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ءAlger veut châtier tout le monde à cause du Maroc. C'est l'escroquerie du siècle..!

                                                                                         Maroc                       
 
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                                   Ce que je crois (25 mai 2017)                                                                                                                                              IMG_87461-1300x866

Signes de ménage..Le clan présidentiel en Algérie fait le ménage, il vient d'éjecter tous les rongeurs nuisibles à sa situation actuelle qui devient de plus en plus désastreuse en politique interne ayant lui provoqué un isolement, sans précédent, au niveau international. Tous ses chiens de chasses et ses jockeys de course sont mis à la retraite prématurée, après avoir critiqué, d'une manière ou d'une autre le sort de la famille en règne qui bloque l'Algérie, toute l'Algérie autour de ses intérêts purement personne                                                                                          

Les bulldog libérés sont de races domestique : Sellal, Bensalah et Ould Kh'lifa, chiens devenues stériles après avoir arrivées à l'age climatère qui ne leur permet pas de continuer à procréer.le moment où le clan présidentiel désire un nouveau sang non contaminé pour faire perdurer son existence, ou du moins faire écouler calmement le reste du temps mort de l'ère Bouteflika tout en essuyant ses jetons rouillés.Ben Salah est le seul bulldog gardé en cage.

                                     A peine démis de ses fonctions, Sellal contacté par plusieurs cirques pour incarner leur clown

                                                                    Sellal pleure son destrin

Pour le simple algérien, parait-il la crise n’est pas liée à une personne, ou une autre. Elle n’est pas liée au départ d’un responsable ou à la nomination d’un autre. Les gouvernements se succèdent en Algérie  et partent sans présenter les bilans de leur travail à l’opinion publique qui a l’impression que ses gouvernements n’ont aucun bilan à présenter et qu’il n’y a pas de nouveau dans la vision économique ou la vision politique.

Le statu quo est respecté et toujours maintenu,il n'y aura pas de changement concret de la situation malgré les aboies, au sens du positif, de la presse du pouvoir, les mules choisies pour continuer le processus de battage et de ramassage de grains moisis, sont issues de l'écurie de Bouteflika qui contient encore de vieilles hyènes de sa génération, dont la plupart est atteinte  d'Alzheimer et de toutes les anomalies de vieillesse.

Échiquier Bouteflika..Un certain dénommé Abdelmajid Tebboune remplace le charlatan Abdelmalek Sellal, les ministres sortant sont chargés de vaquer aux affaires courantes de leurs secteurs respectifs dans l'attente de la nouvelle cuisson.                                                                                                                                                                                          IMG_87461-1300x866                                                           

                               Abdelmadjid Tebboune le nouveau Premier ministre, 

À la suite de la proclamation par le soi-disant Conseil constitutionnel, des résultats définitifs des élections législatives et de l’installation de la huitième législature du parlement algérien, Abdelmalek  Sellal, premier ministre, a été remercié par son Excellence, Abdelaziz Bouteflika, voire par Bouteflika "bis" agissant dans les coulisses de la présidence de la république, sa démission et celle de son troupeau gouvernemental », est bien confirmée par un communiqué de la présidence algérienne diffusé via l’agence officielle APS. Le paradoxe algérien est quand la gérontocratie gouverne un pays de jeunes.

                                                Saïd Bouhadja. New Press

                                                                                 Saïd Bouhaja.

Doyen de la paix Sociale..La nouvelle Assemblée populaire algérienne (APN), issue du 4 mai dernier, a tenu sa première séance plénière, qui a vu l'élection de Saïd Bouhaja, candidat du parti (FLN), à la présidence de la Chambre basse du Parlement, par vote à bulletin secret dans un scrutin marqué par une pluralité de candidatures.Deux islamistes et une femme choisis pour jouer les comparses et jockeys (356 voix pour le premier et 74 pour les autres) selon la démocratie à l'Algérienne.

Ce nouveau né succède au vieux connard Larbi Ould-Khelifa, il porte l'étiquette de pseudo-moujahid,  il paîtrait plusieurs troupeaux dans les prairies du parti du FLN, dont il était chargé de stabiliser la paix sociale pour la survie du pouvoir. L'objectif commun et unique pour le pouvoir algériens est : visiblement être au service du peuple et sous tables, tient à défendre les intérêts et privilèges des gouvernants et de tous leurs thuriféraires les plus rapprochés.

Thuriféraires partout...Pour précipiter une telle initiative de changement de vitrine, le clan présidentiel avait préparé auparavant la barre psychologique et morale et chargé un thuriféraire-muezzin, qui n'est que Jamal Ould Abbas, le secrétaire général de l'FLN, de crier au grand public que grâce à la Baraka de Bouteflika et de sa photo qui était toujours devant les écrans, le parti FLN au pouvoir depuis l’Indépendance de l’Algérie en 1962, a gagné aux dernières élections législatives du 4 mai dernier et que le régime algérien ne craint pas le ridicule.

Si un concours devait se tenir en Algérie pour choisir le «dirigeant le plus servile» au président Abdelaziz Bouteflika, il aurait été impossible de départager les candidats tellement ils sont nombreux et leur zèle infini. Le dernier en date est le SG du FLN, Jamel Ould Abbès qui fut le nouveau chien de garde de la famille en règne, tenu particulièrement au coup par la Lesse du prince heure d'Alger Said Bouteflika.

Heureusement pour le simple algérien, qu’il se trouve, dans cette vaste cour de flagorneurs qu’est devenue la scène algérienne, encore des voix, dit-on libres à Alger, même si elles sont quasiment cassées, pour le lui rappeler, . «La terre ne s’ouvre pas pour engloutir les ridicules, mais si cette terre le faisait un jour, le premier qui plongerait dans ses entrailles serait ce Jamel Ould Abbès qui sortait subitement de la cendre du parti». Qui fait sien aussi ce célèbre dicton de Jean Dion: «Si le ridicule tuait, les rues seraient jonchées de cadavres»!

Sauf qu’en Algérie, la servilité la plus obséquieuse est devenue le plus court chemin pour accéder aux hautes fonctions. Du coup, le ridicule ou le grotesque, on passe outre.A cet effet, le pouvoir algérien, voire le clan présidentielle veut changer d'uniforme à l'instar du serpent qui change de couche pour pourvoir survire encore.

L'enjeu oblige..Il n’est donc pas étonnant que l’enjeu des législatives de mai dernier se soit transformé en joute pour désigner qui célébrera en les termes les plus enflammés Bouteflika et son œuvre indépassable. Est-ce un hasard si ces thuriféraires du régime, le président du RND, Ahmed Ouyahya (également chef de cabinet de la présidence algérienne), et le Premier ministre sortant, Abdelmalek Sellal, membre dirigeant au FLN et néanmoins avocat des «Fakakirs» (entendez les pauvres!), ont donné libre cours à leur imagination pour trouver, à défaut d’idées pour sauver le pays, les qualificatifs les plus flatteurs envers le «sieur» Bouteflika poussant l’outrecuidance jusqu’à lui trouver des forces pour un cinquième mandat!

Au rythme de ce bal de flagorneries, il n’y a aucun doute que l’establishment algérien finira par transformer Bouteflika en pharaon. Il est d’ailleurs déjà déifié, et momifié. Tout cela aurait pu paraître amusant, très comique, si ce n'était l'état très inquiétant du dénouement de ce spectacle... qui se terminera, certes en tragédie.

 
 
 
                                           Très cordialement, Chihab25      
 

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