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Presse et medias - Page 7

  • 3/5.-)LE DER SPIEGEL-WIKILEAKS ET BOUTEFLIKA !(*)

    En feuilletant les pages,  Regardez deux Syriens se disputent l'auditoire. A vous de choisir (voir à droit en bas de la page) 

     Bouteflika?Les présidentielles de 2014 ou jamais! 

                                               (3ème partie,suite..)

     
     

            Selon un document diplomatique émis cette fois-ci de Rabat, rapporté par le site internet Wikileaks, cette filière est rendue possible  au Maroc grâce à la corruption de certains responsables, des officiers de l’armée  royale, de la gendarmerie royale et de la police, ainsi que leur connexion avec les réseaux rodés du trafic de cannabis. Nul ne peux  nier dans ce sens qu'il y aurait  bien sûr en quelque sorte implication suspecte de certains de nos généraux dans des affaires de drogue de cette envergure dans le sud et le nord du pays, Étant donné que la plus haute autorité  imbattable et inévitable au monde est bien la corruption et le blanchissement d'argent qui ébranlent le sec et le fertile.


             Secoué ajoute le document, le palais royal de Rabat a été dans l’obligation de réagir plus vite, tout au moins pour sauver la face. Et de faire tomber quelques têtes par nécessité d'usage. 16 généraux de différentes unités et de gendarmerie royale seraient mis à la retraite dès  la fin de l'année écoulée (2010), dont quelques uns d'eux à la retraite prématurée ou proportionnelle!!. Parce que, selon le document diplomatique américain d'Alger, son avenir (l'avenir du palais) est aussi mis en jeu. Menace d’autant plus que le risque d’une alliance entre les trafiquants de drogue dirigés par des grands barrons et les réseaux islamistes est plausible.

               Cette affaire a démontré que le Maroc est bien souverain et dynamique dans ses décisions. Par contre, on constate que le pouvoir algérien est faible et n’a aucune autorité, ni le courage pour  faire de même, ni sur ses généraux, ni sur ses sahraouis du polisario-clan DRS- qui s'orientent  davantage vers la désobeisance militaire aprés avoir trouvé refuge et bienveillance chez d'autres parrains d'AQMI !! , alors qu’il y déploie toute son armée, ses moyens et potentiels de sécurité, sa machine à mort et son pétro-dollars pour ne réprimer  que ses opposants et les manifestants frustrés de la rue, pratiquant à cet effet, et à la pointe du pistolet, le jeu de domino dans sa phase close! "fermé". pour ne  permettre à personne de voir plus haut, ou de penser à atteindre  la magistrature suprême du pays.Et bien sûr accentuer  entre autre le ton de bruit au Maroc et à sa jeune démocratisation qui gagne largement du terrain.

             Le Maroc ne pouvait pas à cet éffet, rester les mains croisées devant cette ouverture offensive  d'AQMI (Al-Qaïda au Maghreb Islamique) au pays du sahel. Une telle ouverture bien programmée en complicité avec les polisario-DRS- laisse beaucoup à désirer!!.  En fait,  les observateurs ont remarqué dernièrement qu'un  haut responsable de DRS(?) s'est rendu en urgence au Niger pour demander aux autorités de  Niamey de garder au secret les noms des "Algésarios",  si j'ose employer le terme, qui sont les éléments engagés par la DRS, et qui se trouvaient en appui parmi les insurgés d'AQMI, arrêtés  durant une opération de ratissage menée conjointement par le Niger et une faction de l'armée Française qui s'y trouve dans la région dans le cadre de la lutte anti-terroriste dans les pays de Sahel.

            Le Maroc suivit silencieusement la situation de trés prés, et pour parer à toute éventualité, une veille de la DGED pour contrer la menace terroriste sur les frontières de notre pays a été bien mise en place. En fait, notre pays se  montre trés vigilant depuis les événements de Casablanca survenus le 16 mai 2003, et même bien avant. A cet effet on apprend  régulièrement par les communiqués du ministère de l'intérieur de Mr.Tayeb Charkaoui, qu'à chaque moment où la nécessité oblige, les services de sécurité Marocains procèdent avec succès avec la collaboration étroite et volontère de citoyens, à des démentelements successifs, au niveau national, de cellules terroristes  actives, pour ne pas dire dormantes,  des cellules dont les liens avec le mouvement d'AQMI pro-Algérien  sont confirmés par l'enquête  et par les investigations d'usage.  Par initiative des services spéciaux de Bouteflika, ou par lui même parait-il, cet ex-GSPCA  baptisé du jour au lendemain en (AQMI  tentait  en vain d'élargir son champ d'action par exporter en égalité, le malheur terroriste Algérien au Maroc

           Face au laxisme apparent des autorités algériennes qui laissent prospérer des mouvements terroristes au Sahel, dont le plus dangereux d’entre eux est Al Qaïda au Maghreb islamique.(AQMI). La Direction générale des Études et de la Documentation (DGED), (services secrets extérieurs Marocains), dirigée par Mr.Yassine Mansouri déploie aujourd’hui un dispositif sophistiqué en matériel et en personnel, qui consiste à traquer tout mouvement terroriste aux  frontières de notre pays.

            On vient d'affirmer en effet que le démantèlement très récent au Maroc de trois cellules terroristes considérées comme actives et opérationnelles, a été réalisé grâce à ce système de veille installé par la DGED à différents endroits de nos frontières avec l’Algérie et la Mauritanie. C’est Yassine Mansouri lui-même qui supervise ce système, auquel ont été associés de hauts cadres marocains de la DGED. Les services secrets extérieurs marocains s’activent également avec une grande vigilance, en partenariat avec les autres services de sécurité, notamment les RG de la police, la Gendarmerie royale, la DST et la Division des Affaires Intérieures (ex-DAG) du ministère de l'intérieur, à resserrer l’étau sur les trafiquants de drogue, au nord et au sud-est du pays qui agissent dans le cadre de réseaux internationaux. 

            Le dernier communiqué du ministère de l'intérieur a indiqué  (mercredi  5 janvier 2011) que le réseau terroriste démantelé par les services de sécurité Marocains a des liens avec des éléments extrémistes dans des pays européens de nationalités différentes. Les investigations ont permis la découverte:
    ""d'un arsenal d'armes-Russe cachées dans trois sites près d'Amghala dans les confins du Sahara Marocain, composé de 30 mitrailleuses de type Kalachnikov, 3 pistolets mitrailleurs, 1 lance-fusil de calibre 82 mm, 2 lance-roquettes de type RPJ 7, de plusieurs munitions d'armes réelles, 66 coffres-forts et coffrets en bois pour armes et d'autres munitions, Ces investigations ont permis également la saisie de cartes topographiques de la frontière maroco-algérienne"".
            Les investigations ont démontré aprés que les contrebandiers  qui ont introduit cet arsenal d'armes et de munitions via Amgala bénéficiaient de l'appui de cinq militaires des FAR au niveau du mur de sécurité qui leur facilitaient l'introduction des produits de contrebande convoyés à dos de chameaux, en contrepartie de sommes d'argent, sans même en vérifier la nature, et qui n'ont aucun lien avec les réseaux terroristes et ignoraient totalement qu'il s'agissait d'un trafic d'armes.

            Cette cellule terroriste était composée de 27 éléments selon  le communiqué dont un maudit Marocain, membre d'AQMI chargé par cette organisation de créer une base arrière au Maroc et de préparer un plan pour y commettre des actes terroristes. Le même communiqué précise que les membres de cette cellule encadrée par le citoyen Marocain se trouvant dans les camps d'Al Qaida dans le nord du Mali, projetaient de perpétrer des actes terroristes à l'aide de ceintures explosives et de voitures piégées visant en particulier les services de sécurité  Marocains et étrangers installés au Maroc.

          Il s'est avéré de même  que les membres de cette cellule ont tenté de braquer des agences bancaires et des établissements de transfert d'argent à Casablanca et Rabat pour disposer des fonds nécessaires au financement de leur projet terroriste, soulignant que l'enquête préliminaire a démontré que cette cellule s'activait pour rassembler les membres de certaines organisations terroristes précédemment démantelées. La direction d'AQMI a confié cette mission à un de ses éléments qui résidait au Nord du Mali

           Le réseau terroriste démantelé projetait également d'envoyer des volontaires aux camps d'AQMI en Algérie et au Mali pour y effectuer des entraînements paramilitaires, (à l'instar des terroristes Franco-Algériens  ayant attaqué l'hôtel Asni de Marrakech en 1994) avant de retourner au Maroc pour exécuter leurs plans destructeurs en utilisant les armes découvertes près d'Amgala.
    Les services de sécurité et de la gendarmerie royale ont arrêté 4 membres de cette cellule à la frontière Est de notre pays, à Figuig et à Ahfir , alors qu'ils s'apprêtaient à s'infiltrer en Algérie pour s'évader du coup de filet. 

            Si je reproduis les propos du communiqué  du ministère de l'intérieur "tel quel est" , ce n'est pas par esprit  journalistique, non.. c'est pour  bien dire que  : Si nos officiels évitent de désigner au doigt l'implication directe de l'Algérie  par l'intérmidiaire de son GSPCA se réclamant en AQMI dans les affaires de cellules démentelées par les services de sécurité Marocains! Moi je peux le faire solennellement,  pour rappeler aux Algériens, qu'ils ne peuvent pas nous éxporter leur malheur terroriste, et s'ils pensent nous emmener à croire facilement que l'AQMI n'est pas le GSPCA  incrusté d'élements bien formés de la DRS..!, ils se trompent. Et j'ajoute  encore que le Maroc demeurera, malgré leur grande bouffée de haine qu'ils nous réservent, un phare luméneux et allumé tout le temps pour déjouer toutes les tentatives haineuses du pouvoir Algérien contre la quiètude du peuple Marocain. J'oserai aller plus loin que ça pour leur dire en arabe :  موتوا بغيضكم، فالمغرب سيبقى قلعة شامخة تتكسرعليها اطماعكم  

            Pour sa part, la rédaction du blog se réjouis constamment de gifler davantage les Algériens par toute sorte de vérité dévoilant l'origine de leur haine contre notre pays. Lisez  s'il vous plaît cet article  écrit en arabe, par Mr. ElArji Mabrouk, un journaliste Marocain, originaire parait-il du Sahara Marocain Oriental, demeurant à Casablanca. Sans oublier  bien sûr le reéchelonnement et la publication des faits soulevés par les révélations Wikileaks au sujet de l'Algérie.(article supprimé pour créer espace  aux paragraphes consacrés aux événements de la Tunisie).

            Pour en révéler plus de détaille, le site internet Wikileaks ne lâche pas la lest. Le premier secrétaire de l'ambassade Américaine à Alger tente cette fois-ci , selon un document américain publié par "le Monde.fr", de faire l'intéllegent diplomate puisqu'il écrivait de son coté une note à l'Américaine ouvrant un autre angle concernant les généraux d'Alger : -Les anciens militaires et la politique-, des ex-généraux qui constituaient un vrais lobby des militaires à la retraite Il s'éxplique dans une note  particulièrement à spéciale que :

    أزمة الصراع السياسي الجزائري بين اجنحة الحكم الذي يغلي على صفيح من نـــار؟ في مَرْجلٍ فوق مَنصٍب هشٍ                                 

            Les militaires à la retraite, généraux mis au placard, officiers supérieurs sans commandement, la scène politique algérienne connaît depuis des années l’intrusion de ces anciens officiers dans le débat public. Quitte à embarrasser l’institution militaire qu’on dit «irritée» par ces porte-paroles autoproclamés.  En l’espace de deux ans , plusieurs généraux à la retraite montent au créneau pour, dans la plupart des cas, vilipender le président Bouteflika et appuyer cette idée reçue que l’état-major de l’armée est hostile à une réélection du président-candidat pour un second ou un troisième mandat.

           Ces interventions brouillaient forcément le message du chef d’état-major de l’ANP, le général de corps d’armée Mohamed Lamari, qui devait non seulement gérer un canevas d’échéances internationales chargé (problèmes du Sahel, dialogue avec l’OTAN, coopération avec l’EUCOM, visites officielles à l’étranger), mais aussi se tenir régulièrement informé de l’agitation qui gagne la scène politique, dont les déclarations des anciens cadres de l’ANP(Armée Nationale Populaire!).

           Dans ce cas de figure, la tradition revient de droit à son prédécesseur, le général Khaled Nezzar, ancien ministre de la Défense et homme respecté pour ses prises de position en 1992, qui a publié non seulement trois livres, dont un critiquant Bouteflika qu’il avait soutenu en 1999 après une autre volte-face, mais qui est toujours intervenu à la hussarde dans des questions politiques. Si Khaled Nezzar en est devenu le chouchou des médias, nationaux et mêmes internationaux, avec son fameux leitmotiv «c’est moi qui ai arrêté le processus électoral en 1992", ses sorties publiques ont toujours mis dans l’embarras les chefs militaires (dont un remarqué sur le dossier du Sahara).

           Considéré comme porte-parole officieux de l’armée, du moins auprès des analystes, ces derniers voyaient en lui une voix «autorisée» mais officieuse qui pouvait dire tout haut ce que l’état-major pense tout bas, tout en sauvegardant les principes du fonctionnement institutionnel généré  pratiquement dans les meilleurs des cas, par « corruption, abus de pouvoir, détournement et dilapidation de deniers publics (militaires), abus de confiance, falsification de documents officiels et administratifs, et que personne ne pouvait dire un mot là-dessus».

            Or, l’inconvénient, au-delà du rôle tenu par Nezzar, dont le franc-parler est connu dans l’ensemble des casernes où il est passé, est que d’autres généraux lui ont emboîté le pas, souvent avec moins de charisme, pour intervenir dans le champ politique, non en tant qu’experts militaires mais en tant qu’anciens officiers supérieurs de l’armée. Il en est ainsi du général Jouadi, qui multiplie les attaques contre le président Bouteflika, du général Benyellès, dont la candidature avortée a prêté à équivoque, ou encore du général Benhadid, le nouveau venu dans le cercle des retraités médiatiques de l’armée, qui a déclenché des attaques mystérieuses contre le ex-chef de cabinet de la présidence, Larbi Belkheir, et appelle à voter Ali Benflis, ancien protégé de celui-ci !

             Tous ces généraux à la retraite - on évoque une quinzaine qui ont fait ouvertement de Ali Benflis leur «poulain» - entretiennent l’illusion que l’état-major de l’armée cautionne leur démarche, quitte à azimuter davantage le message de neutralité du haut commandement qui a eu le mérite de s’exprimer par trois fois. La discipline et la cohésion au sein du corps militaire n’étant pas une légende, du moment que l’ANP a démontré une solidité impressionnante lors des années de terrorisme, est battue en brèche par ces interventions.

           Le conflit d’intérêt qui s’en dégage provoque un malaise au sein de l’opinion publique algérienne. Ces généraux, qui ont la particularité d’être pratiquement tous recyclés dans le milieu des affaires, un «droit» consacré par le système Chadli Bendjedid, ont fini par constituer un lobby d’influence hétéroclite mais pesant sur le débat public, notamment celui qui concerne le retrait de l’armée des affaires politiques. La jonction avec de grands industriels en manque de parrainage et de caciques grabataires de la «société civile» qui tient table ouverte à Moretti, renforce encore plus cette image, combattue par l’ANP, d’une institution rentière et corrompue.

           Selon un récent sondage de l’institut Abassa, seulement 20% des Algériens croient que l’ANP est un corps où se propage la corruption. Ce qui dénote qu’entre les «généraux-containers» et les généraux probes, cliché véhiculé par une certaine presse étrangère, les Algériens ont largement tranché le sujet. Il n’en est pas de même d’autres militaires qui alimentent le débat public avec des analyses constructives allant dans le sens souhaité par l’état-major. Le cas du général Mohamed Touati, dont les interventions sont concertées et qui reflètent la substance des rapports armée-classe politique, qui sont souvent en la défaveur de cette dernière.

            D’autres généraux à la retraite, par contre, qui ont eu une aura considérable au sein du corps constitué, tel que le général Mohamed Betchine, ne se sont pas livrés aux médias malgré les crises politiques. Ainsi, l’intrusion de ces militaires à la retraite équivaut à créer une cacophonie telle qu’elle peut paralyser les messages que peut envoyer l’armée. L’institution considère qu’elle est assez stable et rodée aux attaques  directes pour ne pas répliquer à tout intervenant. Elle suppose également que le droit de réserve et l’esprit républicain l’emportent sur la passion politique.  Mais ce message ne semble pas être arrivé à ses anciens cadres qui s’acharnent sur Bouteflika, au nom de leur appartenance mais surtout en envenimant le bon fonctionnement institutionnel. Ce qui fera dire à un observateur averti que «ces généraux qui sont à la retraite représentent à peine leur petite personne».                                                    

            La pagaille impardonnable la plus grave qu'a commis le Sieur Bouteflika, gaspillant le fonds public Algérien sans le consentement de son parti FLN, ni de  son pauvre peuple opprimé, c'est qu'il s'est montré trés généreux avec ses anciens colons.  Par dilapidation incontrôlable des derniers publics, il aurait financé des partis politiques français.  Des dirigeants Algériens, dont le frère du président Said Bouteflika, auraient détourné une cinquantaine de millions d'euros de la banque Centrale d'Algérie (Une banque publique, dite banque nationale) à leur profit mais aussi pour financer  sur ordre de Bouteflika lui même des partis politiques français, selon un télégramme diplomatique américain obtenu par WikiLeaks et publié par El Pais.

            Ce télégramme de juillet 2009, en provenance de l'ambassade des États-unis en Algérie, repris par le site internet du quotidien espagnol "Al Pais" s'appuie sur les dires d'un responsable anonyme de la Banque centrale d'Alger. Son auteur mentionne l'ancien président français Jacques Chirac et son successeur Nicolas Sarkozy parmi les bénéficiaires de ce financement politique, tout en affirmant ne pas être en mesure de vérifier la véracité de ces allégations.

           Contacté par un chroniqueur Reuters, l'Elysée n'a pas souhaité commenter cette note, qui fait partie de quelque 250.000 télégrammes diplomatiques que le site internet WikiLeaks s'est procuré et qu'il a entrepris de publier en collaboration avec plusieurs quotidiens européens, dont El Pais. La direction de l'UMP, (Union du Mouvement Populaire) parti fondé par Jacques Chirac et que présida par la suite Nicolas Sarkozy, a pour sa part estimé qu'il s'agissait de "on-dit" ne reposant sur aucune preuve.

          "Nous ne faisons pas de commentaire parce qu'il n'y a pas lieu d'en faire", a dit à Reuters le service de presse du parti présidentiel. "Ce ne sont que des on-dit et des allégations, il n'y a aucune preuve. L'ambassade américaine le dit elle-même. Selon cette note diplomatique, l'affaire du détournement de la  Banque d'Alger a été découverte à la faveur d'un  pseudo-audit interne, dont le résultat se repose sur les étagères  poussièreux au placard présidentiel au palais d'ElMoradiah d'Alger. Selon la source de l'ambassade, de hauts responsables Algériens, dont l'ancien président  du gouvernement Ali Ben Flis, son adverse Abdelaziz Belkhadem au nom du parti l'FLN, et le petit frère de Bouteflika "Said Bouteflika" ont  largement bénéficié du détournement", peut-on y lire.                                                               

            Je termine exceptionnellement cet épisode pour dire que : Les Marocains, toute tendance confondue,  conscients du gigantesque soulevement populaire qui a secoué la Tunisie, et qui  se déplacera pour toucher bientôt l'Algérie "Incha allah". Ils apprécient hautement la vigilance dont ont fait preuve les différents appareils sécuritaires Marocains pour défendre la sécurité et la stabilité du pays, appelant tout citoyen Marocain, où il se trouve, et d'où il vient, à plus de circonspection et collaborer sérieusement avec nos services de sécurité pour stoper l'ingérence terroriste Algérienne dans notre pays et pour défendre les intérêts suprêmes de la Nation.

            Les Marocains qui ont suivi avec forte préoccupation les événements majeurs et dramatiques qu'a connus, ces derniers jours, la Tunisie   expriment leurs sentiments de solidarité profonde, vive et sincère avec le peuple Tunisien dans son ensemble, en cette période cruciale et délicate de son histoire". Ce peuple frère qui offre aujourd’hui l’image d’un pays qui se réveille d’une griserie révolutionnaire et prend conscience de l’ampleur de la tâche qui l’attend pour restaurer la paix civile, reconstruire la scène politique, détruite par 23 ans de dictature atroce.

            Je dois rappeler à cette occasion aux frères Tunisiens et à tous les visiteurs internautes, que les régimes autoritaires survivent entre autre grâce aux milices qu’ils mettent en place et qui assurent la terreur et les basses oeuvres. C’est  le cas de Tunisie. L’ex-président est parti, mais il laisse sur place les «desperados», (des hors-la-loi), qui deviennent ses hommes de main. Tous les régimes de ce type laissent derrière eux des bandes organisées par leurs gens perdus, qui savent leur fin proche. Ils sont prêts à tout. Ils sont armés et dangereux. Les Tunisiens le savent. Ils se sont organisés en comités locaux d’auto-défense pour que « La Tunisie..,le pays touristique développé dans toute l'Afrique du nord,  ne devient pas la proie de bandes cagoulées, de vols et d'incendie criminels»


            Ces milices  semeront le désordre, et  tenteront de mettre le pays au bord du chaos afin de susciter une réaction autoritaire de l’armée pour comploter éventuellement, ou de créer un appel d’air pour un retour du président déchu A moins, comme le supposent les commentateurs de diverses chaines-tv satéllitaires, que ce ne soit qu’un "baroud d’honneur". Les risques de contre-révolution sont donc réels.

             Les milices dans le cas de Tunisie pourront trouver de l’aide auprès du dictateur à leur Est, comme elles pourront être parrainées et manipulées "aux fins de débordement" par celui de l'Ouest.  Le premier qui a soutenu ouvertement l’ex-président, a désapprouvé de manière directe le changement de régime chez son ex-voisin Ben Ali. Tandis que le second qui vibre sûrement dans son palais d'ElMoradiah d'Alger, ne restera jamais sans bouger pour éviter la contamination. La preuve en est là!  Malgré la fermeture dans ces circonstances de sa frontière devant des milliers de Tunisiens,  5 jeunes Algériens déespérés se sont déjà immolés ou presque, et les immolations vont se multiplier en imitation du jeune Tunisien le defunt Mohamed EL Bouaâzizi de Sidi Bouzid au centre-Ouest de la Tunisie, malgré que les autorités Algériennes  en procèdent discretement au controle  des SMS, et à la censure partielle de l'internet pour limiter  au maximum l'accés  des Algériens au site social Facbook qui constitue le moyen de contact propice aux incitations.

             A cet effet, il appartient donc aux frères Tunisiens d'êtres trés vigilants  se méfiant  surout du régime Algérien qui se sent déjà dans le collimateur. Une ère nouvelle de liberté vient de s'ouvrir devant eux et sont appelés à la préserver, même si cela devra coûter, ou plutôt imposer d'autres sacrifices. Bonne lecture.

                                                    Cordialement,Chihab25                                                                

    A suivre...

    (*)La rédaction procède continuellement à la mise au point gramaticale et à la correction de la frappe du texte. Et présente ses excuses à ses lecteures internantes.