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  • Algérie : On demande l'impossible au diable..?

     

                                                                                

                                                                     
     
     L'image du jour.. Une Poignée de main signifiante entre le président Américain Mr.Donald Trump et Sa Majesté le Roi Mohamed VI sous le regard crapuleux du premier ministre Algérien Ahmed Ouyahya à Paris ce jour 11 novembre 2018  à l'occasion de la commémoration du centenaire de l’armistice de la première guerre mondiale 14/18.(1918-2018).

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    Avant-propos (29/10/18)..Bonne rentrée politique à tous ..et, si vous en avez l'envie et le temps, je vous recommande cet article très bien documenté.J’avais pris la résolution de ne plus parler ici de l’Algérie en ce temps de crises diverses. D'en revenir aux livres, à la littérature, aux textes. Mais je ne le puis…Ce ne sera pas la dernière fois sans doute. Du moins l’espéré-je.  
    Mais avant tout, sachez que ce que je rapporterai là-dessous n'est nullement une invention de ma part. Je collectais mes informations à ce sujet durant un bref séjours à Oujda où j'ai eu de la chance de coutoyer des hommes mûres bien calés en politique, voire très avérés; qui traitaient les affaires de l'Algérie avec une connaissance remarquable comme s'ils étaient assis quelque part à Kasba ou à Bab L'oued d'Alger. Et c'est delà d'où j'ai eu l'occasion de remplir mes jerrycans d'eau saine et pure pour dire, avec beaucoup de sincérité, à mon lectorat ce que je pense de l'Algérie.
     
    Car il ne sert à rien d’écrire sur un petit blog misérable contre le mensonge des gouvernants en Algérie, les plus abrutis de l'Algérie quand il est érigé en puissance institutionnalisée animée par les néo-thuriféraires du royaume de Tlemcen, un royaume fantôme bâti par le trône des Ait Bouteflikat ce que je retire de cela, c’est la souffrance impuissante de voir des millions et des millions d’hommes algériens avaler comme de la bonne morale, dans leurs journaux ou le soir, abrutis devant leurs télés, ce que les autorités algériennes leur servent comme de la bonne soupe.

    La réalité est toute autre que ce qu’ils racontent. Ce que joue le général Gaid en portant ses armes contre le voisin de l'Ouest (le Maroc), ce n’est ni plus ni moins que l’existence même d'une guerre interne, sans merci, entre clans, pour la succession du président-momifié.

    Car ce que les Algériens, les gouvernants je veux dire, appellent "menace et ingérence de la main étrangère", allusion certes à la France et au Maroc. C’est le plus pire et vassale fourbi du pouvoir en place depuis la naissance césarienne d'un Etat mafieux algérien à notre Est. C’est-à-dire des missiles de paroles propagandistes, sans  importance ni portée efficace, qui sont souvent pointés sur le Maroc, quasiment depuis sa banlieue frontalière et sur personne d'autre tout au long de sa frontière avec les autres pays voisinant.

    Un royaume pour Tlemcen (04/11/18)..Le caricaturiste de l'Algériatimes usait du meilleur de sa plume et nous montre par excellence via la gravure ci-dessus que Jamal Old Abbas, le crieur public Algérien actuel FLNISTE demande l'impossible au diable.. «On souhaite à l'Algérie, une Monarchie comme celle du Maroc». On vient d'apprebdre que ce charlatan est poussé vers la porte de sortie, il n'est plus SG du parti au pouvoir FLN.

    Les algériens enviaient les Marocains pour la stabilité et pour la bonne gouvernance du Régime Royal, ils rêvent d'avoir une Monarchie stable comme celle du Royaume Chérifien du Maroc avec un Monarque «diplomate et constructeur comme le Roi Mohamed VI» et ce pour se protéger des turbulences qui secouent l'Algérie depuis le premier complot perpétré par le groupe d'Oujda contre la légitimité  du GPRA de Ferhat Abbas et des armées de frontière qui venaient de rentrer de Tunisie à la veille du 5 juillet 1962 qui marquait l'indépendance de l'Algérie.

    Pour les algériens une république bananière comme l'Algérie qui tombe, accidentellement "en gouttes du plafond"; ne convient pas à l'orgueil, à l'arrogance et à la vanité de l'être Algérien. Et ça serait bien l'origine de l'envie, de la haine, de l'hostilité et de tous les maux qui nous parviennent de l'Algérie. 

    En vérité, un simple diable ne peut briser la règle et marcher contre la raison. Dès lors il ne  peut comparer celui qui sort des sales bottes de la boue d'Al harrach d'Alger ou du royaume imaginaire de Tlemcen à un noble digne d'une dynastie chérifienne descendant du prophète.                                                                                   

    Déontologie à l'Algérienne..En fait, les rédactions des journaux, des soi-disant privés ou publics en Algérie, étaient de fait cloisonnées. Les journaleux ne se connaissaient pas, mais ils appliquent à la lettre ce qu'on leur serve sous peine de perdre la bénédiction de la cuisine présidentielle, gérée jusque-là par le président en cache le fameux Said Bouteflika. Cela signifie qu'il y en a certes, une famille fictive de la presse.pro-pouvoir prête à toute éventualité, à pulvériser les champs médiatiques par désinformations bien sélectionnées pour désorienter les vagues.

    Des journalistes, interprètes et écrivains algériens, dépendant du parti FLN ne regroupaient que les thuriféraires disciplinés autours du charlatan Jamal Old Abbas. Une sorte de club où l’on reproduisait "in extenso" le discours officiel. Ce qui veut dire que la presse algérienne, toutes tendances confondues, tournait pour elle-même, sans  déontologie, en marge des préoccupations de rédactions peu crédibles qui étaient enfermées dans un monde «orgueilleux».

    Faut-il rappeler que les idéaux de la déontologie d'autrefois, ont été portés à bout de bras par des journalistes qui y croyaient, qui donnaient de leur temps et de leur énergie. Les émeutes du 5 octobre 1988, sous l'ère du président Chadli Ben Jdid ont contribué à souder davantage les rangs du Mouvement de Journalistes Algériens les plus crédibles en un certain temps de l'Algérie.

    Le 16 octobre 1988, le MJA publie la première réaction non-institutionnelle aux ”événements” du 05 au 16 octobre 1988, où il condamnait fermement l’usage de la torture, de la délation  et le recours à la violence physique et morale à l’égard des citoyens algériens.

    C’est embêtant. pour eux. Cependant, en ce qui concerne nous Marocains, nous ne voulons pas faire d'enquête là-dessus...car  d'autre part, nous maîtrisons bien nos poignants. Nos Faucons et nos aigles des FAR connaissent à qui ils ont affaire, connaissent bien la capacité d'une racaille qu'ils ont confronté et tabassé à maintes reprises. Notre général à quatre étoiles, ne joue pas sur les mots dans ce sens, étant sûr de la capacité professionnelle de ses faucons qu'il dresse,ici et là, pour parer à toutes éventualités et à toute frivolité émanant de l'Algérie.

    Dupes and dupes..Alors, que dites-vous, Messieurs les dupes de l'Algérie?. Vous recevez donc chaque soir, dans vos foyers des tueurs, des assassins, abondamment parfumés, le cheveu gominé, la parole docte, le port altier des gens de pouvoir, incapables de les contredire, voire de négociez avec eux où en est la vraie des vérités avancées? Et vous assénez en même temps au peuple Algérien que le Maroc est un ennemi de toujours et que vous, vous êtes du côté du droit à l'autodétermination d'un peuple fantoche ramassé de tout bord par le maudit Boukharouba pour y résider et faire du bruit à Tindouf , faisant en sorte une pierre au soulier du Maroc??

    En plus, vous vous faites le bras armé et les vassaux aplatis d'une bande de mercenaires, qui n’a que le fait d'aboyer contre, la raison et la légitimité Marocaine par les inventions fomentées de la diplomatie d'autruche Algérienne contre les intérêts et l'intégrité territoriale du Maroc, pour ne pas dire uniquement le Sahara Marocain, alors que, comme le dit un journal russe de langue française «votre rôle dans l’histoire de l’humanité a justement été non pas d’éviter les bains de sang mais au contraire de les accroître».

    Un pays, comme l'Algérie, reconnu responsable des pires crimes contre l’humanité à son intérieur durant ce qu'on appelle en Algérie "la décennie noire des années 90" : seul utilisateur d’armes mensongères contre sa population à ce jour, financement, soutiens armés et logistiques d'un poignée de séparatistes Marocains,perpétrant eux également des crimes à leur niveau contre l’humanité, aux camps de la honte de Rabouni, jouissant plus récemment de trafic de contrebande, transaction d'armes et de drogues, provoquant maintes tentatives de déstabiliser les alliés de la raison, en particulier les pays des deux SS?

    Messieurs les dupes d'Algérie et consorts, un proverbe polonais dit : le mensonge a de courtes jambes.Ce mensonge-là ne courra donc pas plus vite que ne court l’histoire de la région.Vous serez rattrapés et vous en serez coupables et comptables.Le plus tôt possible; je l’espère vivement.Un échange avec un vieux Yazenassni de l'oriental Marocain qui a vécu tous les forfaits algériens – que je resalue au passage - me donne envie de préciser quelques points :

    Les quelques textes que j’ai pu écrire ici-même sur l’Algérie, sont des textes qui mériteraient évidemment plus ample travail en profondeur. Car ils pourraient donner l’impression que je considère en bon observateur binaire les événements qui se déroulent de l'autre côté de notre frontière Est, avec des bons et des méchants et moi, bien évidemment, plaidant pour les bons.

    Ce serait bien… Hélas, si je suis en colère contre la bave sans cesse dégoulinante des médias pro-pouvoir en Algérie, comme sur l’attitude mensongère de la diplomatie Algérienne qui fait semblant de ne pas voir d’où vient le feu alors que depuis des années les diplomates algériens, partout dans le monde, arrosent de leurs dollars tous les mouvements anti-Marocains à l'étranger, capables un jour de déstabiliser l'Algérie même et de la définitivement fâcher avec tout le monde, je ne me fais aucune illusion sur l’humanisme et la sagesse de ce qu'il en reste des personnalités historiques algériennes crédibles.

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    Un point sur un i..A la surprise de tous, seul l'homme qu'on croyait honnête et crédible vient de prendre place dans les arènes de Rome, s’alignant avec les opportunistes d'Algérie. C'est celui sur la photo Mr.Lakhdar Ibrahimi, ex-ministre aux affaires étrangères, homme d'Etat Algérien et ex-ambassadeur de bonnes offices de l'ONU, vient de tomber dans les pièges de cafouillage et de camouflage tendus par le clan Bouteflika. Il aurait été poussé par l'effet d'offrandes bénéfiques, à mentir ouvertement aux opinions publiques, interne et externe, disant que "le respect des droits de l'homme en Algérie est N°1 au monde". C'est vrais, si le dicton populaire Marocain disait que  «Oulad Lkalba, Gua'â klab».

    Les deux clans qui existent aujourd'hui en Algérie sont un rapace qui se bat avec d'autres rapaces sur le partage d'une proie, une succession épineuse, pleine de surprises. Et dans cette phase dramatique, tout le monde autours du cercle de décisions d'Alger s'en fout du bonheur et du salut du peuple algérien opprimé!

    Mais je suis un simple Marocain, j’écris en français, parfois en arabe, je suis principalement lu par mes concitoyens Marocains et par d'autres Algériens indignés : il n’est dès lors pas nécessaire que je rabâche pour eux ce qu’ils entendent et lisent partout à longueur d’année, à savoir que le Maroc n’est pas un pays frère ni ami à l'Algérie et que sa Monarchie est une dictature comme cela est souvent dit par la presse jaune algérienne.

    Il se trouve que dans la situation présente, la fourberie des uns et des autres donne à ce Maroc l’occasion d’exprimer visiblement ce qui est essentiel dans sa politique étrangère, à savoir l’inféodation plus ou moins marquée de ses acquis contre l'hostilité algérienne, dont le plus important, l’implication de l'Algérie dans l'affaire du Sahara Marocain, confirmée à l'échelle Onusienne, à la 4ème commission précisément, laquelle contrainte par force du pétrodollar algérien de se transformer, chaque année,en champ de bataille diplomatique, entre Maroc et Algérie, autours d'un problème artificiel.

    Chasse aux sorcières..Quand j’écris également sur le coup d’État avorté en Algérie – je trouve qu'il était applaudi par des apprentis immaculés que sont les chefs de régions militaires algériennes. Tous aveuglement mis hors état de nuire sur une foule d'allégations du chef de l'armée Algérienne, soutenant "provisoirement" dans ce sens les directives du prince heureux de l'Algérie actuelle, le sieur Said Bouteflika. - qui a surtout été mené à gérer clandestinement le pouvoir algérien, derrière le coulisses, par des groupes paramilitaires fidèles aux ambitions du général Gaid salah, ne faisant nullement complexe de leur nostalgie du troisième Reich algérien.

    Comme me le fait justement remarquer mon interlocuteur, là-bas, du côté d'Oujda que  : parmi les milliers de gens rassemblés autours des illusions " à l'Algérienne", il y avait aussi des milliers de gens qui ne calculaient rien politiquement, des milliers de gens sincèrement épris de liberté et qui ne poursuivaient pas d’autre but que d'en bénéficier des offrandes, de ce qu"on appelle "la paix sociale", qui n'est réellement qu'une sorte de corruption sociale, faisant le semblant de crier au voleur et de chasser toute la veulerie corrompue du système algérien.

    Mais ce ne sont pas ceux-là, trop naïfs, trop sincères avec eux-mêmes et avec tout le monde, qui font les révolutions ! Ils n’en sont que le décor en même temps que le prétexte spectaculaire du pouvoir algérien.

    Ne présumons pas de ce qu’est la bonne ou la mauvaise histoire en Algérie et lisons là, telle qu’elle est réellement : une suite ininterrompue de crimes commis par la junte militaire algérienne après le complot électoral du 11 janvier 1992 contre le FIS au nom d'idéologie militaire, dévastatrice et passagères, mais toujours servant la pérennité des intérêts d’un petit nombre d'acteurs, encore actifs sous la coupole d'un ex-caporal de France, devenu du jour au lendemain le puissant-général qui commande pratiquement l’Algérie, à cause de la vacance du pouvoir...et aussi à cause de limogeages à répétition et départs forcés des généraux les plus puissants de sa catégorie.

    Pour se distraire, j'invite mon lectorat à m'accompagner et à me soutenir en posant la même question qui est sur toutes les lèvres des algériens : «Où sont passés les mille milliards de dollars de Bouteflika ? La politique des grands est celle qui offre au peuple la grandeur, la puissance, la victoire et la gloire.Sûrement ça n'est pas le cas de l'Algérie actuelle de crises.

    La saleté du linge-dz.Les hyènes et opportunistes de l'écurie algérienne,(le parlement) ont voté la loi des finances de l'Algérie pour l’année 2019. Par ce geste insensé et dans un hémicycle aux strapontins chauffés au pétrole et au gaz algérien, Ils trahissent pour la énième fois le peuple algérien et lui imposent, selon les observateurs analystes économiques la pauvreté et l’exclusion sociale. Le citoyen et l’ensemble des acteurs de la politique algériens doivent se taire et se soumettre aux diktats du pouvoir dirigé "sous table" par l'heureux prince de l'Algérie (Said Bouteflika).Pas de protestations, le temps est pour le cafouillage..

    La rente pétrolière des années de pouvoir de Bouteflika est évaluée par les algériens  eux-même à 1000 milliards de dollars,et pourtant  les caisses sont vidées, les voleurs ont même volé de l’immunité pour en bénéficier de l'impunité et de ses valeurs et le peuple algérien doit s'accroupir tout simplement, ou plutôt, doit se mettre à genoux au seuil du Fond Monétaire International pour tendre sa main en vue de subvenir à ses besoins et pouvoir manger à sa faim.

    L’humiliation de la mendicité dans un pays riche comme l'Algérie est un crime génocidaire qui relève d’un mépris de droit. Le droit de se révolter reste un bonheur pour un peuple qui refuse par le silence l’expropriation et la confiscation de sa légitimité. Le pouvoir des Ait Bouteflika, perche au-dessus de la citoyenneté algérienne dans une atmosphère dite "l'Aâza wel karama", un slogan hissé très haut par Bouteflika dans son vivant, mais dépassé et épuisé au fils des temps.

    Profitons-en..Par manque de confiance et de respect aux corps médical algérien, à ses infrastructures et à la politique de saleté publique algérienne, le conseiller-frère du président a construit pour le bien être de son frère momifié une résidence majestueuse à la pointe de haute technologie médicale à Zeralda dans les hauteurs d'Alger.

    Il a aussi médicalisé au compte du trésor public algérien un avion avec un personnel médical et paramédical, sélectionné de la sérail, de la compétence et de fidélité au royaume de Tlemcen et a aménagé selon sa disposition une institution médicale française pour prolonger la durée du pouvoir  de son frère-mourant et continuer à faire subir localement au peuple algérien l’humiliation et la répression.

    Il n'a pas pensé, parait-il,à des milliers d'algériennes et algériens qui souffrent et meurent dans les cabanes dites "hôpitaux" par manque d'équipement, de médicament et de personnel spécialisé? Face aux privileges offertes aux Ait Bouteflika au détriment de tout le monde, le peuple algérien est pris dans l’engrenage de la peur, l’incertitude, la misère, l’injustice, l'insécurité, la décadence et la déchéance.C'est pas moi qui le dit! Je reprends seulement les termes rapportés par la presse locale algérienne.

    Par l’incompétence du palais d'El Moradia et celle de ses valets, Le citoyen Algérien a peur de perdre sa citoyenneté et de se retrouver avec un statut d'apatride aux frontières de l’exil, a peur de perdre son Algérianité et de porter un code d’identification aux sept chiffres et a peur pour l’avenir de ses enfants et de ce qui reste de sa patrie. La peur peut être source de courage et peut produire des révolutions au-delà des limites de l'imagination de la cuisine présidentielle de Zeralda. Cette révolution, me parait-il, n'est d'aujourd'hui, puisque tout le monde se réjouit de traire les vaches de la Sonatrach, dont la gestion dépend du jongleur -Jamal Old Abbas - le crieur public  de l'écurie FLN.

    Par amour du pouvoir et éternelle fidélité aux hommes qui l'ont aidé à arracher les clefs du palais d’El-Mouradia par fraudes électorales dès le premier mandat de son frère en 1999 et d'y rester, là où il est, contre la volonté du peuple, la citoyenneté algérienne vit, me parait-il, dans l’amertume de rejoindre les États heureux du monde, elle est hantée par l'incertitude de retrouver la paix et la sérénité après ce statu quo qui ne perdure que pour perdurer davantage.

    Par arrogance et vanité d’avoir tous les droits sans assumer aucune obligation au peuple algérien pour justifier ses décisions extrajudiciaires, le prince héritier de la dynastie Taflikienne de Tlemcen prend des mesures à l'aveuglette, à l’encontre des libertés des algériens. Pire encore ses dépenses extravagantes à la limite de l'épuisement et du gaspillage sur le compte du trésor public algérien pour arroser ses espaces de courtoisie et pour bonifier ses serviteurs de l'intérieur et de l'extérieur qui parrainent et meublent les mises en scène à titre de figurants.Ces étrangers cautionnent son statut de pouvoir physiquement et mentalement à assumer légalement la fonction de président en cache épousant une veuve abandonnée par ses hommes, dite Algérie.

    Pour masquer ses actes frauduleux aux yeux des algériens, souvenez-vous, il a recommandé et obtenu de l’hôpital Suisse l'ordre de faire éloigner - un médecin Tunisien et une infirmière Marocaine - pour ne pas divulguer la vérité sur la momification du cadavre de son frère Abdelaziz lors de son dernier transfert à l'étranger pour diagnostic? 

    Par l’absence de discours, de directives et de mesures judiciaires fortes pour faire face à la corruption et le Cocaine qui gangrènent, moralisent et caractérisent l’environnement politique et exécutif des gouvernements, l'Algérie de l'ère des Oulad Mma Mansouria (la mère des Bouteflika) est condamnée à se réduire à la misère et à la pauvreté.Le sauve-qui-peut est une monnaie courante en Algérie en ce temps de pagaille.

    Les responsables honnêtes sont exclus de l'échelle de valorisation et sont réduits à des tâches subalternes. Certains sont traduits en prison pour avoir refusé de cautionner des contrats douteux et crémeux et d’autres sont confinés au silence absolu parce qu’ils sont étrangers au clan présidentiel. Par contre, ceux qui ont vendus le pays pour quelques milliers de dollars se voient aux hauteurs des échelles de reconnaissance et terminent leur carrière professionnelle aux postes de courtoisie et pour une vie mélancolique. Des hommes politiques honnêtes ont été évincés de force de la scène politique parce qu’ils n’avaient pas accepté de suivre la voie épineuse de Said Bouteflika et de supporter ses égocentrisme.

    Conclusion..De l'autre coté officiel et par stratagème et plans machiavéliques de museler la voix du peuple algérien et de fermer la voie vers la démocratie durant les années de pouvoir de Bouteflika, l'institution judiciaire, s'il y en a institution digne du terme, travaille sur les orientations des désirs et d'humeurs du conseiller-frère de Bouteflika.

    Les lois restent muettes et sourdes, elles laissent le champ libre à la spéculation et à l’injustice. Ainsi, le simple algérien perd confiance de toutes les soi-disant institutions de l'Etat et ne croit pas à l'intégrité incorruptible de  l'exécutif que conduit l'autre hypocrite Ahmed Ouyahya qui vient tout juste d'interdire le port du voile aux lieux publics, appliquant ainsi pour distraction après la résolution de tous les problèmes de l'Algérie le dicton Marocain de sarcastique : " اش خصك العريان...خاتم يامولاي Ach-khassak al 'ayren...Khatem a moulay!

    Par le refus, de manière ou d'une autre, de restituer le pouvoir au peuple et de remettre les clefs de la gestion des affaires de la nation à la jeunesse algériennes, l'Algérie tombe davantage dans les griffes des bandes de corruption et du vandalisme économique. Un climat qui forme le terreau de l'inspiration et conspiration et dans lequel le clan présidentiel récolte un fruit qui pourrit la vie de la citoyenneté algérienne.

    Les pseudo-partis politiques algériens et leurs associations satellites sont dirigés par des barbouzes qui militent dans un climat de hooliganisme. L'insécurité grandissante des algériens est au sommet de l’inquiétude. Dans ce climat de terreur une mafia s’installe tranquillement avec la bénédiction de services corrompus à leur tête les militaires du général Gaid salah dévoilés par ce que les algériens appellent désormais le «Cocainguet 701».

    La politique de la défunte concorde civile de Bouteflika a servi à faire de lustrage politique et de falsification volontaire des faits et des effets d’un crime contre l’humanité. Un génocide qui restera impuni.tant que l'affaire de 22.000 disparus non résolue, restera elle aussi une tache de honte au front du pouvoir de Bouteflika. qui venait de clore la décennie noire des années 90.

    Ces éléments forment la résultante de la perte de mille milliards de dollars. Certains des hommes du clan présidentiel et certainement certains du clan parallèle baignent dans fortune, dilapidant l’argent du peuple et se font bronzer à la couleur du coucher de soleil pendant que les enfants démunis du peuple lointain pleurent de la faim et du froid, et les masses populaires les plus opprimées du peuple algérien retourneront à la pauvreté et à la déchéance pour rembourser l’argent de la corruption. Les Bouteflika resteront encore et non pour l'éternité sur la chaise du pouvoir, la citoyenneté Algérienne attendra avec sérénité que la providence se lève avant le soleil.

    Reste à signaler enfin, que le clan présidentiel se prépare à des aventures, il prépare l'atmosphère pour jouer un nouvel épisode de la pièce théâtrale du "statu quo". Les décideurs de la cuisine présidentielle ont conseillé à Said Bouteflika une simple sortie de la crise qui se propage autours de la succession de Bouteflika.

    Une issue qui leur paraissait au sens non giratoire.Réviser, voire rectifier, tout simplement, le papier-chiffon de la constitution créant le poste de «Vice-Président». Cela lui permettra d'une part de faire préoccuper les détracteurs et gagner plus de temps afin d'arriver "sain et sauf" aux présidentielles 2019, et d'en profiter de l'autre de l'état institutionnel de la présidence par des séances de formation en projetant d'entrer légitimement fortifié par la grande porte à l'échéance d'avril prochain. 

    Les tentatives d’explications tendant de légitimer le maintien du statu quo par les décideurs n’ont fait qu’élargir le fossé avec l’opinion publique et accentuer le malaise devenu viral sur la toile, étant que la momification de Bouteflika restera gravée dans les mémoires des algériens pour avoir été celle des pires catastrophes se succédant les unes après les autres. D'autant plus, l'impopularité du royaume de Tlemcen bat les records et la malédiction continue de s'abattre sur l'Algérie provoquant anarchie et cafouillage. Affaire à suivre.

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                         Gaid - Tartak - l'opposant Krim Molay, une mafia et le noyé-dz :"continuez comme ça,on est bien"

    Nouvel épisode de discorde.. Je disais souvent par mes écrits que «ça va barder en Algérie». Hé oui, un affrontement, le plus fort cette fois-ci, s'est déclenché entre deux généraux algériens thuriféraires du pouvoir. Il survient en ce temps de crises entre le général Athmane Tartak, chef des Services de renseignement, (le DSS ex-DRS) et le général Gaid Ahmed Salah, chef de l'armée algérienne, l'homme fort de l'armée, vice-ministre de la défense qui détient en même temps, la poudre et la mèche d’excitation.

    Le premier aurait ordonné, par incitation, dit-on à Alger, de Said Bouteflika,le teneur actuel du pouvoir de recenser les biens et dévoiler l'origine de la fortunes illégale des fils du général Gaid Salah. Quant au second, il aurait lui aussi demandé, en réplique, à ses services de la Sécurité militaire de faire de même pour les fils du général Tartak avant de passer à d'autres du sérail .

    Une guerre est donc déclarée entre ces deux bougres du même calibre. Nous saurons davantage le développement, l'évolution et les retombées de cette confrontation qui oppose de grands ténors de la même junte, les plus proches  de la cuisine présidentielle, censés être, malgré les secousses du Cocainguet 701, les piliers garantissant le soutien indéfectible à l'ère Abdelaziz Bouteflika.

    Je crois que Tartak aurait été poussé à prendre cet acte contre Gaid Salah qui était derrière l'arrêt et mise en détention des cinq généraux, lesquels sont libérés par la suite, dit-on, par Bouteflika après son réveil de son dernier coma, le 1er novembre et ce en sorte de redressement de la stérile situation qui, selon les observateurs, n'enfante que crise après crise en cette phase de panne présidentielle dégringolant au rythme du statu quo.(Pour d'amples renseignements, visualisez la vidéo d'en bas).

    Pour noircir les nuages aux cieux de l'Algérie et enrouler encore plus l'opinion publique algérienne, il a fallu aux teneurs de ficelles de jouer l'arbitrage. Ainsi le général Tartak était appelé au rescousse, pas par loi, mais par clin d'oeil et appliquer, en urgence, des directives sortant de la fourre-tout du président-momifié, gérée jusque-là, par son frère Said pour secouer, voire pour entacher le général Gaid Ahmed Salah, tout en brisant éventuellement son ambition aux prochaines  présidentielles  d'avril 2019.

    Faut-il rappeler que cet ex-caporal Français, devenu, du jour au lendemain, un général en Algérie, exprimait son ambition à la succession de Bouteflika par ses musculation de force à la frontière Marocaine et par ses multiples sorties de "Méchoui" aux six régions militaires, par lesquelles il se prenait apparemment, pour "le seul garant" des valeurs de la république Algérienne . Affaire à suivre..? 

    Exacerbation..D'autre part, les déclarations contradictoires, des uns et des autres, au sujet de la présidentielle algérienne d'avril 2019 (Louh-Oyahya-Sidhom Said-Benflis-Louisa et autres) amplifiées largement par la presse locale algérienne, signifient un seul signe  qui n'injecte que de la cendre aux yeux des algériens.

    M. Ali Benflis, ex-chef de gouvernement et homme politique Algérien n’a pas pris de gants pour descendre en flammes les adeptes de l'option -5ème mandat pour Bouteflika- qu’il considère comme une aventure de nature “à exacerber la crise globale qui affecte l'Algérie.

    C'est que la guerre de succession arrive à terme, du moins de ce qu'on croit à Alger, et l'heure de compte à rebours pour les clans en compétition, est mise en exergue pour que l'Algérie tourne, une fois pour toute, la page des Ait Bouteflika pour accueillir, en substance, en avril prochain un nouveau président qui serait d’après les salons privés d'Alger, issu de la génération de l'indépendance, si bien sûr, le démon-militaire avec ses 440 généraux, restera d'une manière ou d'une autre, non éveillé et ne présentera pas son jeton au jeu.Bonne lecture.

                                                       Cordialement,Chihab25

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                                                      Larbi Zitout : Vidéo sur la libération des cinq généraux