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  • l'Algérie : Le chemin du bonheur est via l'aéroport d'Alger..?

     

                                             

                                        ..لابد للجزائر أن تركع أو تنتحر 

     في اللقاء الذي جمع الفريق الجزائري  - وفاق اسطيف - مساء يوم السبت 13 ديسمبر مع أوكلاند ستي ، بمركب ألأمير مولاي عبد الله بالرباط ، تفجرت حناجر الجمهور المغربي مرددة ،  «ندا الحسن والعيون عينيا والصحراء مغربية» وهو ما جعل هذة ألإشارات المعبرة والدالة تدخل مجلجلة كل البيوت الجزائرية عبر النقل التلفزي المباشر ،لتجلجل ايضا في سماء الغرورالجزائري،غرورالقوة، ألإقليمية  "العظمى"  وبحجم شعاراتها الجوفاء ،أقول تجلجل رغما  عن أنف حكامها الهبل، الذين يعيشون في "ماريستان" شاسع،بشساعة حجم الجزائرالترابي وبقوة توجهها العدائي للمملكة المغربية الشريفة 

    كما رددت الجماهير المغربية، أغاني وطنية أخرى ارتبطت بوجدان الشعب المغربي وتعلقه بوحدته الترابية...الحدت رياضي بامتياز ، كان مميزا بجمهوره وبدلالاته العميقة.. سمع الفريق الجزائري ومعه حكامه ما يكرهون سماعه لمدة 40 سنة خلت،  وهو ما ينشرح إليه كل قلب مغربي، مع النشيد الوطني بالمدرجات المرصعة باللونين ألأحمروألأخضر،وشعار الله ، ،الوطن ، ،الملك 

    وقد جعلتني هذة البادرة التلقائية ، اتذكر ما كنا نقوم به غداة ألإستقلال ، ونحن صغار.. كنا كلما غمرتنا البهجة الوطنية في لحظة مرح ،كنا نردد : « سير سير يا شيفور..فرانسا خرجت بلفور» ولا يسعنا اليوم إلا أن نقول : « زيد زيد يا ملك..  حتى الجزائر تركع ليك »  ونزيدهم.. المغرب هو البحر في أحشائه الذرر كامنة ..فهل سألت الجزائر الغواصين عن صدفاته؟    

     أود أن أشير بالمناسبة، بخصوص حمق الجزائريين الطافح، وردا على سؤال في البرلمان المغربي، قال ،المرحوم إدريس البصر، وزير الدولة في الداخلية ألأسبق بطرافة ومزحة،: « نحارب تهريب الماشية الجزائرية الى المغرب ،باش ما يدخلش لينا الكبش لهبيل..!» و...و  

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                                      للهروب وتهريب أموال الجزائر الى الخارج           

    Introduction..Dans l'attente des jours à venir qu'affrontera l'Algérie, par la dislocation de la famille régnante, par la disparation forcée de ses émirats créés par les frères gâtés Bouteflika (Naceur; Zakaria et Said) au détriment du peuple malheureux algérien, j'invite mes lecteurs et visiteurs du blog à regarder comment se propage la dilapidation et comment s'envole actuellement, à ciel ouvert,le bien public algérien à cause de la corruption, arrivée au stade désastreux en Algérie et comment le compte à rebours de l'éclatement certain de l'état s'approche au point de s'enclencher en Algérie. 

    L'hebdomadaire Marocain "Alousboue Essahafi" nous rapporte que la Mafia Algérienne mène actuellement une opération de lynchage de la Caisse pétrodollar et du fond public algériens, en l'absence d'une autorité dissuasive forte, devant la faiblesse du pouvoir Algérien, déjà en déflagration, de manière d'appliquer le thème " sauve-qui-peut; ou plutôt, vole-qui-peut!". Le journal décrit dans une colonne bien claire qu'une "fennana!" algérienne vivant au Caire aurait reçu dans son compte bancaire deux millions de dollars, l'équivalent de plus de 2 milliards de centimes, que lui envoyait son amie algérienne Najat Arafat l'épouse de l'ex-ministre algérien de l'énergie et patron de la Sonatrach Chakib Khalil en exil forcé ces jours-ci à New York.

    Cela vient s'ajouter, au scandale, créé par la fille de Abdelmalek Sellal le premier ministre et président éffectif Algérien "en cache", arrêtée le 19 novembre 2014 par la police Française à Lyon en France, en sa possession une mallette contenant "deux millions d'euros" en espèce (1 euro évalué à l'achat à 11 dirhams ou presque). Une affaire qui avait fait précipiter, rappelons-le, au 4/12/14, la visite inappropriée dit-on à Alger, -visite de travail-, de Sellal à Paris.

    Les téléspectateurs algériens ont bien eut le gout amère de l'humiliation réservée à leur premier ministre par le département du protocole de l'Elysée,  du fait qu'il fût reçu à  son arrivée à l’aéroport Charles De Gaules par un simple parlementaire déguisé en tenue de Mafia. Apparemment Sellal est venu en France, pas pour traiter les affaires de l'Algérie, mais pour traiter ses affaires personnelles et désamorcer le cas échéant, en marge de cette visite, toute poursuite pénale pouvant toucher éventuellement sa fille, et sauver sa face, en tant que patron aussi des Algériens vivant en France, tout en essayant de retirer, soigneusement, le cheveu  de la pâte de cette affaire d'escroquerie à l'Algérienne

                                   

    La main de la fille -Sellal est donc prise en flagrant délit dans le sac rentier algérien, et  lui (Sellal) pour se faire enrouler, ou (s'auto-enrouler, si j'ose employer le terme de cette façon) il se vante et parle avec amphase pour leur dire, aux Algériens au pluriel :  "Nous sommes très bien f'Dzaer sans faillir de rien?(!)". C'est ce qu'il dit par cette photo AT, et n'osait, en parallèle, dire solennellement que son pays est confronté, malgré lui, à un terroriste féroce local, qui frappe là où il veut et quand il veut.

    Il n'avait pas non plus le courage de dire ouvertement que l'Algérie, avec son potentiel pétrolier, "le leader régional fort" est incapable de mettre terme à son terrorisme local et sortir "indemne" de son tunnel, et qu'elle n'arrivait pas à anéantir ses propres groupuscules terroristes qu'il avait créés elle même pour faire paniquer le FIS, après le complot électoral de janvier 1991, et que depuis, les massacres synchronisés des personnalités de tout genre, ne cesse d'augmenter, au su et vu des militaires du général-bougre (Gaid Ahmed Salah, le déserteur d'Amgala)

    On fait entendre, à tout moment, au peuple algérien que son ANP (Armée Nationale Populaire) mène sans relâche des opérations de ratissage! opérations fort médiatisées bien sûr, mais je constate, à mon sens, comme simple observateur, que les militaires qui se sentent poussés vers l'enfer, ratissent, "en poussière", sans  pouvoir réaliser objectivement des buts concrets dans ce sens, ce qui laisse, champ et manœuvre libres aux terroristes locaux (dont la plupart n'est que des ex-Hitistes, c'est-à-dire des chômeurs), pour se venger, tant qu'ils peuvent, des autorités et élus locaux et semer la terreur partout ,là où ils passent, dont dernier règlement de compte en date, l'assassinat, en plein jour, de Benyoucef Chelghoum, maire de Borj El Emir Abdelkader dans la wilaya de Tissemsilt à 480 kms environ au Sud-Ouest d'Alger.

    Pour anesthésier l'opinion publique locale algérienne le ministre algérien de la justice, sort de temps à autre, avec des communiqués, aux compte-goûtes, indiquant avoir abattu un terroriste, ici et là, qui serait de préférence, un des terroristes ayant décapité le ressortissant Français Hervé Gourdel dans les massifs de Tizi Ouzou.

    D'autant plus que les sorties médiatiques aléatoires de ce fameux Sellal, ne font qu'accentuer davantage le goût amère chez les algériens, si ces derniers apprennent aussi que la manœuvre d'escroquerie, enveloppée en visite officielle en France par la primatie Algérienne, est mal perçue en Angleterre. Mr David Cameroun, le premier ministre Britannique, aurait refusé, à cet effet, de recevoir  Abdelmalek Sellal en personne à la tête de la délégation algérienne qui devait se rendre ce mois-ci à Londres.

    Le bla-bla Algérien sur la coopération avec l'Angleterre s'est limitée aux figures des ministres des secteurs concernés par cette visite, survenue le 12 courant. Pour tremper les algériens, et être fidèle à sa déontologie de déformation, la presse algérienne, l'APS surtout, publiait une ancienne photo qui date depuis la visite de Cameroun à Alger, le 31 Janvier 2013.

    Mes paroles sont adressés, pas à l'opinion publique Marocaine, mais aux Algériens, voire aux thuriféraires du pouvoir qui viennent remplir le monde des réseaux sociaux et forums de discussion par des conneries sur la particularité algérienne.

    A ceux-ci, je dirai et mes concitoyens Marocains (-MRE-) le confirmeront certes..Il suffit de se rendre aux terminaux des banlieues des grandes villes Françaises, comme Paris, Marseille et Lyon pour que vous fassiez une idée plus précise sur l’ampleur de leur "ghachi", déformation machiavélique ayant pour équivalent en français «gâchis» (les gâchis et bannis d'Algériens), en effet, la dite communauté bat le record dans les délinquances sur tous les plans : mauvaise réputation, gestion des maisons closes à la basse-cour, décalage inexpliqué dans les mentalités, manque d’organisation, manque de dignité et absence terrible de la bonne conduite d'immigrés dans presque toute l'Europe ex-occidentale.

    Ce qui ternit non seulement l'image de l'Algérien auprès du public international mais celle de son pays l'Algérie qu’il représente! Or, je présume que les algériens en général, avaient hérité à contrecœur du «syndrome du casanier» lequel s’est, encore faudrait-il le rappeler, bien transmis, voire enraciné dans les gènes de leurs responsables depuis les premières lueurs de l’indépendance pour ne pas en rendent compte, ce qui les pousse à refuser de quitter l'idée de demander constamment à la France de s'excuser pour le colonialisme qu’elle a imposé à l'Algérie pendant 132 ans et de regarder le monde moderne d’en face! de même de laisser notre cher pays, le Royaume Chérifien du Maroc, évoluer tranquillement,dans ses marches et démarches de démocratisation, de développement économique, d'infrastructures, en conformité avec la carte de route de bonne gouvernance Royale, tracée par Sidna  que Dieu l'assiste.

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    Détourner l'argent-dz ..La justice italienne, comme tout le monde le sait, a dévoilé une nouvelle affaire de corruption qui implique Sonatrach et une filiale de l’entreprise pétrolière italienne ENI. Si les faits sont nouveaux, les méthodes de corruption sont similaires à celles des affaires corruption qui ont secoué la Sonatrach depuis 2010 en Algérie, affaire qui a conduit à l’incarcération plusieurs intervenants corrompus. ٌRéussir à détourner des millions de dollars de la caisse publique Algérienne est une opération facile et simple...y compris bien sûr la corruption des marchés d'armements qui entache l'institution de l'armée algérienne.        

    Mafia sur terre, air, mer...Il y a quelques mois, une trentaine de chalutiers chargés de marins-pêcheurs algériens se sont rassemblés au niveau de la corniche d'Annaba à l'est d'Alger pour protester contre ce qu'ils appellent la «mainmise de la mafia» sur leur activité. Bon sang ! Elle est partout cette mafia : sous terre, lorsqu'elle se met à sucer dans le pétrole Algérien ; sur terre lorsqu'elle s'accapare illicitement des meilleures exploitations agricoles coloniales, jadis nationalisées et maintenant occupées par les enfants des pontes du système ; dans les airs comme elle l'a fait avec Khalifa Airways dont le procès n'a touché que le menu fretin ; dans l'importation, dans le commerce, dans les transports, dans la santé, dans les travaux publics... Et voilà qu'elle prend le large, cette mafia gloutonne qui avale tout ce qui lui tombe sous la main ! Et l'Algérien voit guère de solution, à moins d'émigrer massivement vers la Lune où, pour le moment, la mafia algérienne est inopérante. Enfin, le pauvre simple Algérien le pense, mais rien ne dit, qu'une fois là-bas à la lune, les Algériens ne tomberons pas sur des flibustiers en chair et en os algériens, habillés en cosmonautes et proposant au prix fort de... l'oxygène contrefait ! 

    Lutte contre : C'est du mirage?..Le ministre de l’Énergie actuellement en exercice est revenu sur les affaires de corruption autour des activités de Sonatrach. “Des instructions très fermes ont été données aux entreprises pour défendre leurs intérêts et pour poursuivre toute personne susceptible d’avoir agi contrairement aux intérêts de l'entreprise Algérienne”.

    Mais contre qui, ces entreprises doivent-elles défendre leurs intérêts ? Dans les affaires qui font l’actualité, ce sont des ministres de la république Algérienne qui sont suspectés de graves malversations. Et ce n’est pas la première fois que des scandales financiers suggèrent, de par les institutions qu’elles impliquent, la responsabilité de dirigeants autrement plus hauts placés que les cadres des entreprises. Mais jusqu’alors, il était invariablement proclamé que la responsabilité politique n’était pas établie.
    Il faut bien rappeler que si une information judiciaire, visant à élargir les investigations sur l’affaire Sonatrach  1 et 2, est ouverte depuis le 10 février 2010, c’est suite à “l’implication de personnalités algériennes dans des faits à caractère pénal, et plus précisément de corruption, lors de l’exercice de leurs fonctions au sein des institutions de l’État Algérien” rapportée dans “des articles de la presse internationale et algérienne”. Il ne fait pas de doute que ce sont les révélations de la justice Milanaise, relayée par la presse italienne, qui ont rendu inévitable cette évolution dans le dossier Milano-Algérois en question.

    Enquêtes au point mort,,Une année ou presque après la dissolution de la police judiciaire du DRS et après l'éclatement du scandale Sonatrach II, les enquêtes sur les grandes affaires de corruption sont au point mort. Le service de police judiciaire du DRS, à savoir, enquêtait sur les grandes affaires de corruption vu la dimension des dossiers. C’était lui qui alimentait la justice en informations concernant l’affaire Sonatrach I et II, par exemple, expliquait à la presse algérienne locale, le dénommé Jilali Hajaj, porte-parole de l’Association algérienne contre la corruption. La dissolution de ce service a donné un coup d’arrêt aux enquêtes sur la corruption, lancées par le DRS, après les révélations de la presse Italienne sur le scandale des pots-de-vin versés par Saipem pour obtenir des contrats en Algérie. Le DRS avait le sacré avantage d’être en relation avec un certain nombre de ses homologues étrangers (services Italiens et Français de sécurité). Ce qui lui permettait d’échanger des informations sur certaines affaires, ajoutait ce Hajaj.

    Le service de police judiciaire de la justice militaire, qui est placé sous l’autorité du général-bougre (AGS), chef de l’état-major de l’armée algérienne, n’a pas pris le relais pour poursuivre les enquêtes. D’abord, les éléments clés de ce service sont restés chez le général Toufik, l'homme fort de l'Algérie,dit-on ces jours-ci à son propos, qu'il a subi le même sort que son patron Bouteflika, «il revient de Bruxelles, paralysé lui aussi, Dieu merci, pour occuper confortablement son fauteuil roulan,et substitué par le nouveau homme fort de la sécurité de Bouteflika, le général Tartak à la tête du  DRS. (إن الله يمهل ولا يهمل، إحقاقا للحق المغربي)

    C’est, donc, une coquille vide qui était placée sous l’autorité de l’état-major », estime tout observateur.  Ensuite, ce service ne prend plus d’initiatives à partir du moment où les chefs ne l’habilitent pas à le faire. À la connaissance de tous les algériens, il ne produit plus grand-chose. Et en même temps, le pôle judiciaire spécialisé n’est pas très demandeur parait-il?. Cette situation explique le blocage et le manque, voire l’absence, de coopération judiciaire d’Alger avec les étrangers qui enquêtent sur l’affaire Sonatrach II. Il semble qu’il y ait sûrement une volonté politique de bloquer la poursuite de toutes ces affaires, dont la probabilité implique toute la famille du présidents (ses frères et  ses gendres) .

    Le soi-disant procureur général d’Alger avait annoncé, pour la consommation locale, le lancement de dix mandats d’arrêt internationaux, contre des fugitifs dont un contre l’ancien ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khalil. Mais aucun des suspects n’a été arrêté à ce jour.C'est que du bla-bla à la haute échelle de justice en Algérie 

    L'Algérie traquée pour blanchissement d'argent..Le juge Américain expert de blanchissement d'argent Mr.Stephen Gibbons, membre de la Section de la confiscation d’avoirs et de lutte contre le blanchiment d’argent de la Division des affaires criminelles du département américain de la Justice est toujours sur les traces de l’ancien ministre algérien de l’Energie et des Mines, Chakib Khalil à New York.

    En effet, ce juge américain, rodé aux enquêtes sur des personnalités internationales impliquées dans des affaires de biens mal acquis et de blanchiment d’argent, poursuit ses investigations sur les biens de Chakib Khalil aux Etats-Unis notamment dans l’Etat du Maryland ou l’ancien ministre et son épouse Najat Arafat auraient acquis des biens immobiliers pour un montant de 2 millions de dollars.

    Le magistrat Stephen a été désigné par le département américain de la Justice afin de prouver si l’origine des propriétés des Khelil est frauduleuse. En cas de confirmation d’une telle option, tous les biens mal acquis seront saisis par la justice américaine, selon sa réglementation locale. Il est à noter que Stephen Gibbons a déjà élucidé plusieurs affaires de ce genre, dont la plus célèbre reste celle mettant en cause le fils de l’actuel président de la Guinée équatoriale et avait prouvé en 2012 que l’argent dépensé par celui-ci pour ses diverses acquisitions provenait de détournement de deniers  publics de son pays.                                                

     Le prix du silence..Les députés  algériens, voire toute l'écurie de Larbi Ould Khlifa et de Abdelkader Ben Salah, réclament des  salaires que les ministres, des passeports diplomatiques et d’autres avantages..comme un congé spécial d'un an à la fin du mandat et possibilité de réintégrer son poste d’emploi en quittant l’Assemblée… C’est ce qu'ils proposent dans un projet de loi modifiant leur statut duquel ils vont garder toutes les indemnités qu’ils percevaient en tant que parlementaires retraités. (…) . Ils imposent également que les présidents de l’Assemblée et du Conseil de la nation, perçoivent une indemnité équivalente à celle du Premier ministre.  

    Ces dix en une cervelle, ne se contentent pas d’une forte hausse de leur rémunération, ils veulent également imposer au passeport préconisé la qualité de "personnalité extrêmement importante" qui aura droit d'assister à toutes les activités et les manifestations officielles organisées dans sa circonscription électorale et la wilaya et bénéficie du premier rang dans le protocole.

     

    La pire des corruptions..Il y a une autre corruption dont personne ne parle et qui fait ravage dans beaucoup de pays et particulièrement en Algérie Dans cette corruption, on ne donne pas de l’argent, mais on donne à des personnes des postes de responsabilités, non sur la base de leurs compétences, mais uniquement en guise de remerciement pour leur silence et services rendus… 

    Dans tous les pays où l’usage de la démocratie est absent, comme c'est le cas en Algérie, ne fait pas partie de la culture des responsables et des citoyens, la compétence est souvent le dernier critère pris en compte pour distribuer les postes, allant de la direction d’une petite école jusqu’aux plus hauts postes dans les sillages du gouvernement et de l'état.  

    Quand la culture démocratique et la conscience professionnelle privilégiant l’intérêt général, font défaut, un haut responsable, pour pouvoir gérer tranquillement ses affaires et pour avoir la paix dans l’exercice de ces fonctions, se fera entourer uniquement par des aides dociles qui exécutent les ordres sans discuter. Très souvent, les compétences surtout si elles sont très critiques, sont cataloguées de «têtes dures» et les têtes dures n'en existent pas en Algérie devant l'effet de la rente pétrolière et  s'ils  en existaient quelques unes, elles sont  systématiquement écartées et complètement ignorées. 

    Ces responsables entourés de leurs bras droits très dociles vont ainsi faire ce qu’ils veulent et même élaborer des projets tronqués ou complètement aberrants ignorant toutes les critiques ou oppositions. Ce n’est pas tout, dés que l’occasion se présente, ces hauts responsables et pour remercier leurs dociles et serviables bras droits, les nommeront pour d’autres postes de responsabilités à la tête d’un grand établissement ou à la tête d’un secteur ministériel. Ces mêmes serviteurs dociles une fois eux-mêmes devenus hauts responsables, vont faire la même chose que leur « piston », se faire entourer que par des dociles et ainsi de suite… 

    Et nuire davantage au Maroc?.,Concernant nos relations avec l'Algérie..Quand le mensonge algérien prend l’ascenseur, la vérité Marocaine prend l'escalier, elle fait plus de temps, mais elle finit par arriver..(!) A cet effet, l'Algérie mobilise sa diplomatie et ses ressources pétrolières pour son agenda anti-marocain- Manne pétrolière, manœuvres diplomatiques, hébergement et encadrement des séparatistes. Pour l'Algérie officielle, tous les moyens sont bons pour nuire au Maroc et son intégrité territoriale quitte à payer le prix, combien insoutenable, d'une double précarité politique et socio-économique.  

    Le constat est profondément regrettable : Quarante ans de folles gesticulations au service d'un "projet" séparatiste fantoche au sud du Maroc auraient coûté 250 milliards de dollars à l'oligarchie militaro-politique au pouvoir, d'après les estimations d'experts algériens.  

    C'est le chroniqueur du journal AlgériaTimes qui, citant des sources bien informées, avance les budgets colossaux mis à la disposition d'une poignée de représentants des séparatistes, lobbys et médias, au grand dam du peuple algérien éloigné de toute décision le concernant.  

    Le dernier acte de cette animosité effrénée contre notre Royaume Chérifien a été l'annonce l'été dernier, de l'ouverture d'une université pour les soi-disant cadres du polisario, à l'initiative d'un obscur comité de solidarité avec "le peuple sahraoui", qui n'a d'existence que dans l'imaginaire des officiels algériens.  

    C'est là une position psycho-statique pour le régime en place qui se présente en défenseur zélé des "causes justes des peuples opprimés", alors qu'il dénie par tous les moyens aux populations kabyle et mozabite leur droit à l'autodétermination linguistique, culturelle et politique, principe qu'il prétend défendre au Sahara Marocain. A longueur d'années d'ailleurs, l'Algérie ne cesse de financer les campagnes hostiles au Maroc et d'acheter voix et prises de position dans le seul dessein de servir de vieilles visées hégémoniques.  

    De l'avis de tout observateur crédible, pareilles campagnes d'acharnement, et leur corolaire de pétrodollars et de jeu d'influence, de leadership, surtout en Afrique du nord, ne peuvent être interprétées en dehors des problèmes et crises internes de l'Etat Algérien.   

    Cette analyse est d'autant plus vraie que le pouvoir algérien cherche désespérément depuis des décennies, et avant même le départ de l'occupant espagnol, à maintenir un climat de guerre avec notre pays, le Royaume du Maroc, désigné par  des experts étrangers de la chose, en poids lourd du Maghreb, et à forcer le passage vers l'Atlantique.  

    Les problèmes intérieurs de l'Algérie ont tendance à prendre de l'ampleur eu égard à sa totale dépendance de la rente des hydrocarbures en baisse heureusement ces jours-ci,, une source énergétique limitée dans le temps, ont fait observé les experts de l'OPEP.  

    Voilà justement pourquoi les Algériens se demandent avec amertume, je cite: "Pourquoi nos dirigeants ou bien la bande qui gouverne n'arrivent pas encore à comprendre que la véritable bataille est celle du développement économique, la lutte contre la pauvreté et la marginalisation ? fin de citation".  En guise de réponse et comme pour mettre le doigt sur l'origine du mal, le journaliste  Algérien de l'AlgériaTimes écrit que les révolutions du peuple algérien demeurent inachevées puisqu'il n'a pas encore récupéré sa véritable souveraineté à cause de l'acharnement des nouveaux colonisateurs à se maintenir au pouvoir.  

    Résumé en quelques mots..De fait, l'Algérie n'a d'autre priorité sur son agenda que le Maroc et son Sahara, bien qu'elle revendique, sans gêne, le statut d'observateur et proclame toujours, à qui veut l'entendre qu'elle n'est pas partie-prenante dans le conflit.   

    L'oligarchie militaro-politique au pouvoir en Algérie, et avec elle les lobbys et ONG à la solde de la thèse séparatiste en contrepartie de milliards de pétrodollars sonnants et trébuchants, ont essuyé un cinglant camouflet après le refus du Conseil de sécurité, mais aussi du Conseil de l'Europe, d'adhérer à l'idée d'un élargissement du mandat de la Minurso aux droits de l'Homme? Le fait pour lequel, les diplomates algériens se sont donc tournés vers le Conseil des droits de l'Homme à Genève où le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Laamamra a fait spécialement le déplacement pour réclamer, en tant que pays observateur,disait-il, le suivi des recommandations de l'ONU y afférentes, contre attaqué, à chaud et sans pitié, par nos faucons diplomates en place. Et sans surprise, le président du conseil n'y est pas allé par quatre chemins en rappelant à la délégation algérienne la résolution pertinente du conseil de sécurité, seul organe compétent à délibérer sur cette question.

    L'Algérie est «le tout..» sauf un Etat observateur dans le conflit du Sahara, où elle s'est engagée depuis 1976, politiquement, diplomatiquement et financièrement, avait alors déclaré notre ambassadeur à l'ONU, Mr.Omar Hilale, en réponse à la manœuvre algérienne. 

    Thèse rejetée également par la communauté internationale sous le ciel Marocain, preuve en date, la tenue du 2ème sommet international sur les droits de l'homme organisé récemment à Marrakech, au cours duquel le Maroc s'est engagé à promouvoir les droits de l'hommes dans le sphère de l'entreprise, dépassant ainsi, ce que réclame l'Algérie pour le Sahara Marocain. D'autant plus la tenue prévue à la mi-décembre en cours à Marrakech aussi d'une rencontre international de lutte anti-Jihadiste à l'échelle internationale.   

    Dans son hostilité inconditionnelle et sans frontières contre le Royaume, la nomenklatura algérienne a non seulement mis sa manne pétrolière au service de vaines ambitions hégémonistes, mais elle a aussi privé l'ensemble des peuples maghrébins du rêve unitaire qu'ils n'ont cessé d'embrasser depuis l'aube de l'indépendance. C'est dire que l'Union maghrébine (comédie) a été lamentablement mise en parenthèse et des points de croissance économique ont été perdus à jamais tant pour l'Algérie elle-même que pour le Maroc et les autres pays de la région.  

    La présence des ministres et personnalités algériennes corrompus, à leur tête les fameux thuriféraires de la famille Bouteflika (Sellal, Ouyahya, Ghoul, Ould Khlifa, Ben Salah et le Drabki Amar Saâdani) n'est qu'un exemple parmi d'autres de la corruption généralisée en Algérie. La corruption est pratiquée dans presque tous les domaines en Algérie. Le secteur de l'hydrocarbures est le premier à être considéré. En Algérie il n'y a pas d'instance chargée de garantir la transparence du gouvernement et de promouvoir des mesures visant à endiguer la corruption et le népotisme qui menacent aujourd'hui ce pays. La tâche s'annonce rude dans l'absence des instances institutionnelles démocratiques avec tout le sens du terme

    Aujourd'hui en Algérie n'importe quel citoyen peut échapper à une amende pour excès de vitesse sur la route en négociant un pot-de-vin avec sa police, dite nationale (!).Je pense, comme d'autres, que la corruption fait malheureusement partie de la culture algérienne s'ajoutant à l'orgueil, à l'arrogance et à l'ingratitude envers notre pays, le Royaume Chérifien du Maroc. Les histoires que l'on entend régulièrement à propos du népotisme politique et des gouvernants algériens soudoyés le prouvent, surtout en cette phase de vacance présidentielle. En tant qu'observateur Marocain, c'est gênant que ces histoires aient un rôle à jouer dans l'agenda officiel algérien anti-Marocain. Bonne lecture.

                                                                                    Cordialement,Chihab25