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  • Algérie...statu quo mortifère

     

                                                                 

                 Mistr Ben, veut dire avec cette grimace..Peut-être que j'ai raison!

    mister bean1 

     

     

     

     

     

    N.B..Je reprends ce paragraphe pour en informer le lecteur qui rejoint le blog pour la première fois. «Pour commencer tout d'abord, je voudrais demander excuse pour la simplicité de mon français. Un Français qui n'est pas du tout de la meilleure langue classique de Molière et de Montesquieu, même si cette langue, me parait-elle, faible devant les autres langues, surtout devant celle de l'arabe que je connais parfaitement. Par exemple elle ne peut dire au minima le chiffre 1999 en un ou deux mots, elle le prononce en sept (mille, neuf, cents, quatre, vingt, dix,neuf), si on croit la colère d'une Française qui me parlait à ce sujet et qui regrettait avec amertume ce manque de richesse dans sa propre langue maternelle.

    Quant à moi, je pense que mon style  d'écriture et d'orthographe arrive, quand même, à transmettre mes idées aux lecteurs francophones.Je veux dire par mes "idées", toutes les vérités perdues, dont le lecteur,le plus lointain surtout, veut savoir sur la traîtrise et les attitudes malencontreuses algériennes contre ce Grand Royaume Chérifien du MarocRevenant encore au rythme de Bilal Marmid  de Medi1radio et j'en passe..

    Statu quo mortifère.. Devant le "statu quo mortifère" qui infecte actuellement  tous les secteurs, du haut de la sphère du pouvoir au petit commis communal en Algérie, mettant à sac la présidence au palais d'ElMoradia d'Alger. Vous me permettrez de consacrer exceptionnellement cette note à la chose interne Algérienne, à l’arrêt des pendules de l'horloge Taflikienne dans l'attente de voir d'autres pièces théâtrales de la comédie algérienne concernant son hostilité odieuse à notre Grand Royaume Chérifien du Maroc.

    En ce qui nous concerne, nos affaires marchent très bien, comme sur des roulettes.Evidemment ce n'est pas le gouvernement du bla-bla de Benkirame qui va réaliser le programme des grands chantiers ou traiter les grands dossiers sensibles à la mesure de la politique étrangère Marocaine. De son coté, avouons-le, ce gouvernement politique ne manque pas d'user de ses prérogatives, tant qu'il se charge bien de la marche des affaires courantes du pays. En parallèle, il y a ce qu'on appelle «le Gouvernement de l'ombre», un groupe d'experts bien qualifiés dans tous les domaines, qui travaille en silence et sans bruit, dont les résultats marquent beaucoup de progrès enregistrés dans le pays,  et qui y sont visibles aux aveugles et ce dans une atmosphère de stabilité politique et sociale sur la voie de la consolidation de l'édifice démocratique du pays.

    Nous simples observateurs, nous constatons cet effort, surtout après les gifles diplomatiques consécutives, endossées par : Christopher Ross, qui jouait des cartes de poker périmées au Sahara. Par les Français socialistes à cause de leur descente musclée à la résidence de Mr. Ben Moussa, notre ambassadeur à Paris pour lui remettre une simple convocation de juge. Et enfin par le nouveau Pharaon d'Egypte tombé imprudemment entre les griffes de notre ennemi, qui l'aurait traîné pour l'inciter à ses cotés dans  son mirage Sahrawi.

    Coups de prof..Le jeu Marocain est désormais devenu plus grand que les futilités diplomatiques de Bouteflika, ou plutôt, de son entourage qui détient les ficelles derrière les coulisses. Gigantesque aussi et dépasse l'effet de dons pétrodollars de récompense et ce en conformité du proverbe.."L'esprit sain est dans le corps sain". C'est notre cas Dieu merci, étant donné que le guide dont les Marocains constituent derrière lui un fils interminable, est en bonne santé, physique et mentale, apte à la bonne gouvernance, maîtrisant bien la conduite dans un monde mouvementé, dominé par force d’intérêts, contrairement aux algériens, qui sont, du bon ou du mauvais gré, contraints de suivre et d'obeir à un handicapé physique et aliéné mental qui a déjà conduit l'Algérie au pied du mur, au grand "Maristane" du globe. (le Maristane c'est l’hôpital pour les déséquilibrés mentaux).ٌ

    Alors,on aura surement l'occasion de jouer à visage découvert au mois d'avril prochain au Conseil de sécurité. Les trous de fuite sont bien fermés par les gardes du corps de Mr. Ban Ki Moon et le meilleurs gagne. Le meilleurs à qui je voudrais faire allusion, se ne serait pas Ramtan Lamamra certes, tant qu'il aura en face de lui un faucon Marocain qui s'appelle Omar Hilal, notre ambassadeur à l'ONU, qui a pris l'habitude de dribbler les mauvais joueurs pro-algériens depuis Genève, là où il était le représentant du Royaume au bureau des Nations Unies. Le mois d'avril 2015 sera le mois décisif par rapport au dossier du Sahara Marocain, selon les pronostics d'analystes et experts internationaux, rapporte le quotidien arabophone Londonien "ElQods El Arabi".                         

    Maroc conforté.. Quand le mensonge Algérien prend l’ascenseur, le vérité éclatante Marocaine prend l'escalier, elle met plus de temps, mais elle finit toujours par arriver.  Le Maroc à cet effet se trouvera dans l'obligation, par force des choses, de réaffirmer aux Algériens surtout, ne plus vouloir d'aide, d'intervention ou de médiation de bonnes offices de quiconque dans le dossier de son Sahara qui est une priorité nationale majeure.Ce dossier n'est plus aux mains des apprentis, du fait qu'il est déjà passé au rétroviseur royal. 

    Mme Kim Bloduc, la nouvelle patronne de la Minurso est mise à l'épreuve, elle aura pour tâche de réaliser à la lettre, la neutralité de l'ONU au conflit, veillant uniquement au cessez-le-feu entre les mercenaires d'Alger et les Forces Armées Royales au Sahara. et point-barre.  Quant à Mr.Christopher Ross qui après avoir perdu la boussole Onusienne dans ses rondes, devrait, cette fois-ci, travailler correctement, et ne se pencher qu'à la tâche dont il se charge au carré Onusien, sans tendre, ni langue ni main, ni s'approcher ou toucher aux lignes rouges Marocaines. Le Maroc qui compte sur l'objectivité du rapport du conseil de sécurité le mois d'avril prochain, est donc bien conforté pour mener à bien une solution définitive au conflit se référent au constat réel de son intégrité territoriale, espérant arriver à la sortie du tunnel vers la direction que doit prendre la recherche sérieuse d’une solution politique consensuelle à la question du Sahara.

    Algérie isolée ..L’Algérie est très mal aventurée dans son duel face au Maroc depuis son engagement dans le conflit du Sahara Marocain. Les algériens eux,  se retrouvent menés zéro points, renvoyés à la case départ, après la conversation fructueuse de Mr.Ban Ki Moon avec Sa Majesté le Roi Mohamed VI, qui faisait suite à la défaite initiale de la diplomatie de Ramtane Lamamra, le ministre Algérien de la diplomatie d’Autriche contre la diplomatie Marocaine qui connait l'émergence d'une nouvelle orientation répondant à la volonté royale. En preuve, le grand souffle remarqué à la politique étrangère de notre pays, à l'initiative du diplomate-Baskettman qui a mis son homologue Algérien,  dos au mur, hors de nuire.

    Les Algériens avec les handicapes qu'ils en portent contre le Maroc devront trouver la solution à leur politique aveugle d'ingérence dans la chose Marocaine pour espérer trouver une sortie du tunnel qui paraît mal compromise.l’Algérie en fait par son mauvais comportement au sein de la 4° commission, devient de plus en plus isolée dans toutes ses tentatives de vouloir briser  à nouveau la vitre de la réalité ou de faire brèche au mur des Nations Unies. Là où le jeu de cache-cache à l'algérienne est dévoilé. Fini le jeu de distribution d'offrandes pétrolières.La communauté internationale est décidée par le biais de son Secrétaire Général de sortir de l'impasse algérien, de passer à l'acte et de mettre terme à son immobilité, du genre de "Jim Jong à l'algérienne", de façon à relâcher les cordes aux envoyés spéciaux du SG de l'ONU au Sahara Marocain.

     
    Les victimes du mensonges-dz..Je ne connais ni  l'un ni l'autre, ni qui croit au mirage algérien et reconnait encore la fantoche Rasd.. Je ne connais pas non plus les présidents corrompus qui entachent la crédibilité de leurs pays par la fumée du combustible algérien. Et pourtant, à chaque fois, qu'on dénombre les pays repentis qui rejetaient ou suspendaient une telle reconnaissance, le poignard fend le cœur algérien, la lame invisible qui tranche le fil de la diplomatie d’Autruche algérienne, me glace le sang et me fige sur place pour me soulager. Ces mots ne sont pas pour consoler mes concitoyens Marocains non! Je laisse cela aux thuriféraires et aux saints politiques du pétrodollars. Moi, je suis loin de cette sainteté tant que ma révolte, comme tant de Marocains, pointe sous notre calme apparent.
     
    Ces micro-Etats-là ont été cueillis, rappelons-le, dans la fleur de la propagande diplomatique de l'Algérie depuis Boumediene constituant aujourd'hui le mauvais héritage pour ses successeurs. Et toutes les promesses que les algériens ont soumis à l'adjudication et à la surenchéri de leur création de Tindouf, sont devenues une marchandise pourrie que Ramtan ne pourra liquider facilement au marché de l'esclavage d'autrefois, ou dans l'esplanade boursier international qui lui échappe plus que jamais. Sachant que les valeurs de la bourse de propagande algérienne sont en baisse, pénalisées par les mauvais chiffres de mensonge et que l'Etat algérien ne pourra pas continuer à renflouer  l'entreprise Sud Africaine qui dirige les vagues d'hostilité contre  le Maroc et contre la raison.
     
    Au Maroc on est conscient de la solidité de notre cause nationale.Quand on considère de près la réalité d'hostilité de l'Algérie, nous ne devons pas regarder le verre à moitié plein. L'Algérie a depuis son indépendance réalisé beaucoup de mal au Maroc sur tous les plans. Mais notre pays dispose, de pas mal de retenue, de sagesse et de perspicacité, pour cela nous sommes arrivés et nous arriverons à convaincre davantage toutes les démarches malencontreuses de cette mauvaise voisine. C'est du moins ce que nous estimons atteindre dans les mois qui suivent dans cette affaire.
    Pour questionner l'Algérien sur ce qu'ils ont pu faire de bien au Maroc depuis l'indépendance de l'Algérie. Il se veut une sorte de remise en question de soi. Pour lui, malgré toutes les brouilles, il se trouve que dans l'Algérie d'aujourd'hui, des malades de "grandeur et de leadership" qui pour avoir un rendez-vous avec l'histoire Maghrebine, il leur faut attendre des années pour modeler des mentalités saines pour y arriver à la réconciliation avec la générosité Marocaine,. Pour beaucoup d'entre eux, cette amère réalité est inadmissible.
     
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    D'autre part, un Marocain de retour d’Algérie, que j'ai rencontré dans un grand palace à Rabat, me racontait la situation alarmante dans laquelle se plonge actuellement l'Algérie, dont voici le résumé que j'ai pu établir à ma façon.
                                           Baouha

    Problème de mentalité!..Et voilà que le temps des vaches maigres s’annonce  à grands fracas en Algérie. Les prix du baril du pétrole ont baissé, l’atmosphère internationale n’augure pas de belles surprises, les cartes de l’alternance au pouvoir sont rebattues à l’intérieur algérien,  la phraséologie des réformes  et des grands chantiers en prend un sérieux coup à cause de la corruption et, enfin,  le nuage de toutes les illusions entretenues par les uns et les autres s’est dissipé en Algérie. L’Algérie monochrome et à tête malade  ayant  réincarné le rôle de la cigale dans «la fable de la rente» regrette aujourd’hui le génie et la persévérance de la fourmi.

    Mais rattrape-t-on en un tournemain le temps perdu quand, depuis des décennies, on n’a adopté en Algérie aucune stratégie  pour sortir de la dépendance alimentaire, économique à l'étranger.? Difficile d’imprimer une teinte cohérente à ce que les algériens pensent ou fassent pour s'en sortir de l'impasse. Car,  en apnée mentale, l’Algérie vit une fantaisie cartoonesque où les remous de Ghardaia, et la protestation anti-gaz de schiste de Ain Salah synchronisent, au corps algérien défendant, une dynamique de métamorphose sociopolitique nouvelle dans une carte régionale très fragile. 

    Peu crédibles à tous points de vue, toutes les initiatives étatiques, quelles soient verbales ou pratiques depuis les événements d'octobre 1988 corroborent, du moins en partie, le cliché de «l’immaturité du peuple algérien au changement». En plus, au tranchant de deux époques, d'abord le socialisme "Boukharouba" trop protecteur des années 1970-80 et libéralisme sauvage et indifférent qui a mal envahi l'Algérie à partir des années 1990, l’algérien a perdu la boussole et les trois tiers de sa lucidité.

    A vrai dire, le processus contagieux de la régression a auparavant déjà touché les comportements, en subvertissant les manières d’être, de regarder l’autre et de se mettre en rapport avec lui. En ce sens la ruralité n’a pas été apprivoisée dans l’objectif de «la citadinisation des espaces» mais dévitalisée de ses qualités primordiales propres à savoir : La dignité, l’hospitalité, l’entraide, la bonhomie, le courage et la bonté pour ressortir par effraction de sa bulle originelle en relents de voyouterie, de sauvagerie et de délinquance.

    Afin de mieux projeter de la lumière sur cette dialectique « individualité-foule », notre ami le Marocain qui revient bourré de mauvais souvenir d'Alger s’en remet à un exemple que je trouve illustratif.  «La mort dans l’âme en Algérie. Le désintéressement à l’autre, à l’environnement, au vivre-ensemble et à tout ce qui est relatif à la culture de leurs ancêtres est incontestablement une seconde nature chez l'Algérien d'aujourd'hui. 

    C'est l'état de décadence morale et de chaos de la société algérienne,ce qui contredise la joie de soulagement : "Allah aâlik ya jazaer", que disait souvent Ssi Bouteflika, quand il se sentait bien dans sa tête. A mon sens, le problème des algériens «est fondamentalement dans l’éducation, la culture, le respect des autres, les manières, les comportements. Bref, c’est un problème de savoir-être, un problème d’idées et surtout de mentalités».Et c'est de cet ensemble que se constitue la plaque tournante d'hostilité et de haine qu'ils portent en eux contre ce Grand Royaume Chérifien du Maroc.

    Abstention d’élites..Tant que les élites algériennes sont quasiment absentes, le champ de jeu est libre pour tous les frivoles de l'Algérie. Je termine ce conte en quelques mots, par un cas spectaculaire qui met en exergue la qualité politique dégelasse qui entache la figure algérienne. Un des pions du pouvoir occupe ces jours-ci la scène politique, voire domine toutes les arènes en Algérie actuelle. Un certain Amar Saadani, ancien Drabki de troupe folklorique, ancien président de l’Assemblée Populaire Algérienne (le parlement) et l'actuel secrétaire général du FLN, qui traîne des casseroles, et pas des moindres, puisqu’il est ce qu’on peut appeler en Algérie "un repris de justice".

    Cet homme fort du système Al-Bouteflika, qui est le meilleur du parti au pouvoir qui regroupe dans sa majorité que les vieilles hyènes. L'homme à la gâchette facile et la langue fourchue, condamné en 1996, alors membre de la troupe de Abdallah Menaâi d'Oued Souf au sud-est Algérien,par un tribunal algérien à une peine ferme d'un an pour les griefs :«coups et blessures volontaires, destruction de biens d’autrui, menaces et violences» dont la victime n'était qu'un député FLN qui l'éjectait du fauteuil de la présidence de la Mouhafadah d'El Oued (bureau provincial du FLN) avec l'appui et la décision de feu Abdelhamid Mehri, alors premier responsable du vieux parti unique  du pouvoir (FLN).

    Mais le jugement, n’a jamais été appliqué. Pourquoi? qui et comment a évité à Saadani la prison?, la réponse est simple «Parce que les services du DRS avec lesquels Saadani était très lié sont intervenus auprès du tribunal pour surseoir à l’exécution et tirer leur protégé d’affaire»? A l’époque c'est le procureur de la république de la région de Biskra qui le disait à la victime Brahim Youssef.

    Mais aujourd’hui, n’est-il pas possible de remettre l’affaire sur le tapis pour l’exécution du jugement ? C’est trop tard parait-il car,le régime Algérien ne permet pas de malmener l’un des siens,  L’Exécutif et le DRS dominent l’appareil judiciaire et le pouvoir législatif. Qui peut aujourd’hui toucher à Saadani  ou à quiconque de son genre ? Saïd Bouteflika est derrière lui, et même le palais d'ElMoradia le soutient  aussi…C'est ça l'Algérie de "fièreté et de dignité" que  Bouteflika tenait à le répéter toujours devant les siens et devant ses opposants.

    Pas d'opposition.. A propos de l'opposition algérienne, l'observateur des choses constate que cette opposition a raté pas mal d’occasions de se réunir et montrer sa force. A chaque fois qu’il y a des plans qui visent à regrouper l’opposition, le problème du "leadership" se pose, comme se fait le cas de l'Etat algérien qui ne manque pas de son chaud et de son froid pour atteindre ce degré et écarter le Royaume du Maroc de son niveau régional et continental. Apparemment c’est la maladie des Algériens. Tout le monde veut devenir président..! A cet effet, en Algérie on décompte trois catégories d’opposition, comme c'est du virtuel :

    1.-Il y a ceux qui sont des marionnettes du pouvoir. Ce dernier les utilise pour atteindre ses objectifs, à la tête  de ces marionnettes ce Drabki d'Oued Souf qui rempli toutes les arènes en  Algérie par ses aboies qui ont franchi dernièrement l'espace aérien algérien pour êtres entendus en Arabie Saoudite et en Emirats Arabes unis au sujet de la baisse du cours du pétrole.

    J'aurais peut-être l'occasion de parler prochainement d'un autre "vaut-rien", qui avec son ignorance intellectuelle et politique, porte et défend toutes les maladies du système Algérien. Au cours d'une réception organisée à Alger pour parler Maroc. Il cite pour plaire à ses maîtres, Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu l'assiste, et Abdelaziz Lmarrakchi, sur le même pied d'égalité, voire glorifiant ce dernier un peu plus. Son nom diffère ses paroles qui les a forgées pour porter préjudice aux valeurs sacrées du Maroc.Il s'appelle" Sadek Bouguettaya". Les Algériens devront l'appeler de préférence, " l'kadeb Bouguettaya".

    Que Dieu maudisse Bouguettaya? écrit  le journal électronique "Algérie-Révolte"Après avoir soutenu la candidature de Ali Benflis à l’élection présidentielle d’avril 2004 et insulté « Bouteflika » sur toutes les chaînes de télévision arabes, Sadek Bouguetaya, est revenu à de meilleurs sentiments. En avril 2009, les Algériens découvrent un autre Sadek Bouguetaya (il est vraiment un sadique et hypocrite), appelant à soutenir la candidature de Bouteflika. A l’occasion d’un meeting de temps fort et de campagne animé par Bouteflika, ce Bouguetaya s’est adressé au chef de l’Etat algérien en criant: «Rana maak ya sid Rais». Bouteflika lui répond avec un sourire moqueur: «bessif aâlik, Maândek win trouh ya sadek a khouya !». 

    Un grand (متملق), sa silhouette d'hypocrite illettré et sa débandade excessive lui permettaient de trouver facilement dans le pays de merveilles (l'Algérie), un fauteuil pour siéger à l'écurie de Larbi Ould Kh'lifa, (le parlement Algérien) avec, bien sûr, une fausse étiquette de Mojahid-FLN, soutenu parait-il par un électorat de dingues. Je me pose la question, certainement comme beaucoup d'autres..: Si sur ce genre de types repose le système algérien actuel, quelle rentabilité apporteront-ils à l’intérêt général de l'Algérie, dite vachement, terre du million et demi de moujahid..?? J'en arriverais sûrement à trouver ultérieurement la réponse.

    2.- Ceux qui s’opposent à des fins personnelles et non pas pour l’intérêt général . Beaucoup d’entre eux ont fait partie du système politique pendant des années, puis ils sont passés à l’opposition, en pensant qu’ils vont réussir à réaliser le plus d’intérêts personnels comme le genre de Abdallah Jaballah président du FJD (Front de Justice et de Développement), un parti qui se dit islamiste qui distribue en vrac des sorties médiatiques, du genre de Louisa Hanoune avec ses conneries, tentant ainsi succéder, voire éliminer les sympathisants du FIS du champ politico-islamawiste en Algérie, et imiter ses frères Egyptiens de Morsi et ceux de Ghannouchi en Tunisie, sans pour autant valoriser la rentabilité politique de nos Pjdistes ni leur rendre hommage.

    Il y a aussi un autre thuriféraire dénommé Bouguera Soltani, une créature particulière des services secrets Algériens qui l'engagèrent depuis qu'il était encore étudiant à l'université dans les années  70. Le DRS aux époques différentes du colonel Kasdi Merbah, des généraux Smaine Lamari et Mohamed Médiane, dit Toufik, forgeait ce très pieux président MSP (Mouvement de la Société pour la Paix ou Hamas en arabe de Mahfoud Nahnah, qui fut son chef jusqu'à son décès en 2003) pour le nommer Imam, recteur et connaisseur de taille de la chose religieuse en Algérie, qualités lui permettant d'espionner les gens, les adeptes des mosquées, à leur insu, c'est du moins ce qu'ils songeaient, et le charger ensuite, de tisser des relations suspectes avec les chefs terroristes, à majorité algérienne, dans les pays S/S  (Sahel et Sahara) et de jouer le rôle d'agent secret et dresser des rapports périodiques.

    Les algériens n'ignorent certainement pas que le trajet  et le CV de celui-ci sont fabriqués de toutes pièces par les services secrets algériens, pour le perfectionner, rappelons-le, à être leur agent, à la force de son jumeaux, l'autre agent Dalil Boubakar, l-ex-recteur et conservateur de la mosquée du 5° arrondissement de Paris, qui faisait en parallèle de ses activités religieuses" suspectes", l'agent principal Drsiste en France.

    3.- Il y a la véritable opposition "gans-boxe aux mains" et qui est prête à négocier, et prête à entamer un consensus, à l'exemple de deux formations politiques majeures issues de la Kabylie..Le FFS (Front des Forces Socialistes) de Mr.Houcine Ait Ahmed et le RCD (Rassemblement pour la Culture et la Démocratie) du Dr.Said Saadi. constituant ensemble une opposition féroce que le pouvoir ne l’a reconnait pas. Le pouvoir veut toujours négocier avec ses propres conditions. Négocier tout sauf sa légitimité qui est une ligne rouge.

    Il y a aussi une opposition très moue, qui émet à partir de l’extérieur et qui lui en manque la capacité d'agir directement. Le mouvement Rachad, un groupement de gens qui pleurent sur les ruines du FIS sans présenter de résultats concrets. Le GPK ( Gouvernement Provisoire de la Kabylie) en exil, créé en France par Ferhat Mehanni qui compte sur le diaspora Kabyle en Europe et le vieux cinglé Me Ali Yahia Abdenour, une trotteuse qui recule au sens inverse des pendules, jetant de temps à autre, un pavé dans la marre. Dernier en date, son appelle de Canada à la reconnaissance du MAK (Mouvement pour l'Autodétermination de la Kabylie) rapporté par "SIWEL" (Agence Kabyle d'Information).

    Empreintes made in DRS..  Il y a lieu de bien souligner enfin, qu'il n'y a en Algérie, ni majorité ni opposition ni gouvernement même. Il y a qu'un seul système qui coupe les souffle au peuple algérien (civiles et militaires). C'est le DRS (Direction de Renseignements et de Sécurité)  qui prend, selon des sources médiatiques ,les devises « islam et fusil - abattre pour vivre». Nul n'aura besoin de se rappeler du rôle des services secrets algériens, un sale rôle qui vise à déstabiliser la région Maghrebine. Sachant entre autre, que sa stratégie principale envers le Maroc, est de l'humilier, l'affaiblir et le terroriser.

    Le plus grave encore de sa stratégie terroriste s'est bien affiché durant les premiers actes terroristes de Jbel Chaânbi en Tunisie : L'intelligence-dz avait conclu, selon constat des experts du terrorisme, des accords discrets entre l'Algérie (armée et DRS confondu) et des groupes terroristes armés, autorisant ses derniers à venir du Mali, via le territoire algérien, pour s'installer au mont "Chaânbi" et y commettre des actes terroristes en Tunisie.

    Toutes les données confirment l'implication de l'Algérie, qui mène une "stratégie terroriste"  dans les opérations terroristes perpétrées aux frontières terrestres des pays limitrophes. Jusqu'à présent le Tunisiens n'arriveront pas à admettre qu'un groupe islamiste armé (katiiba) peut faire des milliers de kms du territoire Malien et résister à l'armée Tunisienne plus de dix jours, sans avoir l'amont de l'armée algérienne et le consentement du DRS, dont l'empreinte s'est avérée plus visible dans ce crime.

    Quant à nous au Maroc, la dernière arrestation de l'Algérien, du 25 janvier écoulé et son intention, dit-on, de commettre des actes terroristes similaires en territoire national, ne vont pas nous pousser à croire vraiment son appartenance au fameux "Jund El Khilafa", non! Ça ne marchera pas chez nous au Maroc. Il appartient donc au général DRS, locataire de la caserne Daly Brahim d'Alger de changer de méthodes, car ses corbeaux, avec toutes les maladies et les haines, qu'ils en portent contre le Royaume Chérifien du Maroc, n'arriveront jamais à avoir un autre mont "Chaânbi" en cette terre sainte Marocaine.

    Les services secrets algériens, avec la bénédiction du palais d'El Moradia, sont donc le dispositif efficace qui manipule l'état major des guerres terroristes contre les ennemis de l'Algérie des pays voisins, dont le Maroc.Tout le monde sait et même conscient, qu'en prenant cette attitude hostile envers ses frères voisins, à l'est comme à l'ouest, l'Algérie vise à leur exporter ses crises internes et pas du pétrole  ou du gaz à des prix préférentiels. 

    Si les algériens refusent de voir le Maroc en progression. Nous les vexons davantage,  en leur disant que le Maroc est bien engagé en matière de lutte contre  le terrorisme (contre leur terrorisme) et contre l’extrémisme violent en général. Le Maroc se démarque par une approche holistique qui a fait ses preuves en s’appuyant sur les réformes tous azimuts engagées sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu l'assiste. Cette approche tire son efficacité et sa pertinence d’une dynamique vertueuse de réformes lancées en matière politique, économique, sociale, religieuse et de droits de l’homme.Et ce n'est pas le Maroc qui en prolifère le terrorisme. Au contraire sa renommée de «meilleurs intervenant» dans le domaine de lutte anti-terroriste est reconnue par la communauté internationale.Bonne lecture et à très bientôt.

                                                                                             Cordialement,Chihab25