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Maroc-Algérie : Quelle normalisation et...quelle alternance démocratiques attenderons-nous après le 8 septembre ?

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                                                       Jean Biden (Joe) devant la carte provisoire du Maroc1

Ouvrons la mise..Cette-fois, la parole est au chef de cuisine interne. D'abord laissant à part provisoirement la saleté Algérienne et sa diplomatie de trouillards. La rédaction du blog n'est pas frivole du genree deccertains parasitaires qui fourrent leur nez partout où il y aurait de mauvaise odeur et qui se croient, soit opprimés par la société "officielle", soit par leur propre entourage. 

Apparament ils sont très assoiffés de commenter quoi que ce soit, n'importe quoi et de parler de n'importe qui-. Un d'eux vient juste de quitter sa cellule de prison.Ce petit charlatan qui s'assoit sur les ruines d'une ancienne opposition fatiguée cherche, parat-il d'y revenir à sa cellule et à son pain sec pour garder le lien qu'il aurait au préalable avec  certains du personnel geôlier de M.Tamek.

Je ne suis non plus le crieur public qui appelle les morts à sortir de leurs tombes pour les retapper à la morgue du présent à l'instar d'un nouveau arrivant aux réseaux sociaux se déguisant en prêtre du Rif Marocain.

Un certain flirtant de verbes et d'alphabétisation paraît-il se dilate ces jours-ci sur le net, se portant en  conseiller aux sorcières, parlant de tout et de rien, mettant sa main dans le sac de vieux carrillonneur pour pimper les restes de discussion frivole avec ses adeptes fanatiques se trouvant quelque part au Maroc et ailleurs. '

En d'autres termes, je ne suis ni pour l'un ni pour l'autre..Je voudrais uniquement tendre mon sceau d'eau parmi d'autres et donner mon point de vue, concernant la machine démocratique nationale qui se met en route, conformément aux prérogatives tracées par la constitution de 2011.

Cette une occasion qui me donne l'opportunité de m'exprime, au sujet d'une étape décesive, à forte tendance dans la vie politique Marocaine. Une étape qui, selon ma propre conviction, le Maroc met les bouchées doubles pour aller de l'avant et y ouvrira toutes les portes au complet pour conforter davantage sa stabilité politique et rayonner encore plus le leadership  Marocain au niveau arabo-Africain. 

Pour ceux qui arrivent nouvellement au blog et qui n'ont aucune idée sur ma position en tant qu'administrateur, je leur dirais, tout simplement, que je me porterais en élève apprenti ayant était formé, voire forgé dans une école soit-elle une école -Hassanienne- qui se battait pour l'existence. Ses programmes et cours pédagogiques étaient, en quelque sorte, très serrés, nécessite obligeait. 

C'était un agenda de sécurité plus que d'existence mené par un ministre dit, pour sa particularité de policier, le ministre «passe par tout». Un ministre bien éveillé, coiffant, pratiquement et psychiquement presque toutes les instances de l'état. Il s'appelait dans son vivant, pas un Ba Hmad, ou Bouhmara, mais Driss Basri.

C'est dans cette école que je me suis élevé, apprenant des cours de soutien et de fidélité à la Monachie ancestrale du Royaume, passant le flambeau à d'autres agissant actuellement sur terrain. Cela n'est pas du journal de l'ecole, mais bien de l'administrateur du blog, lequel, est-il à prendre ou à laisser, si j'oserais dire en substance.

Une spiritualité politique..J’arrive un peu en retard pour dire ma satisfaction de voir les «islamawites» dégagés par le peuple. Mais je tiens à apporter ma part dans ce constat et avouer que l’espoir renaît pour une meilleure gouvernance du pays, même s’il faut rester toujours vigilant sous l'œil royal qui ne dort jamais. 

Le peuple Marocain est formidable. Même si la moitié des inscrits ne se sont pas déplacés pour voter le 8 septembre, l’autre moitié a fait son devoir démocratiquement sous les yeux d'observateurs avérés et a donné une leçon magistrale à ceux qui ont cru qu’en s’adossant à l’islam, ils pourraient gouverner et tromper davantage les populations.

Il faut respecter la religion et ne pas l’utiliser à des fins politiciennes. Le peuple Marocain n’est pas dupe. Durant ces années Benkirane puis El Othmani, ceux que j'appellerais «les islamawistes» ont montré leur incapacité à gérer le pays, ils ont fait preuve d’incompétence dans plusieurs domaines.

Leur discours n’a convaincu personne, surtout celles et ceux qui leur avaient fait confiance et avaient voté pour eux pendant deux échéances consécutives.Ni la corruption, ni les injustices, ni l’état de la santé et surtout la question de l’éducation n’ont été traités. Heureusement que le Souverain veille et qu’il donne ses instructions pour que le pays fonctionne  normallement de manière objective, scientifique et sans idéologie bavarde et hypocrite.

A présent, la preuve a été largement faite pour que ceux qui prônent l’islam comme idéologie de gouvernance, se trompent et devraient tirer les leçons de leur échec cuisant. L’islam est une source de spiritualité supérieure aux pratiques prétentieuses de ceux qui s’en servent comme une échelle pour parvenir au pouvoir.

La politique et le religieux ne sont pas faits pour être ensembles. Ainsi, l’exemple de la Démocratie chrétienne en Italie durant les années quatre-vingt. Très tôt ce ménage a fait faillite, car les liens entre le pouvoir et la Mafia se sont révélés en plein jour. Des hommes politiques dont le brillant André Malraux ont été abattus par la Mafia parce qu’ils n’avaient pas tenu leur parole face au crime organisé.

La Mafia les avait aidés à atteindre le pouvoir. Leur chrétienté avait été souillée par des pratiques indignes. Depuis, plus aucun parti italien ne s’est servi du catholicisme pour gagner des élections.Evidemment, les islamistes n’ont rien à voir avec la Mafia, mais leur inefficacité, leur hypocrisie, leurs prétentions, leurs ambitions personnelles ont fini par les mettre hors-jeu.

Humiliation capitale..A présent perdus, ils ont tout le temps pour réfléchir et pour laisser l’islam, ses valeurs, son Esprit, en paix. Par ailleurs, la récente victoire des Talibans en Afghanistan, a certainement joué dans le fait de se détourner des islamistes.Cela étant, ceux qui sont appelés à leur succéder devraient eux aussi analyser les raisons de l’échec de notre PJD.

Ne pas faire les mêmes erreurs. Mettre l’intérêt national au-dessus de tout. Ne pas être là pour s’enrichir. Ne pas profiter de sa position pour se servir et donner l’exemple en entamant une lutte sans merci contre toutes les formes de corruption.

La corruption comme elle est dans tout le monde, est le mal absolu qui mine la santé de chaque pays y compris le notre, le Royaume Cherifien du Maroc. C’est l’affaire de tous. Mais les gouvernants  doivent, les premiers, tout entreprendre en vue d’éradiquer ce fléau, ce que les précédents gouvernements n’ont pas réussi à faire.

Ce pays a été assez exploité, ses richesses parfois détournées par des politiciens bien placés et surtout jouissant de protection qui leur permettrait ce genre de pratiques. Le peuple Marocain sait tout cela. Vous n’avez qu’à écouter les commentaires sur les réseaux sociaux sur l’absence d’éthique de la plupart des politiciens. On ne peut plus cacher certaines vérités. Tout se sait et tout est à dénoncer.

Une jeunesse dynamique s’est réveillée et a su utiliser les réseaux sociaux pour inciter un maximum de personnes à aller voter et surtout à faire échec aux Pjidstes qui ont brillé par leur incompétence.

La probité, l’intégrité morale, la rectitude éthique doivent être les qualités absolues de tout homme devant gérer les affaires de ce pays. C’est ce que les discours du Souverain réclament aux hommes et aux femmes amenés à diriger les affaires du pays. La vigilance doit être de mise. La population n’en peut plus des injustices flagrantes. Elle réclame davantage de justice, de respect et de droits. Elle aspire à être bien soignée et que ses enfants puissent être éduqués dans l’école publique, une école réparée sur des bases saines, sérieuses, efficaces.Pas dans une école privée à l'image de celle que dirigeait Abdelillah Benkirane à Rabat avant son Pdjisme politique. 

Mauvais duplicata Turc..Sachant que le Maroc ait atteint par les odeurs émises par les mouvances, dit-on populaires, déclenchées en 2011 par les rues arabes, acceptant d'essayer ce que pourrait faire un groupe de barbus. Sa Majesté le Roi conscient des lourdes charges que conferait la constitution à la Monarchie adressa un discours de souplesse le 9 mars 2011 résumant les prérogatives à venir.

Par sa clairvoyance Sidna jouait plus vite approuvant la carte d'alternance, tout en acceptant la conduite de la locomotive nationale par les Islamistes Marocains modérés, en les libérant ainsi, de la probabilité de confinement dans des mosquées, laissant provisoirement, quoi qu'il en coûtera, en veille pour ne pas dire à la hâte les autres partis politiques expérimentés regroupant des competances d'appoint.

Cette ère prometteuse d'Akhnouch mettra terme au trainage d'affaires de difamation et  d'atteinte à la pudeur Pdjiste. Je cite en exemple l'affaire du meurtre de l'étudiant Universitaire -Benaissa Eljid- à Fes, dont il serait impliqué le dénommé Pjdiste "Harami Eddine". Une affaire qui traînait, par effervicence politique Pjdiste, aux alentours de l'ex-ministre de la justice et ministre de rien Mustapha Ramid.

Cette ère fera taire aussi les abois abusifs d'un certain Aftati, le fils de Mokhazni d'Oujda qui appelle à la révolution pour une Monarchie dit-il "Parlementaire" pour, parait-il introniser son "père" et d'un charlatan dit Boinou de Meknes qui rempliçait les citernes d'un monde disant un peu dingue, pronnoncçant (le J par Z) occupant la scène politique  Meknasi par sa  fiction Islamawiste.

Dix ans après les gouvernements barbus, la situation de la formation islamiste au Maroc accuse un état exceptionnel au regard de la seule arithmétique électorale et parlementaire. Cette expérience d'apprentissage se fut marquée par des affaires impolies ne correspondant, ni aux valeurs religieuses, ni à la couleur de leurs barbes multicolors..dont voici le côté honte. 

 

                                                                        Moulay Omar Ben Hamad et Fatima Nejjar - Crédit photo : Bladi.net
                                                                                     Les mousquetaires d'adultère
 

Actes d'indignation et de honte..deux responsables islamistes arrêtés pour adultère...! -l'affaire de (Al-Molla Omar Ben Hommad et sa maitresse Fatima Nejjar) à El Mansouria près d'Al Mohamadia-Casablanca. C'était l'adultère entre deux dirigeants prédicateurs islamistes qui inventaient la "fatwa" interdisant les mots d'amour en facebook. Tous les Marocains en parlaient. On peut être islamiste et commettre de vils péchés… Une mauvaise leçon de morale qui a coûté cher politiquement à la mouvance politique Pjdiste aux  législatives  du 8 Septembre.

-La jonglo-polémiste qui se donne un nom spirituel Sahraoui de Smara, le nom qui ne s'attribue au genre parasitaire (Mae Al Aineine). Une adolescente gâtée Pjdiste prenant le "hijab" pour se camoufler est allée écarter ses jambes au quartier Barbès et au boulevard San Sébastopol dans Paris.

-Changement de maîtresses et de lits conjugaux par Mohamed Tamim et Lahbib Choubani sans citer la soif aux privilèges pour d'autres dont les malchanceux montaient au créneau, sur une mule maige dite "20 février" sans pour autant pouvoir chasser de sangliers. 

Sachant que les candidats aux ministères dévoilaient petit à petit les mesures qu’ils prendraient s’ils étaient choisis ministres. Rabbah, El Khalfi  en exemple.. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce débrayage a totalement débridé leur envie de dépenser trop pour se démarquer plus et se saouler en images devant les caméras de télévisions.

La liste des mesures censées répondre aux attentes de leurs électeurs n'avaient pas de places dans leurs propre portefeuilles enflant à vue d’œil. Pas seulement à gauche pour le clan Benkirane, mais aussi à droite pour celui d'Al Othmani. 

Un simple Marocain se moquait quelque part en disant.. «Bazz.. aux Algériens qui ont supporté avec souffrance durant des siècles la pression des Ottomans...Nous au Maroc, un seul Ottmani nous a fait buver de la merde pendant une décennie

Le PJD Marocain se classe au huitième rang aux dernières élections, il est chassé du pouvoir par ceux qui l'ont applaudissaient il y a dix ans. C'est une marginalisation qui est consacrée par les électeurs Marocains, comme une éradication électorale de sanction. 

Avec les résultats des scrutins du 8 septembre, les uns et les autres n’ont pas manqué d’y revenir au plateau. Des gagnants, (RNI, PAM, PI,et même les USFP-PPS) ne se privent pas de surligner leurs scores respectifs. Le grand perdant -qui n’est autre que le PJD- livrait sa version de chute, de façon plus au moins honteuse, voire très tristes.

Les tyrans Pjdistes les plus féroces d'autrefois, se sont abstenus cette fois, pour ne rien dire, ou plutôt ils ont perdu le goût de se montrer en conseillers, les plus-savants en religion politique , de même ils n'ont rien trouvé en parallèle quoi dire devant l'ampleur d'échec ayant ravagé leurs espoirs de régner encore plus. 

La direction du parti PJD laissée en post-electoral à la portée du diable, sans aucun curieux Pdjiste oserait s'assurer qu'elle soit en bonnes mains après que le secrétariat général du parti est secoué par le choc. 

Il faudra donc attendre un prochain congrès Pjd pour pouvoir appréhender la défaite aussi cuisante. La formation islamiste a vu ses effectifs de députés dans la Chambre des représentants divisés par dix, chutant de 125 membres à 13.

Dans la pratique électorale marocaine, pourtant passablement heurtée depuis plus d’un demi-siècle, c’est bien un cas de figure inédit. Au dehors, il faut bien chercher pour espérer trouver quelques précédents... En tout cas, il est utile sans doute de mettre en perspective les résultats du 8 septembre dans le déroulé de la vie politique nationale au moins sur la base de la décennie écoulée et peut-être même celle qui l’a précédée.

De quoi s’agit-il? D’une hypothèse qui se fonde sur une interprétation de principe. Sa déclinaison est binaire : le 8 septembre, c’est une normalisation; c’est aussi dans le même temps une alternance démocratique.

Normalisation? Oui, si l’on considère que les deux législatures et les deux cabinets PJD n’auront été finalement qu’une parenthèse. Elle était confortée par les électeurs et ce, entre 2011 et 2016 d'un côté et désormais corrigée en 2021 de l'autre.

Dans toute certitude, le nouveau cabinet dirigé par Aziz Akhannouch est bien formé, puis sera investi par la Chambre des représentants. Il aura une configuration particulière alors que le PJD se voit rejeté dans la rue de l’opposition; avec seulement 13 députés, il ne pourra même pas constituer un groupe parlementaire…

Cours normal de la vie électorale et démocratique avec ses variations? Ce pourrait être une première lecture. Mais en fait, la sanction populaire massive de la formation islamiste va bien au-delà: elle renoue avec les multiples cheminements et épisodes de la vie parlementaire du Royaume d'avant 2011.

C’est qu’en effet, la décennie PJD qui finit aujourd’hui n’a-t-elle pas été seulement un phénomène éruptif conjoncturel? Référence est faite ici au fait qu'elle est liée à des circonstances particulières comme le printemps arabe et son prolongement fichu, voire déçue au Maroc malgré l'aboie de ce qu'on appelait “Mouvement 20 février“.

En 2011, une forte aspiration au changement était alors très prégnante. Les gouvernements arabes en place n'arrivaient pas à y faire face, d'autant plus que certains régimes politiques étaient éligibles au modèle autoritaire (Libye, Tunisie, Égypte, Algérie et Syrie,...). Le Maroc, lui, relevait d'une autre comptabilité avec un référentiel Monarchique historique, une vision royale d'un projet de société et le ferme volontarisme de Sa Majesté le roi Mohamed VI qui était très brillant au jeu de pocker politique à l'échelle nationale.

C'est d'ailleurs à la sagacité du Souverain et à son courage -voire son audace- qu'a été prése ntée et adoptée la nouvelle Constitution de juillet 2011. Quel autre pays dans la région ou dans le monde arabe a pu entreprendre une telle “rupture“ institutionnelle et démocratique? Il n'y en a pas certes si on croit les confirmatios d'experts étrangers en l'objet.

Attaché au respect de cette même loi suprême, Sa Majesté le Roi a tenu à en faire une application conséquente. Sur la base des dispositions de  l'article 47 d, e la constitution, il a nommé, dès la proclamation des résultats législatifs de novembre 2011, Benkirane, du PJD.

La même procédure a prévalu en 2016, la formation islamiste se classant de nouveau en tête -sauf à préciser que chef du gouvernement désigné, ce responsable n'a pas pu former un cabinet avec une majorité. Six mois après, le 15 mars 2017, il remettait alors son tablier. Deux jours plus tard, le 17 mars, c'est Saâd-Eddine El Othmani, alors président du conseil national du PJD, qui s'est vu confier la mission de mettre sur pied une majorité. Le 5 avril suivant, son cabinet était nommé.

Aujourd'hui, conformément au même article, voilà Aziz Akhannouch qui est désigné comme chef de gouvernement, deux jours après les élections. 

C'est une humiliation-Pjdiste qui est consacrée par l'électorat. Elle repose en des termes nouveaux la place et le rôle qu'elle comptait jouer et assumer dans le champ politique national. Le corps électoral a en effet exprimé massivement son rejet. Même dans les propres rangs de cette formation, la démobilisation a été générale jusqu'à un boycott, significatif et lourd de conséquences. 

Ce qui a pesé dans ce sens a trait à la conjonction de plusieurs facteurs: le bilan jugé décevant, l'incapacité à porter et à incarner des réformes, la priorité donnée à des jeux politiciens internes et à des préoccupations davantage tournées vers la gestion des carrières et des ambitions personnelles, le décalage entre les besoins, les attentes et les aspirations des citoyens et les capacités de leur traduction dans des politiques publiques.

Mais, il y a plus : comment ne pas relever que la confiance n'était pas restaurée, un paramètre pesant sur le climat d'affaires et d'investissement. La rapide réactivité de la Bourse de Casablanca, des milieux économiques nationaux et étrangers, dès la proclamation des résultats, témoigne bien de la situation. La machine économique va rebondir et offrir un nouvel élan inscrit dans le cadre d'une stratégie définie par le Nouveau Modèle Royal de Développement.

En termes opératoires, un Pacte national pour le développement va être une référence au programme du nouveau cabinet-Akhannouch avec des objectifs mais aussi des engagements des composantes de la majorité.

Le PJD n'y sera pas; il lui est difficile de rallier ce pacte alors qu'il est rejeté dans l'opposition pour la durée quinquennale de la présente législature.Une séquence politique et historique vient donc de prendre fin: celle de la mouvance islamiste portée, voici une dizaine d'années au moins, par les siens au niveau local et par l'appui de certains étrangers.

Il était considéré alors que les partis islamistes étaient un facteur de stabilité à conforter et à soutenir, notamment pour des raisons géostratégiques. Une thèse démentie depuis avec ce qui s'est passé en Égypte entre Mohamed Morci et Abdel-Fatah Al- Sessi, et actuellement en Tunisie avec El Ghannouchi. 

Au Maroc, il faut relever que le PJD a bien été un acteur de stabilité en 2011, ce qui n'est guère contestable. A la tête de l'exécutif, il n'a pas été cependant à la hauteur des réformes attendues, l'impulsion et l'accompagnement de celles-ci étant d'initiative royale.

Cette constatation a fini par conduire à un rythme lent des actions gouvernementales, à des dysfonctionnements au sein de la majorité, à une sorte de “panne“. Le calendrier institutionnel ne pouvait que laisser à 2021 le soin de trancher. C'est ce qu'ont fait massivement les électeurs, le 8 septembre.

Une normalisation s'est faite lors de ce scrutin. Mais, si elle se limitait à ce seul aspect, elle ne porterait pas tous les fruits qui en sont attendus. Le vote du 8 septembre est un suffrage populaire majoritaire pour le changement. Et une alternance démocratique voulue par les urnes.

Une régulation électorale et politique qui n'a que trop tardé stoppant, d'une façons ou d'une autre des réformes en profondeur qui seraient souhaitées, au moyen terme par le palais Royal pour conforter la démocratie au niveau national.

 

                      IMG_87461-1300x866 Aguerd Oudad - Tafraout - Province de Tiznit - Souss - Akhannouch                                                            Akhennouche et son petit patelin Aguerd Oulad Tafraout

Ce que je croix..Je ne suis ni pompiste ni de Souss et je connais cet homme de près., je l'estime de loin comme d'autres. On dit suouvent : «suite et fin». Moi je dirais autrement..«une chute et une fin!» avec l'arrivée à la haute marche de la magistrature suprême d'Aziz Akhannouche, l'homme d'origine rurale du douar Aguerd Oulad à Tafraout. 

Mr. Akhannouch, désigné à former le gouvernement porte, à mon avis, les normes de gentillesse et de politesse. Un ministre qui ne cherchait pas à s'enrichir au détriment de l'intéret général.C'est un homme riche rattrapé par la force de la politique pour y être le  bon jockey partant pour le gouvernement parallèle de l'ombre.

                                                                     Rappelez-vous..

-Il gérait en son état d'Affairiste réussi, le holding de sa famille et ses "milles et une" stations service Afriqia.

-C'est lui qui a injecté un don d'un milliard de dirhams, en un seul coup, dans la caisse spéciale anti-covid-19.

-C'est lui qui a offert à un grand nombre d'indigents de la région de Souss-Massa des téléphones portables et tablettes leur permettant ainsi de suivre de près l'évolution de la pandémie Covid-19.

-Le seul ministre Marocain rennonçant à son salaire de ministre de l'agriculture et de la pêche maritime pendant les deux gouvernements PJD et bien même avant.-

-C'est l'homme de talent qui construisait son paradis à lui et raflait dans les affaires toutes les mises.

-Il est l'un des proches du palais Royal, du fait qu'il était le seul Marocain qui a pu et réussi à convier le Roi à un simple diner de gala chez lui.

Si une majorité avec seulement trois partis (RNI, PAM, PI) sera apparamment imposée, c’est parce que Aziz Akhannouch veut donner, au plaisir de ses souffleurs de l'ombre : la cohérence, homogénéité et efficacité à son cabinet. Il sait, au plus près, ce que l’insuffisante de coordination majoritaire a donné avec les Pjdistes Benkirane et Al Ottmani. 

Personne n’avait vu venir un tel effondrement. Une débâcle historique subie par le Parti de la lampe, passant du haut au bas du nombre de sièges parlementaires lors du 8 septembre 2021. Pour les spécialistes, on assiste à la «descente aux enfers du PJD et à la  fin d’une séquence historique».

La tension est à son comble, pas seulement dans les coulisses ou les couloirs fermés des barbus, mais aussi dans leurs fiefs officiels désormais en deuil. Par contre l'opinion publique nationale attend l'ossature du futur exécutif que présentera à l'approbation. Royale M.Akhennouch Bonne lecture. 

                                                     Trés cordialement, Chihab25 

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1-carte géographique du Maroc incomplète, il en manque encore le Sahara Marocain oriental, deterrant la fable Algérienne

             MR LE SG DE L'ONU : LA LIBÉRATION DU SAHARA ORIENTAL OCCUPÉ PAR L'ALGÉRIE

 

 
 

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