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Mes écrits - Page 16

  • Maroc-Algérie : Quand les caporaux d'Alger se trompent de cause..

                                                                                                                                drapeau-du-maroc-image-animee-0008               

                                                         

                                                                    des Toilettes à Alger se transforment en lieux de prostitution

    Résolution poignante.. C’est à travers une réaction timide, voire en catimini, que le régime Algérien s’est fait doubler par l’un de ses médias parallèles en vue de dire, une fois n’est pas coutume, certaines vérités, enrobées dans le jargon local, sur la portée réelle de la résolution 2703 concernant le Sahara Marocain atlantique, votée par le Conseil de sécurité de l’ONU en octobre dernier par (13 voix et 2 abstentions).

    Ainsi, le média du fils du général Khaled Nezzar, (Alg-Patr) a substitué la junte d'Alger, décidant de rompre le silence embarrassé du régime, voire d’expliquer indirectement ce silence en écrivant dans un article que la dernière résolution du Conseil de sécurité de l’ONU (2703) a été écrite par les États-Unis en vue d’épouser fidèlement «l’argumentaire Marocain». Et d’ajouter que cette résolution rend «irréversible» la Marocanité du Sahara, tout en déclarant définitivement l'impossibilité de la fameuse option d'«autodétermination» revendiquée par l’Algérie.

    Ce média engagé par flatterie, pour assouplir la pression sur son père, le bourreau de la décennie noire Algérienne des années 90 (Khaled Nezzar) estimait que c’est surtout la faute à la Chine, à laquelle il reproche de ne pas avoir choisi l’abstention comme la Russie, tout en l’accusant d’avoir bradé sa fibre révolutionnaire et maoïste contre le mercantilisme, en défendant ainsi ses intérêts économiques au Sahara Marocain, où Pékin a consenti de gros investissements.

    Cette année donc, et pour la première fois depuis que le Conseil de sécurité de l’ONU examine périodiquement le conflit factice créé autour du Sahara Marocain et vote dans la foulée une résolution 'ad hoc', le régime algérien n’a pas décliné la moindre réaction officielle sur ce dossier dont il a pourtant fait sa «cause principale», sinon son violon d’Ingres. 

    En effet, après l’adoption de cette résolution 2703 sur le Sahara, un nouveau texte onusien qui tord définitivement le cou aux thèses séparatistes défendues par l’Algérie, aucun communiqué ni déclaration officiels n’ont été exprimés à Alger. Un silence inhabituel qui en dit long sur le dépit amer qui a de nouveau cloué le bec à la «issaba» qui dirige actuellement l’Algérie, à sa diplomatie cacophonique et même à ses médias publics et privés aveuglément suivistes.

    Durant plusieurs années rappelons-le, et alors que les résolutions successives du Conseil de sécurité sur le Sahara Marocain lui sont généralement défavorables, surtout depuis 2007 et le tournant décisif opéré par le plan Marocain d’autonomie et le soutien grandissant qu’il a acquis comme unique solution crédible au conflit, l’Algérie se focaliser sur le seul mot d’«autodétermination» pour exprimer une satisfaction feinte et sauver, vainement, ainsi sa face.

    Mais depuis 2020, et l’arrivée au pouvoir des nouveaux-anciens généraux (Nezzar-Toufik) et leur marionnette président, le régime Algérien n’a cessé d’exprimer ouvertement son «rejet catégorique» des résolutions onusiennes sur le Sahara Marocain, à travers des communiqués du ministère algérien des Affaires mensongères «regrettant», voire fustigeant en des termes virulents, le vote du Conseil de sécurité y afférent.

    Pour ne citer que les derniers cas en date, en octobre 2021, l’Algérie avait immédiatement rejeté la résolution 2602 du Conseil de sécurité de l’ONU sur le Sahara, alors que l’encre n’avait pas encore séché, la qualifiant de «déséquilibrée et partiale». Et pour cause, l’Algérie y est désignée comme «principale partie prenante» et personne d'autre, au conflit du Sahara, alors que le plan Marocain d’autonomie est érigé comme seule base à toute solution de ce conflit pour lequel un compromis doit être trouvé à travers l’organisation de tables rondes regroupant le Maroc, la Mauritanie et l’Algérie, et son bâtard, le Polisalgérien, sous l’égide de l’ONU.

    En octobre 2022, l’ancien ministre algérien des Affaires mensongères, Ramdane Lahmamra, a mis de côté les travaux préparatoires du sommet de la Ligue arabe que son pays accueillait comme s’il avait gagné le Graal, pour se fendre d’une déclaration dans laquelle il estime, 48 heures seulement après son vote, que : «la résolution 2654 adoptée en octobre 2022 résulte, comme ses devancières…d’un exercice laborieux de rédaction dépourvu de la volonté d’orienter et de stimuler des efforts destinés à préserver la nature de la question du Sahara Marocain  "occidental" et à lui appliquer scrupuleusement la doctrine et les bonnes pratiques des Nations unies en matière de décolonisation».

    Cette année 2023, la méthode d'Ahmed Attaf, revenu aux Affaires mensongères en mars 2023 et puis limogé dernièrement, à cause des légumineuses de Tebboune, parait-il, était restée prisonnière des mêmes travers qui guident "aveuglement" la diplomatie Algérienne. Ces trois voyages marathoniens effectués outre-Atlantique par Attaf, entre août et octobre 2023, n’ont lui pas permis d’infléchir la position Américaine de reconnaissance de la Marocanité du Sahara à l’occasion de sa «convocation» à Washington par Antony Blinken, en août dernier, ni celle de l’ONU, au siège de laquelle Attaf s’est rendu à deux reprises, pour le même jonglage diplomatique au sujet de son Polisalgérien.

    Après avoir commis une bourde, en se disant satisfait de la position américaine sur le Sahara, estimant faussement que les États-Unis ne reconnaissent plus la Marocanité du Sahara puisqu’ils soutiennent les efforts de l’Envoyé spécial du Secrétaire général de l’ONU et demandent des «efforts supplémentaires» pour résoudre ce conflit, il a retenté le même coup, en s’invitant dans les travées de l’ONU pour faire pression sur certains membres actuels du Conseil de sécurité qui appuient la cause du principe.

    Le -Kharoubisme, ou (Boumédiénisme) dans toute sa splendeur, avec son lot de réactions hystériques, qui a caractérisé les trois premières années de Tebboune a fait long feu. Le régime algérien, qui a essuyé une séquence interminable d’échecs, dont le plus retentissant, les -BRICS-, semble avoir pris la mesure d'un petit poids régional et que protester contre une résolution du Conseil de sécurité ne sert en rien puisque La Marocanité du Sahara "occidental" est devenu irréversible.

    Le diagnostic sur l’Algérie à l’ONU : L’obsession maladive de l’Algérie sur cette même question a été mise à nu devant la 4ème commission de l’Assemblée générale de l’ONU par la délégation Marocaine, prouvant, s’il en est besoin, que l’Algérie est bel est bien une partie principale de ce différend hérité du maudit Boukharouba qu'il a créé en toutes pièces.

    Nous vous en faites pas mes chers lecteurs, il y a des soldats invisibles qui suivent et rappellent à l'ordre pour y corriger les failles ennemis. En réponse aux allégations fallacieuses du représentant algérien au sujet de la situation des droits de l’Homme au Sahara Marocain et sa référence biaisée à l’inclusion de mécanismes de surveillance des droits de l’Homme par la MINURSO lors du débat général de la Commission sur les opérations de maintien de la paix .

    Mme.Mouna Ouazzani, conseillère près la mission permanente du Maroc auprès des Nations unies, a souligné que l’insistance par l’Algérie à évoquer la question du Sahara Marocain parmi tous les autres points discutés au sein de cette commission, démontre que ce pays est bel et bien la seule partie principale du conflit.

    La diplomate Marocaine a regretté que l’ignorance de l’Algérie en matière de maintien de la paix, «qui n’a d’égale que sa haine à l’égard du Maroc», pollue un débat d’une grande importance pour les États membres, dont principalement des pays fournisseurs de troupes et de police en États hôtes des missions de maintien de la paix, notant que c’est un fait d’autant plus regrettable alors que l’Algérie ne fait partie d’aucune de ces catégories.

    Citant des données officielles du département des opérations de paix de l’ONU, l’intervenante a indiqué que l’Algérie ne contribue aucunement aux opérations onusiennes de maintien de la paix. «Pas de casques bleus, pas de bérets bleus, pas d’apport concre, ce ne sont pourtant pas les effectifs ou les ressources qui manquent du côté algérien, mais la crédibilité, la volonté politique et la confiance dans le rôle de l’ONU en matière de maintien de la paix et de la sécurité dans le monde».

    Invitant l’Algérie à se garder de s’immiscer dans les débats sur une question à laquelle elle ne contribue guère et dont elle ne saisit pas l’enjeu, la diplomate Marocaine a tenu à rappeler que les mandats des missions de maintien de la paix sont définis par le Conseil de sécurité.

    «Dans le cas spécifique de la MINURSO, le Conseil de sécurité a réaffirmé sa position et celle de la communauté internationale, avec l’adoption de la résolution 2703, qui, salue les mesures et initiatives prises par le Maroc pour assurer la promotion et la protection des droits de l’Homme dans son Sahara, ainsi que l’interaction du Royaume avec les procédures spéciales du Conseil des droits de l’Homme des Nations unies», a-t-elle expliqué.

    Soulignant que la situation des droits de l’Homme au Sahara Marocain est bien meilleure qu’en Algérie et dans ses camps de Tindouf, l’intervenante a défié la délégation algérienne de répondre à la question suivante : «Si votre pays est réellement soucieux de la promotion et de la protection des droits de l’Homme, pourquoi non seulement ne fait-il rien pour améliorer la situation dans les camps de Tindouf, dont il est le pays hôte, comme le demande le Conseil de sécurité, mais continue de violer les droits humains fondamentaux des populations retenues contre leur gré dans ces camps?».

    Elle s’est, en outre, demandée: «Pourquoi l’Algérie refuse-t-elle toujours l’enregistrement des populations des camps de Tindouf, en violation des résolutions du Conseil de sécurité et des dispositions du droit international humanitaire et pourquoi continua-t-elle avec le polisario de voler et de détourner l’aide humanitaire destinée aux populations séquestrées dans ces camps, comme le souligne le Programme alimentaire mondial dans son rapport de janvier 2023?

    Pire encore, pourquoi l’Algérie, en violation des normes et dispositions du droit international, notamment du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, a-t-elle dévolu sa souveraineté et ses prérogatives, y compris ses pouvoirs juridictionnels, au polisario dans les camps de Tindouf, privant ainsi les victimes des violations de toute possibilité de recours à la justice pour demander réparation et poursuivre les auteurs de ces crimes?»

    Pour elle, la réponse à toutes ces questions est claire et simple: «Non seulement l’Algérie ne se soucie pas des droits de l’Homme, mais elle est malheureusement l’un des pires pays qui les violent.» Rappelant que la situation des droits de l’Homme en Algérie est une «tâche noire» dans l’histoire de l’Organisation des Nations unies, l’intervenante a indiqué qu’en septembre 2023, le rapporteur spécial de l’ONU sur les droits à la liberté de réunion pacifique et à la liberté d’association, Clément Voule, a déclaré qu’«une attention urgente doit être accordée à la situation actuelle de restrictions légales et de poursuites judiciaires à l’encontre d’individus et d’associations en Algérie»

                                                                      

    En février 2023, la rapporteuse spéciale de l’ONU sur la situation des défenseurs des droits de l’Homme, (Mary Lawlor), s’est déclarée préoccupée par la répression croissante contre la société civile par les autorités algériennes, suite à la dissolution d’importantes associations de défense des droits de l’Homme en Algérie, a ajouté la diplomate.

    Elle a également rappelé qu’en mars 2022, la Haut-commissaire aux droits de l’Homme, (Michelle Bachelet) a réitéré, dans sa déclaration orale au Conseil des droits de l’Homme, ses vives préoccupations au sujet des violations des droits de l’Homme par les autorités algériennes, en indiquant: «En Algérie, je suis préoccupée par les restrictions croissantes des libertés fondamentales, y compris la multiplication des arrestations et des détentions de défenseurs des droits de l’Homme.»

    En septembre 2022, le Groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires a tancé l’Algérie pour ses violations graves des droits de l’Homme. En effet, l’Algérie s’illustre en figurant dans le top 3 des pays qui comptabilisent le plus de disparitions forcées, a-t-elle encore rappelé.

    Toujours en réponse aux allégations fallacieuses de la délégation algérienne au sujet du Sahara marocain, Mme Ouazzani a affirmé que cette question n’est pas une affaire de décolonisation, mais de parachèvement de l’intégrité territoriale du Maroc, définitivement scellée et reconnue par l’ONU à travers l’accord de Madrid, déposé auprès du secrétaire général de l’ONU le 18 novembre 1975. Elle a, de même, souligné que le référendum, «dont ne cesse de rêver la délégation algérienne», est définitivement mort et enterré, relevant que le Conseil de sécurité ne l’évoque plus dans ses résolutions depuis les deux dernières décennies.

    «La seule solution à la question du Sahara marocain ne peut être que la solution politique réaliste, pragmatique, durable et reposant sur le compromis, en l’occurrence l’initiative marocaine d’autonomie dont le Conseil de sécurité a constamment salué le sérieux et la crédibilité, y compris dans sa dernière résolution 2703», a-t-elle tenu à préciser.

    Après la diplomatie du forfait, l’Algérie se mure dans la politique de l’autruche Véhémente et ne cachant pas sa colère à l’égard des résolutions du Conseil de sécurité sur le Sahara en 2021 et 2022, Alger s’est enfermée dans un étrange mutisme à propos de celle adoptée le 30 octobre dernier, qui l’a pourtant davantage épinglée que les précédentes. Groggy, le régime algérien rajoute ainsi une couche supplémentaire à son long palmarès d’actes ratés.

    Il y a d’abord eu, et pendant longtemps, les bavardages et autres réactions intempestives. Ensuite les bouderies. Et puis, voici venu le temps de l’aphasie. C’est le pâle récit de la politique étrangère algérienne s’agissant, notamment, du Sahara atlantique, terrain où l’hostilité au Maroc lui fait pourtant office de colonne vertébrale (ou moelle osseuse, c’est selon). En témoigne l’absence totale de réaction chez le voisin quant à la résolution 2703 du Conseil de sécurité sur le Sahara, adoptée le 30 octobre dernier au siège de l’ONU à New York.

    Fuite en avant... Ce rejet s’est répété après l’adoption, le 27 octobre 2022, de la résolution 2654 du Conseil de sécurité de l’ONU sur le Sahara. Fait notable, l’Algérie avait attendu plus de deux jours avant de réagir. Le tout, pour dire, et en termes on ne peut plus vaseux, que la résolution résulte, comme ses devancières,

    «d’un exercice laborieux de rédaction dépourvu de la volonté d’orienter et de stimuler des efforts destinés à préserver la nature de la question du Sahara occidental et à lui appliquer scrupuleusement la doctrine et les bonnes pratiques des Nations unies en matière de décolonisation». On admirera au passage que la diplomatie de la junte se soit en cela réclamée du Plan de règlement porté par la résolution 690 datant… de 1991. Plus «laborieux», tu meurs! Et surtout anachronique. Cette année, le régime algérien, sentant son irrécupérable perte du sens de l’Histoire, semble davantage à court d’éléments de langage, ne serait-ce que pour critiquer les percées diplomatiques du Maroc et insulter, une fois de plus, l’avenir.

    Le scénario optimiste, bien que très peu probable, veut que l’Algérie ait pris conscience que le dossier évolue résolument dans le sens de la position marocaine et sa proposition d’autonomie, analyse Saïd Khamri, professeur de sciences politiques à l’Université Hassan II de Mohammedia. Cette année encore, 13 membres du CS ont voté pour la résolution, contre deux abstentions, celle de la Russie et du Mozambique. «De surcroît, les pays qui se sont abstenus n’ont pas agi contre les intérêts du Maroc.

    La tendance favorable à l’option marocaine est aussi large que fondamentale. Les plus grandes puissances soutiennent désormais ouvertement le Maroc et les reconnaissances de sa souveraineté sur le Sahara se multiplient. L’Algérie n’est pas sans le savoir et cela l’engage à changer de méthodologie et à revoir sa politique. Pour le meilleur ou pour le pire», explique le politologue.

    La non-réaction du régime d’Alger à la dernière résolution du Conseil de sécurité sur le Sahara occidental serait-il annonciateur d’un changement, sous la contrainte, de la politique d’hostilité criante de l’Algérie à l’intégrité territoriale du Maroc? Même si cela peut paraitre improbable, l’isolement et les échecs en série du voisin oriental peuvent le contraindre à changer son fusil d’épaule.

    Le mutisme algérien peut toutefois avoir d’autres explications: l’Algérie s’apprête à rejoindre le Conseil de sécurité en janvier prochain en tant que membre non permanent. Pour une durée de deux longues années. Rejeter une résolution émanant d’un conseil dont elle va faire partie revient à se défausser et risque donc de faire désordre.

    L’aphasie algérienne peut également cacher de nouvelles manœuvres pour stopper l’élan mondial d’appui au Maroc sur le dossier du Sahara. Les événements d’Es-Smara ne sont pas loin et les présumés attentats perpétrés dans la ville, sont encore vivaces.

    Alors que la piste de la main du Polisario, et donc de son parrain algérien, se précise, on y voit le début d’une escalade dont l’objectif est de torpiller les efforts onusiens, résolument en faveur du Maroc, dans le cadre d’une stratégie visant à entraver toute résolution pacifique et définitive au conflit du Sahara Marocain.

    «Une façon également de donner une dimension plus importante au conflit et de forcer la main à la communauté internationale».

    Le duo Algérie-Polisario entendrait en cela surfer sur l’écho mondial de la guerre à Gaza pour calquer le «modèle» au Sahara et ainsi se désengager du processus politique.

    Ce silence trahit néanmoins une attitude consubstantielle à l’administration algérienne sous Abdelmadjid Tebboune: l’inconséquence. Sinon, comment se fait-il qu’une résolution encore plus critique vis-à-vis du tandem Polisalgérien ait été passée sous silence, alors que ses précédentes ont été accompagnées par de grands tapages diplomatiques et médiatiques? Cette année, pas un seul mot. Ni sur l’appel réitéré du Conseil de sécurité à l’Algérie de revenir aux négociations sous le format des tables rondes. Ni sur l’impératif de permettre un recensement des populations des camps de Tindouf, auquel la junte et sa milice armée continuent de s’opposer.Bonne lecture.

                                                                                   L'admin,Chihab25