Maroc-Algérie : L'Algérie apporte la preuve qu'elle est bel et bien un pays ennemi du Maroc..!
Smain Chergui, le chauve,asphyxié par la présence de S.M.le Roi à l'UA
L'éphéméride Algérien..Lors d’une conférence de presse restreinte tenue par le président imposé Algérien, affirmait que malgré les grandes difficultés financières actuelles en Algérie, il ne prêterait pas d’argent aux institutions de "Bretton Woods", non pas pour éviter d'en répercuter le coût sur les générations futures, mais pour mieux porter atteinte à l’intégrité territoriale de son voisin Marocain.
Deux jours plus tard, il affirmera à l’occasion du sommet virtuel des non-alignés que le Conseil de sécurité doit sortir une résolution mettant fin aux hostilités à travers le monde, et ce dans le seul objectif de citer le Sahara Marocain.
L’ambassadeur Marocain à Alger a été convoqué par Bougadoum (MAE) au sujet des propos attribués au consul du Maroc à Oran. Quand bien même ce dernier aurait affirmé que l’Algérie est un «pays ennemi», les actes d’animosité à l’égard du Maroc au sommet de l’Etat algérien lui donneraient raison.
Or l’APS, en usant du conditionnel (qui n’est pas dans ses habitudes), pour écrire «si (la qualification) venait à être établie» montre déjà que cette affaire n’est autre qu’un nouvel acte d’animosité algérienne monté contre le Maroc.
Le terme animosité était en effet au cœur de cette campagne savamment orchestrée. Alors, prenons le temps, en toute sérénité, d’analyser ce terme qui semble offusquer le pouvoir algérien.
Je reviens à ce sujet en me posant la question. .Pourquoi mettant cette tempête dans la tasse? et pourtant le grand des généraux Algériens Said Chengriha devenant le patron de l'armée Algérienne qualifiait clairement à Tindouf, devant un parterre de cons, le Maroc de «pays ennemi».
Je ne serais obligé de m'expliquer là-dessus, étant que le terme signifie étymologiquement«l'agressivité qui se manifeste dans l'attitude, les propos, et qui traduit des dispositions malveillantes». Le terme ennemi renvoie, quant à lui, à «une personne, groupe, pays qui combat dans un camp opposé, en particulier en temps de guerre».
Or c’est justement ce sentiment d’animosité à l’égard du Maroc qui se manifester aussi bien par les déclarations des hauts responsables algériens qu'à travers les médias officiels de ce pays.
Sans remonter jusqu’à l’époque du maudit Boumediene qui serait actuellement au grillade à l'enfer, passons en revue les actes et déclarations des actuels détenteurs du pouvoir en Algérie.
Mais avant le déroulé des manifestations contemporaines d’animosité de l’armée, du président et des ministres algériens contre le Maroc, il convient de prendre la mesure de la haine viscérale du pouvoir algérien contre le Maroc, en rappelant l’épisode de la bataille d’Amgala en 1976 quand les Forces armées royales ont fait prisonniers des centaines d’officiers et de soldats de l’armée de Boumedienne.
Ce dernier se croyait ainsi fort et malin plus d'autre, à travers son appui direct et flagrant au Polisario, profitant, voire écartant la crédulité de Kaddafi, pouvant s’opposer militairement au parachèvement de l’intégrité territoriale du Maroc et d'ouvrir une fenêtre sur l'atlantique pour respirer de son air permettant à l'Algérie d'avoir deux poumons..
Sauf que lors de cette cuisante défaite, deux officiers algériens, qui se feront bien remarquer quatre décennies plus tard par une haine féroce contre le Royaume, ont pu sauver leur peau en prenant la fuite, abandonnant de la sorte les soldats sous leur responsabilité. Il s’agit des maudits généraux, Ahmed Gaid Salah et Said Chengriha, soit le précédent et l’actuel chef d’état-major de la racaille algérienne.
Entre le 14 et le 16 mars 2016, lors de manœuvres militaires de l’armée algérienne et du Polisario tenues à la frontière du Maroc, à Tindouf, le général Saïd Chengriha, aujourd’hui chef de l’armée, avait déclaré prononçant les mêmes termes de haine et d'hostilité contre le Maroc. Dans cette même tirade d’une violence inouïe, il avait qualifié le Sahara Marocain de «territoire injustement spolié par le tyrannique occupant Marocain».
Il n’a par ailleurs fait aucun effort pour dissimuler l’appui militaire algérien au Polisario, qu’il a qualifié d'«échange d’expérience» entre l’armée algérienne et le Polisario, De quelle expérience parlait-il?, peut-être l’expérience de sa "désertion" du champ de bataille, dont il était l'héro avec son ex-parrain Gaid Salah que la malédiction divine soit sur les deux.
Son compagnon, un général à la retraite est même allé plus loin en affirmant en mai 2018, que la relation entre le Maroc et l’Algérie était «condamnée» au pire, employant des termes hérités de la guerre froide,tels que «supplétif des stratégies hégémoniques colonialistes hissée du clan de l'Est avant l'effondrement du mur de Berlin où l'Algérie était embourbée, en tant que "mauvais élève gâte" en Afrique du Nord.
Pire encore, en plein milieu d’une pandémie meurtrière, qui met à l’épreuve tous les و algérienne organisait et organise encore pour la consommation locale, des manœuvres militaires à munitions réelles supervisées au plus haut niveau aux frontières du Maroc. Le général Chengriha avait lié, à l’occasion de ces manœuvres, la bande frontalière avec le Maroc à «tous les fléaux et les menaces» pour l’Algérie.
Pour sa part, le nouveau pion-président algérien a, depuis son investiture, fait preuve d’une rare animosité envers le Maroc à travers pas moins d’une dizaine de déclarations visant le Royaume dont sa demande spectaculaire de voir le Maroc faire des excuses à l'Algérie Aÿ sujet de l'affaire terroriste de l’hôtel Asni à Marrakech en 1994 à laquelle étaient impliqués des terroristes Franco-Algériens.
Le jour même de son imposition à la présidence, le 12 décembre dernier,et pour plaire à ses parrains militaires, se mettant sur leur même longueur d'onde, il s’est attaqué à l’intégrité territoriale, je cite :
«Je souligne clairement que le "Sahara occidental" relève d'une question de décolonisation qui est entre les mains des Nations unies et de l'Union africaine» ignorant, ou faisant le semblant le dessaisissement de l'UA du dossier de Sahara Marocain lors du sommet Africain de Nouakchott, un sommet qui avait mis parallèlement en échec, l'Algérien Smain Chergui, le metteur en scène du CPS (Conseil de paix et de Sécurité) de l'UA qui auparavant façonnait à sa guise le dossier du Sahara Marocain en l'absence d'interlocuteur avéré du coté Marocain.
Un coup fort était préjudiciable pour la diplomatie d'autruche Algérienne, mettant ce charlatan hors état de nuire, traînant ses pattes à l'UA avec le chéquier, de mille et mille feuilles signées à blanc, devenu sans valeur et sans acquéreur, l'ajoutant au chômage technique pour ne plus entacher davantage l'UA par les mensonges de son pays décrédibilisant l'honneur d'un Maroc Chérifien.
l'APS invente des histoires et y croit ..En plus de l’armée, de diplomates, un bataillon de journalistes de l'APS’ (Agence de Presse Service) Algérienne n’a jamais cessé de nourrir des discours de haine envers le Maroc, usant même le plus souvent de désinformation et d’une propagande d’un autre âge. Son sujet de prédilection dans la rubrique de l’actualité internationale n’est autre que le Sahara Marocain.
Pour avoir une idée de cette fixation maladive, les statistiques d'un seul mois , soit une période par excellence de confinement total, montrent que 60 dépêches de l’APS, soit une moyenne de deux dépêches par jour, ont été consacrées au Maroc.
Des titres haineux coiffent ainsi des articles qui remettent en cause le statut juridique du Sahara Marocain et de ses ressources naturelles, ou sont consacrés à des prisonniers Marocains de droit commun, voire de Marocains bloqués à l’étranger, sans secours, à cause de la pandémie de coronavirus, oubliant dans ce sens la clairvoyant Royale qui, dès les premières heures de la pandémie a frappé vite, rapatriant 167 citoyens Marocains de Chine, tandis que les Algériens qui sont bloqués partout, n'ont pas eu ce privilège.
La liste des marques d’animosité de l’Algérie envers le Maroc est très longue. Que ce pays voisin fasse semblant aujourd’hui de s’émouvoir qu’un consul rappelle un poncif, cela prête bien à rire. Quant à «la violation grave des usages et coutumes diplomatiques» à laquelle fait référence, ce même jeudi 14 mai, le communiqué du chef de la diplomatie algérienne devrait écrire cette phrase, à la manière d’un pensum, 100 fois par jour. Cela corrigera peut-être son département de l'hostilité maladive au Royaume du Maroc.
Mais avant le déroulé des manifestations contemporaines d’animosité de l’armée, du président et des ministres algériens contre le Maroc, il convient de prendre la mesure de la haine viscérale du pouvoir algérien contre le Maroc, en rappelant l’épisode de la bataille d’Amgala en 1976 quand les Forces armées royales ont fait prisonniers des centaines d’officiers et de soldats de l’armée de Boukharouba. Ce dernier croyait ainsi, à travers l'appui direct et flagrant au Polisario, pouvoir s’opposer militairement au parachèvement de l’intégrité territoriale du Maroc.
L'Algérie a eu une mauvaise naissance en 1962. Comment sur 192 nations, elle a une fixation, une conduite d'ingratitude envers le Maroc, le pays le plus ancien Etat nation au monde qui a beaucoup fait pour cette entité crée de toutes pièces par la colonisation française.
Tahar Missoum,dit "Spécifique", le député Algérien, déplore l'état critique de son pays.
صناعة الوهم : الجنرال شنقريحة.. الجزائر ستصدر سلاح فتاك (المقلاع) الى العالم
Tebboune signe son testament de dépendance et de fidélité aux militaires.
Le 31 janvier 2017 a incontestablement été une journée historique dans les annales de la diplomatie Marocaine, mais aussi une nouvelle page dans l'histoire de l'Union africaine (UA). Ce jour-là à Addis Abeba, le Maroc retrouvait sa place dans l'organisation continentale, 34 ans après l'avoir quittée pour son acte frivole, pris par un corrompu qui s'appelait Eddem Kodjo, alors secrétaire général de l'OUA adoptant vachement à la surprise du monde, le polisario comme Etat à part entière.
Plus de trois décennies qui ont été vécus par la majorité des pays africains comme un non-sens, tant le Royaume du Maroc qui avait joué un rôle important, pour ne pas dire décisif, dans la pose de la première pierre de l'unité africaine à Casablanca en 1961 et a contribué à la libération de plusieurs autres peuples du joug du colonialisme.
La raison fait état de citer en particulier que l'Afrique du Sud qui, aujourd'hui ne cesse d'hisser haut et fort avec d'autres petits pays corrompus,le fanion de l'hostilité au Maroc, substituant l'Algérie dans ses conneries anti-Maroc et mordant la main généreuse Marocaine d'autrefois ayant soutenu Nelson Mandela et ses compagnons contre l’apartheid.
Le Maroc renaît ainsi à l'UA, pas de sa cendre, comme le dit-on en général, mais en tant que force régionale avec un langage émotionnel.. «Il est beau le jour où l'on rentre chez soi, après une trop longue absence ! Il est beau le jour où l'on porte son cœur vers le foyer aimé'! L'Afrique est mon Continent, et ma maison. Je rentre enfin chez moi, et vous retrouve avec bonheur. Vous m'avez tous manqué».
Ce sont les premiers mots empreints d'une solennelle émotion, prononcés par Sa Majesté le Roi Mohamed VI à l'adresse des chefs d'États et de gouvernements de l'UA. Dans son discours tout aussi mémorable, le souverain est revenu certes sur les conditions qui ont mené le Maroc à quitter l'OUA, un départ assumé du reste, mais il a surtout justifié les raisons qui ont fait que pour le Maroc, c'était l'heure de «rentrer à la maison»...
Le président en exercice de l'UA de l'époque, le chef de l'État Rwandais Mr.Paul Kagamé, avait salué au nom de l'Afrique le retour, le qualifiant «d'atout majeur que les pays africains doivent exploiter pour renforcer leur unité et leur solidarité».
Au 26e sommet de l'UA de Kigali au Rwanda en juillet 2016, le Maroc a estimé nécessaire de rappeler au monde que feu Hassan II :
«fut l'un des puissants symboles de l'épanouissement de la conscience panafricaine et l'un des artisans les plus engagés, aux côtés des présidents - Abdel Nasser, Habib Bourguiba, Ferhat Abbes, Modibo Keita, Ahmed Sekou Touré, Kwame N'Krumah et Léopole Sedar Senghor -.
Faut-il rappeler dans ce contexte que les sages de l'Afrique, à leur tête feu Hassan II, alors jeune Roi, très actif, ont tenu à unifier les efforts de la jeune-Afrique créant la Conférence historique de Casablanca 1961, qui a été annonciatrice d'une Afrique émancipée et fondatrice de l'intégration africaine rassemblant les deux pôles d'Afrique, -les États indépendants anglophones et Francophones au moment où l'Algérie n'existait pas d'ailleurs sur la liste.
C'est de là que le Tunisien Bachir Ben Yahmed copia le nom de son hebdomadaire "Jeune-Afrique" devenu pour tous les Africains, à ce jour, le miroir sur lequel on suit, avec assiduité, l'évolution du continent.
Une neutralité qui affole l'Algérie..Mais l’animosité algérienne a atteint son summum lorsque le Maroc a décidé de reprendre sa place naturelle au sein de l’Union africaine. Affolée par cet acte de haute sagesse, l’Algérie avait mobilisé tous ses relais diplomatiques et sorti son chéquier pour s’y opposer farouchement.
L’Algérie enragée depuis le sommet Africain de Nouakchott de décembre dernier, a été le seul pays parmi les 193 États membres des Nations unies qui a réagi avec hystérie à l’ouverture des consulats généraux au Sahara Marocain. Deux membres de l’Union africaine ont goûté, malheureusement, à l’animosité des Algériens à l’égard du Maroc. Pour avoir ouvert des consulats dans deux villes du Sahara Marocain, la Fédération des Iles Comores et la Côte d’Ivoire ont subi l’agressivité algérienne. Les Comores se faisant traiter de tous les noms, et Abidjan en voyant l’ambassadeur algérien rappelé pour consultations.
Conclusion..Une conclusion buttante qui piquerait certes les cœurs des Algériens, officiels et officieux, malgré l'animosité, la haine, l'hostilité et l'ingratitude qu'ils affichent ouvertement à l'encontre de notre pays, jetant à la largeur du mur la générosité Marocaine dont ils bénéficiaient largement lors de leur peine de libération du gouffre Français.
Il faut dire que cette animosité des Algériens à l’égard du Maroc est flagrante à travers l’implication de l’Algérie dans la genèse, l’évolution et la persistance du différend régional sur le Sahara Marocain pour cacher sa spoliation de l'autre Sahara Marocain oriental.
Je dis bien le Sahara Marocain Oriental spolié qui, le fait de soulever publiquement son sujet dérange le pouvoir Algérien, mettant un grain de piment piquant dans sa gorge. La preuve ne peut être cachée par le tamis Algérien, ni par l'écoulement des temps. Tôt ou tard, un jour ce Sahara Marocain retrouvera son lieu naturel et sera rapatrié à la mère patrie, le Maroc.
Si cela parait-il difficile actuellement, il le sera, en temps de règnes prochains de Hassan III ou de celui d'un Mohamed VII qui trouveront certes à l'autre côté, des interlocuteurs Algériens honnêtes et crédibles pour en discuter conjointement et régler le litige de légitimité frontalière entre les deux pays.
Un document officiel de la DGSE locale de Tindouf à l'époque de l'Algérie Française, daté du 16 mai 1962, circulant actuellement sur la toile, évoquait ce problème, confirmant aux autorités Françaises que les habitants de Tindouf refusent de participer au référendum d’autodétermination et d'indépendance prévu en Algérie, pour motif qu'ils sont des Marocains non concernés par cette consultation qui leur est imposée de voter.
On ne peux exclure ni excepter dans ce sens, les populations Marocaines de la Saoura, Touat, Colomb-Béchar,Kenadsa, Abadla et les Ksours du nord, Boukaiss et Lahmar, qui auraient fait de même, exprimant certes la même position en l'objet.
C'est normal, des opportunistes pourraient exister,ici et là, comme c'était le cas du faux-sultan Ben Arafa au Maroc. Ces opportunistes en profiteraient généralement, des vents soufflant, à tort et à travers, dans les circonstances pareilles, pas pour brosser, mais pour lécher les bottes du capitaine de bord Français.
D'ailleurs, lorsqu'on trouve, on arrête de chercher. En Algérie, depuis plus de quatre décennies, la diplomatie mensongère algérienne, à laquelle d’énormes moyens financiers ont été attribués, a pour rôle primordial de mener des campagnes hostiles au Maroc. Quitte à ce que ces campagnes soient basées sur des faits imaginaires et mensongers, de manière à tromper et d'intimider le peuple Algérien opprimé.
Dans ce sens, le Maroc tient une carte de pression sur le pouvoir Algérien, il la sortira en temps opportun, tenant compte des appels de soutien à l'indépendance de la grande Kabylie exprimés par Ferhat Mehani, le leader d'opposition Kabyle.
Un appel, faut-rappeler était soulevé il y a cinq par le Maroc, à la 4eme commission de l'ONU, appelant la communauté internationale à entendre et prendre au sérieux le vrais appel de détresse de la Kabylie en Algérie au lieu de s'occuper de la frivolité d'un peuple imaginaire créé, en toutes pièces, par l'Algérie à Tindouf.
On se rappelle que, le 20 octobre 2017, l’ancien ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, avait déclaré dans un forum d’entrepreneurs algériens: le Maroc blanchit, via ses banques, l’argent du «haschisch» et la «Royal Air Maroc transporte autre chose que des passagers»
Cela étant prouve que l'Algérie ne sera jamais le bon voisin qui mérite le respect et la considération de notre part. C'est pourquoi le Maroc est condamné à faire preuve de plus de vigilance et de ne plus considérer sa frontière-Est sûrement sécurisée et inviolable, autant qu'elle est toujours exposée à des menaces d'un pays trop de déréglés mentaux.Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25
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Al Guerguarat.. voir mes points de vue. Sans commentaire, le polisario "vainqueur" selon les tambours des médias Algériens(sic). Voir en pages jointes, juste en bas de la colonne en cette page d'accueil, divers sujets, photos et vidéo pour plus de distraction.