Maroc Algérie : éclairage inédit sur la guerre des sables et échec de récupération Algérienne..!
¹) Un mouvement Serbe de Résistance politique, créée en 1998, avec le soutien américain est l'un des acteurs majeurs de la chute de Slobodan Milošević.
²) l'hélicoptère est l'un des cinq offerts par feu Hassan II à l'Algérie comme cadeau d'indépendance.
Les fugitifs-dz.. Des Algériens qui ont déserté l'Algérie par peur du pouvoir en parlent trop, profitant aux pays d’hôte de la gratuité d'expression. Quatre figures de proue de l'activisme politique anti-pouvoir en Algérie ont commis, chacun en ce qui le concerne un faux pas fatal qui annihile toutes leurs actions de propagande en direction des Algériens dont certains, voire la plupart des dingues Algériens ont commencé à mordre à l'hameçon. Ce qu'ils sont habitués à mijoter à leurs concitoyens, vrais ou faux, ça ne nous concerne, ni de prés ni de loin.
Mais ce qui m'a intrigué le plus, c'est quand ils parlaient de l'Algérie et de son problème avec le Maroc, ils répètent tous, par certitude ou par ignorance, le même scénario avec les mêmes mots vulgaires contre le Royaume du Maroc.
Ils s'attachent aveuglement à des fourbies tant utilisés par le pouvoir de leur pays, via ses communiqués et sa presse jaune, tel que..ce qu'ils appelaient sans aucune crédibilité : "Sahara Occidental et peuple Sahraoui", des termes devenus courants chez eux à force de répétition et qui sont rejetés catégoriquement par tous les Marocains, tant qu'il n'y a que le Sahara Marocain libéré et l'autre Sahara Marocain oriental spolié, que les circonstances actuelles ne permettront pas d'en parler de sa situation avec l'Algérie.
Sachant que peuple Marocain, toutes composantes confondues est déterminé à ne pas lâcher la légitimité de ses frontières, à toujours revendiquer e rapatriement du Sahara Marocain oriental, puisque l'accord chiffon de 1972 y afférent est inéquitable pour nous Marocains, pour la suspicion qui l'entourait à l'époque.
Nous devons rappeler à ce sujet aux Algériens le dicton populaire indiquant : "Peu importe le prix de vente de dérobé, le voleur est gagnant ".(باي ثمن بيع المسروق..فالرابح هو السارق)
Je sais que certains, d'ici et de là, recaseront ce souhait dans l'illusion en l'absence des signataires Algériens du traité du 6/7/1961 concernant les frontières qui se sont engagés avec crédibilité à remettre la pendule frontalière à l'heure dès qu'ils accéderont à l'indépendance.
Il s'agit d'insurgés Algériens qui se bousculent en Europe, dont Larbi Zitout un ex-employé d'ambassade, Hicham Abboud, le patron d'une chaîne-tv Algérienne émettant de l'étranger, Anis Rahmani un résident Algérien en Suisse et de Said Bensdira, le convoyeur de blagues. En tant que bannis, ils ne cessent de se porter en conseillers politiques, parlant de l'étranger en tant que fugitifs Algériens ayant en fuit l'Algérie, pas en exilés Algériens, jouissant de crédibilité ou de droit d’asile politique.
Chacun d'eux façonne sa pâte à sa manière, écrivant ses mots de paroles et compose sa mélodie, pour plaire à ses acolytes en Algérie dans l'espoir de marquer chez eux une image de connaisseur défendant les intérêts de l'Algérie par voix cassée sans efficacité concrète.
Cela étant prouve qu'ils donnaient moins d'importance à la politique mensongère extérieure, mais sur la même longueur d'ondes que le pouvoir, en ce qui concerne sa politique étrangère, et son hostilité anti-Marocaine, sans prendre de peine pour se rendre compte de l'agonie qu'ils pourraient engendrer dans ce sens à leur peuple "frère" Marocain, reconnaissant au fond la réalité qui entoure l’entêtement de leurs gouvernants.
Pour les secouer et les contraindre à mesurer leurs mots quand ils évoqueront le coté Marocain, je crois que tout Marocain ne manquerait pas certes, de leur rendre la monnaie, pas des moindres, une monnaie Marocaine solide qui abattrait toutes les devises dominant les meilleures bourses et qui mènerait à la raison et au respect de l'autre.
Je ne trouvais pas de mots convenables guérissant mon potin, sauf de revenir aux points d'échecs et de défaites entachant la gueule Algérienne. Je me suis arrêté ainsi à la guerre des sables d'octobre 1963 qui fait très mal à tout Algérien, surtout à ceux des générations post-indépendance ayant eu naissance et grandis dans les confins de la propagande Algérienne anti-Maroc.
En évoquant la «guerre des sables», c'est pour revivre un moment de soulagement, même en virtuel, revivre l'émotion de la victoire Marocaine et renouer avec l'agonie Algérienne issue de cette première confrontation avec l'ingratitude du pouvoir d'Alger dominé à l'époque par le pouvoir Naceri d'Égypte.
Pour nous Marocains, grâce aux faucons de l'armée Royale, la Guerre des sables était une valeur ajoutée à la grandeur Marocaine qui aveuglait l'expansionnisme Algero-Egyptien.
A ce propos, le dénommé "hmimid",comme on le désignait à son époque, a bâti sa réputation sur ses actions de rue, en tant qu’Ahmed Ben Bella, ex-adjudant de l'armée Française, d'abord emprisonné avec les quatre autres leaders de la révolution Algérienne, puis en Algérie, où avait réussi à se construire une solide réputation de «meneur», n'hésitant pas à se fondre dans la foule jusqu'à être porté haut par les manifestants dans plusieurs villes du pays où il était, à chaque fois, accueilli comme un héros.
Adulé par un grand nombre de soutiens qui voyaient en lui le "messie" venu de quelque part pour sauver l'Algérie indépendante avec ses bla-bla d'amour pour l'Algérie.
Pour effacer toutes traces de sa Marocanité, et son origine de Sidi Rahal l'boudali près de Marrakech, Ben Bella subit les contrecoups de sa propre stratégie qui consistait à faire, pour l'Égyptien Nacerie son cheval de bataille pour atteindre le but de Jamal Abdenacer de renverser la Monarchie Marocaine à l'instar du forfait qu'il réussi au Yémen contre le Roi Mohamed L'badr, qui le fait remplacer par coup d'État blanc qu'ayant fait naître par la force des armes une république présidée par Abdallah Sellal. Les Algériens lui en voulaient désormais de les avoir trompés.
Cyberagitation..,le cyber-agitateur à partir de Londres où il tient une boulangerie, Larbi Zitout, s'est faisant virtuellement haraki, appelant les manifestants Algériens du "hirak" à brûler les drapeaux des pays que l'ex-ministre des Affaires étrangères, Ramdane Lahmamra, a visités dans le cadre d'un périple de recherche d'appuis et d’aumône politiques qui l'a conduit à Rome, Berlin, Moscou et Pékin.
Le membre du mouvement Algérien "Rachad", qui opère dans la clandestinité est une organisation proche des thèses du FIS dissous, connue pour ses accointances avec les officines spécialisées dans la subversion dont Otpor¹, une succursale de la CIA, appelait les Algériens à profaner le drapeau de pays amis visant à enflammer les esprits pour transformer les manifestations pacifiques en émeutes et provoquer des heurts avec les forces de l'ordre en Algérie.
Les quatre comparses et leurs régents ont lamentablement échoué à récupérer l'appel des Algériens à changer le régime sans violence même avec la spécificité pacifique de leur soulèvement hebdomadaire le"hirak" de vendredi .
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Eclairage inédit sur la guerre des sables...
Le Général Driss Ben Omar El Alami, à Hassi Beïda,, photo cadre dans la page d'accueil,prise dans les environs d'une localité de la commune de Tabelbala, dans le ressort de la ville Marocaine spoliée de Colomb-Béchar, 80 Km au sud-est de la frontière Marocaine.
Une photo inédite vient d’être mise en ligne, remettant à l’esprit les hauts faits d’armes de ce brave Général, lors de l’héroïque Guerre des sables qui s’est soldée, après trois semaines de combat, par une victoire écrasante des FAR contre l’armée algérienne.
À l'occasion du 57è anniversaire de la première guerre qui éclata entre le Maroc et l’Algérie, le 8 octobre 1963, une photo immortalisant la victoire de feu Hassan II contre le maudit, l'adjudant Ben Bella, alors soutenu par les autres maudits Jamal Abdenacer et Fidel Castro de Cuba, a été mise en ligne par nos FAR-Maroc.
Cette photo, qui atteste de l’entrée victorieuse des Forces armées royales à Clomb-Béchar, montre l’ex-tout puissant Général marocain Driss Ben Omar foulant le sol de cette ville annexée à l’Algérie par l’occupant français. À la droite du haut gradé Marocain, il y avait (vraisemblablement) le colonel feu Abderrahman Doukkali, premier aumônier des Forces armées royales.
Médiation OUA..Signature des accords de cessez-le-feu à Bamako le 31 octobre 1963. De droite à gauche assis : MM. Modibo Keïta,, président du Mali, feu Hassan II, Ahmed Ben Bella, président algérien, et Haïlé Sélassié, empereur d'Ethiopie et président en exercice de l'OUA (Organisation de l'Unité Africaine) transformée vachement en Union Africaine par les présidents opportunistes Africains qui n'ont pas assisté au baptême de l'OUA, née au Maroc après unification des deux pôles Africains - Anglophone et Francophone -.
Debout sur la photo, au 2ème rang de (D à G) le prince Moulay Abdallah, Ahmed Balafrej, Ahmed Réda Guedira et Abdelaziz Boutefrika, comme l'appelait dans son vivant, feu Hassan II que Dieu ait son âme et autres non connu.
Faut-il rappeler dans ce petit passage que les accords de cessez-le-feu et l’arrêt des combats ont vivement provoqué la fureur du général Driss Ben Omar qui n'était pas sur la même longueur d'ondes Africaine de façon de mécontent, jusqu'à jeter à terre son képi, coiffe,c arcasse et broderie confondus devant ses officiers et soldats présents au front, tout en merdant l'OUA et ses mesures de réconciliation avec un adjudant ingrat et son peuple.
Il y a 57 ans, jour pour jour de cela, au mois d'octobre, le mois phénomène représentant pour nous Marocain la victoire et représente pour les Algériens le cauchemar, l'agonie et les défaites.. débutait la Guerre des Sables couronnée par la capture d'un hélicoptère Algérien avec à bord neuf officiers - 5 égyptiens dont Hosni Moubarak et 4 Algériens dont Lyamine Zeroual - et les 4 membres de l'équipage (photo) qui étaient en mission de reconnaissance et de supervision de la guerre.
l'équipage d'hélicoptère fait prisonnier³
De Tindouf à la localité d'Ich dépendant administrativement de Figuig passant par Hassi Beida et Tinjoub, les points d'eau Marocains attaqués par l'armée Algérienne dans la province d'Ouarzazat, il n’aura fallu que quelque 15 jours à l’armée Marocaine pour reconquérir les territoires illégalement occupés par l’armée algérienne. Le Forum des FAR revient sur cette déroute algérienne, images inédites à l’appui. Voir au dessous de la page.
Quelles sont les origines et les causes de la Guerre des Sables, qui a opposé frontalement les armées marocaine et algérienne durant tout le mois d’octobre 1963? Comment, et où, se sont déroulées les opérations menées par l’armée marocaine et quelle est la nature des armes utilisées? Le Forum des FAR apporte, sur sa page Facebook, un éclairage inédit sur cet épisode qui n’en finit toujours pas d’alimenter le «complexe algérien» vis-à-vis du Maroc.
Et pourtant, tous les torts de cette guerre, qui se terminera rapidement par une débâcle cinglante de l’armée algérienne, reviennent aux politiques algériens. Non seulement ces derniers s'étaient dérobés de leurs engagements bilatéraux signés avec le Maroc, mais avaient, en plus, brandi, à l’époque déjà, l’épouvantail de la «main de l’extérieur» pour détourner l’opinion locale algérienne de profondes divergences internes.
Ainsi, c’est l’Algérie qui a ouvert les hostilités alors que le Maroc ne demandait rien d’autre que l’application du protocole signé le 6 juillet 1961 à Rabat par feu Hassan II et le président du GPRA (gouvernement provisoire de la révolution algérienne) de l’époque, feu Ferhat Abbas.
En vertu du contenu de ce protocole, la partie algérienne reconnaissait que des territoires historiquement Marocains, illégalement rattachés par la France au futur Etat algérien indépendant, seront restitués au Royaume dès l’acquisition de l’indépendance par l’Algérie.
Le Forum des FAR explique ainsi que les nouveaux dirigeants algériens étaient englués dans de graves problèmes et dissensions internes, comme la revendication indépendantiste de la Kabylie ou la lutte acharnée en vue de s’accaparer des prérogatives d'autorité et de pouvoir.
Pour éviter une guerre civile qui semblait inéluctable, Ahmed Ben Bella, qui venait de prendre le pouvoir le 15 septembre 1963, suite à l’emprisonnement de Ferhat Abbas et l'écartement de son successeur feu Ben Youssef Ben Khadda, «va utiliser une diversion qu’il va nommer l’agresseur marocain ou -Lamrarka..hagrouna..hagrouna..!».
Guerre médiatique anti-marocaine à partir du 30 septembre 1963, expulsion de centaines de Marocains du territoire algérien, exactions contre les nomades et agriculteurs marocains à la frontière…la même méthode appliquée en 1975 par le maudit Boukharoub, expulsant 350.000 âmes innocentes en riposte à la marche verte, croyant qu'avec ce geste fâcheux, créera des difficultés de gestion à feu Hassan II, qui silencieusement, lui coupait l'herbe sous ses sales pieds.
Durant toute une semaine, ces actes vont servir de prélude à une agression armée de l’Algérie contre le Maroc. Celle-ci a eu lieu, quand un poste des Forces auxiliaires est attaqué au lance-flammes, faisant plusieurs morts côté Marocain, des simples Mokhazni et leur agent-comptable Français.
Malgré la retenue du Royaume dans un premier temps, les agressions algériennes se multiplient au quotidien contre les postes militaires d’Ich et de Tinjoub, avant que Sa Majesté le Roi feu Hassan II, ayant épuisé tous les recours diplomatiques, ne décrète la riposte.
Et pourtant, personne ne pouvait imaginer une guerre entre le Maroc et l’Algérie indépendante. Le Maroc qui a soutenu politiquement, financièrement et moralement les Algériens durant leur guerre d’indépendance a aussi accueilli sur son sol des milliers de réfugiés algériens.
L 17 octobre, les FAR ont reconquis l’Oasis de Hassi Beïda et déployé leur rouleau compresseur, où infanterie, blindés et aviation ont rapidement mis en déroute l’agresseur tant sur le front de Figuig et la zone de Foum-Lahcen, qu’aux postes d’Ich, d’Oum-Laachar ou Merkala près de Tindouf. Et ce, au prix de centaines de morts algériens et autres prisonniers de guerre(101), dont des officiers égyptiens.
La Guerre des Sables s’est terminée le 31 octobre 1963 avec la débâcle de l’armée algérienne et la déclaration du cessez-le-feu signée ce jour-là dans la capitale malienne, sous les auspices du négus éthiopien, l'empereur Hailé Sélassié, premier président en exercice de la fraîchement créée Organisation de l’unité africaine (OUA).
L’avance des troupes Marocaines ne s’arrêta finalement qu’après l’intervention de l’Organisation de l'Union Africaine (OUA, ancêtre de l'actuelle UA), et de la Ligue arabe, favorisant ainsi un cessez-le-feu qui est officialisé ce même mois de novembre.
Selon d'ex-officiers, feu Driss Ben Omar s'était alors juré sur son honneur de récupérer tout le territoire du Sahara oriental amputé du Maroc par l'occupant au profit de "l'Algérie française", y compris et surtout Tindouf, transformée depuis 1975, en "terre de refuge" pour le front séparatiste du polisario, créé par l'ex-colonel algérien le maudit Houari Boumediene, de son vrai nom Mohamed Boukharroub.Bonne lecture
Cordialement,Chihab25
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