Maroc-Iran :« les raisons d'un divorce de discorde »
Le 3° œil Marocain.. Avant d'analyser, je voudrais bien en informer mon lectorat, que la rédaction du blog vient de tomber sur un article-manifeste important au point de vue sa teneur, mis en circulation sur internet par un certain "Alpha1", qui parait-il, s'intéresse aux renseignements prétendant avoir eu l'aval des services Marocains concernés pour en parler en exclusivité.
Cela ne peut être, à mon avis, que du virtuel, étant donné que les arômes de l'information, la plus crédible, ne sortent jamais, de telle façon, de la niche d'abeilles de Tarik Zaer de Rabat.
En plus, le fait d'autoriser la divulgation de ces précieuses démonstrations de l’intelligence Marocaine, ne serait, pour une raison ou pour une autre, que pour prouver aux ennemis du Maroc que les aigles et faucons Marocains ont toutes les facultés de chasser les proies à n'importe quel endroit, même dans les cieux perses les plus lointains.
Peut importe, disons-nous, c'est pour la première fois, que l’aumône, sous forme de renseignement, sort de Tarik Zaer au grand public. Et ce n'est qu'un petit ingrédient, voire une toute petite pièce matrice des preuves accablantes que détient en poche Mr. Nacer Bourita à ce sujet, tapant du poing sur la table de l'Algérie, dévoilant scrupuleusement tous les véhicules frauduleusement importés par la diplomatie d'autruche algérienne concernant l'affaire du Sahara Marocain.
Rétrospective..En février 1984, après la »«fatwa de Takfir» (Expiation) de Khomeiny, émise par le Conseil supérieur des Oulamas du Royaume du Maroc, feu Hassan II hissait sa colère au plus haut cran. Dans une interview exclusive accordée au journal français 'Le Figaro' Sa Majesté le Roi feu Hassan II qui était très conscient de ses potentialités, a dit son célèbre dicton «Si Khomeiny est musulman..?, moi je le serais pas.!». En cause, il qualifia ce Khomeiny de voyou et de déviant..! et que sur le rocher Marocain, son rêve sera brisé, concluait-il.
Et depuis, nous vivons au Maroc dans la fierté de voir notre Royaume devenu le seul pays arabe qui se trouve en avant-garde, face au projet iranien du chiisme. Le Royaume dénonçait ouvertement Khomeiny, sa suite et son héritage de versets sataniques. Les "Versets Sataniques", c'est le nom que leur donnait Salman Rushdie, le Britannique-Pakistanais (Kashmir) dans son livre réservé aux turbans noirs d’Iran.
Le Maroc, à cet effet, poursuivait silencieusement la civilité et la précaution, évitant de provoquer le satin. Mais le Lucifer lui, préparait son feu sous la cendre, guettant de loin, l'occasion propice devant porter préjudice aux intérêts du Maroc.
Hospitalité et générosité obligent..Ce grand Maroc, rappelons-le, accueillait, à bras ouverts, sans crainte ni peur de personne, l'ex-Shah d'Iran Mohamed Réda Bahlawi et sa famille. Un grand ami du Maroc, chassé par la révolution des turbans, le moment où tout le monde se méfiait d'un tel acte qui, selon diverses convictions, n'éveillera que les démons du maudit Khomeiny qui revenait de l'exil, enragé, voire assoiffé d'envie au pouvoir qui l’arrachait de force en 1979, parfumé d'odeur anti-impérialiste, marchant sur les épaules d'opprimés et de dépourvus de liberté, victimes de tortures de la police politique du Shah, la Savac.
L'ex-impératrice Farah Diba Bahlawi vit actuellement au Maroc dans son palais aux environs de Taroudant avec le reste de ses fils,. Elle aurait échoué dans sa première tentative de rester en Egypte de Sadat (!). Le Shah, son mari,ne supportait pas sa chute, il meurt du cancer, inhumé quelque part au Maroc.Cet état de cause serait l'un des ingrédients le plus marquant, voire le plus piquant, faisant grain de sel, à la gorge des satins d'Iran.C'est pourquoi ces salops cherchaient en vengeance, et continuent encore, depuis toujours de déstabiliser le Maroc.
Offensive en douceur..Tout le monde faut-il rappeler, a pris connaissance du communiqué du ministère Marocain des affaires étrangères et de la coopération internationale au sujet de la rupture des relations diplomatiques avec l'Iran, suite à son ingérence dans les affaires intérieures du Maroc, à travers son comparse, le mouvement terroriste Libanais, le Hezbollah, offrant soutien médiatique et militaire, entraînement, encadrement et approvisionnement en armes au front séparatiste, le soi-disant Polisario.
La décision prise dépendait de la souveraineté Marocaine sans pression aucune d'autrui, et ce suite aux renseignements fournis par les services secrets Marocains, en collaboration avec les propres Affaires Etrangères du Maroc. C'est une première publique et officielle de l'administration de la DGED. La rédaction du blog fera de son mieux, à rechercher, virtuellement, les dessous de cette exception qui n'est jamais offerte en suivant au mieux ce que peut rapporter son contexte.
Si l'affaire est apparemment bilatérale, elle devient, de plus en plus, pour sa gravité, une affaire dénie par le pays amis du Maroc, confirmant que l'Iran œuvre à semer la zizanie et à attiser les conflits dans les pays arabes de l'Afrique du nord, et souffler au feu, précisément au Maroc, le seul pays politiquement stable, immunitaire et fortifié par sa Monarchie, qui échappait aux rêves des Mollah perses d'Iran, qui cherchent en vain, par n'importe quel mobile à trouver place à l'Ouest du monde arabe, à s’ingérer dans ses affaires intérieures et à soutenir le terrorisme, en grande pompe, pour la simple raison d'expansion satanique.
Contexte du processus..Depuis le cessez-le-feu et l'arrêt d'hostilités en 1991 entre le Maroc et l'Algésario (polisario) toutes le données politiques et militaires ont catégoriquement changées, elles ont même bouleversé les caractéristiques du conflit dans la région.
En plus les pays communistes soutenant la thèse algérienne via son polisario sont touchés au fond, contraints de changer de cape, après l'apparition d'un aigle Russe dénommé Michael Gorbatchev qui mettait en ébullition l'effondrement de l'URSS et la pure et simple dislocation d'une stupidité, appelé clan de l'est.
Le système de banalisation et de platitude d'autres pays hostiles au Maroc, comme le Cuba et le Venezuela et autres, sont affaiblis à un point sans retour. D’autres comme la Libye ont perdu toutes confessions et forces d'ingérence, ici et là, privés même de crédit et de réputation politique.
Cette situation avait offert l’opportunité à un grand nombre de pays à travers le monde corrompu, d'annuler ou tout simplement revoir et suspendre la reconnaissance précipitée de l'entité imaginaire du polisario.
Cela étant va évidemment contraindre par la suite le polisario et l’Algérie de s'orienter vers l'incertain et de faire appel à candidat. Chercher de nouveaux sponsors, de nouvelles implications subversives dans le conflit, surtout après la perte de leurs soutiens originaux de Castro et de Kaddafi.
Cette fois la destination n'avait pas de sens giratoire, la nécessité oblige d’empreinter n'importe quel sens menant à l'Iran des Ayatollah, considérant que le model Iranien est le plus sophistiqué, en matière de formation et d'entrainement dans les domaines destructifs de guerre civile et de guérilla.
Etant que l'Iran est généreux dans le domaine, il voulait en revanche prendre pied en Afrique du Nord pour répandre d'abord le chiisme en Algérie, s'assurer d'une voix à Ligue Arabe et puis se venger de la campagne de l'Arabie Saoudite contre les Houtis au Yémen, de même que le refus arabe du régime Assad en Syrie fait aussi grande tache aux turbans. Les intérêts entre les deux parties ont ainsi convergé au détriment de la sécurité et de l'intégrité territoriale nationale du Maroc.
Evidemment, ces données et analyses n'échapperont, en aucun cas, aux faucons des services secrets Marocains avec l'existence d'une base d'informations sur des organisations internationales dites 'humanitaires" et sur les rapports et contacts discrets entre le polisario et le Hezbollah.
Les pensées iraniennes jetant davantage d'huile sur les feux entre Maroc et Algérie, se précisaient plus que jamais, après l'arrestation par le Maroc du premier trésorier du Hezbollah, Kacem Taj Eddine. C'était pour Hezbollah la goutte ayant débordé le vase funèbre.
Feu vert est donc donné pour que Hassan Sakht-allah déclare ouvertement son hostilité au Maroc, avec toutes les attentions de vergence, de contrainte de par corps, que le Maroc doit payer fort à cause de ce gros poisson.
ِChoix du timing.. Le timing fixé pour la rupture des relations diplomatiques entre le Royaume du Maroc et les perses était décisif après le retrait délibéré du polisario de ce qu'il appelle "terres libérées" et sa défaite du 29 avril aux Nations Unies enfantant la résolution 2414.
Voila que le Maroc en vertu de ses acquis, expose le front séparatiste devant tout le monde, prouvant sans équivoque, son attachement et son activité avec une entité terroriste, le Hezbollah, se confessant, en parallèle, aux lois d'un Etat hors la loi, banni par le monde arabe à cause de son ingérence dans les affaires internes des arabes et de ses tentatives de s'imposer , en tant que tel, dans le cadre d' de grand Etat de rubans et de pieux.
ِC'était choquant pour l'Algérie et pour l'Iran, dont les services de renseignement et de sécurité ne prévoyaient nullement un tel acte plus douloureux que jamais de la part du Maroc, lui permettant de surveiller et de suivre de prés toutes les ficelles de cette conspiration partant de Téhéran pour arriver chez le général algérien Saïd Chengriha à Tindouf.
ِC'est de la panique qui sévisse en Algérie et en Iran, frappant en plein fouet la diplomatie algérienne et ses médias qui n'ont rien trouvé que de se taire devant la tempête. Par contre les preuves détenues par les services secrets Marocains mettent à mort le rêve ennemi et perturbe ses visées malencontreuses de haine et d'hostilité, provoquant un échec énorme au palais d'Al Mouradia d'Alger.
Félicitations donc, aux soldats invisibles des services de renseignement Marocains pour ce travail victorieux, pour lequel auront plein d'éloges, bien mérités de tous les Marocains, après ce gain de cause ayant réussi à dévoiler les conspirations visant à déstabiliser notre patrie dans sa grandeur..
failures à Alger.. L'Algérie dans la connivence entre le polisario et le Hezbollah a accentué son propre isolement sur la scène régionale, voire internationale, confortant ainsi la position du Maroc soutenu, entres autres, par la Ligue Arabe (22 pays), l'OCI (Organisation de Conférence Islamique - 52 pays) le CCG ( Conseil de Coopération du Golf - 5 pays). L’Algérie l'un des dernier vestiges du communisme n'en fini pas de s'en mêler au pire. Sa posture militaro-policière, sa rente, sa corruption quasi institutionnalisée et son hostilité pathologique envers le Maroc ont fini par lasser tout le monde.
Pour contrer les conspirations algériennes et anéantir tout acte malveillant de nos frères-ennemis-algériens et du démon Libanais (Hezbo-Cheitane) qui a délibérément détruit le Liban, Irak , Yémen et Syrie et menace davantage les pays du Golf arabique, Face à ce denger, le Maroc s'est mis en mouvements préventifs permanents, il a pris pole position de vigilance se basant à cet effet sur quatre points essentiels, à savoir :
-Point A..ِ Les projecteurs -Made in ma-, se sont braqués sur la mission diplomatique algérienne sise au boulevard Zemin Iran. Une artère principale située à 15 kms au nord de la ville de Téhéran où se concentrent, dans un quartier chic, des villas somptueuses réservées à la garde présidentielle et aux élites de l'armée Iranienne, pas loin du siège du ministère de la défense, du Commandement de la garde de la révolution.
Cela étant va permettre de contrôler de prés, le siège de l'ambassade Algérienne qui accueillera désormais les réunions de coordination et de contact entre Algériens et Iraniens autour de sujets se rapportant à la prise en charge logistique et la formation du polisario
La seule difficulté de contrôle rencontrée, résidait dans la nature de la société Iranienne, elle est dans l'évidence très conservatrice, renfermée autour d'elle-même, de façon à ce qu'aucune personne étrangère ne peut s'infiltrer à l'intérieur de l'arène pour y faire acte de prospection. Cet obstacle exigeait de faire un effort exceptionnel pour engager des agents locaux de différentes ethniques et procéder de même au recrutement des Iraniens faciles à leurre.
-Point B..C'est dans l'arène Libanaise ayant connu une coordination entre les éléments du polisario, à l'exemple de Taleb Aâmi Dih, le soi-disant commandant de la pseudo 5°région militaire du polisario à leur Bir Lahlou imaginaire et certains éléments du Hezbollah. Pour que ces réunions puissent passées au secret, elles devaient se tenir dans les bureaux de l'ambassade algérienne au Liban sise à l'origine au boulevard 'Aljanah' à la banlieue sud de Beyrouth, l'incubatrice populaire du Hezbollah, juste à coté de la Télévision "NBN", dont le propriétaire n'est que le chiite Nabih Barry, allié farouche de Hizbollah au Liban .
Or, les services secrets Marocains sont arrivés à bien travailler avec les renseignements d'autres pays dans la région en vue dépister les identités des éléments de Hezbollah, leur rôle militaire dans le parti, pour savoir à quel point bénéfique le polisario en ait profité de ce genre de formation.
-Point C..Il s'agit de l'ambassade de l'Iran à Alger située au quartier Ben Aâknoune à l'est de la ville d'Alger à 7 kms environ du ministère algérien de la défense, où se sont déroulées les rencontres techniques devant fixer les priorités de formations et d'entrainement.
Les services de renseignement Marocains auraient dû, à cet effet, recruter le personnel de l'ambassade du Maroc à Alger en vue de procéder à des opérations d'écoute interne pour y détecter et capturer ce qui ce passe là bas, de collecter toutes informations et noms et déceler aussi tous les plans d'action, avant de faire évacuer les lieux et libérer les éléments engagés pour la circonstance à la fin de la mission.
-Point -C bis-..Il concerne la zone d'opérations à Tindouf, aux quatre camps de concentration du polisario, et plus particulièrement le camp de Rabouni qui renferme le siège du pseudo état major des milices polisariennes et le centre d'instruction dit Dakhla, situé à 170 au sud de ce qu'on appelle la 6° région militaire, considérée, jusque-là, par le 2° bureau des FAR ( les renseignements militaires) un espace opérationnel avancé, dont les missions de la surveillance et le suivi ont été confiées à des aigles et faucons opérant quelques part dans la région, pour y piger à quel point les éléments du polisario sont-ils compatibles avec les formations proposées, auxquelles seront soumis, et recenser en parallèle l'armement provenant d'autres parties inattendues.
Ce contrôle a permis aux éléments de la DGED de rassembler toutes les données ayant trait avec l'Iran et Hezbollah d'un coté, et le front séparatiste de l'autre et de mesurer le cas échéant l'impact sur la sécurité nationale du Royaume et ses potentialité d'influence sur la balance de force dans la région.
Point D.. Et c'est l'important de tout ça. Les opérations de contrôle menées par les services de renseignement Marocains ont permis de collationner toutes les séquences d'un long travail assidu qui en donnait à la fin, de bons résultats.
Ainsi, tout le monde sait que l’Algérie est devenue la petite protégée de l'Iran et ce dernier n'a pas l'intention de lâcher ce pays allié, il lui sera très précieux dans une éventuelle guerre mondiale, c'est pourquoi les services de renseignements iraniens informent, au fur et à mesure, l’Algérie de toutes les menaces censées à lui porter préjudice, soit de l'intérieur ou de l'extérieur.
Cependant, les menaces supposées ou à signaler par Téhéran ne seront pas certes, du nouveaux pour les services de renseignements Marocains. Il n'y a pas de menace, quoi qu'elle en soit, qui passe inaperçue ou qu'ignorent les services Marocains qui, par mesures de vigilance, sont soumis à une très forte mobilisation depuis et bien avant, la guerre civile algérienne des années 90, désignée localement en Algérie de décennie noire.
Rappelons que les nôtres ont misé sur leur expérience acquise sur le terrain de la lutte anti-terroriste depuis les attentats terroristes de Casablanca du 16 mai 2003, en preuve les BJGR et le BCIJ-SN et les démantèlements de cellules dormantes de terroristes. On attend la récolte de fruits de milliers d'informations et de témoignages de première main, qui sont analysés et regroupés par les services de la DGED engagés dans une course contre la montre pour parer à toute éventualité et gérer à temps, tout genre de menaces émanant, soit de l'Algérie soit de l'Iran contre les intérêts du Maroc.
L’Algérie faut-il souligner, qui s'arme en grande pompe pour stoker les ferrailles et d'ouvrir les fûts de pots-de-vin, est le seul pays d'Afrique du nord et rare pays dans le monde avoir reçu de la Russie de Poutine le système aérien de défense "S-500", qui est le plus développé et le plus sophistiqué de nos jours.
Soyons sûrs que ces systèmes ne sont pas là pour contrer les missiles ou les avions du Mali, du Niger ou de la Libye, mais plutôt pour contrer les bombardiers et les drones futuristes de l'OTAN, partant des eaux territoriales du Maroc, le pays doté du privilège de membre observateur.
L'Algérie et son sponsor iranien en joueront un jeu majeur dans cette guerre en approche, dont les premières étincelles sont apparues à Tindouf par l'implication directe de Hezbollah dans le conflit, en ce temps mort de la présidence-Bouteflika, caractérisé entre autres, par manque de boussole, de planing de sauvetage et de bon capitaine de bord, susceptible d'appareiller, lever les ancres et guider le navire algérien au bon sens.
Malheureusement les algériens se préoccupent actuellement des futilités politiques concernant, «si Bouteflika «-doit ou pas-» briguer un 5° mandat. Un moment crucialement incertain pour eux, qui passe lentement, sans qu'ils s’aperçoivent de l'ampleur. De l'autre coté thuriféraire, c'est le moment propice pour les teneurs actuels de ficelles au cercle du pouvoir (Primatie, exécutif, Armée, écurie parlementaire et FLN) où chacun joue sa carte à sa façon, à temps libre, pour se distinguer des autres et passer, en bonne position, dans les viseurs du pouvoir et du peuple, comme le seul et bon garant des intérêts algériens dans l'attente d'en finir une fois pour toutes, avec le cimetière Al Aâlia qui les attend pour enterrer le cadavre pourri de Bouteflika.
DSS et DRS..Après que les services de renseignement algériens en furent vaincus et sortaient bredouilles de la guerre civile algérienne des années 90.Une sale guerre fomentée par le DRS, toutes cellules confondues, les bilans destructifs qui se sont suivis étaient pas plus qu'amères.
On constate à cet effet, que le temps des généraux Smaine Lamari, Mohamed Médiene et Kasdi Merbah enfantait le Polisario, en lui créant des points d'appui terroristes dans le Sahel et le Sahara, dont le maitre et fer de lance était le GIA, transformé en borgne Bel Moukhtar créé lui aussi du l'utérus Drsiste.
Le temps actuel, du général Tartak, le criminel de la décennie noire algérienne, depuis son rappel à la caserne de réserve aprés le départ forcé du général Toufik en 2015, il opérait, selon notre source d'information, pour, le rapprochement idéologique, politique et stratégique, voire la fusion attendue par l'Algérie entre le Hezbo-Cheitane et le Polisario.
Les points de son ordre de mission n'échappaient guère au viseur du faucon Marocain qui, de son coté, n'épargnait pas d'effort pour suivre de prés le mariage de plaisance Algéro-iranien.
En effet pour y faire , Hassan Sakhat Allah réussissait à marcher sur le tapis rouge, béni par le proxénétisme politique d'Alger, via général Tartak pour que ce "Ssi Hassan" deviendra l'amant de Khadija Hamdi, la veuve du polisario et patronne des maisons closes de Tindouf. pour bien mener conjointement la guerre contre les intérêts du Maroc.
En preuve, le passe-d'armes de Hezbo-Cheitane contre le Maroc commençait bien avant la rupture diplomatique Maroco-iranienne, en Cote d'Ivoire où il menait une offensive pour convertir les expatriés Marocains au chiisme. Le Maroc a réagi rapidement et avec fermeté, il s'est livré à une rude bataille, qu’il a finalement gagnée. Cela s’est passé à Abidjan, où l’organisation libanaise a tout fait pour propager, en vain, le chiisme auprès de la communauté Marocaine, forte de 6.000 âmes
Loin des divergences classiques entre Algérie et Maroc sur différents dossiers, en particulier sur la question du Sahara Marocain, les autorités Marocaines devront bien considérer le Hezbo-Cheitane en percuteur de mal qui vient de déclencher la crise diplomatique avec l'iran. Une crise à la forme de gifle pour l'Algérie qui s'ajoute à celle de l'écrasement de l'avion militaire algérien ayant dévoilé sans ambiguïté, l'implication claire et nette de l'Algérie dans l'affaire du Sahara.
Et puis après..! Dieu merci, la volonté divine constitue pour le Maroc son 4°œil, avec lequel on peut voir lisiblement tous les complots algériens en cours contre le Maroc. Dernier en date. Sous l'anesthésie et l'effet du tabac à chiquer (Chemma) le général Gaid Salah chef de l'armée Algérienne vient de bomber la torse à la frontière avec le Maroc, pas pour faire peur à l'ennemi Marocains.. mais pour bonder les yeux des siens et apaiser l'effet de choc entachant, pour la énième fois, la figure algérienne à cause de l'implication iranienne, via l'Algérie dans le conflit du Sahara Marocain.
On apprend ainsi, que l'Algérie a entrepris de mener sur la frontière avec le Maroc, manœuvres engageant des musculations de la marine ainsi que les armées de terre et de l'air dans ce qui ressemble à la préparation d'une véritable guerre.
Et l'Algérie ne s'en cache d'ailleurs pas, puisqu'elle a officiellement communiqué sur le sujet par la voix de ses voyous généraux qui, faut-il le rappeler, en savaient bien qu'ils ont déjà bu le calice jusqu'à la lie par les gifles que leur assénaient nos faucons-FAR, à chaque fois que le caporal de France les mettait à danser sur les pelouses frontalières..
Arrêt sur vidéo.. Les musculations propagandistes du Gaid Salah ne méritent pas la moindre réaction de notre part. Même s'il vient de monter son ton d'un cran. Il aurait dit à ses subordonnés, quelque part dans la région d'Oran, «Qu'il est capable d'occuper le Maroc en 2 heures» (sic?).
Cette déclaration de consommation locale, aurait provoqué certains algériens qui connaissent bien, plus que d'autres, les capacités, offensives et défensives, de leur armée-racaille.
Ainsi, une Algérienne vient de publier sur internet (Facebook) une vidéo de (30 s) s'adressant (en dialectal algérien) à ce général par des mots descriptifs injurieux et diffamatoires qui, en respect de mon lectorat, ne conviennent pas à la publication. Elle lui parlait avec une allure de vendeuse de charmes, je crois à partir de l'étranger. Début citation :
«On ne peut pas occuper le Maroc...je te défi, car tu sais que l'ANP est constituée de...? et de...?, du premier soldat au colonel...vas te...ta mère?... nous n'avons même pas un avion pour qu'on puisse occuper le Maroc...le Maroc est plus loin de toi!.. je suis là, envoie-moi tous ceux, sur lesquels tu t’appuierais..!»fin de citation.
Et je termine par le concret. Quant à l'implication de l'Algérie et de l'Iran via Hezbo-Cheitane dans le conflit Saharien Mr.Naceur Bourita persiste et signe,dévoilant qu'une espionne (Algérienne mariée à un de Hezbo-Cheitane) serait au cœur de tout le dispositif destiné à nuire aux intérêts du royaume, évidemment sa coordination n’aurait pu se faire sans la bénédiction d’Alger.
En ce qui concerne le jonglage de ce vieux soldat de l’Algérie. Notre général de corps d'armée Mr.Abdelfettah El Ouarrak, «L'Homme convenant au lieu convenant»,est prés à parer à toutes éventualités ou aventure mal calculée par l'ex-caporal de France.
En parallèle, sur hautes instructions Royales, notre pays poursuit en douceur, sa marche de construction de défense sur de bonnes fondations pour avoir une armée professionnelle, jouissant de toutes qualités et dimensions de taille, pour gifler éventuellement, comme à l'accoutumée "Une armée racaille de toxicomanes. Je n'y peux utiliser d'autres termes, ni imiter la prostituée Algérienne précitée.
Sachant que le passé victorieux de l'Armée Royale Marocaine en témoigne à ce sujet, par inscription grasse, dans les défaites de l'armée Algérienne, la désertion des Amgala76 de celui qui nous embête aujourd'hui. Il s'appelait Gaid Ahmed Salah, un tout petit lieutenant issu des rangs. Et ça tout le monde le sait! comme le disait un ivrogne algérien du même calibre dénommé Messahal.
Un anecdote vrais.. : «-les Marocains se gâtent davantage et boycottent le lait frais, l'eau minérale et le carburant. De l'autre coté, dit-on prospère, les pauvres algériens eux, font files de queue pour un seul sachet de lait en poudre..-Plus encore, les Marocains se solidarisent pour corriger et redresser la cadence d'une vie meilleure, tandis que nos voisins de l'est souffrent (pas tous) de la pure vanité, avec toutes ses dimensions, - Nulle comparaison avec la différence - disait le dicton». Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25