14h32 16 juil. 2018

Algérie : Pas que le Boucher, il y a aussi la cocaine du Polisario..

Introduction..Avant le drame de cocaine qui se déroule actuellement en Algérie, je ne m’intéressais que de loin aux gesticulations politiques, sociales, le manque de liberté et de démocratie en Algérie, sans surprise, atones, de Bouteflika et de ses complices.

Mais de par la géographie et le voisinage où s’écoulent nos tensions, ce drame Algérien de cocaine me donne l’appétit de découvrir beaucoup de choses sur ce pouvoir de mafia que la volonté divine a collé à nos portes et il m’a dès lors bien fallu entendre, lire et comprendre l’attitude haïssable de toute cette clique d'ingrats qui n'est qu'un ensemble de fils des milles Français d'autrefois.

Voilà pourquoi j’ai Bouteflika et sa junte dans mon collimateur…
Je lisais donc ces jours-ci dans la presse algérienne que les algériens étaient mécontents de leurs gouvernants. Après le soutien aveugle d'une affaire perdue contre le Maroc - et pendant- les mensonges et les tricheries diverses qu’il assènent, j’aurais dû sauter de haine contre ce pouvoir de mafiosi.

Car ce que j’ai trouvé dramatique dans ma collecte de données sur l'Algérie et sur son pouvoir, c’est qu’il y ait encore des cons de la génération Française qui s'accrochent au pouvoir pour égorger la vie normale aux algériens.

Ce doit être à n’en pas douter des imbéciles endurcis et ça fait beaucoup, quand même, presque 1/5, pour une nation tellement crédible d’elle-même ! Du coup, c’est le cas de le dire : Le Maroc malgré lui est devant une bande de harki qui s'accaparait d'un peuple dupe avec tout le sens négatif que porte ce nom!

Mais je ne dis plus un mot là-dessus. Ah, ça me fait plaisir, tout de même, de remuer les plaies qui font très mal aux algériens! Un dernier truc. Un truc qui m’a fait écarquiller les yeux tant il prouve encore et encore combien les algériens ont cet art accompli de maquiller, de dénaturer, de déformer et de manipuler un langage hostile au Maroc pendant que ces corniauds d’avaleurs de médias algériens n’y voient que du mensonge, à faire propager vachement partout contre, ce qu'ils considèrent l'ennemi de l'Algérie «le Royaume Chérifien du Maroc».

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Attention cocaine 701.. le général Gaid Salah fonce dans l'Affaire des 701 kg de cocaïne, dont ses adversaires sont alignés en rang, poussés vers la porte de limogeage, étant que l'affaire n’a pas encore livrée tous ses secrets. Les juges en charge de l’instruction ont auditionnés plus de 200 personnes. Selon des indiscrétions, de hautes personnalités, ou leurs proches, sont impliquées dans ce «scandale».

Après le départ du général Hamel de la tête de la police algérienne, plusieurs hauts responsables de sécurité vont subir le même sort. A cet effet, La presse algérienne signale, que les chefs de police d’Alger, Oran et Tipasa ne sont pas les seuls à quitter leurs fonctions. Il est question aussi du départ, dans les jours à venir, du directeur des Renseignements généraux, du divisionnaire de l’aéroport d’Alger et le wali d'Alger Abdelkader Zoukh.

Sont-ils tous impliqués dans cette affaire ? Personne ne peut l’affirmer pour l’instant. Ce qui est sûr c’est que Le général Gaid Salah, l'homme le plus fort à l'instant, semble vouloir prendre les devants en décidant de se séparer de plusieurs de ses adversaures sécuritaires qui pour un certain temps ont bien fait vibrer toute l'Algérie.

Des sources concordantes affirment à Alger que deux autres généraux qui seraient liées à cette affaire, le directeur des finances, le directeur du personnel de l'armée sont mis hors état de nuire à la retraite forcée.

Un second Hamel.. Poursuivi dans une Affaire de trafic de conteneurs; Hamel Belkheir, ex-directeur régional des Douanes à Annaba et frère de l’ancien patron de la police, le général-major, Abdelghani Hamel est poursuivi dans l’affaire de ‘’transfert illicite de devises vers l’étranger et de trafic de conteneurs de produits contrefaits’’.

Son passeport lui a été également retiré. Avec ce responsable régional de la douane. la justice algérienne enquête dans les faits sur deux affaires. La première est liée à une opération de surfacturation, l’importateur ayant «gonflé» le nombre d’unités de la marchandise importée (fauteuils roulants). De plus, celui-ci, qui était apparemment sur la liste des «fraudeurs», a usé d’un procédé «spécial» pour effectuer sa transaction en optant pour des organismes spécifiques, tels que les corps diplomatiques ou les associations, ce qui l’a dispensé d’avoir un numéro d’identification fiscal. Une manière de contourner la liste des fraudeurs.

Dans la deuxième affaire, découverte au mois de janvier dernier, il est question d’importation de produits contrefaits (baskets). C’est un jeune douanier qui avait décidé de saisir la marchandise à sa sortie du port. Ce qui lui avait valu une suspension de la part de son directeur régional qui n’est autre que Hamel Belkheir. Celui-ci affirme néanmoins qu’il s’agit d’un complot.

Le front de drogue..où le vent poussiéreux se lève, faisant de l'argent sale qui écrase sur son chemin tout ce qui bouge, même les slogans d'autodétermination d'un peuple fantoche. Ce n'est pas nouveau chez les dirigeants du polisario, s'enrichir rapidement, c'est aussi une sorte de lutte pour une meilleure libération.

Les faits démontrent que le polisario a aussi son cocaine..Toute l'Algérie, parait-il, est couverte de poudre-cocaine.? Meme les camps de Tindouf ne sont pas épargnés, y sont largement impliqués dans des transactions mafieuses.

Ils s'y trouvent blanchis, grace au polisario qui profitant de l'anarchie qui prévaut en Algérie, pratiquent ce trafic de drogues, et pourquoi pas d'armes aussi, avec la complicité de certains de leurs maïtres algériens de Tindouf qui leur facilitent les transactions au prix de blanchiment d'argent.

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On apprend que le GIR des FAR dans la région TACHLA-AWSRED avait mis la main, il y à quelque temps, sur 3 narcotrafiquants polisariens avec la saisie de 1,5 tonne de cocaine. Énorme calcul si on prend en compte le prix de vente (1 gramme à 1000 dhs). Cela étant prouve, sans équivoque, que ces mercenaires agissaient avec le consentement des agents du général Chengriha chef de la 3° région militaire de Tindouf et la couverture de ceux du général Tartak via Khadija Hamdi, commandant Drsiste, veuve du maudit Med Abdelaziz Marrakchi que la malédiction divine soit sur lui.

La drogue était destinée à la Mauritanie, dissimulée à bord de 3 véhicules 4x4, pour être injectée après aux pays du Sahel. Un échantillon de pièce d'identité de l'un d'eux, établis par la wilaya de Borj Baji Mokhtar, portant le nom d'un Malien Reggadi Mohamed (photo).

Le nom et l'origine de ce mercenaire posent trois questions auxquelles il faut pas chercher de réponses à savoir : a) Pièces d'identité (CIN et passeport) indiquant la nationalité algériennes. b) Lieu de sa naissance est le Mali. c)Appartenance aux camps du polisario à Tindouf, faisant partie du peuple-mélange de Brahim R'khiss. La nationalité Algérienne est desservie pour tout venant, comme des petits pains pour garder la majorité des résidents aux camps de Tindouf, une réalité qui se précise clairement par photo ci-dessous.

S'agissant d'une cellule de contrebandiers et de trafiquants de drogue et d'armes, issue des bandes de camps de Rabouni, qui s'active librement, se basant sur le fléau de la corruption propagée partout en Algérie.

Selon les investigations, les impliqués sont originaires de ce peuple fantoche, venant des camps de la honte de Tindouf. Ils ont été capturés, suite à une bonne coordination entre les FAR et la Katiba-55 d'infanterie, chargée de la surveillance des secteurs de la province d'Awsrd dans la wilaya de Dakhla.

Les autorités algériennes complices ne prenaient pas de peine pour ouvrir ou diligenter les enquêtes y afférentes à l'instar des cas similaires enregistrés dans l'affaire de Kamal Cheikhi, le boucher de la cocaine 701.

Ainsi, le territoire algérien est apparemment devenu un espace libre incontrôlable par la racaille du général Gaid Salah, malgré ses faux et multiples communiqués de veille et de vigilance, dont voici un model qui sert d'anesthésie locale à toujours injecter à l'opinion publique locale algérienne pour qu'elle ne regardera pas autour d'elle. La saisie dit-on à Alger par l'armée Algérienne de 32,5 kgs de cannabis et de tabac en provenance du Maroc (sic).

Pour entacher davantage le Maroc, les algériens ont pris l'habitude d'accuser le Kif Marocain, tout en tentant de s'éloigner de tout soupçon dans ce sens, n'avouent jamais que cette quantité, avec un tel emballage d'apprentis, provient d'Adrar qui est une région Marocaine spoliée par l'Algérie.

Pression de publicité...La presse algérienne de son coté, fait le sourd d'oreille sur toute cette pagaille et sur ce gens de trafic pour ne pas perdre la bénédiction des gouvernants, contrairement à ce qu'elle fait quand il s'agit du Maroc ou d'intellectuels algériens opposant aux visées de Said Bouteflika. Le cas d'exemple de Mr. Mohamed Benchicou pour son livre. "Le mystère Bouteflika".

Logiquement, quand bien même ces journaux auraient bien pu et dû donner l’information de la publication du livre en la commentant à leur guise et en fonction de leurs propres convictions politiques. Ils ne l’ont pas fait. Il s’agit là d’une preuve, s’il en est encore besoin d’une, que ces plumes jaunes ont été véritablement domestiqués par Said Bouteflika et pas du général Gaid Ahmed Salah, qui n'est d'ailleurs qu'un con illettré de toute la génération Gauliste et qui ses propres moyens de propagande.

Les journaux en question, quand ils osent sortir des rangs pour franchir les lignes rouges fixées par Said Bouteflika, sont vite rappelés à l’ordre. L’un des moyens efficaces avec lesquels le pouvoir exerce la pression efficace sur les récalcitrants, c’est la manne publicitaire. Dès que ces journaux n’écrivent que ce qui plait aux rois du moment, ils sont arrosés systématiquement d’encarts de publicité à coup de milliards. Même les gros annonceurs privés sont sommés par le pouvoir de ne fournir de la publicité qu’aux journaux soumis.

Retour sur lieux du crime..Dans la sphère sécuritaire, le parcours de Athmane Tartag illustre parfaitement cette tendance du système à rappeler ses agents après leur mise au ban pour rendre le bon service à ses parrains du système en l'occurrence le duo Said Boueflika et le général Gaid Salah.

Responsable au sein du DRS de la lutte contre le terrorisme dans les années 1990, il est mis à la retraite en 1999, Bouteflika ayant probablement jugé son profil incompatible avec son projet de réconciliation nationale à cause de sa supervision discrete de l'opération d'assassinats et de tueries " Qui tue qui?".

Douze ans après, soit en 2011, Tartag est rappelé pour diriger la Direction de la sécurité intérieure (DSI), devenant de fait le numéro deux du DRS. Il sera une deuxième fois mis à la retraite en 2014 avant d’être de nouveau rappelé en 2015 pour prendre carrément la place du général Toufik à la tête des renseignements après la restructuration du DRS.

Limogeage de responsables : pourquoi il ne faut pas tirer de conclusions hâtives. Les choses se sont précipitées dans le sillage de l'affaire du cocaine 701 Dans un effet domino prévisible, plusieurs têtes sont tombées et d'autres attendent la fin de l'enquête, dont les premiers boucs émissaires sont des responsables des principaux corps de sécurité de l'Algérie qui precedent une liste de 90 autres corrompues du système.

Cette affaire de cocaine a pris au piège toute l'Algérie.Le désordre règne en grande pompe. Un certain Karam de l'Algéria Times écrit un long article en arabe sur l'état chaotique que connait actuellement l'Algérie. La rédaction du blog fait à toutes fins utiles la reproduction, telle quelle, sans traduction. (voir l'intitulé en pages jointes).

Les gou

le général Said Chengriha, le barbeau de Tindouf

Une junte de fidèles..La vidéo ci-dessus montre le corps de la junte militaire d'Alger qui coupait le souffle aux algériens et continue encore, surtout le généraux des six régions militaires sur lesquels compte le général Gaid Salah, chef de l'armée au cas où il se fera chauffer la tête pour renverser le navire des Ait Bouteflika.

Une junte sélectionnée des plus fidèles, programmée et mémorisée selon le planing et logistique pour toute éventuelle intervention. Ils sont dotés de tous les privilèges et du confort à leur profit personnel et de leurs familles, au même niveau, ou encore plus, que les membres de la famille présentielle, et ce pour bien gérer les circonstances et parer à toutes éventualités qui peuvent en surgir en ce moment d'anarchie et de panique et surtout, surtout, en prévision de l'opération de succession du cadavre de Bouteflika qui s’avérait porteuse de grands risques.

-:- M. Mezzane aux lits Kurd

Ma.com..Quant à nous Marocains, je le dis et je répète aux algériens, pour mémoire, que grace à la clairvoyance de Sidna, notre pays connait une lancée progressive dans tous les sens, soutenue par une stabilité sécuritaire et politique remarquable. A propos, j'ai toujours eu l'envie et le plaisir de terminer mes notes par les éclats et progrès qu'affiche le Maroc et qui en vexeront les gouvernants algériens, pour ne pas dire tous les algériens qui nous envient pour la grandeur de notre pays le Maroc..

Le système de la Monarchie constitutionnelle suivi politiquement jusque-là a permis au Maroc de remettre les pieds à l’étrier face à l'éclipse qui a envahissait l'Algérie à cause de la mauvaise gouvernance, jumelée de corruption, voire de fléaux destructifs ayant frappé cette voisine de mal depuis sa naissance en 1962. Une situation catastrophique aggravée par l'ère Bouteflika.

Les Marocains, malgré la haine et l'hostilité de nos ingrats de l'est, en mangent les cerise-sur-gâteau avec des youyous à la volée. La caravane de construction d'Etat de loi et de droit passe convenablement sur les bons chemins tracés par la clairvoyance Royale.

Au niveau interne nous ne tenons pas compte, des aboies de notre Nabila Le Pen qui représente les bannis de la société politique, les conduisant vers l'illusion, ni le Pjdiste Harami Eddine qui ne cesse de faire ses siennes et, encore une fois, par ses sorties spectaculaires infantiles, il a mis les pieds dans la pate critiquant la monarchie Marocaine et sa place au sein de la vie politique du Royaume?.

D'autant plus, il veut s'en hisser en parrain et analyste pour la jeunesse extrémiste des barbus, tout en camouflant son mauvais temps d’étudiant, surtout son crime de D'har El Mehraz de Fes..

Plus pire encore, une "étouffée sexuelle", une pseudo poète-Amazigh, l'ex-maîtresse de tout le monde, souhaitait rendre le Maroc une large" maison close". Après ses sorties polémiques, il y a quelque temps, contre le fanatique, (Aâssid), son plus proche amant-charlatan, parait-il, elle s'aventurait hors frontière, pour tomber dans les bras des juifs du Tsahal et des Kurd.

Avec un tel comportement de sale femme, elle entachait, malheureusement, l'honneur de la Mazighité Nationale.

Surtout quand elle disait sur sa page Facebook, qu'elle était très satisfaite en "sexe", fière et heureuses d'être sur les lits Kurd.(!) invitant les Marocaines à user de leur féminisme et en profiter. Je m'excuse des termes vulgaires qui font hone, entachant certes, le respect du lectorat.

Le seul soucis occasionnel qui ennuie la scène politique nationale et déshonore la vie publique Marocaine et qui entache la liberté d'expression aujourd'hui, c'est ce qu'avancent ces trois salauds (photos) sur la Monarchie du Maroc et sur sa jeune démocratie. C'est vrais que la liberté d'expression est une chance pour les voix des cons.. Bonne lecture.