Algérie : Faut-il décoloniser la mentalité algérienne..?

                                                                               

                                   

ٌRedressement oblige..Les 3 Vidéos à l'entête : 1- Discours rare de Sa Majesté le Roi feu HASSAN II, suite à l'éclatement de la guerre des sables en octobre 1963.On constate bien l'ingratitude de l'Algérie, voire la mauvaise foi de ses gouvernants.

2-Nelson MANDELA, voici pourquoi ce leader Sud-Africain de renommée internationale n'a jamais reconnu la rasd. Au contraire, il rend hommage au Maroc pour sa générosité et son appui anti-apartheid. Une attitude rare reflétant la fidèleté aux valeurs et à l'abnégation d'homme crédible qu'on ne trouve pas ailleurs, surtout en Algérie.

3 - Chaîne-tv Africa24 : Suit l'évolution de la réintégration du Maroc à l'Union Africaine, l'ex-OUA (Organisation de l'Unité Africaine) dont le Royaume du Maroc était membre fondateur.

La rédaction du blog décide de maintenir ces trois vidéos comme pièces-référence pour aveugler tout visiteur algérien qui croit encore aux allégations haineuses et propagandistes du pouvoir Algérien contre le Maroc et contre les vérités.Et pour cause, l'Algérie a malheureusement choisi de vivre dans la polémique avec le Maroc. Ceux qui décident en Algérie ne sont pas ceux qui comprennent le Maroc, ou plutôt sont rares ceux qui le comprennent et reconnaissent le noble de sa générosité. Une rage à suivre.!

Introduction Pour commencer ma note,permettez-moi que je signe et persiste, en vue de remuer davantage le couteau dans la plaie algérienne en leur disant ce qui leur fera du mal, au moment où leur pays qui se dit frère n’a aucune gêne à jouer le rôle de l’ennemi :

L'offensive diplomatique Royale est mise en marche et partie sans retour pour consolider nos positions géopolitiques et géostratégiques, face à une Algérie enragée. Ci-après mes considérations que je reproduis, à ma façon, dans ce qui est sans équivoque un pari Marocain gagné contre le pire algérien. Compte tenu du fait que des actions ont été soigneusement planifiées par notre pays pour...

1) Avertir le Secrétariat Général de l'ONU sur la gravité du non-neutralité de son Ban Ki-Moon dans le dossier du Sahara Marocain – Si les imposteurs corrompus à l'image de Ban-Ki moon partiront avec une retraire dorée, payée par les bienfaiteurs d'Algérie. c'est grâce au peuple Marocain,aux soupçons et aux accusations de corruption qui pèsent sur lui. Ce Ban Ki-Moon qui espérait se présenter aux  élections présidentielles en la Corée du Sud, ne pourra plus le faire, sa carrière politique est arrivée à terme et brisée sur le rochet Marocain.

a)Le démantèlement de la Minurso par une motivation purement Marocaine de souveraineté, prouve que le Maroc est maître de ses décisions, à l'exemple du coup de tonner royal de feu Hassan II qui a secoué l'hémicycle de l'ex-OUA à Addis-Abeba en Ethiopie. Par son génie, le défunt que Dieu ait son âme, claqua la porte de l'OUA en 1984 à cause du crime flagrant  du Togolais Edem Kodjo son Secrétaire Général corrompu.

b) L'affaire Guerguerate, consiste à affirmer que la réalisation et le bitumage  de cette route, de 3,5 kms viserait à «lutter contre le trafic de drogue,d'armes et de barrer la route aux narcotrafiquants algériens et polisario, et éviter tout débordement sécuritaire dans la région». 

c) Le Maroc reste vigilent pour faire contrecarrer toutes initiatives malencontreuses de Christopher Ross qui seraient porteurs d’une quelconque proposition informelle, laquelle pourrait faire remiser au placard la proposition Marocaine d’autonomie. Et nous Marocains, on se méfie d’un éventuel «sale coup» de la part de Ban Ki-Moon à la veille de la fin de son mandat. 

Pour cette raison, le fameux Christopher Ross restera indésirable au Maroc,même s'il y attend toujours le feu vert du Maroc pour tenter une énième médiation de sa dernière chance. C'est du moins ce qu'on souhaite nous internautes, laissant le coté officiel hors virtuel.

2) Pour ce qui de la réintégration du Maroc à l'UA. Il nous appartient à nous les officieux d'en informer nos frère ennemis algériens qu'en marge de la COP22 de Marrakech en novembre prochain, un sommet des chefs d'Etats Africains est dans notre agenda. C'est l'information que rapporte le "Maghreb Confidentiel", dans lequel on apprend que Sa Majesté le Roi entendrait en effet capitaliser sur l’événement onusien en organisant en parallèle ce sommet.

Une mission royale a été confiée dans ce sens à Taieb Fassi-Fihri, le conseiller diplomatique du Souverain pour organiser l’événement. La date et le lieu de sa tenue seraient même déjà fixés au 16 novembre prochain, au Palais Royal tout près du village COP22 à bab igli à Marrakech.

C'est l'occasion pour le Maroc de enfoncer le dernier clou dans le cercueil du polisario au niveau africain, donnant l'opportunité à Alger et à son rabbin aux affaires de bluff de l'inhumer au cimetière "Laâlia",  prés de son créateur Boukharouba لعنة الله عليه الى يوم الدين  (que la malédiction divine soit toujours sur lui)./.

                                      

                                                                          Hillary Diane Rodham

Une MRE exceptionnelle. D'autre part, les lecteurs et visiteurs, les algériens surtout, sont invités à prendre note de cette belle surprise Marocaine exceptionnelle que le destin nous a offert en «Une merveille» s'ajoutant aux «sept merveilles du monde». Il ne s'agit pas d'invention ou de déformation à "l'Algérienne", non, il s'agit bien de l'origine de Mme Hillary Clinton, l'ex-Secrétaire d'Etat Américaine aux affaires étrangères, actuellement candidate aux présidentielles Américaines.

Oui notre objectif ultime est d'en profiter de la conjoncture Américaine actuelle que nous jugeons très favorable à notre pays dans ces circonstances, grâce, essentiellement, au soutien inconditionnel des pays amis du Maroc au Conseil de sécurité et à la prochaine arrivée imminente de Mme Hillary Clinton à la Maison-Blanche qui pourrait nous aider à tuer l’idée même de l’option du référendum d’autodétermination très cher à  Ramdane Lahmamra. et ses commanditaires.

Je pourrai dire à cet effet, et à ma propre responsabilité, que Mme Hillary Clinton (jeune fille Hillary Diane Rodham) est une MRE (Marocaine Résidant à l'Etranger) puisqu'elle est une juive Marocaine originaire du Mellah de Rissani dans le grand Tafilalet au sud-est du Royaume. Preuve à l'appui. 

Regardons Sa Majesté le Roi Mohamed VI et Mme Hillary en rigolade à Ouarzazat. Ces séquences de distraction dépassent bien les normes d'une simple amitié et prouvent que la dame est «L'une des sujets de Sa Majesté»  et est une bi-nationale dans le pays de l'oncle Sam. Cela surprendra évidemment nos frères-ennemis de l'Est et irritera davantage la haine à leur esprit .

                                              

Pourquoi pas ne serait-elle ainsi?, tant que les Etats Unis d'Amérique sont le premier pays d'émigrés au monde et ce depuis la découverte de Christophe Colomb. En preuve, son président actuel, pour ne citer que lui Mr. Barack Obama est bel et bien originaire du continent noir, ses ancêtres auraient été certes, parmi les victimes des opérations-esclavage opérées à partir du Kenya en Afrique.

Je ne parle pas du vide. Je constate comme beaucoup d'autres que le palais Royal est conscient de ce rapprochement avec Mme Hillary et est sûr de sa victoire contre le charlatan Donald Trump (Le Kaddafi Américain) aux présidentielles américaines de novembre prochain. Pour renforcer davantage les relations Maroc-USA au profit du Maroc. Sa Majesté le Roi vient tout juste de nommer Lalla Joumana Alaoui, comme ambassadrice du Maroc à Washington pour y prendre place et être la première à féliciter notre concitoyenne lors de son investiture.

S'agissant pas de nomination de simple commis d'Etat. Elle est une diplomate chevronnée de l'entourage Royal de culture anglo-saxonne. Elle occupait jusque-là le poste d'ambassadrice de Sa Majesté auprès de la reine Elishabet II à Londres où elle a pu montrer silencieusement, comme on dit, le henné de ses mains.

Une femme comme les autres..Dans une de ses visites privées au Maroc, elle a essayé de décrypter sa chance au grand jour. Elle est partie voir une voyante analphabétique à Gourrama, un village prés d'Errachidia, se demandant sur la vérité de l'affaire-scandale de " Monica Lewinsky" et son mari Bill Clinton, alors président des USA.

Dieu merci, la communauté juive Marocaine à travers le monde, constitue pour le Maroc un acquit dynamique de pression, préservant de loin les intérêts de son pays d'origine - le Royaume du Maroc -, imposant au moment adéquat, l'équilibre dans la politique étrangère Américaine, toujours favorable au profit du Maroc. Tant que le Maroc est le premier pays au monde ayant reconnu l'indépendance des Etat-Unis d'Amérique. Cela remonte à 1777 par le Sultan Sidi Mohamed Ben Abdallah. Les Américains eux, reconnaissent d'ailleurs la noblesse du Maroc dans ce sens.

C'est cette grandeur d'authenticité et d'histoire du Maroc qui vexe davantage les Algériens, irritant leur haine et leur hostilité envers tout ce qui Marocain. Le leadership régional, voire arabo-continental, qu'ils cherchent vainement ne peut être acquis par le peu de décennies, qui ne dépassent pas (5) que compte la vie d'une Algérie à l'âge d'adolescence.

Figurez-vous Messieurs les dupes-ingrats Algériens. L'âge des Etats authentiques, les plus enracinés dans l'histoire, se compte par des centaines d'années d'existence et que personne ne peut, ou plutôt ni habilité à tailler, à sa mesure, son histoire, comme y sont en train de le faire des écrivains algériens intrus, engagés à cette fin, de manière à falsifier la toute petite histoire de l’Algérie de (50 ans) et la rendre convenable à l'orgueil et concevable par l'égoïsme algériens.

L'histoire de l'Algérie, rappelons-le aux Algériens, depuis l'époque de Ben Badiss, passant par Abdelkader Old Mohyeddine, alias "Emir Abdelkader", s'arrêtant à Mohamed Old Larbi Old Cheikh, alias Cheikh Bou Aâmama¹ avec son Somma-me et son Novembre ne valent rien dans ce qu'on appelle -Book Guinness ('GWR) Visionnez, malgré l'arrogance, la vidéo en tête de page d'accueil pour connaitre le début de votre sale histoire avec le Maroc.

Votre histoire censée être correcte et crédible, n'est que de petits grains de sable face aux grandes dunes de Merzouga dans le Tafilalet. Pas de comparaison à faire. C'est-là où il n'y a pas moyen d'imiter, ou engager somptueusement le pétrodollar et l'orgueil pour déformer les réalités.

Sachant que les 3 milles ans d'existence Marocaine sont écrits avec lettres en - or - (13 siècle d'Existence avec les normes d'Etat souverain, dont 3 siècle de monarchie Alaouite «Royaume Chérifien du Maroc»). Quant à l'Algérie, nul ne peut infirmer, ni nier une réalité écrasante que la presse algérienne d'aujourd'hui n'est en mesure de cacher ou de déformer à la manière du vieux connard"Bouguettaya", tant qu'elle est gravée dans la mémoire populaire algérienne et gardée surtout, par ceux qui vivaient en réfugies, au Maroc et en Tunisie, au moment où l'Algérie recherchait à se positionner sur la carte.

Ce n'est pas moi qui le dit, c'est un homme algérien crédible qui imposait en son temps à la France les négociations d'Evian pour libérer l'Algérie. C'était feu Ferhat Abbas, le premier président du Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne (GPRA) en exil, disant en plein conscience, avec toutes ses facultés mentales complètes :«La France n'a pas colonisé l'Algérie, elle l'a fondée, en regroupant plusieurs peuples : arabes, européens, kabyles, sahraouis, touaregs,etc».

Pauvres Algériens, ils se moquent de leur destin. Avec ce qu'on appelle au Maroc (t'qa t'eq)², ils se réjouissent, s’empressent et se faufilent ici et là, afin de tisser une histoire à la mesure de leur orgueil et de leur arrogance. En visionnant la première à gauche, des trois vidéos ci-dessus de feu Hassan II, vous en découvrirez davantage la saleté et l'ingratitude de votre histoire.Bonne continuation. Chihab25.

                                                                                       

                         

                                                                Bouteflika et ses 40 voleurs..

Développement.. Le pouvoir algérien fragilisé par la vacance de la haute magistrature du pays, connaissant une anarchie dominante. Fragilisé par la crise financière et le poids de plus en plus décisif de l'économie informelle est aux abois. Il s’agite et ne cache plus le fait d’être acculé par son bâtard de Tindouf qui voit son hégémonie séparatiste dérangée par d’infimes avancées formelles imposées par la diplomatie Marocaine silencieuse enregistrée dans tous les indices d’évaluation de la bonne gouvernance à l’international. 

La poussée de fièvre soudaine de Ramdane Lahmamra trahit sa faiblesse extrême et son manque d’assurance aux exploits et attaques diplomatiques d'un certain Omar Hilal l'ambassadeur Marocain à Lest River Newyorkais, sa brillance au dernier sommet des Non-Aligné au Venezuella était pour Lahmamra éblouissante et d'un autre silencieux dénommé Nasser Boughita, ministre délégué aux affaires étrangères Marocaines, spécialiste aux faits d’effacer les traces anti-Marocaines à travers le monde. La Jamaika qui était sa dernière étape en témoigne.

Ce duo, voire ce trio diplomatique Marocain, si je me permets le lui ajouter aussi les interventions fracassantes de Mr. Mohamed OUJAR, l'autre ambassadeur Marocain auprès du bureau de l'ONU à Genève, dont la spécialité est «les droits de l'homme». Laissant à part, les missions spéciales et délicates qui sont officiellement confiées par le Palais Royale au conseiller royal Mr. Tayeb Fassi- Fihri, un vétéran diplomate qui accule un bon bagage d'expérience et de compétence.

Ce groupe de diplomates expérimentés, avec d'éventuelles prérogatives "surprises" s'annonce pénible pour la diplomatie algérienne sur tous fronts ouverts par l'Algérie ici et là, portant préjudice aux intérêts du Maroc, surtout en ce qui concerne la préservation de notre intégrité territoriale, l'attaque aux reconnaissances du mirage algérien, la réintégration de notre pays à l'Union Africaine ou encore la COP22 de Marrakech.

C'est vraie, on est devant une Algérie veuve acculée, qui donne des gages de bonne conduite aux mauvais élèves de sa diplomatie d'autruche, et ne rate pas d'opportunité de les traduire en poids politique national algérien, jetant ainsi de la cendre aux yeux de son opinion publique se trouvant en ordre dispersé !

A travers la huée dans leurs médias lourds et la ruée propagandiste dans les institutions officielles contre le Maroc , suite aux progrès signifiants introduits par Sa Majesté le Roi dans la diplomatie Marocaine par l’adoption d'agendas précis contre la politique étrangère algérienne anti-Marocaine, nous lisons, au moins en surface, les résultats d'une recomposition de rage dans le régime politique algérien et le glissement des lignes internes entre ses multiples composantes. C’est vraiment de la panique qui bat son plein.

Le peuple algérien opprimé qui apporte un soutien critique muet à la mauvaise gouvernance de son pouvoir a été largué dans le vide depuis longtemps, ou plutôt depuis l'arrivée à la tête de l'Etat du système monarchique, baptisé «le Royaume de Tlemcen d'Al-Bouteflika», il voit son filer entre les doigts des ultimes rêves modernistes de Boumediene, que la malédiction divine soit sur lui, rêves parrainées en relais par son gamin dans ses premières priorités, mais rêves rongés par l’émergence d’une bourgeoisie sauvage qui se nourrit du bradage du secteur public, alors que les algériens exclus du peuple ne réussissent à battre en brèche le caractère trompeur des institutions, des soi-disant institutions tenues encore par la dernière génération de hyènes Flnistes.

Les parrains, faut-il le rappeler ne sont que les thuriféraires du pouvoir tels que : le caporal Français, alias le vieux général Gaid Ahmed Salah., Abdelkader Ben Salah et Mohamed Larbi old Khlifa, respectivement présidents des chambres "haute et basse" de l'écurie parlement Algérien et les autres lèches-bottes Ahmed Ouyahya, Amar Saâdani, et Abdelaziz Belkhamej qui cherchent avec insistance  et à  n'importe quel prix de tenir le bras de la famille régnante et de faire brèche dans son mur pour gagner la bénédiction des "Dalton Algériens", à leur tête l'heureux prince de l'Algérie en particulier.

En l’absence de garde-fous du fourre-tout algérien, ou du moins de ce qui en reste encore, les crédibles de l'Algérie sont exclus par le pouvoir, voire marginalisés et envahis par les repentis de la politique de laisser-aller et de concorde Taflikienne dont les adeptes zélés sont somptueusement primés et privilégiés.

Le conglomérat politico-affairiste-présidential opère impunément, sur le terrain social par la générosité de rente et par la dissuasion (la carotte et le bâton), l'imposition à la morale algérienne, pas un système comme repère de légitimation du pouvoir, mais par une loi maîtresse d'anarchie, de haine et d'hostilité spécialement conçue contre le Maroc. Et on se demande par stupidité, surtout par les abrutis algériens : «Comment va l'Algérie ?» Je leur répondrai, tout simplement, que l'état de l’Algérie se voit à travers la carcasse de son mort-vivant président.

Quel destin fâcheux..! En Algérie, on n’est pas dans la politique mais dans un système d’allégeances conjoncturelles. Le changement tant attendu par le peuple est décidément reporté à jamais et le statu quo est inlassablement de rigueur. Beaucoup d’indices le laissent croire actuellement. Le spectacle théâtrale qu’offre le soi-disant pluralisme politique est des plus pitoyables. Par un jeu perfide d’intéressement et de calculs claniques,  le pouvoir militaire et ses supporter ont tué la démocratie dès son premier jour de naissance eu temps de Chadli Ben Jdid, et le soulèvement populaire d'octobre 1988.

Depuis le complot électoral du 11 janvier 1991, l'Algérie vivait dans l'état d'urgence pour ne pas dire en état d'exception, et vit encore un état de siège camouflé, par l'interdiction des activités politiques, fermeture autoritaires des médias publics à toutes expressions de l’opposition, instrumentalisation de la justice si nécessaire, une batterie de moyens machiavéliques a été mise en place pour mettre en coupes réglées l’opposition et ce qui reste de la pseudo-intelligentsia algérienne.

La question posée n'est pas une boutade, mais un vrai sujet d'inquiétude pour la masse populaire algérienne. Depuis quelques années, les affairistes prennent le pouvoir, des lobbys ont été favorisés en lieu et place des institutions viables. Des affairistes se sont retrouvés députés, ministres ou des voix occultes très influentes au sein du pouvoir. Des magnats de l’import/import, des marchés publics se sont incrustés dans l’espace politique pour le contrôler et peser de tout leur poids sur la décision éventuellement politique.

Ils sont intouchables. Pire encore, ils font la loi, ou plutôt agissent en hors-la-loi qui d'ailleurs n'a jamais existé pour être applicable en Algérie ! A preuve deux ministres viennent d’avouer leur impuissance devant les caïds des affaires. Que fait la justice ? Rien ou ce qu’elle fait depuis toujours, elle regarde ailleurs pendant que son ministre de tutelle abreuve les algériens de discours ronflants.

Rien ne transpire sur les capacités réelles du président. Les images très filtrées que la télévision algérienne montre sont loin d'être rassurantes. Nombreux sont ceux qui se demandent qui dirige le pays ? La réponse n’est pas loin d'eux.

Nous en tant qu'observateurs loin de cette racaille, nous pouvons leur dire que tout simplement, c'est  le clan des Ait Boutaflika qui joue dans le temps mort, les affairiste-thuriféraires du pouvoir et vient après l'institution-armée du bougre-général (GAS). Je ne fais même pas d'allusion au gouvernement des clowns qui est engagé que pour faire marcher les affaires courantes dans l'attente de de l'imprévu.

Il y a une évidence : l’accélération du monde ne semble pas du tout concerner le clan qui dirige le pays. Son seul souci ? Durer et garder les leviers de la décision. Au grand désespoir de ceux qui le dirigent, les ficelles utilisées pour se maintenir ne pourront convaincre la rue au moment de l'éveil. La série Américains "Mme la Secrétaire" prévoit le déclenchement d'une autre guerre civile en Algérie.

                                                  

                                                         le général Gaid Ahmed Salah, devançant son armée. 

Un nouveau clan s'érige à Annaba. Dans une note précédente, la rédaction du blog avait fait allusion à la possibilité de mener un complot militaire contre le "statu quo" actuel en Algérie, et avait proposé en substance le caporal de l'armée Française Gaid Ahmed Salah comme l'éventuel commanditaire. Ce caporal, promu sergent par le journal électronique algérien "algériatimes" s'était autoproclamé général, comme ses pairs pour dominer la racaille dite "Armée Nationale Populaire Algérienne".

La possibilité du complot,se dessine clairement. Un clan baptisé "Clan d'Annaba" vient de voir le jour tout récemment pour préparer l'après Bouteflika. Face à l'emprise du clan Bouteflika sur le pays et Ahmed Gaid Salah prépare à son tour l'avenir en forgeant de nouvelles alliances. Du fait qu'il est l'adjoint de Bouteflika au ministère de la défense. C’est-à-dire l'homme fort en Algérie, c'est lui qui détient les rênes du cheval à la tête du pouvoir.

Avec un Abdelaziz Bouteflika malade et de plus en plus absent sur la scène politique, l’échiquier politique algérien connaît en ce moment de nombreux bouleversements. Cet été, loin d’Alger et de ses chapelles politiques endormies par la torpeur estivale, ce nouveau clan se compose petit à petit au sein du sérail algérien.

On connait déjà à Alger l'initiateur et son porte-parole s’appelle Baha Eddine Tliba, le gros député physiquement et richissime homme d’affaires qui a fait fortune dans plusieurs projets immobiliers réalisés notamment en association avec Adel Gaïd Salah, le fils aîné du général. Ce dernier a chargé Tliba de convier de nombreuses personnalités et des acteurs influents dans le monde des affaires pour organiser des conciliabules dans l’une des résidences que possèdent les deux hommes à Annaba.

L’objectif affiché est d’étudier tous les scénarios de l’après Bouteflika. Des discussions animées ont été menées dans le but de nouer et préparer des alliances stratégiques restant prêts à toute avanture.

L'allié encombrant.. Et pour cause, le vieux général de l’armée algérienne se sent officieusement très menacé par la montée en puissance de la famille Bouteflika qui règne sur l’Algérie sans aucun partage, surtout depuis le départ de leur adversaire historique le général Toufik, l’ancien patron du DRS. De nombreuses informations ont circulé à Alger laissant entendre que ce vieux soldat de l'Algérie sera prochainement prié de quitter ses fonctions puisque les Bouteflika n’auraient plus besoin de "Aâmi Salah", étant l'allié encombrant ciblé par de nombreuses critiques.

Pour Gaid Salah et ses protégés, comme Tliba ou Mohamed El-Ghazi, ministre au gouvernement de Sellal, l’urgence est de trouver un plan d’action pour “protéger leurs arrières” au cas où des voix hostiles au sein du clan présidentiel cherchent à les éliminer définitivement de l’arène politique.

Mais pour se protéger d’une telle menace, le “clan d’Annaba” a besoin d’un allié de poids. Les émissaires de Gaïd Salah ont travaillé durement cet été pour persuader Amar Saâdani, le chef-tambour du FLN, de se joindre à leurs réunions clandestines. Sur la sellette au FLN, Amar Saâdani se sent lui aussi en danger il pourrait ne plus servir à grand-chose aux Bouteflika après le départ de leur ennemi juré le général Toufik et réapparition en scène de Abdelaziz Belkhamej. Amar Saâdani s’est donc déplacé à Annaba pour jauger et écouter les acolytes du clan. Il a pris note de leur démarche sans fournir, toutefois, de réponse définitive.

Le suspens bat son plein et Saâdani attend de voir ce que la rentrée sociale et politique lui réserve. Se préparant lui aussi pour parer à toute éventualité, Il part en vacances en Espagne puis en France chercher l'appui des Français qui suivent avec intérêt les démarches à prendre par les Algériens en l'après Bouteflika, rejoignant ainsi les traces de son maître Said Boutelika qui se trouvait lui aussi en France pour le même objectif.

Pour rappel, cet été, Saïd Bouteflika, l’influent conseiller et frère du président Bouteflika, s’est illustré par sa longue absence très remarquée à Alger. Il a quitté Alger il y a de cela presque deux mois. Une absence prolongée inhabituelle. Selon les informations qui circulaient à son sujet, le frère du Président a fait un long séjour en France dont on ignore à Alger encore les motifs. Saïd Bouteflika aurait fait ensuite une escale à Barcelone pour retrouver,dit-on, un certain nombre de ses amis. Il est rentré récemment à Alger. Mais, son retour, n’a toujours pas calmé les spéculations qui ont circulé à propos de ses longs déplacements.

SOS Faffa³..Ces deux gâtés du pouvoir auraient bien chercher de s'accroupir, et se metter à genoux s'il le faut, selon une source bien informée, devant les portes et fenêtres de l’ami des généraux algériens Mr.Jean Pierre Chevènement,l'ex-premier ministre Français, un proche de l'armée, tout proche dit-on à Alger. Et c'est-là qu'il faut décoloniser la mentalité Algérienne s’attelant encore, avec dents et griffes, à la «Maman la France».

C’est Jean Pierre Chevènement qui aurait convaincu Bouteflika de limoger l’éphémère ministre de la Culture, Nadia Labidi, qui avait le tort, à ses yeux, d’avoir pris la place de Khalida Messaoudi. Celle-ci ainsi que Réda Malek et Saïd Saadi, font partie du groupe des «éradicateurs» que Chevènement, notamment lors de son passage à l’Intérieur, avait érigé en interlocuteurs privilégiés en Algérie.

Encouragé par une bonne entente avec Alger, il se serait même en mesure de choisir un successeur au premier ministre algérien. Le Che, comme l’appellent ses amis, ne cache plus sa préférence pour Ahmed Ouyahia comme successeur de Boutéflika. Pour lui disait-il, pas question pour un certain Chakib Khalil, ex-ministre de l'énergie, le jockey perdant de la famille régnante qui reste, aux yeux français et algériens,le poursuivi au grand degré, par la justice de son pays et par celle d'Italie, pour ses gigantesques opérations de corruption qu'il a opéré à la Sonatrach. 

Quoi qu’il en soit, “le clan d’Annaba” a réussi à faire bouger les lignes en envoyant un message clair aux autres “barons” du clan présidentiel : “la transition de l’après Bouteflika ne se fera pas sans nous”. Reste à savoir si les “parrains” de ce clan auront suffisamment les reins solides pour résister au tsunami politique qui risque de s’abattre sur l’Algérie lorsque Abdelaziz Bouteflika retire définitivement sa révérence. Bonne lecture

                                                       Très cordialement,Chihab25

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¹.C'est un naturalisé, à l'instar de la majorité des dirigeants algériens. Il vivait à Ain Sefra dans l'Ouest algérien. Né à Figuig et mort à Laâyoune Charqia prés d'Oujda,Pour bricoler leur histoire, les algérien l'ont considéré en "pieux-rebelle algérien". Ils ont même gaspillé d'énormes sommes d'argent et mobilisé  la cavalerie de l'armée pour réaliser un film de (3 heures) inventant leur gloire sur le colon Français.

². Des futilités.

³. Faffa c'est la France-mère pour les Algériens.