Algérie : Bouteflika aurait loupé l'occasion de parler d'-égal-à-égal- avec feu Hassan II.
'Votre dévoué sujet Abdelaziz Boureflika'
Mises au point..La rédaction du blog vient d'apprendre par ses propres moyens que des personnalités algériennes, bannies du premier degrés, appellent le clan Bouteflika, à ne pas pousser le président à briguer un 5e mandat, pour le salut de l'Algérie.s
Avant de parler sujet, je voudrai m’arrêter sur quelques points sombres se rapportant à ce problématique personnage Bouteflika qui emprunte par son sale sceau la vie théâtrale et comédienne du pouvoir algérien depuis l'Algérie 1962.
Mais avant de tout cela, il est à recommander à n'importe quel observateur de ne revenir ni reposer, à la question de routine "Qui gouverne l'Algérie?, par répétition, la réponse à l'interrogation s'est familiarisée et connue de tous.
C'est bien évidemment la police politique qui surveille en ce moment le statu quo.! en attendant recevoir, d'un jour à l'autre, "l'appel miracle" du cimetière Al Aalia d'Alger et en finir avec le fardeau Bouteflika...
Cinq ans après l’attaque cérébrale qui a considérablement foudroyé et affaibli Bouteflika, la puissante police politique algérienne est plus que jamais aux commandes du pays avec de nouvelles uniformes de casting, tout en comblant la vacance du pouvoir, ayant causé ordalie et panique en Algérie.
L'Algérie et Bouteflika.. Un des écrivains algériens se baignant librement dans l'espace de la devise Française, «liberté-Egalité-Fraternité» Choisissant d'agir dans l'un de ses trois composants qu'est la «liberté» d'expression et d'édition qui lui permettait d'écrire un livre sur "L'Algérie et Bouteflika". Un livre qui résume, entre autres, que l'Algérie est paralysée par le règne sans fin d'Abdelaziz Bouteflika.
Je vais pas me plonger dans les relations de Bouteflika, l'adolescent avec le Maroc, relations qui, rappelons-le, sont déjà relayées, ici et là, par ses amis Marocains de classe et je ne suis pas en train de prendre partie. Malgré que cela serait pour moi, une avant première en évoquant Bouteflika ou son Algérie d'une autre manière que d'habitude.
Je pèserai mes mots, dans ce passage et je parlerai très sérieusement, sans aucune impulsivité de ce que je dirai, qui relève cette fois de la psychiatrie politique.
J'ai été interpellé quelque part à Laâyoune Sidi Makhoukh aux environs d'Oujda par un des acabits de Bouteflika, un des pairs qui ont en avaient avec lui, une attitude ou un rapport d'impulsion à l'égard de choses ou des gens.
Abdelaziz Bouteflika fait partie de cela. Ce qui nous intéresse ici, c'est sa désobéissance à la Marocanité. Il est plus Marocain que n'importe quel Marocain et en même temps il déteste Feu Hassan II et aujourd'hui Mohamed VI. Mais ça relève, pratiquement, de son état psychiatrique, de haute et basse marée, qui le forçait à parfois à les admirer.
En preuve l'écrivain algérien précité qui n'est qu'un militant Kabyle en France rapportait dans son livre: Quand on est dans un rapport d'amour "End" , Bouteflika signait son courrier qu'il adressait au Roi feu Hassan II par «votre dévoué sujet Abdelaziz Boureflika'».Il se considérait comme un sujet Marocain du Roi Hassan II, il ne se considérait pas un citoyen Algérien à part entière.
Mais en même temps il avait un rapport, c'est d'ailleurs continué, à la fois d'admiration à l'égard de ce Roi, à peine plus âgé que lui, qui fut sacré, au moment où lui aussi accédait au première dose de la chose politique, grimpant la haute marche du podium de la magistrature suprême de l'Algérie.
Il y a, je crois quelque part, quelque chose dans la personne de Bouteflika dans son vivant, que les psychiatres et les psychologues devraient explorer, puisque l'image de Bouteflika relatée par les algériens eux-même, et dans le livre en question en particulier, où le jour des funérailles de feu Hassan II, on le voit s’agripper devant le cercueil.
La milice description n'est pas du Marocain que je suis, mais se sont des fakers algériens connaisseurs, à la fois de Bouteflika et du pouvoir algérien qui ont fait brossé ce tableau pour tous les ingrats algériens.C'était une image qui avait effectivement, marqué réciproquement les Marocains les algériens, vu les tensions ambiantes qui ont perduré depuis les indépendances des deux pays, malgré les quelques coups d’intervalle de haine et d'hostilité perpétrés par la junte de sous-officiers Français ayant dérobé à la jeune Algérie sa virginité.
Ce geste, c'est de la haute voltige diplomatique à première vue, puisque avec un tel geste, on réconcilie quasiment les pays. On voit un président en train, carrément, de souffrir devant la mort d'un monarque, contre lequel il n'a cessé de mener des coups sous ceinture, sous et sur table, des offensives malencontreuses.
Il y a aussi d'autre chose, beaucoup plus profonde, que le grand public n'a jamais connue sur Bouteflika. Bouteflika a depuis toujours rêvé de parler.. égal-à-égal avec feu Hassan II. Et en fait, il devient président de l'Algérie en avril 1999, la première chose qu'il fait pratiquement, c'est prendre rendez-vous avec Hassan II..rendez-vous est pris pour le mois de septembre et Hassan II lui claque entre les doigts et décède en juillet de la même année.
Quelque part Bouteflika pleurait sa mauvaise chance, plutôt son propre sort, que celui du feu Hassan II. Il pleurait le fait de ce rendez-vous manqué, de cette situation dont il a toujours rêvé et qu'elle n'a pas pu finalement se présenter et d'ailleurs, c'est pour ça qu’après, les relations entre lui et le fils, le Roi Mohamed VI allaient se détériorer, puisqu'il s'est pris de haut, c'est-à-dire, il s'est comporté avec Mohamed VI avec un tel dédain, comme Hassan II s'était comporté avec lui.
En marge du vieux système de Bouteflika, le système qu'il a bien hérité de son maudit parrain Boumédiane, l'Algérie crie son désespoir, se résigne ou tente de s'inventer un avenir meilleurs. Profitant des cris de détresse provenant d'algériens, je m’empresse de décrire, à ma façon, l'arrivée "en chute libre" de Bouteflika au poste de président algérien. Me demander, avec surprise, de quelle vision se qualifie-t-il, en se mettant au même niveau que Hassan II.
Sachant que lui, qui provenait de la plus basse masse sociale algérienne, projetant à parler d'égal à égal avec un Roi particulier, un Monarque génie, élevé depuis ses premiers pas dans les rituels du pouvoir et du prestige. Il n'y a pas de liens communs entre les deux hommes.
Pour en prouver, comparons le discours du feu Hassan II devant l'assemblée nationale Française et le discours de Bouteflika devant un parterre de responsables civils et militaires algériens, évoquant avec une grande stupidité, l'affaire de l'Algérien indigné, (Ssi Abdallah) qui fut humilié un colon pour avoir fait 'kaka' dans l'allée de vigne du colon Français.
Sachant que jamais un chef d'État algérien n'avait osé penser à un tel acte, ou régné aussi longtemps sur l'Algérie comme ce fameux nain algérien. Avant lui, c'était le maudit Boumediene qui détenait le record de longévité avec treize années d'exercice du pouvoir. Il était mort en décembre 1978 dans une aura de mystère à l'issue d'une longue période de coma.
Le surlendemain, un petit homme en manteau noir, un certain Abdelaziz Bouteflika, alors inamovible ministre des Affaires étrangères et héraut du tiers-mondisme, prononça son oraison funèbre au cimetière d'El Aalia, près d'Alger. Il fut évincé de la succession par les hauts dignitaires du régime et condamné à une interminable traversée du désert avant d'être rappelé par le «cercle des décideurs militaires algériens» pour remporter l'élection présidentielle de 1999 dans une Algérie émergeant d'une sanglante et sale guerre civile entre le régime et le Front Islamiste de Salut de Abbasi Madani et Ali Belhaj (FIS).
Bouteflika règne, ou plutôt avait régné, sur un peuple à la fois turbulent, dingue et soumis depuis maintenant dix-neuf ans. Le temps pour une génération de grandir tandis que son président se recroqueville. Dans un pays où le pouvoir est opaque, le président est devenu une ombre. Âgé de 80 ans, il est impotent depuis son hospitalisation en urgence au Val de Grâce, à Paris, en 2013.
Bouteflika a déserté le palais d'el-Mouradia, situé sur les hauteurs d'Alger, un palais qui lui est cher. Ses passages au siège de la présidence se comptent sur les doigts d'une main depuis le début de l'année. Il y vient par obligation constitutionnelle pour la mascarade des Conseils de ministres.
Arrêt sur images..Quelques images bien filtrées par le service de communication de la présidence sont à chaque fois diffusées dans les journaux des chaînes de télévision. Les plans durent à peine quelques secondes. Ils donnent lieu à d'interminables exégètes. L'un d'eux par moquerie et beaucoup d’exagération constate en spéculant sur les progrès de l'état de santé de Bouteflika :
«Il a tourné la tête, il est capable de parapher et a même réussi à applaudir des deux mains malgré son bras paralysé» . Il parcourait un texte alors qu'il ne peut pas lire sans lunettes.- On déplore un sceptique. Son visage est passé au crible. Son regard peut être, selon les séquences, absent ou perçant. Son teint est cireux. Et ses traits toujours figés. - Ces mises en scène sont destinées à rassurer la population et à montrer que le pouvoir n'est pas vacant, décrypte un ancien ministre, peu convaincu que ces mises en scène atteignent leurs buts.
La maladie a évidemment des conséquences sur le fonctionnement de l'État, qui est comme lui, à moitié paralysé. Un Conseil des ministres se tient pour préserver les formes et valider, par exemple, la loi de finances, mais les autres institutions sont bloquées. Les décisions se prennent ailleurs» un clan de régence se fut créé et présidé par son frère conseiller pour faire passer le courant et gérer les crises du temps mort de la présidence, poursuit-il.
L'Algérie de Papa. Alors, c'est ce que ressentent actuellement les algériens, de la tristesse comme c'était hier en Afrique de Papa. Depuis son indépendance, au-delà de la rhétorique marxiste, anti-colonialiste et socialiste de ses dirigeants, c'est bien sûr l'armée qui gouverne, voire qui surveille les acteurs derrière les coulisses. Je crois que le simple algérien, espère, et craint aussi, que le peuple algérien en ait ras-le-képi, et fasse table rase d'une caste galonnée au pouvoir l’après Bouteflika, mais avec le moins de violence possible.
La France, la maman de tous en Algérie, sera évidemment au premier rang des spectateurs, sinon un des arbitres pour redresser les jalons et garantir ses intérêts dans cette portion d'Afrique de Papa.
Pays sinistre et dictature archaïque et basée sur la peur qu'elle entretient pour museler son peuple ! Il suffit de dénoncer le colonialisme français et l'ingérence de la main étrangère pour se maintenir au pouvoir en Algérie. Ca marche à tous les coups. Je ne confirme que des évidences...! celles évoquées d'ailleurs par l'auteur du livre.L'Algérie est effectivement paralysée par "statu quo" imposé par le frère heureux de l'Algérie.
Une vidéo qui résume situation et ambutions pro-présidentielle 2019
Supplication inappropriée..Et c'est la raison principale qui aurait secoué plusieurs personnalités algériennes, venues de divers horizons qui dit-on à Alger (seraient des figures de la scène politique, des universitaires ainsi que du monde des lettres), ont signé une lettre ouverte à travers laquelle ils appellent le président Abdelaziz Bouteflika à ne pas se présenter pour sa propre succession et faire taire les voix qui appellent à un cinquième mandat jugé préjudiciable pour le pays.
Arrivant en retard après l’échoue des 19 politiques qui souhaitaient en vain une audience présidentielle. Ce groupe de 14, cette fois, s’adresse apparemment avec bonne volonté au chef de l’Etat algérien et à l’homme censé être conscient, l’exhortant d’entendre la voix de la raison. dont voici quelques passages..! «Votre long règne sur le pays a fini par créer un régime politique qui ne peut répondre aux normes modernes de l’État de droit. Au moment où des forces malsaines se mettent en branle pour vous indiquer le chemin du cinquième mandat, À n’en pas douter, un autre mandat serait un calvaire pour vous et pour le pays».
Les signataires ont lancé un mouvement dénommé «Mouwatana» sensé assurer la continuité de leur action, en vue de mobiliser les forces vives en Algérie pour un véritable changement.Un mouvement "mort-né"à destination poubelle d'histoire récente d'Algérie.
Attention à la marche..«vérité!» Ce qui se dit, ici et là, contre le Maroc, soit par Brahim R'khiss du polisario, ou par le groupe jongleur de la politique étrangère de l'Algérie (de g à d) : -Ahmed Ouyahya, chef du peloton de propagande algérienne -Abdelkader Messahal des Affaires étrangères -Amar Belani à l'UE Bruxelles -Sabri Bou Guadoum, à l'ONU -Smail Chergui à l'UA , n'aura pas d'oreilles sensibles soit ici au Maroc ou ailleurs.
En ce temps mort où l'absence du capitaine de bord est remarquablement préjudiciable à la présidence. Il ne serait pas étonnant avec tout ce qu'ils en feront ces fils de "milles (¹)" , même s'ils usent en plus de pratiques douteuses pour êtres les bons élèves réussissant le plus à faire du mal au Maroc, pour garder leurs postes et peuvent aussi se vanter d'êtres les seuls en Algérie à en profiter de la formule " mille et un avantage" et salaires cumulés pour zéro boulot que de se tourner les pousses et aboyer contre le Maroc.
Ces fossoyeurs inappropriés de vérités perdent souvent leurs pieds en continue dans toutes instances fréquentées, ici et là pour nuire au Maroc. Pour se réconforter frauduleusement, font feu de tout bois dans le but d'alerter davantage la stupidité du grand public algérien et fourvoyer l'opinion publique internationale en leur vendant que des illusions et des brèches diplomatiques éculées sur l'affaire du Sahara Marocain. Une épineuse affaire héritée d'un maudit président algérien dit Boukharouba.
Les missions fracassantes qu'ils mènent contre les intérêts du Maroc, se font, naturellement, par orgueil et arrogance de la nature algérienne. On s'alimente pour chaque circonstance de la décharge algérienne d'ordures diplomatiques ,qui ne contient généralement que des spots de mensonges et de propagandes et aussi des jeux de comparses, devant mis en scène, contre les succès diplomatiques Marocains à travers le monde. Mais l'effet et l'efficacité, malgré les fortunes dilapidées, ne dépassant pas évidemment les espaces brumeux algériens.
En plus nous n'oublions pas, bien sûr, les randonnées, les musculations et les pseudo simulations internes du général Gaid Salah. Toute cette comédie, à mon sens, n'est que du produit cendre destiné à meubler la scène algérienne, anesthésiant l'opinion publique locale algérienne, en ce moment de crises qui frappent, en plein fouet, les palais présidentiels d'Al Mouradia et de Zeralda.
Toute déclaration ou acte truffé de contrevérités du coté algérien, s'inscrira en énième démarche de nuire au Royaume et d’induire en erreur l'opinion internationale. Je dis bien que toute sorte malsaine du genre peuvent émaner éventuellement de ces veilleurs du mal serait tout simplement dictée pour la consommation locale en ce temps suspendu de la présidence Algérienne, ère Bouteflika.
Depuis lors s’est mise en place une narration hégémonique qui fait de Saïd Bouteflika, le frère-conseiller, le «vice-roi» à la tête du clan présidentiel et qui prétendait à une déstructuration et à une décapitation du DRS du général Toufik» en perspective de dresser une autre police à la mesure convenant à la taille «nain» de la famille présidentielle.
C'est désormais, chose dite..chose faite, le général Tartak, le bourreau de la décennie noire des années 90 en Algérie revient sur les lieux avec un nouvel badge "DSS", mettant en application le dicton d'enquêteur "le criminel revient toujours sur les lieux du crime", permettant au président en cache, son parrain Said Bouteflika de remanier et d'arranger les choses et se préparer à l'incertain.
Partira-partira pas..? D'autre part, mon lectorat constatera certes, pourquoi le général Gaid Salah, chef de l'armée et ami de la famille en règne, multipliait dernièrement ses musculations face aux frontières avec le Maroc et la Libye. Et bien voilà, l'énigme de ce charlatanisme vient d'être, tout récemment résolue..
Les dernières séquences spectaculaires de jonglage de ce général-harki ne visaient pas vraiment une simulation au profit de l'armée algérienne, comme laissait entendre la presse algérienne.Non, c'est par initiative personnelle de l'oncle Salah qui sentait avec amertume l'odeur de sa mise à la retraite.
Des requêtes à ce sujet auraient été exprimées au conseiller-frère du président de la part plusieurs de son entourage, amis et conseillers acabits de Bouteflika qui viennent le voir et le consulter régulièrement, en langage de signes, à la résidence médicale de Zéralda.
On demandait, voire on priait le président d’organiser la transition au sein de l’Etat-Major de l’armée algérienne afin de garantir une succession paisible au vieux général Gaïd Salah qui dirige l’armée algérienne.
Bouteflika refuse par le biais de son frère-conseiller et président en cache toute proposition mettant à la retraite le général Gaid. Pourquoi ce refus de la part de Said? hé bien.., parce qu'on jugeait à la cuisine familiale que la fidélité au pouvoir de quelqu'un qu'on connait déjà est plus sûre qu'une autre éventuellement incertaine, avec les risques, du haut et bas de marée d'un mauvais choix, et d'une mauvaise transition (!)
Âgé de 78 ans, Gaid Salah ne suscite plus l’unanimité au sein de la nouvelle génération des hauts gradés de l’armée algérienne. Sa dureté excessive, son caractère autoritaire de harki et ses sautes d’humeur ont inquiété de nombreux décideurs de l’armée.
On l'accuse en plus, en tant que vieux restant de la génération harkie, du ralenti de nombreux chantiers et activités de l’armée algérienne, en particulier, le changement des chefs de région, la promotion des nouveaux généraux, surtout et surtout, il est soupçonné de discriminer les uns pour avantager les autres qui lui sont fidèles et proches pour un but à lui à la tête.(!)
Ca serait certes, son ambition à la présidentielle 2019, si on fera recours cette fois-ci aux normes d'issue de secours, de l’après Bouteflika, suivant les rites-slogans «"Sauve-qui-peut et acquérir à l’arrachée"» c'est-à-dire un coup d'Etat blanc à la mesure de l'intelligence et du savoir-faire d'un ancien caporal Harki. Et pourquoi pas, puisque les loups les plus féroces de la racaille armée algérienne sont soit morts, limogés, retraités ou mis à la retraite prématurée.La visibilité est donc acquise, et le capo-général n'aura pas besoin de tabac à chiquer (Chemma).pour réussir une telle opération.
Mais en dépit de toutes les vives critiques qu’il soulève, «âami Salah», comme l’appellent les intimes, conserve une très bonne relation avec Abdelaziz Bouteflika. qui le considère comme un véritable compagnon sur lequel Said Bouteflika, le favoris potentiel à la présidentielle 2019, peut encore compter dans les moments les plus difficiles même si le vieux général n’apprécie pas beaucoup l’influence de plusieurs membres du l’entourage présidentiel notamment Ali Haddad et certains conseillers proches des cercles affairistes.
Ce bougre-général est l’homme qui a accompagné Bouteflika dans sa lutte contre les généraux farouches des années 99/2000 qui lui étaient hostiles. Il est celui qui a aidé Bouteflika à neutraliser le pouvoir étendu du DRS du général Toufik. Le grand ménage fait par Bouteflika au sein de l’armée et des services secrets n’aurait jamais été possible sans le concours précieux de Gaïd Salah qui, lui aussi projetait silencieusement, sous la parapluie de Bouteflika, à garantir de vivre en hommage, le reste de sa vie, par enlever, pour toute éventualité, les mauvais herbes et épierrer son chemin.
C’est, sans doute, pour toutes ces raisons que Bouteflika refuse de lâcher son fidèle général, tant qu'ils sont tous les deux sur même longueur d'ondes de viol et de parrainage forcé de tout un peuple opprimé, dépourvu de marge de mouvements libres.
Ils représentent par coincidence la dernière monnaie rouillée de la génération "harka". Une génération qui, rappelons-le, fut inventée -1954/1962- par le général De Gaules, dans le but : 1) Faire épauler l'Armée Française dans sa lutte contre les Fellaga. 2) Chasser l'OAS, une organisation française armée qui militait au profit des colons Français et s'opposait contre "tout vent en Algérie". 3) Garder cette enclave d'outre-mer, ou plutôt faire perdurer l'existence de l'Algérie Française sous domination Française. Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25
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¹. C'est la numérotation qui désigne les maisons closes et lieux de charme à l'instar des bidonvilles en temps de l'Algérie Française