Algérie : le pourvoir maintient son plan, tandis que l'impasse politique se prolonge.. !
Une constante écrasante..La volonté divine fait de la nature l'outil de déchaînement contre l'Algérie qui récolte le fruit de sa haine et son hostilité contre le Maroc. En parallèle, la bande d'Alger paie les frais et se déchire au petit feu..! Pour mieux connaitre la vraie Algérie, cliquez sur ce lien où les Algériens parlent d'eux-même et les Français témoignent. https://www.youtube.com/watch?v=mrMzMqUuvcg
Les 3 suspects,( à gauche) et le général Mohamed Caidi, qui les aurait arrêté
Le site Algérien d'information TSA rapporte ce samedi(4/5/19) l’arrestation de trois gros poissons du système Bouteflika. Il s'agit des généraux Toufik et Tartag, deux anciens patrons des services de renseignements, et Saïd Bouteflika, ils sont actuellement auditionnés par les services de sécurité de la (DGSI), dans le cadre de l’enquête sur leurs activités, qui ont été dénoncées par le général-bougre de son temps Gaid Salah. Pour se venger il ne tardait pas d'actionner tous les moyens de dissuasion qu'il en a en mains, en tant qu'actuel homme fort de l'Algérie .
Ce Gaid Salah avait accusé également, sans le nommer, Saïd Bouteflika d’être à la tête de (bande) qui a confisqué le pouvoir présidentiel. Selon l'autre criminel le général Khaled Nezzar,le bourreau de ce que les Algériens appellent "la décennie noire" des années 90, Said Bouteflika, voulait instaurer l’état d’urgence ou l’état de siège,pour interdiir à l'armée son ingérence à la chose politique et avait même envisagé de limoger Gaïd Salah.
Se sentant menacé par le feu qui s'approchait de son uniforme, l'homme fort de l’Algérie qui vient de tomber subitement du plafond d'une famille présidentielle déchue, le (genéral-bougre) se précipitait d'y installer les cordes de pendaison à ses trois adversaires, s'en tirant "sain et sauf" de la poudrière pour d'introniser unilatéralement, sans concurrent aucun, sur le trône délaissé vide par la nature de l'Algérie.Un pays qui disposant de bons capitaines de bord et souffre de manque d'hommes crédibles censés de redresser la situation.
De Gaules parle de l’Algérie et du Maroc
Hypocrisie à la Française..C'était pas beau, comme du De Gaules à Londres, c'est le dicton Français qui le dit, rappelons par là, qu’après l'invasion de France par les troupes d'Hitler durant la 2ème guerre mondiale en 1944, le général De Gaules trouva refuge à Londres appelant le peuple Français à résister contre les Allemands.Quant à nous simples sujets Français, nous étions appelés à meubler l'espace à côté des grandes forces vives, économiques, sociales et associatives qui y étaient présentes et qui portaient les grands sujets de suggestion. Nous étions nous tous, pour tout simplement accueillir et souhaiter la bienvenue au général symbole de la liberté Française.
Le général Charles De Gaules était pour moi une personnalité politique incontestable, très respectée.J'étais alors très attiré par ses allocutions, par lesquelles j'apprenais beaucoup de choses, en l'occurrence : En droit et devoirs, en liberté publique et en liberté d'expression. En parallèle, je comprenait la patience, l'impatience, la manière de jouer la montre, et aussi la volonté d'aller plus vite et à la foi d'aller bien.
Il était l'idéal de toutes mes pensés car je l'ai côtoyé, quelque part en 1957, hissant à son honneur le petit tricolore, en respect de la devise Française, quand j'étais parmi les petits élèves d'une école primaire communale. Mais en apprenant, via son interview qui date d'octobre 1963, qu'il n'était pas moins qu'un colon de haute gamme.
j'ai changé d'avis, je le considérait en instigateur colonial qui manifestait de l'hostilité à l'égard des arabes et de musulmans, comme ses pairs impérialistes d'Europe qui étaient derrière le sinistre traité d'Algésiras (1906) ayant réparti l'Afrique en proies à la portée des plus malins du monde. Je me rappelle bien en fait des termes (l'Afrique de Papa), c'était comme ça, elles se contentaient de nous dire, pendant les récréations, les petites filles de France et de Belgique.
C’était le général Charles De Gaules, le parfait sosie de l'égoïsme, et de l'arrogance des Gaulois qui, après avoir senti que les Français lui diront non en 1968, il s'est retiré en souplesse, en démissionnant de la haute magistrature Française. Pourquoi?.. parce que la France est un pays démocratique. Parce que ses institutions fonctionnent. Parce que les partis y sont vraiment des partis. Parce que la pluralité des opinions y est garantie.Ce n'est pas de l’anecdote, c'est la vérité qui englobe tout l’Hexagone et qu'aucun des tamis intolérants ne peut camoufler.
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En sillonnant divers médias pour trouver du nouveau sur la crise en Algérie, je me suis tombé sur un livre, dont l'auteur n'est qu'un ancien ministre du gouvernement De Gaules dans la années cinquante.. L'auteur aborde, entre autres,dans son livre ce que disait le général De Gaules de l'Algérie et du Maroc. Une phrase choquante retenait mon attention « Nous les aidons à s’entre tuer».
Tant que la situation est bloquée en Algérie, nous ne devons pas rester à la marge, attendre l’éclatement d'un ennemis ingrat qui, de sa nature haineuse, ne cesse de nous faire du mal, nous embêter, nous envier pour la grandeur de notre pays le Maroc, j'invite mon lectorat à jeter un coup d’œil sur ces quelques extraits du livre en question. Vous remarquerez certes, que dans la foulée, rien ne nous échappe surtout quand il s'agit des valeurs sacrées de notre Royaume Chérifien du Maroc..(لحديث والمغزل )
Dans son livre paru récemment et intitulé "C’était de Gaulle", l’essayiste et ancien ministre français, Alain Peyrefitte, rapporte des déclarations inédites de l'ex-chef de l’État français au sujet des relations conflictuelles entre l’Algérie et le Maroc, mettant en relief le rôle néfaste qu’a joué la France dans l’exacerbation des conflits entre les deux pays voisins.
L’auteur se réfère à des propos que de Gaulle a tenus dans un entretien avec lui à l’Élysée, le 23 octobre 1963, c’est-à-dire au moment où éclatait la fameuse «guerre des sables» entre l’Algérie et le Maroc. Interrogé par l’auteur sur les tenants et les aboutissants de cet événement, le général eut des réponses dénuées de scrupules et traduisant un esprit colonialiste renaissant et un machiavélisme intact chez cet homme. «Ce sont des histoires d’Arabes !», a-t-il lâché de prime abord.
D’un ton cynique, il enchaîne : «Il faut qu’ils se chamaillent, les Égyptiens avec les Syriens, les Syriens avec les Kurdes, etc. Il y a bien deux mille ans que c’est comme ça. Quand nous étions là en force, nous avons pu imposer le silence ; puis, ils se sont tournés contre nous. Maintenant que nous ne pouvons plus être le bouc émissaire, ils se tournent les uns contre les autres.»
Il explique ensuite son attitude et celle de son gouvernement sur les turbulences nourries,disait-il avec mauvaise foi, par les visées expansionnistes (!) du royaume du Maroc : Le Maroc voudrait Tindouf pour faire tomber la Mauritanie.
Notre intérêt est au contraire dans le statu quo des frontières, comme elles sont tracées depuis 1903, malgré les. protestations du Royaume, de manière a ce que la Mauritanie tienne le plus longtemps possible loin des griffes du Maroc de Hassan II»
A la question de savoir si la France devait observer une position neutre dans le conflit entre l’Algérie et le Maroc, le général de Gaulle eut cette réponse décapante : «Il ne faut rien proclamer du tout. Et, d’abord, c’est faux ! Nous aidons les Marocains, en leur fournissant des armes. Nous aidons les Algériens en mettant à leur disposition nos aérodromes de Colomb-Béchar et de Hamaguir au sud-ouest du quartier d'Abadla»
Pour être encore plus clair, l’ancien chef de l’État français reformule sa pensée sentencieusement : «Par le fait, nous les aidons à s’entre-tuer». Pourtant, il faut faire comme si nous étions neutres !»
Ces révélations viennent, en fait, donner foi aux discours qui ont toujours pointé la responsabilité de la France, à la fois dans les tentatives de destruction du projet d’unité maghrébine, initiée dès la conférence de Tanger du 27 avril 1958, entre les principaux partis nationalistes des trois pays du Maghreb (Maroc-Algérie-Tunisie), et dans l’alimentation des foyers de tension dans la région.
Le soutien «aveugle» qu’apporte aujourd’hui Paris à toutes les démarches du Maroc, notamment au sujet de la question du Sahara Marocain participe de cette stratégie qui consiste à entretenir un climat de tension permanent dans la rive sud de la Méditerranée. Avec les résultats destructifs que l’on sait.
Une mise au point.. Si ce bougre qui devient l'homme fort de l'Algérie se réjouit et se félicite du non-ingérence du Maroc officiel au Hirak Algérien, il ignore parait-il, dans cette foulée de turbulences qui secoue son pays que ce modeste Blog-Chihab25 fait partie du Maroc.
Un blog qui met de sa ligne de rédaction, le seul but de tirer "à boulets rouges" sur le système qu'il vient de parrainer "accidentellement", et ce depuis plus de treize ans, depuis l'intronisation d'Oulad Mansouria,la gérante du bain maure d'oujda au trône du royaume de Tlemcen dans d'une veuve Algérie perdue entre les sales bottes d'une junte prédatrice.
Pour se libérer, la rue Algérienne est réveillée et ne faiblit pas, les Algériens ronronneront davantage et maintiendront certes la pression du dégagisme, nous les accompagnerons à notre manière pour plaire au lectorat algérien adhérant déjà au blog, même avant le Hirak pour savoir d'un coté, la réalité de ce que lui cachent les dirigeants et de l'autre connaitre la véracité des choses chez l'ennemi supposé de l'Algérie.
Depuis bien évidemment, les jours fleurissants du Paltalk (2000-2005) qui nous ont donné le courage et l'opportunité de créer gratuitement des rooms de discussions chez le sponsor -Hautetfort-.
Dans ces forums et devant une grande assistance qui se rassemblait chaque soir à la catégorie Sahara, nous avions eu la charge de parler franc et de contourner les valeurs sacrées de notre Royaume Chérifien du Maroc et d’expliquer, explicitement, la solidité de notre cause nationale à nos ennemis Algériens dont la majorité n’était que des agents Drsistes,(Services secrets) chargés de défigurer les réalités du Sahara Marocain et de certains éléments-engagés du polisario.
Nous ne faisons pas de publicité ni de musculation aux portes d'Oran pour prouver à quiconque le leadership royal qui fait du Maroc une plateforme tournante en Afrique et vers l'Afrique. Nous n'avions pas besoin d'attirer à notre profit d'éloges pour la consommation locale ou pour se vanter de grandeur et nous n’imitons pas non plus ce vieux connard-harki qui a subitement trouvé le champs libre, vide, d'élites pour y crever les tympans des siens en se rendant souvent aux portes de notre frontière-Est.
Nature de chiens..Aboyer en face les régions d'Oujda et de Figuig c'est la nature de chiens pour provoquer les faucons, voire pour pleurer au pied du mur afin de compenser les faiblesses et les défaites subies par sa racaille-armée quand il était un simple lieutenant de mules, déserteur au dernière offensive-ma des batailles d'Amgala et d'Ouarkziz (1976) devant la bravoure des loups de combats Marocains, le général Ahmed Dlimi et le colonel Ghoujdami des Forces Armées Royales.
Si ce général-bougre connait bien, plus que d'autres, la capacité de l'Armée Royale Marocaine, son Said Chengriha, le général-voyou, promu sans mérite, pour avoir dit simplement quelques mots-anti-Maroc devant un parterre de cons à Tindouf, doit le savoir lui aussi. Car se balader en uniforme zébrée avec ses chiens autour des camps de Tindouf, ca n'est que du théâtre, pas comme si en contrainte, tomberait en embuscades ou affronter au tournant, les loups Marocains qui le guettent, et qui veillent avec professionnalisme élevé sur la préservation des champs d'honneur Marocains.
Officiellement Bouteflika est poussé avec grande humiliation vers la porte de sortie, tête basse après avoir été hué, il est fini politiquement et même physiquement, sans pouvoir réaliser son rêve. il voulait être du genre de De Gaules, mais il a fini presque comme Robert Mugabe. Une fin de règne chaotique. C'est du moins ce que nous lui souhaitions, puisque la générosité Marocaine était pour lui impardonnable.(Elle lui a coupé les genoux comme on dit au dialectal Marocain).
Son frère Said se maintient toujours, à tue-tête, derrière les coulisses et dirige comme à l'accoutumée l'Algérie. En discrétion c'est le 5ème mandat, via l'uniforme et la tare du général-bougre, gardant en vitrine Abdelkader ben Salah en simulacre, enveloppé en termes constitutionnels comme président intérimaire, même si personne ne lui reconnait ni la qualité ni la légitimité en ce moment de grands déballages.
Cependant, la présidence effective n'a pas changé d'élan, elle se pratique à partir du clan Bouteflika au détriment de l'acharnement de la rue Algérienne. Pour se donner peu de crédibilité et satisfaire l'une des doléances de la rue, elle continue à limoger comme si Bouteflika existe toujours à la haute magistrature.
Pour se venger de ses détracteurs, en manipulant les ficelles derrière les coulisses, Said Bouteflika, a déclenché une offensive judiciaire contre les puissants patrons et a accéléré la cadence de limogeage, profitant de la duplicité du président intérimaire, de la bénédiction du Gaid Ahmed Salah et de l'appui de la justice.
il opère ainsi au nom de la légitimité constitutionnelle à une vague d'inculpation sans précédent, touchant presque tous les affairistes ayant bénéficié des avantages et privilèges durant le règne et le vivant de son frère Abdelaziz à leur tête les milliardaires "personna non grata", Issaad Rabrab et Ali Haddad pour corruption, blanchiment d'argent et dilapidation du dernier public.
Apparemment, il veux de cette manière, démolir tout, ravager "vert et sèche" avant de quitter la résidence présidentielle de Zeralda et partir à "Jaiha" lui, le cadavre de la maison et la famille toute entière.
Ordonnant, entre autres, à la justice, par le biais de la gueule du Gaid, de s'attaquer aux gros poissons dans des dossier, bien précis de corruption et de dilapidation du fond public, impliquant des ministres et l'ex-chef de gouvernement pour la planche à billets.Même Chakib Khalil, l'ex-ministre de l'énergie et patron incontournable de la vache pétrolière "Sonatrach",l'ami intime de la famille n'est pas épargné de ses mesures de vengeance interne.
Pour bien enrouler l'opinion publique locale Algérienne, les experts de la cuisine Algérienne laissaient entendre, dit-on en bonne foi, que la justice est indépendante ne saurait être liée à des règlements de comptes où se résumer à des opérations spectaculaires. D'autre part, pour se justifier elle aurait demandé la levée de l’immunité parlementaire de certains ténors du système et du parti FLN qui bafouait l'état général du pays.
Une Nana s'en mêle..! Partant de ce concept, il serait préférable de notifier aux Algeriens qui nous suivent en blog que cette justice qui s'autoproclame indépendante, faisant le levier de dissuasion pour qu'un nombreux juges et magistrats de la Cour de Tipaza subissent des menaces et des pressions après avoir affirmé leur soutien et adhésion au mouvement populaire qui réclame le changement politique.
Selon des sources à Alger, c’est la présidente de la Cour de Tipaza, une femme de fer qui avait manigancé l’emprisonnement sporadique de plusieurs journalistes et opposants Algériens, qui n'est que l'épouse du controversé Belakcir, commandant de la gendarmerie Algérienne, (un général deyouti et Ch'mata..!) qui est en train d’orchestrer des représailles à l’encontre de ces juges et de certains avocats qui veulent assumer leur devoir de citoyens Algériens en les contrariant à faire les frais de leur attitude qu'elle considère néfaste portant préjudice au corps de la justice.
Conclusion..Les changements de systèmes politiques prennent du temps, et leurs causes profondes peuvent se trouver dans l’évolution des esprits en fonction des circonstances politique et sociales du moment ;
Ces changements ne s’effectuent pas de manière linéaire, et peuvent mêmes connaitre des arrêts ou des renversements de tendance, mais, lorsque les circonstances sociétales favorables sont présentes, ils finissent par avoir un effet durable difficile à remettre en cause ;
Le mouvement des Algériens qui a mis en communion pour l’objectif de changement du régime politique Algérien révèle une maturation de la société algérienne qui appelle à l’optimisme quant à son influence sur le futur politique du pays.
Il est irréaliste pour les autorités publiques Algérienne de ne reconnaître la représentativité de ce mouvement et sa puissance et de ne pas prendre en considération les revendications de la rue ayant atteint la 10ème étape sans relâche aucune ;
Pourtant, jusqu’à présent, les autorités Algériennes intérimaires tentent de canaliser, si ce n’est de dévier ce mouvement de ses objectifs, en prenant comme justification de leur refus d’être à son écoute des considérations légalistes tirant leur argumentation de certains articles de la Constitution-chiffon organisant la période transitoire qui devrai être terminée par des élections présidentielles transparentes que les Algériens n'ont jamais dégusté la sérénité ;
Dans le contexte actuel, et conséquence du mode de gouvernance mis en place par l’ex-Bouteflika, les institutions politiques, toutes formes comprises,ont été marginalisées au profit d’un pouvoir personnel centralisé, appuyé sur le commandement militaire unifié au sommet ;
Du fait de la disparition de l’animateur de ce mode de gouvernance,(Said Bouteflika) le général Gaid Salah se retrouve tenant les rênes du pouvoir, et maître actuel du navire "en panne"de l’Algérie; Un navire qui s’abîme par manque de capitaine spécialisé connaisseur pratiquement de s'en sortir indemne de tout risque d'orages.
Dans le contexte actuel, et au vu du désert politique qu’a créé Ould Mansouria déchu, seul Gaid Salah, est en mesure d’orienter la suite des événements dans le pays, le gouvernement Bedoui, tout comme Abdelkader Ben Salah, étant rejetés par le peuple, et n’ayant aucune légitimité leur permettant de prendre ce genre de mesures pour couper, une fois pour toutes, avec le statu-quo hérité de Bouteflika, et éviter le retour aux errements par lesquels s’est caractérisé le système contesté ;
Ces mesures ne constitueraient pas, à mon avis, un coup d’État militaire au vu du soutien que leur donnera le peuple, comme du fait que Gaid Salah assure provisoirement le pouvoir politique suprême en Algérie dans l'attente de sortir du tunnel.
Ceux qui dirigent l'Algérie du 22/02 ne sauraient que renoncer une fois pour toutes à tenter de prolonger l’agonie du système, et œuvrer pour que cette phase de transition se fasse dans le calme; afin que naisse rapidement cet Etat de droit, tant appelé par le peuple algérien, et rejeté depuis longtemps par les dirigeants.
Si cet ex-caporal de l'armée Française tient à son entêtement, il poussera les Algériens et leur pays vers la Libyalisation et au plus de carnages pour revivre une nouvelle décennie sanglante.
un polisario imitant l'Algérien
Cause nationale. N'oublions pas en parallèle le Sahara Marocain. Supposons qu’il prenne au président Macron la soudaine lubie de soutenir les indépendantistes catalans. Il décide de les accueillir dans le sud de la France, du côté de Perpignan, de les armer de tanks et de tromblons et de consacrer une partie du budget de la France à loger les Puigdemont et les Junqueras dans des palaces parisiens ( le Crillon et le George V!).
Il donne l’ordre à la diplomatie française de ne plus avoir qu’un seul sujet de conversation au Conseil de l’Europe et à l’ONU: la Catalogne! Enfin, il se coiffe d’un entonnoir, se peint le nez en rouge et envoie des émissaires lestés de billets de banque pour convaincre les Botswanais de soutenir “le droit à l’auto-détermination du peuple catalan“.Question: combien de temps durerait ce délire?
Réponse: une demi-journée, pas plus. Dès ses intentions proclamées, ce serait la levée de boucliers. Le corps diplomatique entrerait en dissidence. Les chefs de l’armée refuseraient la présence sur le territoire français d’une armée étrangère. Les Français sortiraient dans la rue pour protester contre la mauvaise manière faite à l’Espagne, pays voisin et ami. Et Macron terminera ses jours de gala à Bouya Omar.Bonne lecture.
Très cordialement,Chihab25