Maroc-Algérie : Les États-Unis reconnaissent la Marocanité du Sahara. A Alger, le pouvoir est pris d'une crise d'hystérie collective.!
من أقوال الحسن الثاني...كنا لا ننتظر من العالم ان يعترف بمغربية الصحراء، بل كنا ننتظر منه ان يعرف مع من حشرنا الله في الجوار
Une note pas comme les autres..Ces jours-ci je me réjouissais de suivre en live Mr. Abderrahim Manar Slimi, directeur de son fief d'études stratégiques à Rabat et un certain Abdelkader Kharraz, commissaire à la retraite, parait-il.
Le premier défend la cause nationale avec rigueur, preuves historiques, à l'appui. Un homme qu'il a l'habitude de faire enseigner à ses étudiants en sa qualité de professeur universitaire et qui ne manquait pas en parallèle, via son live quotidien, de dévoiler en double poids les mensonges du pouvoir Algérien relayés par sa presse, surtout après le grand coup de tonnerre incarné par le reconnaissance américaine de la Marocanité du Sahara qui clôture une série de performances diplomatiques Marocaines.
Quant au second Mr. Kharraz, lui raconte des conneries et des histoires qu'il avait confronté durant son trajet professionnel, se basant dans ses contes sur ce qu'il détient encore frais dans sa mémoire de policier et ce pour attirer le maximum d'auditeurs pour gagner de l'argent et maintenir son site vivant comme s'il était conteur de Jamaa Lafna de Marrakech.
Tandis que d'autres sites Marocains de rien du tout, qui pour guetter trop d'insects internautes, ils abusaient de leur soi-disant "patriotisme" et choisissaient, entre autres, des titres alarmants, sur tout ce qui pourrait virtuellement porter atteinte aux valeurs sacrées Marocaines et ce que pour attirer trop d'insectes dans le même but de gagner de l'argent et rien d'autre.
J'avais eu de tout cela l’opportunité de tirer et constituer mes propres convictions sur les attitudes malencontreuses des Algériens envers notre pays. Dieu merci, le Maroc avance et progresse à une cadence constructive, malgré la haine et l'hostilité Algériennes qui vont dans le sens de régression et de perte d'allure d'un vrais Etat crédible à notre voisinage.
Ainsi,la diplomatie algérienne pour enrouler ses dingues Algériens, elle leur a donné l'impression d’avoir répliqué à cette nouvelle donne marquant la Marocanité du Sahara, tentant d’activer ses relais mafieux en Amérique et en Europe. Et ce à travers deux axes principaux.
-.Le premier est à trouver dans la tournée africaine que Bougadoum, le ministre algérien aux affaires mensongères étrangères qu'avait effectuée et qu’il avait débutée opportunément par une visite en Afrique du Sud, l'un des rares pays sur le continent qui suce encore la noie de dattes Algériens l'invitant à ne pas lâcher la laisse et à continuer à soutenir la version algérienne au sujet du dossier du Sahara Marocain dont le régime Algérien tient, à cœur, à le faire une priorité et une cause nationale, comme indiquait Mr. Bourita, avant de penser, en compensation, à procurer à ses Algériens le sachet de lait et la semoule.
Mais personne n’était dupe de cette stratégie. Il ne s’agissait en fait que d’une couverture politique pour tenter de labourer un terrain africain qui avait progressivement, sous les coups de boutoir de la diplomatie marocaine, abandonné les délires algériens sur le séparatisme marocain pour rejoindre une posture réaliste et rationnelle portée par le Maroc.
Cette tournée africaine du ministre algérien des affaires étrangères est passée presque inaperçue. Avec très peu d’échos médiatiques à l’internationale, seuls les médias algériens aux ordres et quelques sites d’information sympathisants ont tressé des lauriers gros comme des sabots à d’hypothétiques succès sur « un retour triomphal » de la diplomatie algérienne en terre africaine.
-.Le second axe de ce réveil algérien est à trouver dans le marais marécageux des lobbyistes de Washington où l’argent du pétrole était à l’œuvre pour acheter les consciences et les stratégies d’influence. Ainsi face à la reconnaissance américaine du Sahara marocain et à l’occasion de l’arrivée de Joe Biden à la Maison Blanche, trois voix se sont distinguées pour demander au nouveau président américain de revenir sur la décision de Donald Trump : son ancien conseiller à la sécurité John Bolton tombé en disgrâce, James Baker un ancien républicaine tombée dans l’oubli et le sénateur républicain James Inhofe, un lobbyiste assumé d’Alger pour porter la cause du Polisario auprès de l’administration Américaine sous Joe Biden.
Hélas pour la diplomatie algérienne, si l’activisme sur commande de ces trois corrompus personnages peut encore aider à fabriquer quelques titres d’actualité éphémères susceptibles de provoquer quelques frisson et donner encore du grain à moudre pour les milieux hostiles au Maroc, il est loin de réaliser les fantasmes de la diplomatie algérienne de voir Joe Biden supprimer d’un trait de plume la décision historique de l’administration Américaine (Trump) de reconnaître la pleine souveraineté Marocaine sur le Sahara.
Joe Biden et son secrétaire d’Etat Antony Blinken ont dévoilé leurs stratégies à l’international face à la Russie, aux pays du Golfe, à l’Union européenne et la chine, cette reconnaissance de la Marocanité du Sahara fait partie des grandes décisions de l’ancienne administration que l’actuelle ne pourra remettre en cause. Bien au contraire, elle veillera à la mettre en pratique avec une grande diligence au nom d’une conviction de plus en plus partagée que le Polisario devient une source de menaces sécuritaires et d’instabilité régionale.
Pour Donald Trump comme pour Joe Biden, le plan Marocain d’autonomie du Sahara est la seule issue à cette crise Algéro-Marocaine dans la région. Pour Joe Biden : la reconnaissance américaine de la Marocanité du Sahara, est une décision d’Etat et non d’une personne, si on croit son secrétaire d'Etat Mr.Antony Blinken.
Ce n’est un secret pour personne. L’animosité à l’égard du Maroc et de son unité territoriale est depuis longtemps le seul dossier diplomatique qui anime le régime algérien. Sa parole et son activisme sont absents de toutes les crises régionales. Sourd et muet à l’égard des grandes préoccupations du monde, le régime Algérien ne retrouve une dynamique que pour porter atteinte aux intérêts de son voisin de l’Ouest dont il perçoit la bonne santé économique, la stabilité politique et le leadership régional comme une menace vitale pour sa survie et sa raison d’être.
Cette posture est si imbriquée dans l’ADN de la diplomatie algérienne qu’elle veille à chaque fois à conditionner ses relations avec la France, l’Europe et les pays arabes en fonction de leurs tendances à compliquer ou à ralentir les succès diplomatiques Marocains.
Quand des mal-élus de l'écurie Algérienne dite "parlement" demandent à Joe Biden de méconnaître la Marocanité du Sahara est une des illusions à "l'Algérienne". Depuis que les Etats-Unis d’Amérique ont officiellement reconnu la Marocanité du Sahara, le régime algérien a perdu le peu de raison qui lui restait encore. Il vient ainsi de pousser des parlementaires locaux à écrire au président américain, pour lui demander un revirement sur cette décision.
Maniant l’art de la fourberie, les bougres algériens écrivent, selon les termes de leur missive rapportés par l’APS, que «le droit des peuples à l’autodétermination constitue un principe consacré dans l'histoire des Etats-Unis d'Amérique», et que pour «préserver cet héritage historique positif», Joe Biden doit «revoir le décret signé par l'ex-président Donald Trump» pour que les Etats-Unis ne soient pas en «contradiction» avec leurs principes, dit-on à Alger.
Il ne fait aucun doute que face à un exécutif décapité par l’absence prolongée du président, ce sont les généraux algériens qui sont tapis derrière cette lettre attribuée aux parlementaires. Un courrier qui démontre, si besoin en est, le désespoir de ces gérontocrates qui gouvernent l’Algérie, et qui, sans crainte du ridicule, activent les ânes et mulets de leur écurie parlementaire pour un sujet supposé ne pas la concerner.
Cette lettre, si elle parvient à son destinataire, sera probablement l’occasion de se poser une question: savoir enfin pourquoi les lauréats algériens de cette écurie, plutôt que de défendre les intérêts de leur peuple, actuellement confronté à toutes sortes de merdes, au point de réactiver le "hirak", malgré les restrictions de la pandémie Coronavirus, de bloquer les routes et les voies ferrés, s’érigent en défenseurs d’un dossier dont ils se défendent d’être partie prenante.,
Joe Biden n'est pas Bouteflika ou Tebboune, n’est également pas sans savoir que de nombreuses voix s’élèvaient de toutes parts en Algérie pour exiger la dissolution de l'écurie parlementaire, dont la légitimité est éclaboussée par de graves affaires de corruption, récemment étalées sur la place publique et devant la justice.
En se mettant aux ordres des généraux, ces «élus de la corruption», dont certains ont acheté leur siège parlementaire à plus de 500.000 euros, se donnaient en fait un sursis en acceptant de se fourvoyer dans un rôle qui n’est pas le leur, et où ils savent, que ni eux, ni leurs manipulateurs, n’ont la moindre chance d’infléchir la position américaine sur le Sahara.
Car depuis le 11 avril 2007, date de la présentation par le Maroc à l’ONU de la proposition d’autonomie sous souveraineté Marocaine, comme solution au différend Algéro-Marocain créé autour du Sahara, l’administration américaine, qui s’est toujours montrée séduite par cette initiative, n’attendait qu’une occasion propice pour proclamer officiellement son soutien à la Marocanité du Sahara.
Et c'était le coup de point mortel que donnait Mr. Donald Trump à l'ambition Algérienne, un coup pas d'un Cow-boy, mais d'un homme d'Etats, malgré ce que disent de lui ses adversaires politiques en USA. Nous remercions cet homme de cet espace d’areigné pour cette initiative courageuse.
Rappelons que cette missive de l'écurie algérienne intervient à la veille du discours du nouveau président américain Joe Biden sur la politique étrangère de son pays. Elle intervient aussi à la veille du sommet de l’Union africaine, auquel Joe Biden a envoyé un message de solidarité. Dans ces deux interventions, il n’a pas été question du dossier du Sahara, ce qui peut être interprété comme un consentement total de Joe Biden quant à la décision logique de son prédécesseur. Cela étant dévoile davantage la panique aiguë, voire mortuaire que connait l'Algérie à cause de la vacance, trés remarquée, de pouvoir, faisant du Polisario, une affaire de politique intérieure algérienne.
La réponse à ces connards n'a pas tardé. Le département d'Etat Américain sous Joe Biden vient le 22/2/2021 de faire taire les voix nuisibles émanant d'Alger confirmant, je cite :
La position de l'administration Biden reste inchangée sur la souveraineté du Maroc au Sahara. Ceux qui espéraient un changement de cap de l’administration de Joe Biden sur le Sahara et la souveraineté du Maroc doivent revoir leurs petits calculs. Les Etats-Unis «vont continuer à soutenir le processus onusien en vue d’une solution à ce différend de longue date » concluait le porte parole du département d'état Américain.
«Nous allons continuer de soutenir le processus de l'ONU pour mettre en œuvre une solution juste et durable à ce différend de longue date au Maroc. Nous continuerons d'appuyer le travail de la Minurso pour surveiller le cessez-le-feu et prévenir la violence dans la région»fin de citation.
Il est à noter que le porte-parole Ned Price a parlé de conflit au Maroc, et non pas au Sahara. Ce qui est un élément de langage en cohérence avec la reconnaissance américaine de la Marocanité du Sahara.
Cette posture a depuis longtemps été la devanture justificatrice de la diplomatie algérienne. Elle incarnait une tendance à la dissimulation et à la manipulation dont personne n’était dupe. Cela lui permettait de réaliser deux objectifs principaux.
Le premier était de ne pas avoir de compte à rendre aux questionnements internationaux qui demandaient des comptes et responsabilisaient tous les acteurs régionaux dans cette crise. Cela lui permettait en outre de jouer le rôle du parfait marionnettiste invisible, d’animer le brasier sans porter aux yeux du monde la responsabilité directe.
Le second est celui de continuer à mobiliser une opinion algérienne sur le substrat que cette crise territoriale est une affaire entre deux acteurs étrangers que sont les Marocains et les "sahraouis" et que leur pays ne fait que soutenir « les désirs légitimes d’indépendance des peuples» dans la pure tradition de la diplomatie algérienne de naguère à l’égard des mouvements de libération africaine.
Cette opinion algérienne était en quelque sorte anesthésiée par cette démarche. A partir du moment où l’enjeu n’est pas spectaculairement domestique, il y avait peu de chances que de grands remises en cause puissent avoir lieu ou des révisions puissent être exigées.
Se cacher derrière ces grands slogans permettait à la diplomatie algérienne d’avancer le visage masqué. Un conflit qui lui autorisait toutes les gammes d’hypocrisie. Cette réalité ne trompait que le plus crédules. Pour les marocains, l’Algérie a toujours été après la Libye de Mouammar Kadhafi, le parrain engagé et le financier généreux des séparatistes du Polisario. Elle a non seulement mobilisé l’ensemble de son appareil diplomatique pour vendre cette chimère accompagnée d’un travail de lobbying sonnant et trébuchant, elle a aussi mis au service de cette cause de gigantesques ressources humaines et financières. A de nombreuses occasions, le Maroc avait dénoncé l’absurdité de cet investissemen.
Aujourd’hui grâce aux incontestables performances diplomatiques marocaines, les masques sont tombés. Ce régime algérien, qui louvoyait pour tenter de tromper son voisinage, ne peut plus se permettre le luxe gris à la neutralité maquillée. Il se dévoile crûment en envoyant au monde le message que sa survie est lié au devenir du Polisario et qu’il est prêt à tenter toutes les mésaventures politiques et militaires pour réaliser ces objectifs..
Pour les marocains, sans doute cette clarification est salvatrice et change complètement la donne régionale et la perception internationale. À ceux qui, à Bruxelles ou à New York doutaient encore de l’implication de l’Algérie dans cette crise, voici la preuve que le régime algérien et le Polisario ne font qu’un.
Le régime algérien est intimement lié aux groupes terroristes du Polisario. En leur nom, il détourne l’aide humanitaire destinée aux réfugiés des camps. En leur nom, il se livre dans l’impunité totale à tous les trafics mafieux. Les récents scandales « des voitures du Polisario » en est une des récentes illustrations. En leur nom, il justifie d’incommensurables dépenses militaires. En leur nom, il crée un ennemi extérieur qu’il pense être le ferment d’une unité nationale et en leur nom il menace d’entraîner la région dans une aventure militaire pour assouvir ses pulsions de dominations et de violence.
C’est dans ce sens que le Polisario est devenu une affaire intérieure algérienne. L’unique dossier de la diplomatie algérienne. L’unique matrice de sa politique sécuritaire. Cela a le mérite de rendre cette équation maghrébine plus claire, plus simple à résoudre, mais aussi plus dangereuse car potentiellement explosive au regard des enjeux de survie du pouvoir algérien que cela renferme.
L'APS reconnaît la Marocanité du Sahara
Serait-ce un burn-out dû au flux d’intox que les journalistes de l’APS doivent véhiculer pour minimiser l’ampleur du Hirak? Ou une rébellion contre leurs donneurs d’ordre galonnés? En tout cas, l’agence de presse officielle algérienne a reconnu la Marocanité du Sahara… pendant une heure et demie.Dans la foulée de panique que connait Alger par la rigueur du coup de point Trumpiste au sujet de l'intégrité territoriale du Maroc, l'agence de presse officielle Algérienne (APS) prend du froid au dos et reconnait la Marocanité du Sahara. Elle ne se trempe pas cette fois-ci, puisqu'elle annonce aux Algériens la vérité du conflit Algéro-Marocain, Comment ça.
Les jeux sont faits! C’est gagné! Même l’Algérie reconnaît désormais la Marocanité du Sahara. Un tweet de la très officielle agence algérienne de mensonges (APS) a titré ce mardi 23 février 2021: "l’administration américaine réitère son soutien au processus onusien dans la résolution du conflit du Sahara MAROCAIN".
L’expression "Sahara Marocain" est même reprise dans le texte de cette dépêche à encadrer (en arabe)pour offrir au prochain directeur de l’APS. Car il risque d’y avoir du sport au sein de la hiérarchie de l’agence de propagande officielle du régime algérien.
En parlant de Sahara Marocain, l’agence a fidèlement repris les mêmes propos tenus, ce lundi 22 février, par le porte-parole du Département d’Etat américain, Ned Price à ce sujet. Alors l’agence algérienne se serait-elle enfin résignée à admettre cette réalité qu’est la reconnaissance par la plus grande puissance internationale de la Marocanité du Sahara et que la souveraineté du Royaume sur ses provinces du Sud est un fait établi aux yeux de la communauté internationale? Les plumitifs de l’APS se seraient enfin affranchis de leurs donneurs d’ordre galonnés pour cesser leur désinformation à l’égard du Maroc et se focaliser plutôt sur la situation désastreuse de leur pays? Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25