Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

1/3.-La Maroco-phobie à l'Algérienne..!

      الملك محمد السادس: لهذا مكنت عبد السلام ياسين من حقوقه ورفعت عنه الاقامة الإجبارية

                         S. M. Le Roi Mohamed VI. Un regard profond de réflection.(photo RTM)*

Le Maroc émergent.

Depuis l’intronisation de Sa Majesté le Roi Mohamed VI en 1999, le Maroc tournait une page et ouvrait une autre de son histoire. La dernière décennie a bien démontré, concrètement, que notre pays est devenu un pays émergent, un pôle de stabilité et un pays de destination et d’accueil après avoir été considéré comme espace de transit par les pays du nord et du sud.

Cette état des choses accentue la haine chez nos voisins algériens, les rendant plus féroces envers notre pays, tout en perdant le leadership de la région tant attendu  depuis l’ère « Boukharouba ».

Pour cause, le monde entier,  pour ne pas dire seuls les algériens, a remarqué que la situation en algérie profite à bien des gens. En premier lieu, le pouvoir et ses affiliés qui jouissent pleinement du statu quo qui leur garanti les privilèges de rente et qui feraient tout pour que rien ne change. En second lieu ce qui reste de «l’élite»du peuple qui peut d’une certaine façon s’en laver les mains de la situation catastrophique de l’algérie de dignité, et aussi occulter une évidence fort dérangeante son incapacité politique à assumer les défis de ce pays qui devient de plus en plus isolé du changement de la carte politique qui se déssine au monde arabe.                                                                                               

Nul ne cesse de constater que l’égoïsme algérien parle encore de la grande passion, de l’époque où l’algérie avait de l'ambition d’un projet national et une vision stratégique qui dominerait l’afrique du nord et affaiblirait l’ennemi présumé de l’Ouest..mais l’observateur n’enregistre dans les caisses de l’algérie que les défaites et les échecs face à la solitude d’un Royaume Chérifien du Maroc fort par sa monarchie, par son peuple uni derrière un jeune Monarque que Dieu l’assiste.

Avant de rentrer dans le vif du sujet, je propose à mes lecteurs d’apprécier Une anécdote qui s’applique à l’algérie : «C'est l'histoire de 6 frères, ont eu un agrément de transport de grand taxi à six places.Tant qu’ils n’avaient pas de confiance au chauffeur, ils ont tous pris place à bord, pour contrôler. Au fil des jours, ils ont constaté que le taxi n’apporte pas de recettes. Le courtier, auquel ont posé la question, leur avait proposé de changer de chauffeur !». C’est le cas des algériens qui changent  de président, à chaque fois, pour maintenir le statu quo et dilapider tranquillement le fond public algérien.(la gravure s'exprime..!)

 

                             

                        Les généraux Algériens Toufik-DRS et Gaid Ahmed Salah, chef de l'Armée.

La rédaction du blog projette, à partir de cette note et les épisodes qui s’en suivent, de développer les acquis politiques et matériels enregistrés durant l’ère fructueuse Mohamedia, qu’ayant permis à notre pays de se lancer en cette phase prometteuse émergente. Par contre la veuve algérie préfère, en parallèle, se positionner dans le vide, nager contre courant en tournant toujours en rond, dont voici un petit exemple.

Polémique Algérienne!.Faut-il avoir peur du Maroc?

Dans une interview à la chaîne satéllitaire "Larabia", rapportée par un journal électronique Marocain. Morad Medelci, le ministre algérien des Affaires étrangères  a consacré deux minutes pour parler frontières. Paniqué par la surprise que lui a fait le Speakeur-interlocuteur, il répondait hypocritement à la question de réouverture de frontières Algéro-Marocaines, mais il n'a pas trouvé de mots que de se contredire et répéter des phrases déjà consommées.

-C'est faux de dire que l'Algérie refuse la réouverture de frontières avec le Maroc..! -Mais cela nécessite de créer les conditions, en particulier la sécurité..! -Si l'Algérie ouvre sa frontière avec le Maroc, il faut s'attendre à une forte infiltration de drogues, ce qui nécessitera un contrôle  pésant pour maîtriser les sorties les entrées..! -Nous avons conclus avec nos "frères Marocains" de développer les relations bilatérales dans tous les secteurs..,les affaires avancent de façon objective.Fin de citation.

L'Algérien a raison de s’énerver de l'hypocrisie officielle des commis du pouvoir, car son Algérie de dignité est plus que jamais, aux yeux de tous, un pays corrompu à grande échelle, où tout s’achète, une mairie, un mandat d'élu local, un mandat législatif, une décision de justice, un diplôme ou une place dans un cimetière. Mais ce n’est qu’un constat. Morad Medelci chargé de la politique et de la défense étrangères du régime n’a pas expliqué comment peut-on soigner un régime corrompu de naissance, comment bâtir un État crédicle respecté, loin de la politique de «haute et basse marée» que d’autres pays, dont le Maroc, ont combattu pour que les tentacules de la pieuvre ne repoussent jamais quand on les coupe.

C'est l'anarchie totale  qui prévaut au niveau du pilotage, une situation d'incompétence stagne, de manque de plan gouvernemental précis, qui a la haute main sur le cabinet Sellal, le premier ministre algérien. Personne ne soupçonne personne. Nul ne peut viser du doigt le locataire du palais d'ElMoradia et son entourage d'avoir conduit le pays à l’enfer, d’avoir mené une mauvaise gouvernance depuis son apparition à la magistrature suprême du pays en 1999, à part le dernier cri solennel du RCD (Rassemblement pour la Culture et la Démocratie) qui vient de remplir l'espace, demandant la révocation de Bouteflika, à cause de sa santé qui ne répond plus aux éxigences de la fonction présidentielle.Cela fait suite à la rumeur que fait circuler au pays Said Bouteflika, le frère et conseiller du président, évoquant à cet effet, que Bouteflika IV pressenti pour succéder à Bouteflika III en 2014.

Du côté de celui qui dit: "Tab Jnanou", il confirme le geste de son frère et pour perdurer son éxistence au pouvoir et briguer un autre mandat, qui représenterait pour le simple algérien une autre  phase d’enfer! les cadres bavards de l‘Etat, les hommes politiques influents auraient touché des pots-de-vin pour se taire et laisser passer. D’après les abois des quatre Bulldog et les autres dizaines en coulisses (!) qui entourent le fils de Mma Mansouria, l’observateur lira visiblement qu’il y a, au niveau de l'Etat Algérien, deux poids et deux mesure. Il y a donc deux jeux, celui qui traque le corrompu hors contingent et celui qui porte des lunettes sombres pour faire perdurer le statu quo et prolonger la vie du pouvoir actuel et celle de la junte de Ben Aâknoune et de Daly Brahim. 

En conséquence, je suis contraint de m'adresser cette fois-ci, aux algériens, surtout au duo Medlci-Ould Kablia qui aboient trop hors escadron. La parole épargne certes, les ex-commis de l'Etat algérien Abdelaziz BelKhadem et Ahmed Ouyahya, exclus du jeu Teflikien, comme étant des objets périmés et inrentrables, touchés par les prescriptions de rejet et de forclusion, elle ne ciblera non plus les autres nouveaux venus à la prairie-pâturage du régime, pour ne pas dire le champ politique algérien désert, voire champ politique aride.. Abdelmalek Sellal, chef du gouvernement et Larbi Old Kh'lifa, chef du pseudo parlement qui sont appelés uniquement que pour garder le troupeau Algérien jusqu'à nouvel ordre. Certes, mes propos concerneront les pigeons et les corbeaux, pour ne pas dire aigles ou faucons-DRS, qui suivent mes écrits pour dénicher le pire algérien. Je les invite avec les Algériens peureux, ceux qui sont contraints d'utiliser l'oeil magique pour voir comment va exploser "la bombe à retardement Algérienne", je invite tous à lire cette modeste analyse qu'ils n'en peuvent faire en toute objectivité:

««À l’année longue, que ce soit au sommet de l’échelle socio-politique et intellectuelle, ou à la base du citoyen algérien, la référence à la tyrannie du DRS modèle les comportements et le langage des gens. Les algériens savent que le DRS est à la fois capable et responsable de tous les revers qui affectent le pays. De la plus petite corruption de l’agent communal, au choix du chef de l’État. Ils comprennent bien qu’entre l’extrémité de ces deux exemples, c’est toute une culture de gaspillage et de violation des lois qui s’est instaurée et dont le résultat s’affiche à travers l’état de déliquescence général de la société. Et bien sûr, qui dit déliquescence de la société dit aussi saccage du pays, comme en témoignent les places le plus souvent dégradantes qu’occupe l’Algérie dans les classements mondiaux, et ce dans divers domaines de la vie nationale du pays rongée par l’incompétence et par une corruption endémique.

C’est avec cette image peu flatteuse de 2012 et des années qui l'ont précédée, boursouflée de plaies sociales et alourdie de multiples déficits, que l'algérie s’apprête à franchir la nouvelle année 2013. D’ores et déjà, une chose est presque sûre, le DRS sera encore de la partie pour justifier la poursuite du désordre, et suppléer aussi bien l’incompétence des gouvernants que les incommensurables failles de la classe politique et intellectuelle algériennes. Des failles qui seront occultées par la peur du DRS, qu’on décrit tel un phare, dont le faisceau lumineux traque impitoyablement tout mouvement citoyen soucieux de l’intérêt général. Il y a tant de discours sur sa tyrannie qu’on s’interroge sur cette toute puissance qu’on lui prête pour paralyser l'Algérie. À juste titre.

À y regarder de près, le DRS semble s’être métamorphosé en une constellation d’intérêts, formant une secte politico-affairiste que la majorité  algérienne dénonce, tandis que la minorité qui s’en nourrit, protège de toutes ses forces. Les adeptes de cette dernière forment autour des «pseudo décideurs» une impressionnante foule, où se côtoient élus, ministres, généraux, importateurs, représentants des classes politiques, médiatiques, bref, tous les affiliés du système unis par les liens de la rente et ce qu’elle génère comme avantages et corruption. Ils sont le véritable carburant du système pour ne pas dire son âme.

Un ex-premier ministre algérien (S.A.G.)«estime leur nombre à quelques 2 millions d’Algériens» et parle d’un «parti clandestin» au service du système, sans autre religion, ni idéologie que celle du profit et des privilèges. Les partisans, le peu de partisans, du changement politique ont donc affaire à cette caste au pouvoir fondamentalement opposée à l’avènement d’un État de droit qui mettrait en péril ses intérêts. D’où son acharnement à maintenir le statu quo, d’une part, en entretenant l’agitation d’une scène politique stérile, et d’autre part, en usant de l’épouvante du DRS qui a toujours hanté les gens et neutralisé leur volonté de changement.

Quand chacun prendra conscience que cette caste, imputable du chaos socio-économique et politique du pays, ne jouit plus d’impunité pour sévir comme elle le faisait par le passé, et qu’elle doit sa survie au «consentement» de la majorité, la plus corrompue du monde, fabriquée en toutes pièces par le pouvoir, alors, le DRS sera chose du passé, au grand dam de tous ceux qui en profitent ou s’y abritent. D’ici là, le fiasco de la génération de l’indépendance, qui a inscrit l’Algérie dans les pires registres de la gouvernance, se poursuit au rythme de la dilapidation des richesses algériennes, et du désarroi de plus en plus profond d’une société en mal d’idéal et de fièreté»».

                                  

Quant à moi, l'apprenti-observateur, je vais pas revenir à l’ingratitude des algériens, ni aux maux perpetrés contre le Maroc par la junte au pouvoir algérien. Mais j’essayerai de citer les points forts de développement infrastructurel, de stabilité politique, de paix sociale, de sécurité et de la bonne gouvernance qu’on est entrain de vivre avec fièreté, nous Marocains, sous la conduite  bien éclairée de Sidna dans ce monde en mouvement constant. Mais malgré, je ne peux m’en passer de la dernière carte de jeu algérienne, ayant trait à notre cause nationale, qui s'est apparue dernièrement  en Suède.

La Sonatrach décharge ses déchets en Suède.

Il parait que le pétrodollar algérien est bien arrivé en Suède pour arroser la faiblesse des acteurs associatifs et les parlementaires Suèdois, soifs, voire déficitaires pécuniairement à cause de la crise économique que connaît l’Europe. On sait que le parlement suédois a adopté le 05 décembre, en séance extraordinaire une motion pour la reconnaissance de la pseudo (RASD). C’est la première fois qu’un parlement européen le fait, puisque même l’Espagne, le soutien naturel des séparatistes et leur mère nourricière, n’a jamais pu le faire. L'opposition Suèdoise s'est laissée pièger par la campagne haineuse algérienne en faveurs de ses accrobaties. Un scandale quant aux valeurs Suèdoises ainsi malmenées !.

Euphoriques, les algériens veulent croire que cette reconnaissance n’est qu’une étape, aprés avoir échoué ailleurs face à l'éfficacité de la diplomarie Marocaine, pour que d’autres pays de la région, surtout les pays scandinaves, suivent le même chemin. L’Algérie cherchera certainement à faire pression sur l’Espagne, par la fourniture de gaz, pour que cette dernière élève le statut de la représentation "Algésario" dans la capitale espagnole. Ca serait vraiment un déphasage dangereux si le gouvernement de Mariano Rajoy cède à ce chantage, avec tous les développements survenus dans l'affaire du Sahara Marocain au niveau de la communauté internationale.

Ce qu’il y aurait de presque comique dans cette affaire c’est que le gouvernement Suèdois a condamné, le jour suivant, l’initiative de certains partis de l’opposition de déposer cette motion appelant le gouvernement à reconnaître la pseudo-rasd, en précisant dans un commentaire publié dans le blog personnel du ministre Suèdois des affaires étrangères, relayé sur son compte Twitter "qu’Il s’agit d’une mauvaise idée". 

Le chef de la diplomatie suédoise a souligné à cet effet, qu’il est important pour la Suède de continuer à s’en tenir scrupuleusement aux attributs de la reconnaissance des États (NDLR: un territoire, un peuple et une autorité effective), rappelant que ces attributs ont toujours été respectés par tous les gouvernements suédois successifs, et qu'une reconnaissance pareille est de nature à compromettre les efforts consentis sous l’égide de l’Onu pour trouver une solution à la question du SaharaStockholm n’a pas l’intention de reconnaître la pseudo-rasd, d'autant plus qu’aucun pays de l’Union européenne ne la reconnaît comme étant État indépendant,a-t-il ajouté. 

Faisant référence à la motion présentée au parlement suédois par l’opposition, le ministère a rappelé que les questions de politique étrangère relèvent du seul ressort du gouvernement et non du parlement. Etant donné qu'en Suède, c’est le gouvernement qui décide en matière de reconnaissance d’un État conformément aux dispositions de la constitution suédoise, réitérant le soutien de son gouvernement aux efforts des Nations unies visant à trouver une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable par les partis concernées - Le Maroc et  le polisario soutenu par l'Algérie-.

Le chef de la diplomatie Suèdoise a précisé aussi, en ce sens, que la motion votée récemment par l'opposition au parlement de son pays «n'aura aucun impact sur la position officielle de la Suède concernant la question du Sahara ni sur les relations de la Suède avec le Maroc».

De son coté l'ambassadeur de la Suède à Rabat, Mme.ANNA Hammargren, a affirmé que la Suède ne reconnaîtra pas la prétendue «rasd» réitérant le soutien de son pays aux efforts de l'envoyé personnel du secrétaire général de l'Onu pour le Sahara, Christopher Ross, pour parvenir à une solution mutuellement acceptable par toutes les parties et que la prétendue rasd ne remplit pas les critères de reconnaissance tels qu’ils sont établis par le cadre juridique international. Elle a enfin souligné l'excellence de la coopération Maroco-suédoise, rappelant que les relations entre les deux pays sont plus profondes que ça, ils remontent, a-t-elle précisé «à loin dans l'histoire, nous avons des relations particulières que nous essayons de développer au niveau économique et politique». En reconnaissant l'authenticité de la monarchie Marocaine, elle ajoutait que l'année prochaine 2013 sera fêté «le 250e anniversaire du traité Maroco-Suédois sur le commerce, la paix et la navigation»,  C'est cet aspect d'authenticité qui dérange l'algérie, le pays qui vient de tomber du plafond sans authenticité ni histoire et  se bat farouchement dans un mirage pour atteindre un leadership introuvable.

  Le leadership clairvoyant de S.M. le Roi

Les algériens font la sourde oreille pour ne pas entendre ni digérer  le fait que les réformes avant-gardistes mises en œuvre au Maroc sous l'impulsion de Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu le glorifie, qui n'ont pas attendu le printemps arabe pour trouver leur expression sur le terrain, dénotent un «leadership royal clairvoyant» en phase avec les aspirations du peuple Marocain. Grâce à la clairvoyance et au leadership du Souverain, le Maroc a été en mesure d'adopter une approche pro-active de réformes ayant permis à la société civile de s'épanouir et octroyé davantage de pouvoirs et d'autorité aux différents secteurs de gouvernance au Maroc.

En preuve le premier gouvernement politique Marocain "islamiste PJD" en témoigne, même si cet éxecutif multicolor qu'on désigne par humour chez nous "Gouvernement Barbu", fonctionne à deux têtes. C'est une première au Maroc ( la Primatie 2, les Finances 2, l'Intérieur 2, les Affaires étrangères 2) et c'est normal, à mon sens, pour une phase politique de transition dictée par les réformes instaurées, à temps, couronnées par la nouvelle constitution du 1er juillet 2011. Cette vision, s'inscrit complètement en ligne droite des aspirations du peuple Marocain dans ses différentes composantes et sensibilités. Au niveau international, cette approche créativise déploie sous la forme d'une diplomatie silencieuse de pointe, responsable et engagée, portant le cachet du leadership moral et humanitaire de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, que Dieu l'assiste.

La visite de S.M. le Roi au camp de réfugiés syriens Zaâtari en Jordanie, la première du genre pour un chef d'Etat, les hôpitaux militaires de campagne des FAR en Jordanie et à Gaza, montrent combien les efforts du Maroc sont importants pour la résolution des crises humanitaires, pour ne pas dire les crises arabes, et se veut aussi l'expression de ce rôle constructif et responsable de médiateur que joue le Maroc au service des causes de la paix, de la stabilité et pour la résolution des conflits à travers  le monde, aidé en cela par une histoire millénaire de tolérance et d'ouverture.

On se demandera pourquoi toute cette introduction?.C'est une nécessité pour connaitre davantage les points de puissance et de faiblesse de nos conccurents de l'Est, qui nous envient  que pour notre géographie priviligiée, notre politique stable et aussi pour notre histoire d'une part, et de l'autre, pour jeter les bases d'une intervention développante bénéfique.

Je commencerai les acquis qui honorent notre pays, par le partenariat Maroc-États-Unis, rehaussé récemment par le lancement du dialogue stratégique US-MA. Rabat et Washington sont liés par une relation séculaire profonde et qui se consolide de plus en plus dans le contexte actuel que vit la région arabe, ce dialogue stratégique constitue un cadre unique dont bénéficie seulement certains pays avec lesquels les États-Unis ont une relation solide qui va au delà de l'aspect bilatéral. Cette relation, qui est bâtie sur un socle historique solide qui remonte à 1789 date à laquelle le Royaume du Maroc fut le premier pays à reconnaître l'indépendance des États Unis d'Amérique aprés la guerre de cessession, a été raffermie par l'entrée en vigueur de l'accord de libre-échange US-Maroc, en plus de : a)L'octroi au Royaume du statut d'allié majeur de Washington hors Otan.b)Le Statut avancé attribué au Maroc au sein de l'Union Européenne.c)Le Partenaire de démocratie au Parlement Européen.

Je ne conclurai ce premier épisode de ma note, sans rappeler aux algériens, même si cela ne leur plaît  pas, que Le Maroc sans pétrole et sans gaz naturel est devenu au cours de la dernière décennie, grâce à l'action décisive de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, un pôle de stabilité et de croissance, je ne dis pas dans le Maghreb qui d'ailleurs, n'éxiste pas à mon avis, mais au sud de la méditérrannée, sur lequel l'Europe des 27 peut s'appuyer pour développer l'internationalisation de ses entreprises et fortifier ses économies industrielles. Bonne lecture,Chihab25.

(A suivre..)

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

*Gloire à Sa Majesté le Roi et à nos Forces Armées Royales (Air-Terre-Mer) qui veillent à la quiètude de notre pays, poussant tout  harcellement ou danger menaçant nos frontières de l'Est.

 

Les commentaires sont fermés.