L'Algérie à nouveau présidée par un handicape..Un président cloué au siège roulant jusqu'à preuve de contraire..
L’énième connard...Ce n’est certainement pas ce connard qui remettra l’Algérie debout. Pour la simple raison qu’à l’instar de son prédécesseur Bouteflika, il semble lui aussi avoir perdu la faculté de marcher sur ses deux pattes, après une hospitalisation de confort en Deutschland.
Tout comme lors de sa première sortie surprise sur Twitter, le 13 décembre dernier, alors qu’il venait juste de commencer sa convalescence en Allemagne, son retour à Alger l’a montré incapable de se tenir debout et de marcher. En tout cas, sa descente d’avion à l’aéroport militaire de Boufarik, qui aurait renseigné sur son état réel, a été complètement zappée, camouflée pour que les Algériens, les dingues surtout y croient aveuglement au mirage Algérien.
Ce n’est qu’après avoir été installé dans le salon d’honneur de l’aéroport par les hommes du général qui pisse tout le temps sur son pantalon, chef d’état-major de l’armée Algérienne, que des personnalités triées sur le volet l’ont rejoint pour les besoins de la photo de famille officielle.
D'après un des journalistes qui étaient présents qui racontait cette histoire à l'un des opposant Algériens à l'étranger (..), il s’agit, en plus du général (Chengriha bien sûr), des présidents des écuries dites le parlement, du président du Conseil constitutionnel, du Premier ministre et du chef de cabinet de la présidence, alors que Tebboune était pris aux bras de ses corbeaux gardes du corps depuis les premiers escaliers de l'échelle de descente d'avion, puis posé sur sa chaise roulante, saluant le monde qui l'attendait à l'aéroport depuis l'aube ou presque.
Ce n'est pas moi qui était présent pour décrire tout ça.. c'est les Algériens eux même qui le disent. Le dépêché du journal électronique Algérien "Al Manchar" qui le rapportait pour ses lecteurs. Selon plusieurs commentateurs algériens sur les réseaux sociaux, c’était la caméra de l’armée qui fut actionnée, et non de la télévision publique algérienne, qui l'a filmé en train de parler avec le groupe précité avant qu’un montage bien truqué, et soumis au préalable à la validation du clan présidentiel, ne soit remis aux médias officiels de déformation.
Le jour suivant, le 30 décembre, c’est quasiment le même scénario qui se répète avec un Tebboune toujours assis sur un fauteuil-président, mais cette fois-ci derrière un bureau, lors d’un tête-à-tête avec le général Saïd Chengriha, jetant de la cendre aux yeux des Algériens.
Le jour d’après, après la signature de la fameuse loi de finances 2021 quelques heures seulement avant un maximum légalement impartie, Tebboune ne s’est pas levé, ni pour serrer la main aux huit personnalités présentes à cette cérémonie solennelle et très attendue, ni pour quitter les lieux tant que la caméra était allumée.
En plus de ne s’être jamais départi de sa position assise sur un siège, le président algérien a été flanqué, dans toutes ses apparitions, du général Chengriha qui l'accompagnait comme son ombre et ce, même lors de la cérémonie de signature de la loi des finances, où Chengriha n’avait aucune raison d’être présent. En effet, il est de coutume en Algérie que le président de la République signe la loi de finances en présence de tous les membres du gouvernement et pas des militaires.
L’année dernière, c’est Abdelkader Bensalah (le Marocain d'Ahfir qui regagnait les Marocains gouvernant l'Algérie peu après l'indépendance de l'Algérie,qui a signé ce papier chiffon, en présence de son gouvernement provisoire le 11 décembre 2019, soit un jour avant le vote pour la sale présidentielle qui a désigné Tebboune comme vainqueur.
L’ex-chef d’état-major, le maudit général inhumé Gaïd Ahmed Salah, qui décédera quelques jours plus tard, était présent à cette signature en sa qualité de vice-ministre de défense, donc membre du gouvernement Algérien, comme il le faisait sous Bouteflika. Mais Chengriha n’étant ni ministre ni vice-ministre de la Défense a sciemment commis cette entorse à la coutume. A quelle fin? Montrer l’omniprésence de l’armée? Contrôler lui-même que n'apparaisse aucune image d’un fauteuil roulant risquant de réveiller les démons des années maigres Bouteflika?
Cette grave entorse commise par ce général pisseur, l'un des déserteurs d'Amgala, le chef actuel de l’armée Algérienne, qui s’est substitué à un gouvernement entier pour brosser au président un «bilan de la situation désastreuse interne de l’Algérie», et écartant Bougadoum, ministre des Affaires mensongères étrangères pour parler «des pays voisins et du Maroc en particulier» ce qui en dit long sur la réalité du pouvoir en Algérie.
Signe qui ne trompe personne. Si Tebboune a bien signé, le 30 décembre, le décret promulguant la nouvelle Constitution amendée par le général Gaid Salah dans son vivant en décembre dernier pour ne pas dire par ce qu'on appelé par "humour" les doigts bleus (les dingues Algériens), il n’a pas signé la loi électorale comme il s’est engagé à le faire lors de sa sortie du 13 décembre dernier.
Les prochaines mascarades d'élections législatives et locales prévues en Algérie seront donc renvoyées aux calendes grecques, puisque l’armée ne compte pas voir se rééditer le fiasco du 1er novembre dernier, où le peuple, le vrais peuple Algérien a refusé de voter sous un régime illégitime.
En tout cas, la symbolique d’un président incapable de se tenir debout est terrible pour un peuple assoiffé de beaucoup de démocratie et de liberté autant pour une armée dont il est le chef suprême que pour l'Algérie qui n’arrive pas à se redresser du lourd legs de l’ère Bouteflika.
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Atteinte à la gratitude..C'est l'état actuel de l'Algérie, une Algérie veuve selon sa situation et son état civil, étant que ses hommes de raison et de responsabilité se sont malheureusement portés disparus, soit par mort naturelle, soit liquidés par assassinat commandité par Mohamed Boukharouba. alias Houari Boumédienne en tant que putschiste et voleur de pouvoir. Allusion à faire solennellement au genre des sages de l'Algérie, tels que: Mohamed Kheider, Ferhat Abbas, Ben Youssef Benkhada, Hocine Ait Ahmed, Krim Belkacem, et les colonels Tahar Zbiri et les Ait Belhaj père et fils.
Une veuve à part entière; qui se fut poussée par préméditation par ses guignols, malgré le vide de ses poches en politique étrangère honnête en tant qu'État crédible, poussée à se faire ériger en une "fosse régionale", dégringolade, embourbée dans les boues de corruption, pas une force proprement dite au sens propre du terme, face à une vraie «Force régionale Marocaine».
Je dis bien haut et fort, une vraie force Marocaine régionale sans équivoque, très puissante même, par l’honnêteté de sa Monarchie, la crédibilité de ses hommes et par la valeur ajoutée de son armée Royale qui connait bien comment gifler et poser l'empreinte de supériorité, là où il faut. D'autant plus la participation de ses contingents au maintien de paix à travers le monde depuis le Congo 1960.
Les étapes de ses victoires en témoignent et ne peuvent, en aucun cas, êtres cachées par les tamis adverses de l'Algérie dans plusieurs batailles déjà connues par les ex-caporaux Français, qui sont devenus à l’arrache, des généraux galonnés de quatre étoiles dans une Algérie se trouvant à ciel ouvert aux bandits (les dirigeants arrivistes surtout, ceux qui n'ont connu le terme de la guerre de la révolution Algérienne qu'aux estrades d'écoles.
En fait, le Maroc a réussi de se tenir debout en dépit de la sale odeur du pétrodollar Algérien, de tenir le souffle devant une hostilité Algérienne vieille de cinquante ans déjà. Tenir le coup de charges devant un voisin fou, enragé, tenant dans son bec une hache rouillée depuis son existence à nos côtés .. tenir le coup de manière calme et retenue, malgré les charges financières qui en découlaient par force défensive.
Ça n'était pas une blague ou une invention gratuite, mais une réalité amère d'une ingratitude jamais vécue dans les histoires de voisinage, entre individus ou entre pays. Cela dit, ce que je crois, le président Algérien n'est pas revenu à son pays après guérison de son Covid, mais il aurait été contraint de couper son séjours en Allemagne et venir même en brancard, pour signer et faire marcher ce qui doit pratiquement marcher dans les sillages de l'Etat et qu'une telle convalescence perturbée ne serait simplement qu'un alibi de camouflage pour enrouler le peuple Algérien.(la photo dessous parle d'elle même).
Maintenance d'hostilité..Il n'y a que de la haine au menu de tout venant à la présidence d'Alger. Le souhait de Tebboune se réalise, l'Algérie bat le Maroc en Handball et c'est la fin du monde de conneries Algériennes. L'appel de Tebboune à vaincre le Maroc dans une simple compétition sportive entre dans son agenda de propagande faisant preuve d'enrouler ses acolytes dingues des "doigts bleus", leur démontrant qu'il est en bonne et due forme, jouissant de sa pleine capacité physique et morale et que forcément les images contraires sont fabriquées pas les ennemis de l'Algérie.
Je ne sais pas pourquoi je me suis réjoui de la défaite de l'équipe nationale Marocaine de handball lors de son entretien en Égypte avec son homologue algérien, par une très petite différence d'un point; Compte tenu de l'impact positif de ce résultat sur la santé d'un patient qui poursuit son hospitalisation en Allemagne, il peut l'aider à remonter le moral, surtout lorsqu'il est sur le point de subir une intervention chirurgicale dans tout son système physique handicap.
Par souci de sympathie humaine et de compassion pour les malades (que Dieu les bénisse), les Algériens l'accepteront comme premier président de la veuve Algérie à féliciter son équipe nationale lors de sa première interview bien montée et à être fiers de cet exploit, comme indiqué dans son câble Twitter.
À quel point ce résultat sportif surprise s'est transformé en événement historique national en une Algérie perdue. Tous les médias Algériens ou presque l'ont célébré et l'ont inclus aux principales nouvelles. Les analystes et professeurs y ont été conviés, voire convoqués à répéter une seule phrase et ses branches linguistiques.(l'Algérie a battu le Maroc).
Le Maroc s'est effondré devant l'Algérie selon la thèse ennemie...L'Algérie renverse la donne sur le Maroc...Avec un focus, voire avec un arrêt sur l'image du sélectionneur national Algérien, se vantant de ce résultat. Ce sont de gros titres pour une petite interview sportive insistant sur un événement très ordinaire que le président algérien considérait comme réalisation historique sans précédent...
Important..Et je me suis effrayé devant le fait accompli de ce sponsor de trafic de drogue et dire aussi de ce narcotrafiquant de cocaïne. Sur ce point l’arrêt n'est pas facultatif, il est obligatoire et pour cause l'implication d'une manière ou d'une autre du fils de Tebboune dans les 701 kg d'Oran. le scandale qui ébranlait l''Etat Algérie au mois de mai 2018.
Des magistrats suspendus, deux procureurs placés sous mandat de dépôt, des enfants de responsables politiques impliqués...Pour rappel,la saisie de 701 kilogrammes de cocaïne le 29 mai 2018 dans le port d’Oran n’en finit pas de secouer davantage les institutions algériennes.
Dernière en date l'injustice Algérienne rendue au profit de Tebboune, sur pression de l'entourage présidentiel, elle vient d'acquitter son fils Khaled qui a bénéficié de la relaxe après son implication directe dans l'affaire de cocaïne et aussi dans le cadre d'autres affaires immobilières de Kamel Chikhi, dit «El Bouchi». Une partie de l’opinion publique Algérienne dénonce la clémence dont a bénéficié le fils du chef de l’État.
Pendant les trois mois écoulés, Tebboune, bien qu'absent de l'accélération des événements dans son pays, n'a entendu parler que des victoires successives du Maroc depuis le jour où le Maroc a infligé des dommages aux mercenaires du polisario sur la route passant par les Guerguerat pour sauver des vies humaines( des chauffeurs de camions à grandes lignes) coincées entre le nord et le sud.
Et le reste est en marche...Au milieu de ces véritables défaites, le système militaire algérien, fait comprendre à l'observateur que le degré et la force de l'impact positif d'un résultat normal d'un sport ordinaire sur une psyché collective vaincue, c'est un résultat qui ne soulagera pas les citoyens Algériens.
Tant que ces pauvres Algériens formant des lignes de honte dès l'aube de chaque lever du jour, des files en lignes droites en attente, voire longue attente pour seulement se posséder d'un seul sachet de lait ou d'un sac de semoule...et les traits d'un système terriblement pourri de l'intérieur ne disparaîtront pas au point que la plus haute pyramide du pouvoir se négocie sur le marché noir et en milliards de dollars est le résultat qui ne changera pas la réalité d'un pays pétrolier en faillite..
C'est l'effondrement réel et douloureux du peuple algérien. Ce qui est remarquable dans cet épisode, c'est que l'Algérie n'a plus aujourd'hui de poids d'État crédible respectant ses engagements. Qui aurait cru que l'Algérie, qui chantait il y a quelques années la prospérité financière Il se transformera, avec sa capacité de déformation de réalités et d'orgueil politique trop exagéré, en un État au bord de la faillite. Oui, la faillite économique et politique, avec laquelle un résultat mathématique normal ne fonctionnera pas, ni ne changera de la crise structurelle du système militaire là-bas ...
Malgré les tambours de réalisations imaginaires, cela n'a pas empêché Bougadoum, le jongleur Algérien aux affaires mensongères étrangères à aller chercher secours en urgence chez ce qui lui reste de pays faciles à manipuler en Afrique, en Asie et en Amérique Latine.
J'en prends en exemple l'Afrique du sud en particulier à qui il aurait remis 300 millions de dollars cash, en offrande spéciale signée Chengriha pour éviter sa déroute et perturber son ouverture d'État vers le Maroc et aussi pour qu'elle se maintiendrait en position stable dans la thèse Algérienne concernant le théâtre de marchandage de Tindouf et ce durant le sommet Africain (35°) prévu le 12 février prochain., sans parler pour autant de la république de Kenya qui a refusé l'offre et rejeté le jeu Algérien portant préjudice au Maroc. Dans ce sens, le Royaume poursuit la retenue en sourdine.
Des cow-boy escrocs...Je reviens d'autre part à la saleté du pétrodollar Algérien. Force est de constater que l’Algérie, pour une diplomatique en berne, la sous-traitance rubis sur ongle. Aussi, fait elle appel au mercenariat diplomatique pour tenter de sauver ses quelques derniers meubles. N’ayant rien vu venir quant à la reconnaissance par les États-Unis de la souveraineté du Maroc sur le Sahara, avant et même aujourd’hui je crois, elle louait et loue encore ses mauvais partants des services de lobbyistes actifs américains.
Ces derniers ont pour noms, David Keene ex boss de la NRA (National rifle association), le sénateur républicain James Inhofe, président de la Commission sénatoriale des forces armées ou encore John Bolton, l’ancien conseiller à la sécurité à la Maison Blanche viré sans ménagement aucun, par … Donald Trump, ainsi que les anciens envoyés spéciaux du SG de l’ONU, James Baker et Christopher Ross qui s’étaient disqualifiés en adoptant une attitude version algérienne et une autre anti-Marocaine.
James Inhofe, le porte parole de l'Algérie au Congres Américain vient de perdre son siège de sénateur, donc la subvention qui lui parvenait pour chauffer sa Cabesa du fond public Algérien contre l’intégrité territoriale Marocaine s'évapore au ciel du Sahara Marocain.
James Baker écrivait un article d'opinion dans "Le Washington Post" pour dire à Alger qu'il est toujours là.. «les États-Unis ont abandonné de manière imprudente leurs principes pour quelque chose qui ne changera rien à la position de la communauté internationale en ce qui concerne la résolution du conflit du Sahara occidental ». Il annonçait aussi que cela était «le cadeau d’adieu de Trump au Maroc ». Une page "Baker"que l’on paye au pétrodollar Algérien pour dire son analyse d’un fait ou d'une actualité qui va dans le sens d'honorer les gaffes du régime d'Alger.
Baker, pour quelques dollars de plus rejoignait là, comme dans un western, de son discours, Christopher Ross ou James Inhofe dans une vision mercantile que la bande porte sur le Sahara Marocain. Baker concluant «La prochaine administration Biden ferait bien d’annuler cette action téméraire et cynique et d'ajouter par moquerie ... Que cela ne compromettra pas les accords USA-MA passés depuis Abraham Lincoln et le Sultan Sidi Mohamed ben Abdallah, et la reconnaissance des États Unis d'Amérique par le Maroc en 1777».fin de citation.
J'ajouterais dans ce sens que la logique impose à l'histoire de ne pas faire marche arrière, surtout quand il s'agit d'un État d'institutions comme les USA. Donc, le coup est parti, la continuité de l'administration est inconvertible pour tous et ne peut être dévouée, soit par Biden ou par autre cow-boy devant les lois d'Abraham Lincoln. À cet effet aucun revirement ne sera fait par l'administration Biden à la reconnaissance de la Marocanite du Sahara et l'Algérie demereura coincée davantage dans ses lots de tracasseries face au Maroc en particulier dans le sillage de la pseudo menace étrangère qu'elle a toujours inventé pour sencibiliser son opinion publique à la peur.
C'est une reconnaissance à portée universelle qui mettra l'Algérie en porte à faux cherchant les moindres termes pour se sauver la face embourbée dans les sales boues d'orgueil. La question épineuse qui traverse l'esprit malade Algérien, c'est pourquoi le Maroc atteint-il cette grandeur plus que l'Algérie ?
C’est tout dire de la confusion dans laquelle le bonhomme, baigne, écrasant ses dents. «La campagne offensive de cette bande à l’encontre du Maroc est menée par cinq personnes, et le dernier en date est James Baker. Ils ont relayé d’un même discours leurs critiques à propos de la reconnaissance des États-Unis d’Amérique de la Marocanité du Sahara et ont fait entrer dans leur danse Human Rights Watch».
Human Rights Watch qui serait, a mon sens arrosée, d'une manière ou d'une autre, du pétrodollar Algérien et qui sur la question des droit de l'homme, surtout au Sahara Marocain s’en donnait à cœur-joie dès qu’il s’agit du Royaume s’est jointe, pour un petit tour, à la bande.
Tout ce beau monde, bosse pour un bureau de lobbying américain qui est en collaboration étroite avec le régime algérien. « Ce dernier casque pour cela au moyen de chèques bien consistants ( plusieurs millions de dollars ). Tout cela prouve que quand la décision de Donald Trump a été annoncée, ils ont été pris au dépourvu. Ce n’est que 48 heures plus tard qu’ils ont commencé à réagir de manière paniquée». Et d’étayer tout ça: «La première réaction est venue de Bolton dont on connait les raisons, une haine historique envers le Royaume et sa répugnance allant jusqu’à l’aversion avouée et reconnue envers Donald Trump ».
Donc ‘’sans commentaire’’ puis repassant à «James Baker» connu pour être le conseiller de la Sonatrach, son bureau, au demeurant, fait la promotion de l’Algérie aux Etats-Unis, il soutient: « Si l’on lit à la lettre une de ses déclarations où il dit +Cette décision imprudente déguisée en diplomatie menace de compliquer nos relations avec l’Algérie, partenaire stratégique important+, on se rend compte qu’il parle de lui quand il avance «les relations avec l’Algérie un partenaire stratégique » (sic).
Les autorités Marocaines ont dénoncé "fermement" une tentative désespérée de Human Rights Watch visant à porter atteinte aux succès réalisés par le Maroc, sur le terrain et sur le plan diplomatique, pour défendre son intégrité territoriale, ainsi que l'exploitation "flagrante" par l'ONG du dossier des droits de l'Homme au Maroc.
Le Maroc, réfute catégoriquement l'adoption par HRW de la thèse des ennemis du Maroc en ce qui concerne l'intervention pacifique et légitime pour rouvrir la route reliant entre le Maroc et la Mauritanie, dans la zone d'El Guerguerat, après que cette intervention n'a eu lieu qu'après l’épuisement de toutes les voies, y compris les appels récurrents au Secrétaire général de l'ONU Mr.Antonio Guterres et les résolutions du Conseil de sécurité soulignant la nécessité de ne pas porter atteinte au droit international et à l'ordre en général.
Pour sortir de sa profonde léthargie et de son isolement, la diplomatie algérienne fait semblant de bouger pour se soigner. Sabri Boukadoum s'envole pour l'Afrique du Sud, un allié dont le poids n’a pourtant jamais pu peser dans les dossiers prioritaires pour l’Algérie dont celui du Sahara Marocain.
Ensuite, c’est au moment même où son président entame une nouvelle absence du pays, pour soins en Allemagne, qu'il fait semblant de maîtriser ses affaires avec seul objectif au sens figuré, faire coller les morceaux et réparer les fissures de la diplomatie Algérienne perpétrées par la diplomatie Marocaine ces derniers temps.
La question se pose donc de savoir pourquoi cette visite à ce moment précis et dans ce pays en particulier? Tout d’abord, la diplomatie algérienne a été vivement critiquée ces dernières semaines, quand son inefficacité a été clouée au pilori de la part même de médias proches du pouvoir. Ce à quoi Boukadoum avait réagi en promettant qu’avec «le retour du président de Tebboune, l’Algérie va passer à la vitesse supérieure». Une façon pour lui de rejeter indirectement la responsabilité de la profonde léthargie de son département sur le vide que le sommet de l’État algérien a connu pendant ces deux derniers mois.
Or, si l’aura et la puissance du pays de Nelson Mandela sur l’échiquier continental ne sont pas négligeables, Pretoria d'aujourd'hui, l'allié d'hier du diable n’a plus le moindre poids dans les dossiers les plus stratégiques et récurrents pour Alger, en particulier celui du Sahara Marocain. Tout au long de sa présidence de l’Union africaine, qui prend fin le mois prochain, mais aussi de sa présence en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité, où elle a siégé pendant deux ans et qu’elle a également présidé, l’Afrique du Sud a été impuissante dans les dossiers qu’elle gérait par procuration au profit d’Alger.
En effet, malgré plusieurs tentatives du chef de l’État Sud-africain, président en exercice de l’UA, de faire revenir la question du Sahara dans l’agenda de l’UA, la troïka, constituée du président sortant, de l'actuel et du prochain président de l'UA ainsi que l’exécutif, et le secrétariat général (la Commission) de l’UA, s’y sont toujours fermement opposés en rappelant à chaque fois que cette question relève en exclusivité de la seule compétyy-ence l’ONU.De même, c’est durant le mandat sud-africain au Conseil de sécurité que ce dernier a voté deux résolutions, 2494 en 2019 et 2548 en octobre 2020, appelant à une solution réaliste au conflit du Sahara et soutenant le plan Marocain d’autonomie, proposé par le Maroc.
C'est pour cette cause que Bougadoum a pris l'avion pour Pretoria pour éventuellement éviter la déviation du pays de Nelson Mandela qui , parait-il veut se remettre sur les bonnes voies d'Etat crédible et de ne plus crier dans un ravin, là où personne ne l'entendrait, surtout après la reconnaissance par les USA de la Marocanité du Sahara.
En tant que Marocain, je me réjouis comme tout autre sujet de Sa Majesté le Roi, de dire haut et fort, bienvenu au cadeau de Mr.Donald Trump pour le Maroc en dépit de James Baker et ses écrits-dz et nous attendrons davantage de Joe Biden.
Sachant que les dirigeants Algériens qui occupent la toile et qui d'ailleurs, n'ont visiblement pas su tracer leur ligne de conduite pour contrarier le Maroc dans ses évolutions pragmatiques phares, n'arriveront jamais à subtiliser ses acquis, malgré leur insistance discrète de titiler les sentiments de haine chez l'Algerien, tout en tendant à minimiser la crédibilité que gagne le Maroc partout au monde.Et le maudit trio apparant actuellement en Algérie (Tebboune-Chengriha-Bougadoum) souffre de troubles mentaux, suivis d'incapacités congnitives de l'évolution du monde tout autour, n'y pourra aucune portée envers la grandeur du Maroc. Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25