Algérie.. Les OS & OAS, une histoire de deux organisations interposées en Algérie Française..!
Introduction..Avant de passer au vif de cette note exceptionnelle, je recommande aux Algériens, s'il y en a encore des Algériens de l'ère de la révolution de l'indépendance, de réapproprier leur destin contre leur État militaire qui leur coupe les souffles par assassinat d'opposants étouffant toute voix criant au voleur.
Par respect au lecteur, je ne pourrais prononcer le nom, et je ne peux dire aussi que leur président, au nom vulgaire "Hachakom", est en fait accompli, le symbole de l'État civil en Algérie!. Non, ils le savent plus que d'autres, qu'il n'est qu'un individu sans encrage légal, un pion du maudit Gaid Salah qui le mettait sur sellette, tissant avec lui dans son vivant, une amitié de vieux connards.
La fouille dans la sale galère présidentielle Algérienne en prouverait ses mauvaises tendances, surtout envers le Royaume du Maroc, avec lequel l'Algérie, avec lui ou avec autre, est condamnée à vivre en paix toute sa vie, si elle veut bien garder adéquatement le respect de voisinage tout en évitant les tracas inutiles menant au trépas, et au manque de respect et de fraternité.
Faut-il rappeler à ces Algériens que l'envie de leur pouvoir de se ruer et concurrencer la grandeur du Maroc se construit sur des ruines de paradigmes dépassés de la guerre froide et sur la volonté hostile de Boukharouba que la malédiction divine l'accompagnerait toujours dans sa tombe.
Pourquoi dites-vous, c'est pour avoir décrété à ses successeurs au pouvoir la politique de s'accouder aux comptoirs de mensonge dénaturant le Maroc et de ne plus enterrer la hache de guerre contre lui.
Sachant que ce pouvoir mafieux d'Alger était d'habitude prompt à faire, avec dédain, ses choux gras dans tout exercice Marocain,en le dénaturant pour la consommation locale et pour apaiser l'effet des échecs et de ses multiples défaites face à un Maroc fort.
Un Maroc faisant grain de sel à la gorge des gouvernants Algériens pour sa stabilité en politique sous la conduite éclairée de Rois talentueux d'une Dynastie Alaouite incandescente, enracinée dans l'histoire, pas comme une Algérie qui tombait en sales goutes du plafond Français.
l'Algérie est un groupement de diverses races, créé en toutes pièces par la France durant ses 132 ans de présence, de créativité et de construction dans un vide obscure, hérité du passage infructueux des Ottmans et d'une époque dite "NUMIDIA"...le temps des apaches au quel les Algériens s'en vantent d'appartenir et se réjouissent même de considérer en phase d'honneur et d'histoire ancienne.
Et ce n'était pas du hasard, étant que la confirmation est faite en clair par un faucon Français, pas des moindres, c'était le général Charles De Gaulle qui le disait, haut et fort, méritant qu'en nous lui souhaitons à cet effet la bénédiction de Dieu.(..) là où repose sa tombe au cimetière de Colombey-les-Deux-Eglises en France.(الله يرحمه).
Je dis bien " Allah yrahmou" parce qu'il n'a pas laissé au Maroc 'le Marocain' à volonté terroriste, comme il laissait a la France les potentialités d'enfanter des terroristes franco-algériens faisant souvent l'objet d'avis de recherche au degré rouge.
Dernier en date, le BCIJ vient tout juste d'arrêter au Maroc un énième Franco-algérien appartenant à une bande criminelle de trafic de drogues,objet d'avis de recherche international.
Pour êtres sur la même longueur d'ondes avec le Maroc, les gouvernants Algériens devront faire beaucoup d'efforts pour y arriver à évoluer profondément leur mentalité malade et y chercher s'ils pourraient atteindre, au moins, le 1/10° du progrès Marocain.
L'un d'eux, l'opposant Hicham abboud disait tout récemment sur les réseaux sociaux que les Algériens, devront faire arrêt de réflexion et regarder au rétroviseur la différence progressive entre leur pays et la Tunisie et le Maroc.
Il s'est aperçu en fait que leur voisin de l'est dépasse l'Algérie de 100 ans de progrès, tandis que le Maroc à l'ouest dépasse l'Algérie de 200 ans d'évolution constructive.
Les deux peuples à l'est et à l'ouest marchent à leur guise, aux cadences normales et le peuple Algérien s'accroche aux futilités des choses, patinant dans le vide de slogans trépassés.
C'est la réalité qui percerait certes les rayons du tamis-Tebboune, Hachakoum, le menteur de la mauvaise Algérie. Ce hachakoum et son général pédophile et leur racaille militaire, doivent se rappeler que les faucons de l'armée Royale sont toujours en position d'obtempérer aux ordres Royales et casser les gueules comme à l'accoutumée à n'importe quelle improvisation-dz et qu'ils sont en mesure de faire feu à tout bois Algérien et mettre braises aux mains de Chengriha, le prêtre de la pédophilie militaire Algérienne.
Le général De Gaulle
Une introduction toute particulière, comme les précédentes, d'habitude en duplex. Cette fois-ci la rédaction du blog change de tangente pour aller dénicher dans la passé d'une Algérie Française et traiter un sujet ne faisant pas d'actualité en Algérie et ne concernant nullement pas le Maroc.
Il s'agirait de deux organisations interposées ayant fait que du bruit sur les traces d'une France coloniale qui dominait alors une grande partie soumise d'Afrique..
Je ne suis pas historien de carrière pour mettre les choses dans leur contexte réel, ne souhaitant pas d'indus avantages de quiconque. Mais je vais m'en distancier de toute ambiguïté, dépoussiérant, en quelque sorte, ce qui pourrait s'y coller à ce que nous entendions des sigles Os et Oas.
A la sortie d'école, c'était au cours des années soixante, nous constations à la léger que, nos aines s'intégraient en politique et parlaient vaguement de la guerre d'Algérie, en petits cercles de bavardage.
Ma génération et moi, nous avions vu et entendu ces aînés submergés dans des culottes ne convenant pas à leur capacité, politique et intellectuelle, qui apparemment était faible, voire très faible même, par rapport aux grands politiques de la métropole Française. Une métropole aussi forte qui gérait, à distance avec main de fer, ses propriétés privées et ses contrées d'outre-mer.
OS..L'Organisation spéciale, fondée officiellement en Algérie Française à la fin des années quarante. Elle était le bras armé clandestin de ce qu'on appelait à l'époque, parti de Messali Lhaj. L'OS qui n'avait pas les critères d'un vrais parti politique, fut démantelée par la police française au premier trimestre des années cinquante, contrainte de ce fait de passer à la clandestinité.
Malgré l'interdiction, l'OS se contemplait prendre le souffle et se remettre sur pieds avec main mise du rabbin Messali lhaj qu'on voit là-dessous. C'était le premier noyau d'opposition qui se formait par des Algériens bannis، dont la majorité était composée d'opportunistes exclus des avantages privilégies qu'offrait - "Lallahom Franca" - à ses fidèles et serviteurs.
Mise au point..Selon les recherches que j'entamais durant des mois dans les archives françaises déclassées, il s'est avéré que le nom de l'organisation avait été proposé par les caïds du comité central de cette mouvance qui me semble-t-il, devait porter le nom d'une confrérie, pas une organisation politique et ce pour les faux premiers pas de ses adeptes qui n'avaient pas de carte de route précise.
On choisissait le rabbinique élu Messali lhaj comme président qui devait, nécessité oblige, concurrencer sur le terrain l'UDMA de Farhat Abbas (Union Démocratique du Manifeste Algérien) qui prônait sincèrement à contribuer à l'histoire du nationalisme Algérien, à l'instar du manifeste Marocain d'indépendance de 11 janvier, en dépit de toutes les difficultés mises sur leur chemin par les hors-la-loi, voire par les forts engagés pour la France, aussi bien au Maroc qu'en Algérie Française, qui s'acharnaient contre toute attitude anti-coloniale.
Faut-il rappeler que Le Manifeste du 11 janvier 1944 du Maroc est un acte grandement symbolique au Maroc, qui consolide et formalise les prises de position nationalistes issues du Manifeste contre le Dahir berbère d'août 1930. Le 11 janvier est officiellement proclamé jour férié au Maroc. Tandis que le manifeste algérien est parti en fumée.
En 1949 l'organisation survint sa première crise dite « berbériste », lorsque elle se divisa sur la définition identitaire à donner à l'Algérie. Des adeptes proches du rabbin Messali furent chargés de chercher l'issue de sortie et prendre la situation en main pour éviter l'éclatement de la confrérie Messaliste.
Rappelez-vous la rédaction du blog a souvent soulevé le côté de l'identité Algérienne. Les Algériens n'en avaient pas d'identité connue authentiquement au sein de la société. Certains Algériens l'ont eux même confirmée, en particulier, l'opposant Kabyle Noureddine Boukrouh, l'ex-ministre Algérien le disait, haut et fort, par vidéo ici même en blog.(à revoir le cas échéant).
Les adeptes Messalistes chargés de mission ont même pris unilatéralement l'initiative d'obliger les gens à sympathiser et à adhérer à l'organisation au point de torturer moralement des particuliers sous prétexte porter atteinte au nationalisme Algérien qui devait progresser et avancer avec l'intégration et la participation de tout Algérien Français, malgré la persistance de la cocarde tricolore, bleu-blanc-rouge.
Une série de procès, à hui clos, ont eu lieu à cet effet, en 1951-1952 contre l'Organisation Spéciale, durant laquelle environ 80 plaintes pour torture et arrestations arbitraires sont déposées par les plaignants, contre les Messalistes, toutes classées sans suite.
Un journaliste Français écrivait alors un article dans France-Observateur, s'interrogeant «Y a-t-il une Gestapo algérienne?», tandis qu'un autre Français, cité comme témoin par la défense, écrivait lui aussi une lettre au tribunal requérant la «clémence» de la justice au nom des soupçons de torture.
Après la répression d'Orléans-ville, connue à l'époque par "Lassnam" en, où les forces de l'ordre tirèrent sur la foule, réunie pour un discours de Messali Lhaj, faisant deux morts et des centaines de blessés, Messali fut kidnappé et déporté en France et placé en résidence forcée.
Le MTLD (Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques) présidé par feu Hocine Ait Ahmed, alias Mejid manifesta alors, en France, contre cette répression et la déportation de Messali. La police réagit violemment dans certaines villes en France, faisant des morts et des blessés en majorité des émigrés d'Algérie.
Le , alors que travailleurs algériens défilaient à Paris au coté de la CGT (Confédération générale du travail), la police attaque le cortège de gaz lacrymogène : sept manifestants sont tués et quarante-huit autres blessés par balles réelles.
Après un Congrès de l'OS en 1953, un conflit opposa Messali Lhaj à la Direction de son Parti. En dépit des efforts des «neutralistes » dont des sages de la société Algérienne qui suivait la situation , appelant à la retenue par un «Appel à la Raison», la scission entre centralistes et Messalistes devint définitive en .
C'est alors, des centralistes et des neutralistes rejoignirent le Front de libération Algérienne peu après le déclenchement de la guerre d'Algérie le . Abandonné, Messali Lhaj forma son propre parti, le MNA (Mouvement national algérien) contre lequel le FLN mena une lutte meurtrière. Après quelques années, le MNA disparut complètement et Messali finit sa vie humilié en France.
En interval..Le détournement de «l’avion des cinq leaders Algériens».Lakhdar Ben Tobbal,un mojahid Algérien décédé le 23 août 2010, a affirmé que la seule contribution de Ben Bella, est «d’avoir annoncé le début de l’insurrection aux autorités égyptiennes» … au lendemain du 1er Novembre.
Pour un autre Algérien, anthropologue et historien «l’autoproclamé zaïm de la Révolution algérienne n’a finalement jamais joué de rôle déterminant, ni dans son déclenchement, ni dans son déroulement, ni dans sa victoire finale».
La mise à l’écart de Ben Bella coïncide étrangement avec le désarroi des services de renseignement français pris de vitesse par les rebelles algériens qui aboutira à l’apothéose de ce qu'on appelle le "Congrès de le Soumam" réuni le 20 août 1956 au cœur de la Kabylie, qui consacre la naissance du Comité de coordination et d’exécution central de la direction du FLN, composé de cinq membres (Larbi Ben M’hidi, Abane Ramdane, Benyoucef Ben khedda, Krim Belkacem, Saad Dahlab).
Ben Bella vivra très mal son isolement et en garderait une rancune et une haine tenace à Abane Ramdane au point de déclarer à la chaîne Qatarie El jazeira, en 2002, que «le Congrès de la Soummam, célébré à grand bruit, a en vérité, fait dévier la Révolution des objectifs tracés le 1er novembre». Tout en accusant Abane Ramdane de «trahison».
Les services français ont alors imaginé une opération de grande envergure pour remettre en selle Ben Bella. Le 22 octobre 1956, l’avion Marocain d’Air Atlas conduisant Ben Bella, Kheider, Boudiaf et Aït Ahmed de Rabat à Tunis est détourné en plein air Méditerranéenne et contraint de se poser à Alger capitale Française. La presse titrera à la une sur le détournement de «l’avion de Ben Bella» était le premier acte de piraterie de l’histoire de l’aviation civile, le 22 octobre 1956.
Qui a averti les services français du plan de vol? L’histoire le dira peut-être un jour. Lorsqu’un sale journaliste égyptien a évoqué en 2008 la complicité Marocaine dans le détournement de l’avion, Hocine Ait Ahmed a vivement démenti, alors que Ben Bella, connaissant la réalité des choses n’avait toujours pas réagi, avalant les somnifères calmants de ses maîtres Égyptiens.
La photo prise à leur descente d’avion est très expressive. Boudiaf, Aït-Ahmed, Kheider et Lachraf s’agitaient et regardaient dans tous les sens, ne comprenant pas encore ce qui leur arrive. Alors que Ben Bella reste à l’écart droit, immobile, au garde-à-vous fixant l’objectif du photographe comme s’il savait exactement ce qui se passait.
Une veuve d'un soi-disant mojahid Algérien évoquait, dans des circonstances propres à elle, cette anecdote étonnante qui lui a été racontée par Boudiaf lui-même. «Sur le bitume de l’aéroport, Mohamed Boudiaf tenait un porte-documents entre les mains. Un gendarme s’est avancé vers lui, le lui a pris pour le remettre à Ahmed Ben Bella. À ce moment-là, un flash a crépité pour immortaliser l’instant…Pour faire croire que c’est Ben Bella le maître dirigeant».
Ben Bella et ses compagnons vont passer six années de détention en France. Le prestige personnel du prisonnier Ben Bella ne cesse alors de croître. En 1958, il est désigné comme vice-président du premier Gouvernement Provisoire de la République algérienne, le (GPRA) présidé successivement par Ferhat Abbas et Benyoucef Ben Khadda.
A propos, ce Ahmed Ben Bella Ben M'Barek est un Marocain, originaire des environs de Sidi Rahal El Boudali dans la région de Marrakech. Il était le doyen des Marocains qui dirigeaient l'Algérie.C'est lui qui l'affirmait lors de son dernier passage au Maroc. Je me rappelle pas bien précisément de l'année, mais y a pas assez longtemps.
Son nom est martelé sans cesse en toute occasion pour conditionner l’opinion publique. Le général de Gaulle, lors d’une fameuse conférence de presse tenue le 11-04-1961, évoque le «chef du FLN» alors qu’aucune question ne lui avait été posée à son sujet :
«Quelqu’un m’avait posé une question au sujet de Ben Bella, je crois, n’est-il pas vrai ?…», déclenchant un éclat de rire général des journalistes dans la salle… qui ont apprécié la subtilité du général, poursuivant : «je ne cache pas que beaucoup de gens m’en parlent (de Ben Bella)… j’en ai parlé avec le président Bourguiba…j’ai fait des communications au sujet de qui nous parlons au Roi du Maroc (Mohamed V)… et aussi à son fils (Hassan II)… à d’autres encore qui m’en ont entretenu…».
Le général explique qu’une fois le cessez le feu obtenu «Ben Bella et ses compagnons de rébellion» seront renvoyés à Rabat.La presse de l'époque défigurait la déontologie en s'amusant de dire "lettre envoyée à l'expéditeur".
Le général De Gaulle ne prononcera jamais un autre nom que celui de Ben Bella. Et il en parlait avec cette condescendance et cette suffisance se rappelant qu'un jour il a décoré quelqu'un qui s'appelait Ahmed Ben Bella, sûrement c'était celui-là, le sergent-chef indigène à Monte Cassino en 1944.
Dans cette conférence mémorable, De Gaulle résume les grandes lignes de sa stratégie d’indépendance pour l’Algérie tout en veillant à la sauvegarde des intérêts français, notamment concernant une souveraineté partagée sur le Sahara productif de gaz et de pétrole, servant, entre autre, aux essais nucléaires.
C'est pour cela qu'on voit aujourd'hui la France s'attache pertinemment à la chose Algérienne par l’appui de tel ou tel président. Les algériens de leur coté, les gouvernants, je veux dire pleurent sur les ruines de l'Algérie Française et s'activent, vainement, pour se débarrasser de la tutelle et de l'ingérence Française, même si indirecte, aux affaires de l'Algérie.
OAS..C'est une organisation armée sécrète, politico-militaire clandestine française proche de l'extrême droite créée en pour la défense de la présence française en Algérie par tous les moyens, y compris le terrorisme à grande échelle.
Un an après l'échec de ce qu'on appelait "la semaine des barricades", alors que le gouvernement français souhaitait manifestement se désengager en Algérie, elle est créée à Madrid en Espagne de Franco, lors d'une rencontre entre deux activistes Français importants, (Jean-Jacques Susini et Pierre Lagaillarde), ralliant par la suite des militaires Français de haut rang, notamment le général Raoul Salan et son lieutenant Jean Marie le Pen. Le président fondateur du parti Français actuel le ("Front National ") dirigé par sa fille Marine le Pen, la plus raciste des femmes de France.
Le sigle «OAS» fait volontairement référence à l’Armée secrète (..) de la Résistance des Français de la métropole et des colons d'Algérie Française. Il apparaît sur les murs d'Alger le , et se répandait ensuite en Algérie et en métropole, lié à divers slogans : « L'Algérie est française et le restera», «OAS vaincra», «l'OAS frappe où elle veut et quand elle veut», etc.
Sur le plan pratique, il ne s'agissait pas d'une organisation centralisée unifiée ; d'une façon très générale, elle était divisée en trois branches plus ou moins indépendantes, parfois rivales : l'«OAS Madrid», l'«OAS Alger» et l'«OAS Métro».