2/3.) Kerry Kennedy et les acrobaties de l’Algérie.
Flash :Les Lions écrasent les vipères. Encore 4-0:
Depuis un peu plus d'une année,(16 mois au juste) Marrakech qui était le théâtre d'une victoire solennelle des Lions de l'Atlas contre les fennecs d'Algérie, en Juin 2011, MAROC-Algérie 4-O. Marrakech aujourd'hui, en octobre 2012 était au rendez-vous, elle récidive par un autre éclat TAOUSSI. Le MAROC-Mozambique 4-O.C'est ainsi, la FRMF doit baptiser la ville ocre, «ville rempart de victoires» et le nouveau stade de Marrakech est digne de porter désormais le nom de «Stade 4-0
oOo
Affaire Kerry Kennedy,(Suite..
Mr.Driss El YAZAMI,président CNDH, recevant Mme Kerry Kennedy
Kerry Kennedy dort chez les séparatistes..!
Kerry Kennedy, en éffectuant sa visite à nos provinces du sud, du vendredi au lundi 27 aout. Elle menait une délégation. Plus que le Polisario, c’est l’Algérie qui semble très satisfaite de cette visite. En fait, il y a de quoi. La présidente de l’ONG américaine a préféré être logée par la séparatiste Aminatou Haidar qu’elle connaît très bien. Elle lui avait déjà remis un trophée,(un jouet) il n’y a pas longtemps. Du coup, personne ne peut s’attendre à un rapport de mission objectif et dénué de parti-pris. L’objectif de l’ONG semble plus être de faire valoir le point de vue des séparatistes. Les organisations internationales, dont l’ONU, le Conseil de sécurité, devraient par conséquent prendre le rapport du groupe d’ONG-Kerry comme un acte engagé et non comme un travail d’une tierce partie, censé révéler la réalité de la situation dans le Sahara Marocain et auprès des Marocains séquestrés dans le Sahara d'algérie.
Faut-il s’attendre à des miracles du rapport que ne manquera pas de publier la Fondation Robert F. Kennedy ? Déjà le comportement de sa présidente, laisse beaucoup à désirer, plutôt à deviner de quel côté, il va pencher. Au Maroc, la délégation et K. Kennedy a rencontré les séparatistes qui ont du exposer leur thèse. Ni les officiels, ni les nombreuses associations et nombreux acteurs qui sont pour la souveraineté marocaine n’ont été consultés. La première étape était donc déjà significative. La tendance allait être se confirmer aussi, lorsque la délégation a rencontré les officiels et négligé les opposants à Tindouf. Les officiels c’était surtout Mohamed Abdelaziz, Lmarrakchi (alias Hammati) chef indéboulonnable du polisario. Il ne serait donc pas inutile de se poser des questions sur les raisons véritables de la visite de l’ONG américaine. En tout cas, vu le déroulement de la visite, cela a plutôt l’air d’une mission de messagerie entre les séparatistes et le chef du polisario. Kerry Kennedy a-t-elle joué le rôle du facteur ?
La visite de Kerry Kennedy, entamée dans les camps de Tindouf fin août 2012 s'est achevée en queue de poisson et avant même la date initialement prévue. Marquée par des mesures de sécurité exceptionnelles décrétées par les dirigeants du mouvement séparatiste, ces mesures dont l'objectif réel était d'interdire aux révoltés des camps d'approcher les membres de la délégation, étaient décrites par le Polisario comme étant préventives contre d'éventuelles menaces terroristes qui planent sur la responsable de l'ONG américaine que les médias algériens ont déclaré menacée par Al-Qaïda, une autre manière, estiment certains observateurs, de nier les rapports qu'entretiennent les deux mouvements.Ces observateurs ajoutent mêmet que si le Polisario entretenait des relations avec le mouvement islamiste, celui-ci ne menacerait pas d'enlever celle qui ne fait pas mystère de son soutien absolu aux thèses des séparatistes sahraouies.
Panique à Rabouny et confusion chez Khadija Hamdi¹.
Les observateurs ont, également constaté que, contrairement au programme préétabli, les responsables du Polisario se sont abstenus de lui organiser une visite du camp de Rabouni, siège de son pseudo-gouvernement.Plusieurs contestataires et opposants à Mohamed Abdelaziz s'y sont rassemblés, dès la matinée du 29 août dans l'espoir d'y rencontrer Kerry Kennedy afin de la sensibiliser sur leur calvaire et sur les violations des droits de l'Homme dont sont victimes les membres de leur famille. Des détenus politiques croupissant dans les geôles du Polisario, des journalistes récemment limogés de leurs postes par le pseudo-ministre de l'Intérieur pour avoir osé critiquer Mohamed Abdelaziz, étaient également de la partie. Il y avait aussi parmi ces opposants, un dissident notoire, qui menaçait de remettre à la responsable américaine une documentation compromettante mettant en cause les agissements délictueux de certains responsables du Polisario. Il faut noter que la visite de K.K. survient dans un contexte local caractérisé par une exacerbation de la tension dans les camps du Polisario sous le double effet de la montée en puissance des groupes contestataires, surtout par le mouvement opposant qui s'est donné le nom de "5 Mars" qui manifeste en permanence depuis le mois de mars de l'année 2011, pour dénoncer les déviations politique des séparatists du polisario, devenus incapables de répondre aux aspirations des jeunes générations des camps, ainsi que par les nombreuses infiltrations d'éléments terroristes et criminels liés à la branche maghrébine de l'organisation Al-Qaïda (AQMI) et son groupe dissident, le Mujao.
Un groupe comprenant dans ses rangs une quinzaine de séparatistes des camps dont Lahbib Idrissi surnommé Adnan Abou Oualid, Sahraoui, originaire des camps du Polisario qui occupe le poste de porte-parole du Mujao et dont la photo avait été diffusée par la chaîne Al Jazeera au début du mois d'avril 2012 serait, en effet, à l'origine de l'enlèvement de trois coopérants européens dont une Italienne et deux Espagnols.Enlèvement qui serait à l'origine de la décision prise au début du mois d'août 2012 par les gouvernements espagnol et italien de rapatrier l'ensemble des équipes humanitaires des camps du Polisario.
Les observateurs ont précisé que l'état d'alerte décrété dans les soi-disant wilayas des camps et le renforcement des mesures de sécurité et le redéploiement des unités militaires, algériennes et du polisario, officiellement destinés à prévenir des actes terroristes et criminels, visent, réellement à réprimer la vague de contestations prévue durant la visite de Kerry Kennedy. Cette tension s'est exacerbée par l'annonce du retour imminent à Tindouf de l'opposant Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud dont tous les membres de sa tribu, Labihatt, étaient maintenus en résidence surveillée par les milices du Polisario. Cependant, ces mesures n'ont pas empêché les rumeurs de créditer la thèse d'un enlèvement de Mme Kerry à Tindouf. Le site officiel du RFK Center s'est certes fondu d'un démenti, mais il n'en demeure pas moins que cette opération semble tenir d'une manipulation destinée à cacher le fait que cette dernière a été approchée par certains opposants(chefs de foyers indignés) qui ont réussi à braver les mesures prises par le Polisario pour lui remettre, en mains propres, un rapport accablant sur le détournement des aides humanitaires. A noter qu'en réaction au comportement des membres de la mission américaine et leur parti pris favorable au Polisario, des familles, dites "sahraouies!" qui se trouvaient à Smara dans le cadre des échanges de visites familiales organisées sous l'égide du HCR, ont choisi de ne plus retourner dans les camps.C'est le cas de Beiba Ould Ennafae et sa famille. Notable et ancien militaire du Polisario, il a déclaré : «La mission conduite par Kerry Kennedy n'a rencontré au Maroc qu'un ramassis de malfrats et de malfaiteurs multirécidivistes, se disant militants indépendantistes sahraouis alors qu'ils ne représentent personne et rien au Sahara Marocain». Par contre, Mme Kerry Kennedy a refusé de voir les vrais Sahraouis Marocains, les militants associatifs indépendants qui n'ont pas de liens avec le Polisario.Dans ce même ordre d'idée, «Libé» a reçu plusieurs communiqués d'acteurs associatifs dénonçant le parti pris de Kerry Kennedy. Ces acteurs agissaient au nom de leurs institutions respectives à Smara, Boujdour, Tan Tan, Guelmim et Assa Zag. Ils estimaient , entre autres, que l'ONG américaine s'est départie de ses objectifs afférents à la défense des droits humains en privilégiant une approche sélective (?) à l'égard des militants de la société civile dans les provinces du Sud. Une telle attitude, ajoutaient-ils, a remis en cause la crédibilité même du "RFK Center "et mis à nu son intention délibérée d'occulter les progrès démocratiques survenus dans tous les domaines et la dynamique de développement en cours dans les provinces du Sud du Royaume.Ils ont indiqué que l'accueil réservé aux membres de cette ONG et les facilités qui lui ont été assurées pour la tenue de rencontres avec les acteurs locaux sont «une expression sincère de l'engagement sans équivoque du Maroc en faveur des droits de l'Homme, fait qui suscite l'adhésion de l'ensemble de la société civile ainsi qu'un écho international favorable».
L'algérie a toujours du mal à laisser les observateurs étrangers sillonner les camps de Tindouf. Cette fois-ci, la visite d’observateurs étrangers a bien eu lieu, mais dans quel contexte…La délégation de Kerry Kennedy qui vient de passer plusieurs jours au Maroc et à Tindouf doit libeller son rapport, ayant été précédé par divers communiqués, que je n'ai pas eu l'occasion de les lire en totalité, laissant l'opportunité à qui de droit de nos analystes professionnels.
Un groupe comprenant dans ses rangs une quinzaine de séparatistes des camps dont Lahbib Idrissi surnommé Adnan Abou Oualid, Sahraoui, originaire des camps du Polisario qui occupe le poste de porte-parole du Mujao et dont la photo avait été diffusée par la chaîne Al Jazeera au début du mois d'avril 2012 serait, en effet, à l'origine de l'enlèvement de trois coopérants européens dont une Italienne et deux Espagnols.Enlèvement qui serait à l'origine de la décision prise au début du mois d'août 2012 par les gouvernements espagnol et italien de rapatrier l'ensemble des équipes humanitaires des camps du Polisario.
Les observateurs ont précisé que l'état d'alerte décrété dans les soi-disant wilayas des camps et le renforcement des mesures de sécurité et le redéploiement des unités militaires, algériennes et du polisario, officiellement destinés à prévenir des actes terroristes et criminels, visent, réellement à réprimer la vague de contestations prévue durant la visite de Kerry Kennedy. Cette tension s'est exacerbée par l'annonce du retour imminent à Tindouf de l'opposant Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud dont tous les membres de sa tribu, Labihatt, étaient maintenus en résidence surveillée par les milices du Polisario. Cependant, ces mesures n'ont pas empêché les rumeurs de créditer la thèse d'un enlèvement de Mme Kerry à Tindouf. Le site officiel du RFK Center s'est certes fondu d'un démenti, mais il n'en demeure pas moins que cette opération semble tenir d'une manipulation destinée à cacher le fait que cette dernière a été approchée par certains opposants(chefs de foyers indignés) qui ont réussi à braver les mesures prises par le Polisario pour lui remettre, en mains propres, un rapport accablant sur le détournement des aides humanitaires. A noter qu'en réaction au comportement des membres de la mission américaine et leur parti pris favorable au Polisario, des familles, dites "sahraouies!" qui se trouvaient à Smara dans le cadre des échanges de visites familiales organisées sous l'égide du HCR, ont choisi de ne plus retourner dans les camps.C'est le cas de Beiba Ould Ennafae et sa famille. Notable et ancien militaire du Polisario, il a déclaré : «La mission conduite par Kerry Kennedy n'a rencontré au Maroc qu'un ramassis de malfrats et de malfaiteurs multirécidivistes, se disant militants indépendantistes sahraouis alors qu'ils ne représentent personne et rien au Sahara Marocain». Par contre, Mme Kerry Kennedy a refusé de voir les vrais Sahraouis Marocains, les militants associatifs indépendants qui n'ont pas de liens avec le Polisario.Dans ce même ordre d'idée, «Libé» a reçu plusieurs communiqués d'acteurs associatifs dénonçant le parti pris de Kerry Kennedy. Ces acteurs agissaient au nom de leurs institutions respectives à Smara, Boujdour, Tan Tan, Guelmim et Assa Zag. Ils estimaient , entre autres, que l'ONG américaine s'est départie de ses objectifs afférents à la défense des droits humains en privilégiant une approche sélective (?) à l'égard des militants de la société civile dans les provinces du Sud. Une telle attitude, ajoutaient-ils, a remis en cause la crédibilité même du "RFK Center "et mis à nu son intention délibérée d'occulter les progrès démocratiques survenus dans tous les domaines et la dynamique de développement en cours dans les provinces du Sud du Royaume.Ils ont indiqué que l'accueil réservé aux membres de cette ONG et les facilités qui lui ont été assurées pour la tenue de rencontres avec les acteurs locaux sont «une expression sincère de l'engagement sans équivoque du Maroc en faveur des droits de l'Homme, fait qui suscite l'adhésion de l'ensemble de la société civile ainsi qu'un écho international favorable».
L'algérie a toujours du mal à laisser les observateurs étrangers sillonner les camps de Tindouf. Cette fois-ci, la visite d’observateurs étrangers a bien eu lieu, mais dans quel contexte…La délégation de Kerry Kennedy qui vient de passer plusieurs jours au Maroc et à Tindouf doit libeller son rapport, ayant été précédé par divers communiqués, que je n'ai pas eu l'occasion de les lire en totalité, laissant l'opportunité à qui de droit de nos analystes professionnels.
Cependant, pour moi et pour les Marocains, cette mission associative américaine ne pouvait plus être «objective ni crédible». Crime de lèse-majesté, puisque Mme Kerry et les membres de sa délégation se sont rendus au domicile de Aminatou Haidar, la véritable égérie des séparatistes de l'intérieurs. C'est pourquoi «la presse Marocaine de ce mercredi 29 août commentait,professionnellement, la mission de la "Fondation Robert Kennedy "dans nos provinces du sud, soulignant que cette dernière n’a pas réussi à faire preuve de crédibilité, de neutralité et d’impartialité, en épousant clairement les thèses des ennemis de l’intégrité territoriale du Royaume. Pourtant le 29 août, à l’issue d’un entretien qui s’est tenu entre Kerry Kennedy et le premier vice-président de la Chambre des conseillers, il était noté, dans un autre communiqué officiel que «Kerry Kennedy, qui a indiqué avoir rencontré des représentants d’ONG et des autorités locales dans la région, a assuré n’avoir pas de positions préconçues sur la situation des droits humains au Sahara Marocain». On verra par la suite que c'est la contradiction en clair!!
On reconnaît là une stratégie habituelle orchestrée par le pouvoir algérien de chercher à discréditer systématiquement celui -fut-il étranger- qui n’épouse pas d’emblée sa position officielle. « Pas de positions préconçues²» + rencontre avec des représentants ONG et les autorités locales de la région? sans faire allusion aux pro-séparatistes et à leur thèse d'indépendance..
Illustration : « Dès le premier jour de sa visite à Laâyoune, la présidente de la Fondation Kennedy a fait montre d’un manque flagrant d’objectivité, en privilégiant les rencontres avec des individus porteurs de la thèse séparatiste, au détriment des sahraouis unionistes qui crient à la provocation« , peut-on lire dans un autre communiqué officiel daté du 27 août.Il faut dire aussi que la publication par Kerry Kennedy sur le site de la fondation d’un texte relatant un incident survenu très vite, lors de son arrivée à Laâyoune, n’a sûrement pas beaucoup plu : Le compte rendu de ce pseudo incident,repris largement par les organes de presse algériens, inventant, que la délégation aurait constaté qu’elle a été suivie par «la police secrète, physiquement empêchée d’observer une attaque contre des manifestants pacifiques, insultée, et soumise à une campagne de désinformation largement diffusée visant à saper la crédibilité de la délégation».
Les algériens voulaient par cette polémique et ces tensions imaginaires remettre à table la question de la suite à donner à une vieille revendication portée par ses pays pions à l’ONU pour que "soit mis au point un dispositif de surveillance ,du respect des droits de l’homme et élargir les attributions de la MINURSO", les camps des séquestrés de Tindouf non inclus, bien sûr. La réponse à ce disque épuisé a été réaffirmée de nouveau, le vendredi 28 septembre à la tribune des Nations Unies par le discours Royal adressé à la 67-ème session de l'Assemblée Générale..Je rappelle aux algériens le contenu si leur mémoire est abîmée et qu'ils le disent,avec courage,dans leurs cabinets (au sens de WC) de presse: «Le Maroc demeure engagé et disposé à négocier sur la base des règles établies et maintes fois réaffirmées par le Conseil de sécurité, et à partir de l'initiative d'autonomie que la communauté internationale considère comme étant sérieuse, réaliste et crédible. De même qu'il poursuivra sa coopération constructive avec la MINURSO, sur la base du mandat qui lui a été assigné par le Conseil de sécurité et qui ne subira aucune modification, ni dans sa nature, ni dans son contenu»
Les opposants au Polisario mis à l'écart.
Pour aller vers la résolution du conflit, les algériens disent que tous les observateurs estiment que l’évolution de la position de pays comme la "France est essentielle". Jusqu’à maintenant, le pouvoir français a toujours refusé l’ajout de ce volet « surveillance des droits de l’homme » à la mission onusienne sur place depuis 20 ans, contrairement à d’autres pays comme l'Afrique du Sud, l’Ouganda, le Nigeria ou le Mexique!. Les articles fustigeant le comportement du Polisario qui a empêché la délégation américaine de « rencontrer dans les camps de Tindouf en toute liberté des milliers de séquestrés qui sont privés de leurs droits et libertés les plus élémentaires», comme on peut le lire dans les dépêches des agences de presse crédibles étaient déjà nombreux, avant même que le séjour de la mission se termine.
A noter que certains sites marocains évoquent le cas d’opposants au Polisario qui auraient été mis à l’écart pour ne pas être vus par la délégation US. Il est fait mention notamment du cas du chanteur, Najem Allal, qui dénonce dans une de ses chansons la corruption qui toucherait de hauts responsables du Front Polisario. Mais, certains sites ont même affirmé que c’est la délégation elle-même qui aurait refusé de le rencontrer. Concernant les camps de Tindouf, le pré rapport n’évoque pas «les conditions de vie (qui) ne sont plus acceptables et affectent gravement les vies (…) de plus de 100 000 réfugiés», comme le note Le Monde dans son édition du 5 septembre. De notre coté le chiffre de Cent milles réfugiés est trop exagéré par ce journal (fr) qui parfois, il dérape pour bien avaler l'appât des services secrets algériens.
Première gaffe de l'ONG Kerry Kennedy.
l'ONG Américaine, aurait publié lundi 3 septembre sur son site internet un rapport préliminaire sur la situation au Sahara Marocain, suite à sa visite du 24 au 27 août dans l'ex-colonie Espagnole indiquant qu'il règne dans la région, je cite :«Un climat de terreur» Précisant qu'elle n'a pas pour but de prendre position quant au statut du Sahara».A cet effet, le Centre RFK évoque un «Quasi état d'impunité s'agissant des violations des droits de l'humain». Tel que?. Version à démentir, bien sûr par les réalités sur place.
Suite à ces accusations gratuites, le Maroc a dénoncé le caractère partial de ces propos rédigé dans la précipitation sur les bancs du DRS: « Nous nous étonnons de la rapidité avec laquelle a été élaboré ce document qui s’aligne sur les thèses de l’autre partie » a déclaré Mustapha El-Khalfi, ministre de la communication,porte parole du gouvernement.Il a dénoncé aussi «la nature biaisée de cette organisation, ainsi que l’attitude dénuée de neutralité dans son traitement du conflit» Il a rappelé que notre pays s’attelait à la consolidation des droits de l’homme, de par la garantie des libertés et des droits dans la nouvelle Constitution de 2011, et la consolidation du rôle du CNDH, le Conseil national des droits de l’Homme.
Sa visite à Rabouny a été déprogrammée et son séjour dans les camps de la honte, nettoyés pour la circonstance des opposants sahraouis, n’a pas excédé les 24h00. Il est vrai que son rapport final sur sa visite dans la région avait déjà été rédigé par les experts algériens et qu’il était inutile de s’attarder dans cette région au rude climat et sans confort. Elle n’a même pas eu droit à un festin de viande de chameau et à la traditionnelle offrande de lait de chamelle et dattes. Une visite supersonique ! Le temps de prendre des photos souvenirs.
Mme Kerry Kennedy étant la plus appropriée pour percevoir son chèque de 140 millions de dollars et le confort ainsi que la nourriture plus appropriés. Quelques agréments lui ont été également fournis, je pense à l’alcool et la drogue, dont elle est une consommatrice assidue, comme tous les Kennedy d’ailleurs.
ooOoo
Autres ONGs Américaines dénoncent.ALGESARIO refuse de les recevoir.
Mme. Kathryn Cameron Porter, présidente de l’organisation américaine LCHR
D'autre part, dans le même contexte, et face à cette situation regréttable créée par la Fondation Kennedy. Par coïncidence deux autres militantes Américaines,en visite très récemment dans les provinces sahariennes, se sont retrouvées sur les traçes de Mme Kerry Kennedy pour y témoigner librement. Ces deux ONGs Américaines prennent à témoin la communauté internationale. A l’issue de leur visite au Maroc, elles se pencheront sur leur rapport-bilan, relatant toutes les vérités sur la situation dans les provinces du Sud, qui sera soumis au Congrès américain.
Il s'agit de deux militantes américaines des Droits de l'Homme. Mmes Nancy Huff, Présidente de l'ONG américaine "Teach the Children International"(Enseignement Internationnal des Enfants) et Kathryn Porter Cameron, Présidente du "Leadership Council for Human Rights"(Conseil de Direction pour les Droits de l'Homme) .Elles déclaraient solennellement ce qui suit: L'approche sélective adoptée par le «polisario» concernant les visites des ONGs internationales de défense de droits de l'homme aux camps de Tindouf, "traduit la politique de mensonge et de falsification des réalités qu'il a toujours suivie".
Bonne lecture.Chihab25
à Suivre..
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1. Femme algérienne, d'origine Marocaine,de R'guibat Echarq, Agent DRS, au grade Commandant, mariée à Med Abdelaziz Lmarrakchi avec la bénédiction des services secrets algériens . C'est l'oeil magique du régime algérien face au polisario.
2. L'idée que l'on se fait sans connaître réellement ce dont on parle.!