalage aura été aussi précipité que la déclaration semblait mûrement réfléchie. Dans un long entretien accordé à Al Jazeera, diffusé cette semaine sur sa plateforme de podcasts (...)  animée par Khadija Benguenna, journaliste algérienne et «amie» du régime, Ahmed Attaf qui a gratifié d’une position a priori épatante sur l’avenir des relations entre le Maroc et l’Algérie.

    Confortablement installé dans un fauteuil en velours, devant un décor inspirant calme et sérénité, et dans un arabe classique certes approximatif, mais se voulant châtié, le chef de la diplomatie algérienne s’en est donné à cœur joie, refaisant le monde à sa guise et donnant cette impression de sagesse et de grandeur de son pays qui cadre mal avec les faits.

    Là où Ahmed Attaf s’est montré agréablement surprenant, c’est lorsqu’il a évoqué les relations de son pays avec le Maroc. Que nous apprend-il, littéralement? «En ce qui concerne nos relations avec le Maroc, l’Algérie est à considérer comme la partie qui tend le plus à trouver une solution».

    Nous sommes conscients, au même titre que les autres pays de la région, que la construction de l’Union du Maghreb arabe et que la fraternité entre ses peuples sont encore plus loins, voire impossible, tant qu'il y en a encore de mauvais esprits dans une Tunisie perdue dans du vent, fumé de particularité leadership d'un Malheur surprenant».

    À la question si ce rêve existait encore, Attaf répond sans sourciller: «Évidemment!». «Ce rêve ne peut être anéanti», enchaîne-t-il. «Et j’attends avec impatience le jour où nous retenterons cet essai». En attendant, «notre rôle est de préparer le terrain. Et nous sommes prêts», insiste-t-il.

    La phrase, et bien d’autres, ont fait le tour des rédactions et des réseaux sociaux, tant les propos paraissaient nouveaux et annonciateurs de pas concrets et prometteurs. Al Jazeera, qui en a le talent et la méthode, en a fait ses choux gras à coups de teasers et de percutants extraits. Mais, il fallait s’y attendre, l’enthousiasme de certains commentateurs, essentiellement algériens, est vite retombé.

    A ce propos, s'adressant à ses ennuyeux Algériens!, Habib Bourguiba,l'ex-président de la vraie-Tunisie, leur disait dans son vivant et avec un ton fort de menace : «Alkharej-Nâaraf bbah..ouddakhal-Naâraf mmou?», cela dit qu'il connaissait bien le bordel de l'Algérie-Française!!.et qu'une partie d'Algériens y est issue?

    Dans une «clarification» distribuée par la junte aux médias algériens à sa botte, on apprend que, malgré ses dires, Ahmed Attaf n’a à aucun moment parlé d’une quelconque volonté d’Alger de «rechercher une solution rapide» à la crise algérienne. Et à ceux qui en douteraient encore, nous apprenons également que l’Algérie «ne fera jamais le premier pas».

    Quelle mouche a donc piqué Ahmed Attaf pour qu’il sorte de la doxa du régime qui le biberonne et qu’il se prenne pour un «vrai» diplomate? «Le chef de l'écurie diplomatique mensonge, voulait clairement insinuer (admirez l’oxymore) que si crise il y a entre l’Algérie et le Maroc et si retard il y a dans l’édification de l’espace régional maghrébin, la faute n’incombe forcément pas à la partie algérienne», lit-on notamment dans -Algérie patriotique-, un Pravda-bis et porte-voix du (vrai) régime militaire propriété du fils du général Nezzar, au demeurant poursuivi par la justice suisse pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.

    À quoi donc peut s’apparenter la sortie tout en mélodies d’Ahmed Attaf sur Al Jazeera, vite ravalée par la junte au pouvoir? Un ballon d’essai pour faire les yeux doux à un Maroc qui marque de précieux points sur le registre de son Sahara, érigé désormais comme point focal pour le développement à venir de toute l’Afrique de l’Ouest et du Sahel? Où serait-ce simplement le nouveau pas de travers d’un ministre qui ne sait plus sur quel pied danser, sans doute adouci par l’ambiance cosy du cadre où il s’est permis un peu de sympathie?

    Premier pas, dites-vous?...Une chose est sûre: l’action de communication menée sur la chaîne qatarie est un ratage total, puisque le propre d’une telle sortie est d’être un tant soit peu cohérente. En rabrouant «son» ministre de la sorte, la junte apporte simplement une nouvelle illustration de sa totale maladresse et du peu de cas qu’elle fait des règles diplomatiques les plus élémentaires.

    Un régime qui opère à hue et à dia, selon l’humeur versatile de ses dirigeants et du temps qu’il fait, n’hésitant pas à sortir les mêmes vieilles litanies des mêmes vieux tiroirs: le Maroc, cet ogre occupant, allié du grand Satan israélien, ami et frère du démon émirati. Tous agissent de concert pour déstabiliser la gentille, fragile, mais ô combien vaillante Algérie.

    Parlant de «premier pas» qu’elle ne consentira point, la junte semble ignorer que des pas, le Maroc n’a cessé d’en faire. Tant pour apaiser ses relations avec le voisin que pour ressusciter une nécessaire UMA (Union Maghreb Arabe) dont il abrite le siège. C’est au Maroc, sous le règne de feu Hassan II, que la première et unique tentative sérieuse de sa construction a eu lieu. C’était le 17/02/1989, à Marrakech, quand les cinq chefs d’État du Maghreb ont signé le traité constitutif de l’Union.

    L’Algérie, elle, n’a cessé de fermer les portes les unes après les autres, barricadant ses frontières terrestres depuis maintenant 60 ans et, dernière trouvaille, rompant ses relations diplomatiques avec le Royaume depuis août 2021..

    Tout est de savoir comment un État souverain pourrait accéder à une telle «offre», venant d’un pays qui ne cesse de clamer ouvertement son hostilité et tourner allégrement le dos à des propositions autrement plus engageantes et plus importantes.

    Au Maroc, cela s’appelle «cacher le soleil avec un tamis» et en la matière, le régime algérien a indubitablement des leçons d’expertise et de mensonges à donner, à un petit monde encore dépourvu de souveraineté.

    En rejetant toute réconciliation avec leur voisin de l'Ouest, les Algériens font désormais cavalier seul, un désaveu leur créant une situation étrange à l'intérieur qu'à l'extérieur. Pour comparer, c’est comme lorsqu’on plaide seul devant le tribunal, sans avocat. C'est-à-dire que le pétrodollar Algérien a perdu l'assistance et le soutien d'autrefois, de ses marchés noirs et de ses consorts d'appui contre la diplomatie responsable.Bonne lecture.

                                                           Cordialement, Chihab25

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           ¹.Une région d'Asie centrale entre Chine et Inde,revendiquée par le gouvernement Tibétain en exil..!. ².Il pivote, en avant et arrière.