Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • 1/2.-Algérie:Enrouler son opinion publique locale est la seule réforme qui émane de BOUTEFLIKA !!

                                                                     

    ATTENTION : L'ALGERIE VA EXPLOSER, LE COMPTE A REBOURS COMMENCE D'ICI PEU.! (Attachez vos ceintures..! ou plutôt, cachez-vous du risque de déflagrations).

    ((..Bouteflika aurait été hospitalisé à l’hôpital militaire Parisien du Val-de-Grâce, mi-septembre, en rapport avec son hospitalisation dans ce même établissement pour une hémorragie gastrique en 2005.

    Six ans que cela dure. Que les rumeurs sur l’état de santé du président algérien succèdent aux démentis du gouvernement, se bornant à affirmer qu’Abdelaziz Bouteflika va bien, et est toujours capable de gouverner? On a remarqué, à cet effet la sortie spéctaculaire de la télévision algérenne qui le présentait en bonne santé en recevant dernièrement le premier ministre et ministre des Affaires étrangères de l’Etat du Qatar, cheikh Hamed Ben Jassem Ben Jaber Al Thani. Une source de presse algérienne affirmait de nouveau que Bouteflika (74 ans) a subi des examens médicaux durant une semaine en France à la mi-septembre. Selon le quotidien algérien «El Khabar», il se serait précisément envolé le 14 septembre de l'aéroport militaire de Blida, au sud de la capitale Alger, en direction Paris, avant d’être pris en charge «dans une clinique privée à la périphérie de la capitale française».Bouteflika se serait fait escorter par quatre personnes: son frère, le chef du protocole à la présidence, un haut officier des services de renseignements et de sécurité(DRS), et un officier militaire de la garde présidentielle. Il serait depuis en convalescence au Palais présidentiel d’ElMouradia d'Alger, et se tiendrait quelque peu écarté des affaires publiques. Aucune précision quant à la durée de cette convalescence..))  Cela confirme qu'il y en a en algérie une vacance d'autorité.Un ingrédient majeur de plus qui justifiera éventuellement l'explosion et l'éclatement de l'algérie.

                   Mais toujours selon la même source, ces examens seraient en rapport avec son opération pour un «ulcère hémorragique à l'estomac», subie en décembre 2005 à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce, à Paris. C’est donc ce qui expliquerait son absence  à l'actuelle session de l’Assemblée Générale des Nations unies l. Pourtant, l’agence APS (Agence Press Service) organe de l'Etat faisait état, comme si de rien n’était, d’une réunion qui se serait déroulée ce 27/9/11 entre Bouteflika et le président du Conseil des ministres Qatari. En 2006, déjà, quand il avait été de nouveau hospitalisé en France, officiellement pour un suivi post-opératoire, ses services avaient tenu à minimiser l’événement.

    Un ras-le-bol qui s’étend  en ce moment en Algérie.

    Secret médical entourant les chefs d’Etat contre spéculations: En février dernier, un câble diplomatique dévoilé par  WikiLeaks via le quotidien espagnol «El Païs», affirmait que le président algérien était atteint d’un cancer gastrique terminal. «Un médecin, au fait de la santé de Bouteflika a affirmé également dans la plus stricte confidentialité que le président souffrait d'un cancer –comme cela était largement soupçonné– mais qu'il était actuellement en rémission, autorisant le président à remplir sa fonction», rapportait notamment l'ambassadeur des États‑Unis à Alger de l'époque, Robert Ford, dans ce document. Il ne lui resterait que quelques années à vivre.

    Suite à cela, les rumeurs se sont multipliées, alimentées par le silence du septuagénaire. Le 15 avril dernier Abdelaziz Bouteflika a finalement fait sa première apparition en trois mois, pour annoncer son intention de réaliser des réformes législatives et d’amender la constitution de 1996 pour endiguer le mouvement de révolte inspiré des révolutions tunisienne et égyptienne, libyenne, syrienne et yemanite. Il est néanmoins apparu très fatigué, relançant la polémique sur sa capacité physique à terminer son mandat en 2014. En outre la lassitude de plus de 13 ans de Bouteflika gagne du terrain. Les scandales de corruptions auquel il est mêlé, ainsi que sa manière controversée de s’accaparer le pouvoir, l’ont desservi.  Rappelons que le successeur de Liamine Zeroual a fait réviser, avec l’accord de l’armée, la Constitution en 2009 pour obtenir un troisième mandat, que nombre d’opposants estiment frauduleux. Enfin, ses réformes et promesses de réformes arrivent trop tard (le 24 février, l'Algérie a notamment officiellement levé l'état d'urgence en vigueur depuis 19 ans, répondant ainsi à une exigence de l'opposition dans le contexte du printemps arabe).Point final

                                                                                                --------------------------                                                                              

    D'autre part, avant de passer au vif de ce sujet, la rédaction vous invite à regarder une autre connerie algérienne. Cette fois-ci de haut niveau. Il s'agit d'un coup de théatre déshonnorable pour Bouteflika issu de l'intérieur de la présidence algérienne:

    Appel à la révolte en algérie, le 17/9/2011, était une manipulation d'Etat. Une grosse erreur du locataire du palais d'ElMoradia d'Alger et une défaillane impardonnable de ses services secrets (les plus intéllegents au monde, selon la version algérienne? et les plus sales-cons au monde à mon sens)

    Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte

    Selon la presse locale algérienne«Il s’agit d’une machination orchestrée en haut lieu par les proches du Président Bouteflika. Tout a été fait à son insu !» révèle à la presse locale algérienne une source proche de la présidence algérienne.

    L’appel lancé sur le réseau social facebook appelant les algériens à la révolte, le 17 septembre2011, contre le pouvoir en place a suscité plusieurs interrogations. Différentes hypothèses ont été avancées auparavant sans arriver à mettre la lumière sur cet étrange appel. Tous les ingrédients étaient réunis pour faire croire à un complot dirigé de l’étranger. Cependant, il s’agirait d’une savante manipulation cuisinée en très haut lieu, dont l’objectif est de désamorcer d’éventuelles révoltes en Algérie en les présentant automatiquement dans l’opinion publique algérienne comme un «complot étranger» impliquant particulièrement les sionistes et les Marocains, en égalité sur la même échelle, faisant de celà un porte-manteaux servant à supporter toutes les défaites de la diplomatie algérienne?. Selon les faits, un actuel conseiller à la présidence de la république  algérienne (?) eu recours à un ancien limier (chien policier) du pouvoir pour mener une action des plus audacieuses.

    Les ingrédients revèlent que: Les instigateurs auraient fait appel aux services d’une grande agence américaine de communication et de lobbying dirigée par un Expert de haute gamme, connu dans le milieu des relations internationales. «La première rencontre a eu lieu à Paris en juin dernier, les deux hommes(le conseiller et le chien) avaient exposé la problématique à l’expert américain. Il a demandé un temps de réflexion». Quelques jours plus tard, cet expert aurait pris attache avec les initiateurs algériens, ils se sont donné rendez-vous à Dubaï cette fois-ci. «L’expert a présenté trois plans d’action à ses clients algériens, la campagne intitulée «Appel à la révolte le 17 septembre» a charmé les deux algériens, pour cela l’expert américain a détaillé les raisons (signification, symbolique des dates et les objectifs).

    En parfait connaisseur, l’expert a su établir un diagnostic de la société algérienne, le profil des ciblés et les moyens d’y parvenir, le tout avec son implication directe auprès de certains acteurs politiques de la région nord-Africaine pour d’éventuelles déclarations, afin d’étayer la thèse du complot, mais aussi avec la collaboration d’experts en informatique et réseaux pour effacer toute trace des adresses IP et de géolocalisation», expliquait la source d'information sur laquelle notre rédaction se basait sur ses investigations. Ce qui explique les déclarations d'un dirigent libyen du CNT : «Il y aura une révolte le 17 septembre, je pense!». Ou encore la déclaration de Mr. Khalid Naceri, le ministre marocain de la communication en réponse à une question sur l’implication du Maroc  dans cette affaire. « Rejetant catégoriquement cette accusation tendancieuse algérienne».

    Selon les observateurs, cette page a été boostée : «Je pense que tout cela a été fait avec la collaboration de quelque technicien de la plate forme algérienne, puisque le lien promotionnel de la page apparaissait systématiquement à tous les adhérents et visiteurs algériens, disait un journaliste algérien d'El Watan dz. Confirmant également qu’une transaction commerciale de ce genre avec son journal n’a pas été faite, néanmoins ce genre d’opération peut être réalisée ailleurs, notamment aux États-Unis avec  QG de presse».D’après les analystes internautes, il y avait un flux anormal sur cette page, alors qu’il ne s’agit pas d’un lien commercial ; ce qui pousse à supposer que cela serait programmé ailleurs, par l'expert américain par exemple!.

    Pour revenir à la «campagne du 17 septembre», les deux initiateurs auraient, selon la presse algérienne (El Watan et le Matin.dz) chapeauté un plan d’action interne, des hackers ont été engagés pour s’attaquer au site internet d’Al Jazeera, à sa page facebook. Des pseudo-internautes, avec des nicknimes différents,ont été aussi engagés dans cette opération, le tout relayé par une campagne effrénée dans la presse proche du pouvoir. Depuis le mois d’août,   On a assisté à une campagne enragée sans relâche contre la chaîne Qatarie «Al Jazeera», le CNT libyen et contre le Maroc.Le philosophe franco-Israëlien Henri Lévy lui n'a pas échappé, il  a été aussi la cible de cette campagne pour évoquer le «complot sioniste». Tout le monde a été mené en bateau, même le DRS algérien (Intéllegence Algérienne) aurait été trompé dans cette histoire dirigée minutieusement, parait-il, par d'autres limiers de la caserne de Ben Aâknoune. Des réunions intenses au sommet ont eu lieu dans toutes les directions algériennes des services de sécurité pour parer à d’éventuels dérapages ou mouvements de foules. Aucun responsable politique ou sécuritaire de l'entourage de Bouteflika n’a été mis au courant de cette opération» attestent les deux journaux algériens précités.

    Le plan d’action livré par l'expert américain en communication avait toutes les chances d’aboutir, puisque la stratégie repose,selon les deux sources algériennes, sur la haine «des juifs, des sionistes et des Marocains!»tel que?.Ces déclarations injurieuses et déffamatoires contre nous Marocains signifient que les algériens avec leur presse sont arrivés dans leur haine contre notre pays au degré le plus haut. Les médias et les appendices du pouvoir algérien ont dopé à coups d’articles antisémites les Algériens, jusqu’à rejeter cet appel puis il y a eu la contre-révolte sur les réseaux sociaux, la presse et même dans les discussions de rue. Les services de sécurité, tous corps confondus, ont alors traqué des internautes algériens dans diverses localités algériennes. Des convocations auraient été distribuées et des interpellations par le DRS auraient été perpetrées un peu partout sur le territoire algérien. Dans l'autre clan, l'opération est réussie, une fête aurait été organisée dans une villa sur les hauteurs d’Alger…

    La main de l’étranger s’avère bien de chez vous mes chers cons algériens! Vous devrez bien noter que notre silencieuse DGED (Direction Générale d'Etudes et de Documentation) ne peut se permettre de commettre ou négliger, par expérience professionnelle, un tel acte de traîtrise interne impardonnable. On dit chez nous au Maroc : «C'est l'âne qui mange le foin de sa sellette» et c'est votre càs mes chers dingues algériens.«?».

                                                                       -----------------------------

    Pour enrouler son opinion publique locale le pouvoir algérien a soufflé à l'oreille du chroniqueur, éditorialiste et rédacteur en chef de sa presse pour chercher comment s'y prendre de la situation sécuritaire aux pays du Sahel loin des préoccupations sécuritaires internes des algériens.L'APS (l'agence de presse officielle de l'algérie) vient de publier à cet effet dans une de ses dépêches une information sur le lancement prochain d'un FMLA (Forum Mondial de Lutte Anti-terrorisme) et s'est réjouit d'annoncer aux algériens et au monde que l'algérie est membre fondateur, cela ne serait que pour détourner en premier lieu l'attention des algériens de la situation de tension qui prévaut en algérie.

    L'Algérie ne peut pas jouer avec les grands ou de s'approprier d'un tel honneur pour abriter une organisation mondiale  anti-terrorisme de grande envergure, et pourtant Morad Mdelci, le chef  de la diplomatie algérienne, qui endossait des défaites diplomatiques récentes, connaît trés bien qu'il ne peut pas traîner les gendarmes du monde(USA,FR,GB) à la portée de son petro-dollars, comme il peut le faire facilement avec les  pauvres présidents des pays du Sahel .

    Une tentation inacceptable par la comunauté internationale, selon l'analyse d'une journaliste Américaine sur le site internet «Houston Records», propos rapportés par je journaliste Claude PORCELLA, correspondant permanent de la radio Medi1 à Washigton dans «ses faits marquants», analyse similaire partagée aussi par le site internet Français «geotribune.com», du fait que le régime algérien s'est montré trés généreux avec Kaddafi en se mobilisant  pendant les six mois de combat en Libye pour  engager le  Polisario dans le conflit Libyen et recruter des mercenaires de l'Afrique noire pour appuyer le régime Kaddafi contre les rebelles et contre la raison menée par le CNTL(Conseil National de Transition Libyen), accueillant en fin de compte, sur son sol, les membres déserteurs de la famille Kaddafi.

    Le régime algérien doit d'abord «balayer devant sa porte avant d'aller faire autant devant la porte d'autrui».(la logique).Durant une séance de concertations entre Kaddafi avant sa chute et les chefs de tribus qui lui portent allégeance et dans un geste de soutien moral à Kaddafi, Abdelaziz Belkhadem,le ministre d'état algérien, représentant personnel de Bouteflika, chef du parti du président l'FLN, recteur de la république et le passe-partout, qui était présent pour la circonstance, s'est vu capté par la caméra de télévision entrain de dire à Kaddafi avec beaucoup d'amertumeلعنة الله على الديمقراطية ».

     Dans un autre volet le pouvoir algérien multipliait ses déboires en misant sur un cheval perdant et se tenant au coté de l'ex-régime Kaddafi, ce qui prouve que l'algérie, malgré tout, était présente sur le champs pour soutenir le gouvernement de la Jamahirya..  

     A travers un discours adressé par un de ses membres, Sadik Bou Guataia, et retransmis sur AVB «Africa Voice Brodcasting», le Front de Libération National Algérien a salué le peuple libyen pour son courage, sa fermeté et sa cohésion avec son leader Kaddafi face à l’agression coloniale barbare de l’OTAN et des traîtres libyens.

     Les libyens, disait-il, qui sont sortis massivement pour manifester dans Tripoli et les régions voisines envoient un vrai message au monde selon lequel ils ne reculeront jamais face à l’agression croisée coloniale de l’OTAN. Les manifestations massives de millions de personnes tenues durant le mois de juillet 2011 dans la ville de Tripoli, sur l'ex-place verte et face à Bab El Azizia sont un message claire envoyé au monde par les libyens, qui montre la véritable démocratie qui règne dans le pays et que le peuple libyen est déterminé à suivre son leader  Mouaâmar Kaddafi et à préserver l’unité du pays.Fin de citation.

    Contrairement à ce mensonge algérien, le monde était au courant, nous y sommes aussi au Maroc, de la manièrre dont Kaddafi pratiquait pour rassembler les millions de gens dont il faisait allusion cet algérien.Les milices de "Zeiff" L'islam et pas "Seif" (le fils ainé de Kaddafi) engageaient à 500 Euros/jour, toute la main d'oeuvre étrangère qui éxistait (bloquée) à Tripoli et banlieue et qui s'est jetée brusquement en chômage téchnique, en plus les habitants de la ville,dont la majorité était contrainte de crier "Kaddafi" et hisser les banderoles d'appui et les petits drapeaux verts.(Deux Marocains de la localité de Tinjdad dans la province d'Errachidia au Maroc qui y étaient bloqués à Tripoli, ont confimé celà à leurs familles qui les invitaient à rentrer et ajouté qu'ils ne pouvaient pas rater cette occasion généreuse et qu'ils  y béneficient eux aussi de cette offrande kaddafienne !).

    Pourquoi l'algérie avait-elle soutenu le régime Kaddafi? La réponse à mon sens est simple.Le pouvoir des généraux voulait éviter les flammes de la révolution Libyenne d'atteindre les portes d'ElMoradia, de Ben Aâknoune et de Beni Messous! Pour mieux comprendre la position algérienne concernant la Libye, lisez ce passage en arabe.

                                                النار تصل إلى لباس جنرالات الجزائر

    كان طبيعيا أن يتصرف حكام الجزائر على النحو الذي تصرفوا به منذ اندلاع الثورة الليبية، فقد رفضوا تغيير النظام الليبي وسقوط العقيد، لأن ذلك سيعطي سندا ضافيا لتحركات واحتجاجات الشعب الجزائري، ويبعث في الشعب الجزائري رهانات التغيير، بعد سقوط نظام بنعلي في تونس، وسقوط الرئيس حسني مبارك في مصر، واعتراف العديد من الدول الكبرى بالمجلس الانتقالي الليبي، وكذا اعتراف المغرب به وانخراطه منذ بداية الثورة إلى جانب الثوار..؟ علما أن أكبر هواجس النظام الجزائري، هو الإبقاء على الشارع الجزائري في حالة تأزيم، وعدم تمكينه من قياسه وضعه بأوضاع الدول العربية الثائرة، أو التي غيرت الثورة أنظمتها السياسية.  
    إن إسهام الانتفاضات الشعبية في إسقاط ثلاث ديكتاتوريات عسكرية بوليسية في كل من تونس، ومصر، وليبيا، ليس بالأمر السهل ولا العابر الذي لن يترك أثره على الشعب الجزائري، وهذا مبرر ضاف للسلطات الجزائرية  للتعبير منذ البداية عن خوفها من حصول ثورة مماثلة في الجزائر،  سيما وأن شروط اندلاع الثورة من تفاقم البطالة واحتدام الأزمة الاقتصادية والاجتماعية التي يعيشها الشعب الجزائري، وحرمانه من عائدات الثروة النفطية الكبيرة، والاغتناء المريب للطبقة السياسية الحاكمة، يشكل شاغل الجزائريين.

     إلا أن ما زاد أكثر من مخاوف حكام قصر المرداية في الجزائر، خوفهم من فراغ السلطة في البلاد، أن الرئيس بوتفليقة أصبح شبه غائب، بسبب المرض والشيخوخة، إضافة إلى أن النظام الجزائري يصعب عليه مباشرة التغيير الديمقراطي في بلاده، لأن أي تغيير كيفما كان منسوبه ودرجته ونوعيته، وفي الظروف التي تعاني منها البلاد، يعني انهيار نظام سياسي بأكمله، وأخيرا اعتبار النظام الجزائري في وضعية المحاصر بعد وجود قوات الناتو في ليبيا، والجيش الفرنسي في موريتانيا، مما سيؤدي لا محالة إلى تغيير التوازنات في المنطقة، وهذا أمر غير مقبول. Bonne lecture.

                                                               Cordialement,Chihab25

     (A suivre...)