Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Algérie sans foi ni loi, le grand mensonge du mois.

N.B:La rédaction ne peut citer l’ensemble de ses sources, par l’affichage de leurs logos ou liens de leurs sites web, pour orienter ses visiteurs vers ces supports pour davantage de détails.On s'excuse à Molière (JBP) pour notre modeste Français.

                                                                                 ++++


                                           LE GRAND MENSONGE DU MOIS


                              Mohamed VI en tenue décontractée à Abou Dhabi

                                Sa Majesté le Roi Mohamed VI en tenue décontractée à Abou Dhabi

On  dit en Algérie : «Sans foi ni loi ». Une expression fréquemment utilisée par les Algériens pour décrire les menteurs et les opportunistes.  Ces personnes sans scrupules, ni morale, incapables d’avoir des positions claires et consistantes sont pour nous Marocains ,les gens du pouvoir algérien. Elle renvoie à tous ceux qui suivent le courant dominant, changeant de couleur politique, de tendance et d’opinion en fonction de leurs intérêts et de leurs maîtres. Cette expression fait référence à ceux qui prennent position pour les détenteurs de l’argent et du pouvoir et offrent des privilèges en fonction du lieu d’origine et de régionalisme en Algérie.

Malheureusement, ils ne se contentent pas de cela et vont jusqu’à s’allier avec le diable en se liguant contre notre pays qu’ils trahissent et n'en tiennent pas leurs engagements avec, et à qui ils portent préjudice sans  le moindre égard pour l'éthique et les principes de la fraternité et du voisinage.  Mais finalement, c’est à eux-mêmes et à leur pays qu’ils portent préjudice en cultivant la culture de la haine, de l’intolérance et de la vengeance qui s’accroit auprès des jeunes générations algériennes.

Dernière en date la sortie médiatique spectaculaire de la Tv-satellitaire Algérienne "Numédia" sur le Nilsat, sur une prétendue santé "critique" de Sa Majesté le Roi que Dieu l'assiste qui se trouve, au contraire,  en bonne et due forme aux Émirats Arabes Unis. Autre sujet d’anicroche, les assertions de médias algériens qui ont écrit que la raison de la visite privée du roi Mohamed VI aux Émirats Arabes Unis est d'ordre médical. Une information rapidement démentie par les images du Souverain participant à l'inauguration d'un des plus grands centres d'affaires à Abou Dhabi diffusées par la chaine nationale Al-Oula, par lesquelles on y voit le monarque en pleine forme.

Le Souverain, que Dieu le glorifie, effectue une visite privée à l’État des Émirats Arabes Unis, à l’invitation de Son Altesse Cheikh Khalifa Ben Zayed Al Nahyane, chef de l’État Émirati, Émir d’Abou Dhabi. En tant qu'Amir Al Mouminine, accompagné du général Cheikh Mohamed Ben Zayed Al Nahyane, Prince Héritier d’Abou Dhabi, Commandant adjoint des forces armées de l’État des Émirats Arabes Unis, de Son Altesse Royal le Prince Moulay Rachid et de Son Altesse le Prince Moulay Ismail et autres princes de la famille royale, il a accompli, le 01/11/13, la prière du vendredi à la Mosquée Cheikh Zayed à Abou Dhabi et s'est recueilli par la suite sur la tombe  de Cheikh Zayed, rahmatou Allahi a3laih.

Que vont-ils dire les Jmaâ de cette mystérieuse chaine "Nmédia-DRS" à leurs téléspectateurs et au public Algérien auxquels, ils leur projectent, le moment voulu, les diktats calomnieux des services secrets algériens contre le Maroc,  contre sa stabilité politique, et son évolution diplomatique, en leur glissant des séquences, bien montées de haine, de faux flashs colorés de l'antimarocanisme. Que leur expliquent-ils quand ce public découvre la réalité des choses et sache que le Roi du Maroc n'est pas un certain «Tab Jnanou», tant qu'il est en bonne santé, ne réquisitionnant pas, non plus, de fauteuil roulant, profitant en hôte bienvenu, d'un beau repos de complaisance à la générosité Emiratie. «Il n'y a pas de comparaison à faire, quand il y a grande différence». C'est vraiment ridicule, non pas pour nous Marocains, mais pour les algériens qui en croient aveuglement aux désinformations, bien taillées, émanant du pouvoir mafieux de leur pays qui, à leur yeux garantie la souveraineté de leur Algérie "de fièreté et de dignité", par abus d'autorité et de corruption.

D'autre part SIDNA prépare une visite à Washington le 22 de ce mois, il va  entamer une visite officielle aux États-Unis en réponse à l’invitation du président américain Barak Obama, contrairement à Bouteflika qui n'a même pas pu se rendre au monument "Houbbel" d'Alger pour poser le gerbe habituel à l'occasion de l'anniversaire du premier novembre Algérien.

Nous devons à cette occasion rappeler aux Algériens et à ceux qui ont encore besoin de rappel, les informations crédibles qui mettent en exergue le rang prestigieux qu'occupe notre pays à l'échelle des grands, contrairement aux conneries qu'avancent les médias Algériens contre notre pays. C'est que le Royaume du Maroc est un allié stratégique et historique des États-Unis. Néanmoins les relations algériennes avec les USA sont toujours refroidies par manque de crédibilité diplomatique de l’État Algérien et du pouvoir en place.

On ne peut cacher, chez nous au Maroc, que vraiment les  relations entre nos deux pays se sont également tendues au début de cette année lorsque Susan Rice, l'ex-ambassadrice permanente de Washington à l'ONU avait émis une proposition au Conseil de Sécurité afin d’élargir le mandat de la Mission des Nations Unies pour le Référendum au Sahara Marocain (MINURSO) aux droits de l’Homme. La même notion est repris, comme nous venons de savoir, par Bouteflika à Abuja le 28 octobre écoulé pour récidiver en vain, à la suite de la récente tournée de Christopher Ross dans la région pour influencer, voire pour faire encore du bruit au Conseil de Sécurité, pendant le débat du rapport que présentera l'envoyer personnel de Mr. Ban-Ki-Moon, le secrétaire général des Nations Unies au Sahara au terme de sa énième tournée dans la région.

Néanmoins, le 9 mai dernier, Mr.Obama avait tenu à clarifier certains malentendus et controverses soulevés par la proposition de Susan Rice, en adressant un appel téléphonique à Sa Majesté le Roi. Cet appel faisait suite à une lettre envoyée à Obama par le Souverain le 12 avril dernier, dans laquelle le Souverain soulignait «l’importance de la question du Sahara Marocain pour le royaume du Maroc et les risques que pourraient induire tout changement dans le mandat de la MINURSO».

A la suite de la conversation téléphonique entre les deux chefs d’état, le palais royal avait fait état de l’évolution positive de cette question, suite à l’échange de lettres, ajoutant que Sa Majesté le roi Mohamed VI avait remercié le président Américain pour son implication personnelle et les directives claires qu’il avait émises en direction de son administration. Le palais n’a pas manqué de souligner que cette intervention est la preuve d’un véritable attachement du président Obama à l’excellence des relations avec le Maroc.

Au cours de l’entretien téléphonique, les deux chefs d’états avaient échangé les invitations. Les analystes espèrent que la visite de Sa Majesté le Roi à Washington va permettre de redonner de la vigueur aux relations bilatérales comme ce fut le cas durant les ères Georges Bush Sénior, Bill Clinton et Gorges Walker Bush Junior.

En 2006,  le Maroc est devenu le premier pays arabe à signer un accord de libre-échange avec les États-Unis et à s’impliquer avec Washington dans la lutte anti-terroriste à la suite des attaques terroriste du 11 septembre 2011. En plus de cela,le Maroc est un «Partenaire important à l’OTAN», il contribue grandement en sa qualité, à l’élaboration du concept stratégique de l’Alliance.Ajoutons à cet acquit diplomatique particulier, le «Statut avancé» qu'occupe notre pays à l'Union Européenne et la qualité de «Partenaire diplomatique» au Parlement Européen.

Tandis que l'Algérie par son égoïsme et sa mauvaise gouvernance politique, n'a même pas su comment s'intégrer à l'AFRICOM, ni comment arriver à ce statut par son pétrodollar qu'elle dilapide à tort et à travers. Il en manque à cette Algérie la vision géostratégique de l'État, un vrai État crédible au sens du terme, capable de se libérer des griffes de la guerre froide d'autrefois.

De l'histoire profonde du Maroc qui enrage les Algériens, la rédaction du blog se réjouit de leur rappeler qu'en 1776, le Maroc fut le premier pays souverain à reconnaitre formellement les États-Unis au lendemain de leur indépendance, le moment où cette mauvaise voisine Algérie n’existait même pas sur la planète. Ce lien avait été renforcé par la signature, dix ans après, du traité Maroco-Américain d’amitié, qui est considéré aujourd’hui par tout Américain, comme le plus vieil accord diplomatique de l'Amérique. Le président Américain Barack Obama le confirme au Caire le 4 juin 2009. Cherchez la vidéo dans Google.(-Discours Barack Obama, Situation au Proche Orient-. On l'écoute juste à la 4,30 mnt de la vidéo, quand il déclare solennellement : «Je sais aussi que l’islam a toujours fait partie de l’histoire Américaine. Le Maroc a été le premier pays à reconnaître notre nation»). Un bon coup de point à la figure des Algériens projettent d'effacer l'histoire et l'écrire à leur guise et mettre ce Grand Maroc à genoux. Le mettre par quoi? si ne serait que par l'arrogance, l'ingratitude, la vanité et le "niff", le nez algérien par lequel ils  ne sentent que de la pourriture  et de la saleté de tabac-chique.

Alors que Bouteflika en phase de mort clinique..La panique domine le champ d'action de son entourage, on écoute les politiques et responsables algériens disent des tas de conneries contre le Maroc !!! Ils croient encore que leur pays est capable de garder sa souveraineté, ses  pseudo avantages sociaux, ces castes de privilégiés etc...non ça n'est plus possible dans cette phase d'anarchie que traverse l'Algérie. Tout le monde... protège ses frontières alors que l’Algérie ne le fait pas surtout dans son grand sud devenu la boue du terrorisme, comment peuvent-ils ces gouvernants algériens dans ces conditions protéger leur Algérie de fièreté et de dignité ? qui est belle, dans leurs yeux, et mérite mieux !!! 

Le Peuple algérien n'applaudira pas sûrement les nouveaux acteurs du théâtre politique Algériens dont la mise en scène est confiée apparemment à l' FLN, le parti dominant en Algérie et n'écouteront plus tous ces journalistes qui le diabolisent  et sous qui, a été sous influence pendant des années !!! Le FLN d'autrefois a changé avec l'arrivée du danseur et Drabki d'Abdallah Menaii, c'est pourquoi les algériens sont appelés aujourd'hui à ne pas s'adhérer à ses idées d'opportunistes ou de jouer les figurants d'Al-Bouteflika.

DISCOURS D'ABUJA :« La nécessité de la mise en place d’un mécanisme de suivi et de surveillance des droits de l’Homme au Sahara occidental est plus que jamais d’actualité », a indiqué Bouteflika dans ce message à la conférence africaine de solidarité avec la cause sahraouie, rapporte l’agence officielle Algérienne l’APS.

Bouteflika revient sur le vieux disque de l’Algérie..rappelant à nouveau ce qu'avait perdu  son  cheval de trait Morad Medlci en avril dernier dans les auspices du Conseil de Sécurité de l'ONU, que l’Algérie réclame  «l’élargissement» de la mission de la Minurso à la prise en charge par les Nations unies de la surveillance des droits de l’Homme au Sahara occidental. « Ce recadrage de la mission de la Minurso permettra aux Nations unies de jouer pleinement leur rôle en matière de surveillance des droits de l’Homme au Sahara occidental et, ce faisant, complètera le mandat de la Minurso qui, faut-il le rappeler, est la seule mission de maintien de paix des Nations unies à ne pas englober les droits de l’Homme dans son mandat », a souligné Bouteflika.

Bouteflika, voire l'entourage de la présidence algérienne, estime que la mise en place de ce mécanisme de suivi et de surveillance des droits de l’Homme dans les territoires sahraouis occupés est d’autant plus nécessaire que « l’organisation des Nations unies, particulièrement le Conseil de sécurité sont, au quotidien, interpellés par les souffrances qu’endure le peuple du Sahara occidental depuis près de quarante années ».

Bouteflika accuse le Maroc de «violations massives et systématiques» des droits de l’Homme dans les territoires occupés du Sahara Marocain "occidental", contre des citoyens pacifiques qui luttent pour la liberté d’association, de manifestation et d’expression.

Bouteflika a renouvelé «le soutien» de l’Algérie à la cause "sahraouie" et aux efforts du secrétaire général de l’ONU et de son envoyé personnel, Christopher Ross, visant à aider les deux parties en conflit à parvenir à une solution qui pourvoie à l’autodétermination du peuple du Sahara occidental à travers l’organisation d’un référendum libre et régulier, sous les auspices des Nations unies.

Bouteflika avertit que «toute autre approche, qui viserait à imposer le fait accompli colonial en niant le droit du peuple du Sahara à l’autodétermination, constituerait une grave violation du droit international et irait à l’encontre de la doctrine des Nations unies en matière de décolonisation.»

Bouteflika insiste que «la seule solution, juste et durable, est celle qui permettrait au peuple sahraoui d’exprimer librement et souverainement son choix.» instaurant pour la circonstance un comité dit "Africain de soutient composé de quatre pays fantoches Africains qui nagent encore dans la boue Algérienne sous la conduite de l'Afrique du sud.

Il est vrai que le phénomène n'est pas propre au peuple algérien, ni à nous Marocain non plus,, mais chez le pouvoir algérien il a pris des proportions vertigineuses ces dernières années. Par ailleurs, il est souvent associé à des personnes opportunistes - civils et militaires - qui gravitent dans les hautes sphères politiques et qui occupent des fonctions administratives et politiques de haut niveau.  Sinon aux hommes d’affaires de corruption, détenteurs de richesses de l’Algérie et ne pouvant plus se passer des avantages qu’ils ont acquis au cours des années et qu’ils essaient de préserver par tous les moyens.

Par conséquent, la duplicité et la tromperie se sont érigées en moyens de gouvernance et en culture.  Elles se sont répandues dans tous les pans de la société algérienne et dominent dans tous les milieux du pouvoir algérien. En effet, il n’est pas rare de voir aujourd’hui en Algérie des directeurs se retourner contre des walis et des ministres.  Des ministres  renversant un chef de gouvernement (Ouyahia) alors que d’autres essaient de destituer Bouteflika lui même.  Quant à ce dernier, il fait tomber des hommes pour des raisons aucunement liées à leur manque de professionnalisme ou à leurs missions. Ils sont souvent écartés pour des considérations personnelles et conjoncturelles qui influencent les positions des uns et des autres suivant l’intérêt du moment. 

Il ne s’agit point de changement dans les idées ou les principes. C’est ainsi que de nombreuses institutions de l’État-DRS se sont effondrées au profit du trio présidentiel -Said Boutef- le général Gaid Ahmed Salah et le Drabki de l'FLN qui s'est donné le droit de parler, pas au nom de politique bien élevé, mais au nom du palais d'ElMoradia et de son petit heureux pour évoquer la capacité de son parrain Bouteflika de continuer au pourvoir , soit par prolongation de son mandat actuel, soit par un quatrième mandat et que la suspicion, la tromperie et le mensonge s’y sont installés en maîtres alors que les valeurs, la morale et les principes de l’État algérien ont disparu.

Les algériens remarque que Amar Saadani le muezzin de ce trio ne chôme pas puisque le pouvoir se montre intéressé et mange de l'ail avec la sale gueule de Drabki de l'FLN , le chargeant de crier au public que : Bouteflika veut limiter l’influence du DRS dans la vie politique, et capable de briguer un nouveau mandat en roi d'Al-Bouteflika Al-Rabia3.
                                        

De leur côté, les associations, la société civile et les partis politiques, ou plutôt les soi-disant partis politiques, ne sont pas épargnés.  Ce qui s’y passe en Algérie est dangereux, désolant et triste.  En effet, leurs dirigeants n’hésitent point à changer de position suivant l'évolution des intérêts et l’équilibre des pouvoirs.  Ces changements ne sont jamais motivés par des considérations ou des convictions politiques et intellectuelles.  C’est dans cette optique-là que de nombreux responsables ont été renversés dans le cadre de ce qu’on aime appeler aujourd’hui en Algérie les «remaniements».   C’est d’ailleurs ce qui a permis au Front de libération nationale de retirer sa confiance à Abdelaziz Belkhadem sous l’influence de l'heureux frère Tafliki.  C’est aussi ça qui a motivé la démission d’Ahmed Ouyahia de son poste de secrétaire général du RND.Il était, en effet, au courant des complots que fomentaient ses proches collaborateurs pour le destituer, toujours avec l’instigation du même instigateur heureux.

Ce fut le sort de leurs prédécesseurs et ce sera celui de leurs successeurs.  Et ce sera le lot de tous ceux qui tenteraient de se placer dans l’opposition ou de sortir du cadre traditionnel du soutien indéfectible au pouvoir en place, même si cela devait se faire au détriment des intérêts de l’Algérie et du peuple algérien!

Cette situation pousse Bouteflika, ses ministres, ses walis, les responsables et les hauts fonctionnaires de l’État, à préférer les opportunistes qui ne sont là que pour les applaudir au détriment des compétences algériennes confirmées qui ont fuient la raison pour s'installer à l'ombre, possédant des principes et des valeurs sûres et constantes. Tout ceci n’a pas été sans conséquences négatives sur la performance générale et l'évolution de la société algérienne.  Mais il faut tout de même rappeler que certaines figures sont complices de ce complot par leur mutisme, tout comme le sont certains médias opportunistes transformés en marionnettes entre les mains d'acteurs qui croient disposer de la vie des gens. Ils oublient que ceux qui n’ont "ni foi ni loi" vont finir par se retourner contre eux aussi à la première occasion tout comme ils l’ont fait par le passé car ils sont sans scrupules ni morale.

Les grands perdants dans cette histoire sont l'État, le pays et le peuple.  Ce sont les principes et les valeurs qui se perdent.  C’est la loyauté, devenue une denrée rare remplacée par la trahison et la tromperie ou par un soutien aveugle aux détenteurs du pouvoir algérien. « Ils n’ont "ni foi ni loi », ils craignent pour leurs fonctions et les avantages qu’elles leur apportent mais n’ont pas peur pour leur conscience.  Pour eux, les concepts et les normes se sont renversés et dans les institutions on travaille désormais pour "les hommes et non pas avec les hommes !"
 

L'Algérie veut reconquérir le terrain africain perdu..La tournée du ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra dans les pays du Sahel (Mauritanie, Mali et Niger), entamée il y a quelques jours, constitue sans aucun doute une nouvelle approche de la diplomatie Ramtanienne, éclipsée ces dernières années avec les frivoleries Medelciennes. Elle veut signer en vain, un nouveau redéploiement de l’Algérie dans le continent africain qu’elle a déserté au profit d coopération avec le Maroc et avec l’Occident.
 
Le chef de l’État Algérien Abdelaziz Bouteflika a ignoré la région du Sahel, il n’a pas effectué une seule visite dans la région alors qu’il en a effectué sept en France. Liamine Zeroual avait fait, en  1996, en pleine crise politico-sécuritaire, une tournée dans la région, note Mr. (AR), l'ex-diplomate Algérien qui estime que la tournée de Lamamra dans les pays du Sahel ne doit pas être l’arbre qui cache la forêt. « L’Algérie est absente de l’Afrique, sa seule profondeur stratégique. Le continent africain n’a pas figuré parmi les priorités de la politique extérieure de Bouteflika », déplore encore l’ancien diplomate. « Nous avons réduit, pour des raisons de faux calculs politiques internes, notre politique extérieure à un simple cadre commercial et sécuritaire avec l’Europe et les USA », estime-t-il.

Il faut dire que, même sur la scène arabe, la voix de l’Algérie a perdu du terrain devant le Qatar, l’Égypte et l’Arabie Saoudite. Les observateurs et les algériens eux-même constatent que l'Algérie est absente aussi au Moyen-Orient qui est l’indice de mesure de la politique arabe de tout pays : la preuve, qu'elle n'a pas reçu un seul dirigeant palestinien depuis sept ans. Le processus de construction maghrébine étant par ailleurs paralysé depuis 1994 à la suite de l'affaire de l'hotel ASNI de Marrakech, il ne reste à l’Algérie, et à court terme, qu’à mettre sa gueule à la méditerranée et boire de la mer .

Mais l'ambition de reconquérir l’Afrique, appelle toutefois un immense travail que le nouveau corbeau de la diplomatie algérienne n'en a pas. Une politique africaine rénovée  est le style Marocain, la diplomatie Royale en témoigne. Elle n’est pas une œuvre facile à ce Ramtane Lamamra, fin négociateur, qualifié de brillant par ses pairs, l’homme qui fait que distribuer le pétrodollar Algérien à Addis Abeba et que pour lui, le retard à rattraper nécessite la mobilisation davantage de carburant-Sonatrach pour corrompre plus d'opérateurs politiques extérieures qui lui restent de l'Afrique. 
 
Sachant que la diplomatie  Algérienne n’étant qu’un outil de la politique extérieure de corruption de la mafia du pouvoir d'Algérie. Les algériens n'ont pas besoin de dilapider encore plus d'argent pour rien.. Ils ont besoin de reconquérir leurs espaces perdus dans leur entourage régional et d’avoir potentiellement de nouvelles perspectives d'ouverture et de coopération Maghrebine. L'actuel ministre, "en diplomate avisé!", sait que le seul poids qui peut faire de l’Algérie un interlocuteur crédible est celui de son retour à la raison avec le Royaume du Maroc et de divorcer toute ambiguïté avec.

Il s’agit donc essentiellement de se pencher sur une nouvelle stratégie qui soit adaptée à la conjoncture à venir le Maroc. Une conjoncture de réconciliation pure et simple sans conditions, qui aura sûrement des impacts positifs sur la stabilité politique, sécuritaire et sur le développement de l’Algérie. On a apprit qu'après le Sahel, Ramtane Lamamra devrait effectuer une tournée au Proche-Orient, une manière de courir derrière le mirage, étant donné que la politique extérieure de l'Algérie restera molle avec l'arrivée de LAMAMRA, conformément à ce qu'elle était avec Mr MEDELCI qui était très, voire trop molle...

Si l’Algérie veut reconquérir un terrain perdu, cela veut dire que la diplomatie algérienne, avant l'arrivée de ce fameux Lamamra, était incapable de cerner les enjeux du moment. elle n'était donc pas assez intelligente pour comprendre que sa profondeur stratégique dépend de son voisinage Maghrebin à sa tête le Royaume Chérifien du Maroc, l'acteur principal du traité de Marrakech du 17/2/1989. Au fait si la diplomatie algérienne était incompétente avant l'arrivée de Lamamra, comment se fait il que son chef de l'époque ait été propulsé au poste de président du conseil constitutionnel?. Malheureusement pour eux, les algériens sont condamnés à n'être dirigés que par des incompétents? par ce genre de président et son personnage d'Abdallah Eddalia¹ et par les adeptes du royaume de Tlemcen...

L’Algérie n'aura aucun poids réel en Afrique si elle ne met pas sa main dans sa gueule , non pour appeler à la distribution des dons et des aides aux pays pauvres d’Afrique , mais pour développer ses relations - ses vraies relations bilatérales - politiques et économiques avec le Maroc, s'abstenir de s'ingérer dans ses affaires internes et de lever sa main de l'affaire de son intégrité territoriale. Pour se faire, l’Algérie doit développer tout d'abord chez elle un climat de confiance et de crédibilité dans tous ses actes avec le Maroc. Les visites techniques de courtoisie de ses ministres et les déclarations d’hypocrisie de sa part ne changeront rien à la donne. Notre pays le Maroc est ouvert à toutes les éventualités avec l'Algérie. Nous avons déjà entamé la coquette du continent noir. Alors que l’Algérie peine à conquérir le territoire de son grand sud dévoré par le terrorisme qu'elle a créé elle-même.

Concluons ce premier volet de la note par ceci : Le vrai conflit est le Sahara Marocain oriental, il est le but du poème et grain de sable, je ne dis pas seulement pour le pouvoir Algérien, mais pour tous les algériens...Dans son discours "écrit et lu" en son nom par le ministre algérien de la Justice, Abdelaziz Bouteflika a jugé «plus que jamais d’actualité» la mise en place d’un mécanisme international de surveillance des droits de l’Homme au Sahara Marocain.C'étaient les  premiers symptômes qui précédent généralement la fièvre Algérienne à chaque moment de saisie diplomatique du dossier du Sahara Marocain par l'ONU.(dernière tournée de Ross dans la région).

Selon la presse algérienne, le chef de l’État algérien a jugé, voire qu'on a jugé en son nom, que «les violations massives et systématiques des droits de l’Homme qui ont lieu à l’intérieur de nos provinces Sahariennes du sud pour réprimer, dit-on, la lutte pacifique des citoyens pour la liberté d’association, de manifestation et d’expression, ne sauraient laisser la communauté internationale indifférente.

Le Maroc n’a pas tardé à répliquer, accusant Alger de chercher à servir ses desseins hégémoniques dans la région et de brouiller les cartes pour détourner l’attention des graves violations de ces droits qui se produisent quotidiennement sur son territoire, en rappelant pour consultation son ambassadeur à Alger.

C'est ainsi, l’Algérie, par la voix de son Président, s’est encore une fois adonnée à son exercice favori consistant à contrecarrer la dynamique de recherche d’une solution politique consensuelle et négociée de la question du Sahara, dans laquelle s’est inscrit de bon aloi notre pays. Assurément, dans ce jeu d’instrumentalisation du droit international et des droits de l’Homme plus spécialement, l’Algérie ne trompe plus personne.

Auparavant, le parti Istiqlal, ex-membre du gouvernement marocain, avait demandé aux autorités Marocaines de récupérer les territoires du Sahara Marocain oriental  qui se situe actuellement à ce que l’Algérie appelle son sud/Ouest, que l’Algérie a pris de force et qui comprennent aussi la fameuse région de Tindouf. Faute de quoi le Royaume du Maroc doit de son devoir, en tant qu’État crédible, soulever le problème au tribunal onusien de la Haye.

Pour cacher le soleil par le tamis,le ministre algérien des Affaires étrangères, a aussitôt dénoncé les propos, dit-il  absolument inadmissibles et irresponsables du Maroc, appelant, en vertu de l'hypocrisie habituelle algérienne ses «frères marocains à la retenue» et insisté: que cet incident ainsi que les déclarations, faites ouvertement et outrancièrement expansionnistes, par un chef de parti politique marocain, allusion à Hamid Chabat, sont absolument inadmissibles et irresponsables.et que la déclaration d'Abuja de son président Bouteflika constituait seulement «un rappel de la position bien connue de l’Algérie, qui est, je cite:..«Le Sahara occidental a été annexé en 1975 par le Maroc, après le départ du colonisateur espagnol. L’Algérie soutient et réclame la tenue du référendum d’autodétermination du peuple Sahraoui (!), tandis que le Maroc propose une large autonomie sous sa souveraineté, ce qui est inacceptable et inadmissible par l'Algérie». fin de citation

Si l’Algérie réclame de nouveau, après sa défaite d'avril dernier, la mise en place d’un mécanisme de protection des droits de l’Homme au Sahara Marocain, qu'elle considère vachement occupé par le Maroc. Bouteflika, dans son message écrit et lu en son nom à Abuja au Nigéria, le 28 octobre, a jugé «plus que jamais d’actualité» la nécessité de mettre en place ce mécanisme.C'est parce qu'on dit en dialectal Marocain :(Imout lkalb ou mayensach hrirou..إيموت الكلب أو ما ينساش هريرو.Bonne lecture.(A suivre..)

                                                                      Cordialement,Chihab25

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

1.- Pour connaitre ce personnage -dyal "la'khra hachakoum-, allez revoir le lien de sa vidéo dans la note précédente.

 

 

Les commentaires sont fermés.