Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Maroc-Algérie : La dynastie mafieuse Française qui gouverne l Algérie, les papis-portefeuilles de mal..!

                                                   
                                                                                                          drapeau-du-maroc-image-animee-0008
 
                                                                                                                                                                    Un récit qui se lit tout seul sur l'illégitimité du pouvoir en Algérie 

Le doigt bleu¹...La question de la falsification de d'histoire de l'Algérie, de sa déformation, de son remplissage dans le cerveau Algérien, des écoliers, de nombreux mythes, appréhensions et la falsification des faits des événements historiques algériens ont effacé l'histoire des vrais martyres algériens qui combattaient pour l'indépendance de l'Algérie et établir une vraie histoire qui, coups dans le rôle du maudit Boukharouba n'a même pas tiré une seule balle durant la guerre d'Algérie, lui et ses autres prédateurs qui se cachaient, préférant le jeu de cartes et de chance dans les villes Marocaines de Meknès, Nador et d'Oujda.

Ils conspiraient avec le général De Gaulle pour étouffer la révolution Algérienne et assaillir pouvoir en Algérie, et après la publication de nombreux articles objectifs liés à la révélation de faits amers sur ce que les plus grands criminels de l'Algérie,  de Ben Bella, Boukharouba et leurs supporters ont fait pour construire une histoire falsifiée et déformée qui n'a rien à voir avec la vérité de l'histoire algérienne récente et avec la lutte pour la liberté de l'Algérie profonde.

Il leur en reste aujourd'hui, d'après les analystes et connaisseurs de la donne Algérienne, à organiser leur petite histoire de six décennies ou presque, à la base d'une solide chronologie disciplinaire logique, ce qui n'était pas au bon sens de la raison et qui a choqué des millions opportunistes Algériens qui se vantaient êtres les meilleurs et seuls grands au monde plus que personnes d'autres de la planète.

Et le résultat qu'on peut voire à l'œil nu aujourd'hui, a été enfanté spontanément, par la cruauté d'un "hirak" populaire, caractérisé par des mouvements hebdomadaires de contestations dans toute l'Algérie, déclenché inopinément chaque vendredi depuis le 22 /2/2019, pour corriger, voire pour expulser les faux éléments falsifiés de l'histoire contemporaine de  l'Algérie indépendante.

Et puisque tout a un commencement, les Algériens satisfaits du début des affres de l'après-révolution du (1er/11/1954), par l'usurpation et l'étouffement de leur révolution par les tanks de Boukharouba  et par la mise en place de plusieurs duos mafieux, que les Algériens appelaient désormais...(la dynastie de généraux français qui dirigea l'Algérie depuis plus de 60 ans et continue à ce jour de l'an 2023 à étouffer leurs souffles) ...

C'est une stupidité pathétique que quelqu'un ait répondu aux faits qui détruisaient les piliers de l'autorité des caporaux de France en Algérie, que d'autres engagés rédacteurs en cachette, membres du peuple Algérien avaient commencé à publier il y a pas mal d'années sur le site financé par le pouvoir d'Alger  (Algeria Times) (.!.) et qui tentaient,  frivolement d'honorer "gratuitement" le régime mafieux de leur pays.

Nous avons dit ici en blog, pour les plus crédibles des Algériens, que les cris d'alerte de l'opposition Algérienne à l'étranger essayaient de faire rependre que l'autorité militaire en Algérie qui est en état de morosité, suscite la pitié devant la rage et l'exaspération de sa parole, un de ces cris avait même dit: «Les généraux cités abusivement dans certains articles sont morts ou assassinés et il ne reste plus que les généraux-pisseurs de l'Algérie. »La réponse à cette stupide remarque est simple :

«Les Algériens n'ont pas, et aborderont jamais, la question de l'extinction de leurs généraux. Le général De Gaulle ne plaisantait pas, quand il disait en exemple idéal, de la stupidité du peuple Algérien.. «-Il ne sait pas ce qui se passe dans ses aspects, alors comment comprendra-t-il ce qu'on lui dise...c'est une race, mulet d'histoire momifiée, connaissez-vous le sens de la race !!!! Je pense que vous ne comprenez pas le sens du terme lignage!!».

Complexité de trop...C'est un réseau complexe de grands-parents, pères, fils, petits-enfants, frères, neveux, oncles, cousins etc., c'est un arbre mulet avec branches bref, ce sont des descendants de démons. Ceux qu'on les appelait en Algérie (les gens de Boumediene), c'est-à-dire ceux qui ne connaissent pas le sens de la lignée, tous ceux qui ont une connexion, de loin ou proche, de l'odeur de la racaille armée sacrée du plus haut rang au petit soldat, ceux qui tuent des humains de sang-froid, parce qu'ils ont reçu l'ordre de tuer des tyrans-généraux Khaled Nezar et Mohamed médiane dit «Toufik» ou «Rabb Dzaier», surtout quand ils étaient commanditaires de la décennie noire des années 90 du siècle écoulé ...

la France a profité aux précurseurs de la formation d'une dynastie mafieuse pour les généraux. Je dis que la France en a bénéficié pendant le plébiscite et l'indépendance imparfaite de juillet 1962, jusqu'à ce que le peuple algérien se retrouvait sous la dynastie mafieuse des généraux et officiers France en Algérie, et Je suis sûr que le peuple algérien connaît, plus que personne d'autre étrangère, le vrai martyre.

Un des opposants Algériens en France se réjouissait de dire : «Alors préparez-vous les chiens de France, à calculer les centaines de trillions de pétrodollars que vous avez volés et dispersés dans les mythes dans la haine contre votre peuple pour qu'il reste arriéré jusqu'au jour de la résurrection... à bas à l'abominable France qui a jugé que le peuple algérien reste sous le couvert de l'armée Harki, de ses milices et de ceux qui ont bénéficié des lobbies de la dynastie mafieuse des généraux de France.  

Enième phase de lutte politique. Les observateurs remarquent ces jours-ci une nouvelle phase du conflit politique auxquelles les Algériens sont habitués depuis des années, à la tête du pouvoir, dans les formes auxquelles sont même dans le timing qu'ils connaissent bien, qui est généralement liée à la période d'insertion sociale et que l'Algérie évoque le souvenir des événements d'octobre 1988 où la rue a été utilisée en dernier recours, après l'échec des factions politiques à résoudre leurs problèmes. conflits au sein des institutions du régime, malgré leur grand nombre.

Cela s'est produit à un moment où l'opinion publique Algérienne se tournait forcée vers les «ennemis de la main étrangère» dont le Maroc en tète de liste, ennemis qui sont à l'origine des difficultés de l'Algérie et ce pour échapper à l'identification des partis internes, hostiles au projet politique d'un président désigné par la racaille militaire, y compris ceux retranchés au sein des institutions centrales de l'État d'Alger.

Des conflits qui restent, pour la plupart cachés et invisibles, pour le citoyen Algérien, même s'il ressent leur présence à travers les effets qu'ils laissent sur sa vie quotidienne et sur son pouvoir d'achat, comme c'est le cas de ces jours avec des prix scandaleux et une rareté étrange des produits de base de grande consommation , comme le lait, l'huile et la semoule, sans parler de l'honneur et la liberté bafouillé de l'être Algérien.

Des conflits qui s'intensifient souvent lorsque le soi-disant président arrive au milieu de son premier mandat présidentiel, comme cela s'était produit avec les présidents précédents, comme le général Zeroual, contraint à la démission au milieu de son mandat, par un clan d'opposition, et avec Bouteflika plus tard, qui a su résister à cette tendance anti-émergence.

L'homme fort au niveau de la présidence en Algérie, quand il commence à penser à son second mandat alors qu'il s'apprête à le préparer, comme le fait Tebboune dans la récente période, après avoir entamé une sorte d'auto récolte pendant la moitié de son mandat, qui a connu des stations difficiles du fait de répercussions de ce que le président en Algérie ne se contente pas d'un premier mandat, pas même d'un deuxième ou d'un troisième mandat, comme l'a fait Bouteflika, à moins qu'il n'y soit contraint, comme cela s'était passé avec ceux qui ont quitté leurs fonctions sous la contrainte, de diverses formes, les cas d'écartement de Ben Bella et de l'assassinat de Boudiaf en témoignent.

La continuité politique exigée par tout président algérien, même s'il semblait faible et ne maîtrisait pas les règles du jeu au début de son premier mandat, comme ce fut le cas de plus d'un président, dont Houari Boukharouba lui-même à son arrivée au palais El Mouradia à bord ses tanks rouillés en 1965,  pour découvrir de nouvelles sources de pouvoir alors qu'il était à la barre, voire devenir un homme fort, comme ce fut le cas avec le président Chadli Ben J'did.

Lequel le pays fête chaque année l'anniversaire de sa mort, sans savoir exactement s'il a démissionné au bon gré ou a été démis de ses fonctions, début 1992, ce qui a fait conclure des propos en évoquant le rôle de la racaille-armée comme garant, le plus important de l'action politique en Algérie.

Les Algériens savent bien les tyrans de leur racaille qui a su résoudre à chaque fois les conflits entre les gens du pouvoir dans le passé, De s'interroger sur l'étendue de sa capacité à continuer à accomplir les mêmes tâches traditionnelles auxquelles ils sont habitués historiquement, après l'état d'agitation que le pays a vécu ces dernières années.. le leadership de l'armée était au cœur. de chaque Algérien, en dépit de moments de fortes pressions, régionales et internationales qui ne cessaient d'augmenter avec parallèlement la fuite en avant, avec sourde oreille, faisant preuve de manque de crédibilité d'Etat.                       

Supériorité ratée...(plutôt introuvable).l'Algérie en quête de son identité Retour sur une question qui explique le malaise identitaire de l’Algérie d’aujourd’hui. Au lendemain du second conflit mondial, à travers la «crise berbériste», se posa en réalité la question de l’identité algérienne: est-elle arabe ou quoi? Puis, après l’indépendance, comme les berbéristes affirmaient la double composante de l’Algérie, arabe et berbère, les leaders du FLN, véritable parti d'Etat, parlèrent de dérive «ethnique, raciste» et xénophobe».

Pour Messali Lhaj, alors leader nationaliste incontesté, arabisme et islamisme étaient les éléments constitutifs sans lesquels l’Algérie algérienne ne pourrait pas faire «coaguler» ses populations. Pour lui l’Algérie était une composante de la nation arabe, sa religion était l’islam et le berbérisme un moyen pour le colonisateur de diviser les Algériens.

En 1948, ce mouvement nationaliste, dans son appel à l’ONU inscrivit la phrase suivante: «la nation algérienne, arabe et musulmane existe depuis le VIIe siècle», affirmation qui provoqua la fureur de sa composante kabyle. Un an plus tard, en 1949, au sein de la section de métropole Kabyle, éclata la «crise berbériste».

Tout partit d’un vote quand le -Comité directeur de la Fédération de Franco-Algérienne-, largement dominé par les berbéristes vota à une écrasante majorité une motion rejetant le postulat d’une Algérie arabe. Après ce vote, les deux camps en vinrent aux mains. Mis en accusation pour régionalisme et anti-nationalisme, les cadres kabyles furent écartés de la direction du parti puis exclus, cependant que certains furent assassinés.

Les partisans de l’idéologie arabo-islamique allèrent alors jusqu’à affirmer que les Berbères étaient sortis de l’histoire. La revue «Al Maghrib» publia ainsi un article dans lequel il était écrit que n’ayant pas de généalogie, les Berbères ne peuvent accéder au Paradis que s’ils se rattachent à des lignées arabes... Quant au ministre algérien de l’Education nationale, il déclara en 1962 que «les Berbères sont une invention des Pères Blancs de l'Algérie Française». Ce refus de la réalité historique et ethno-politique repose sur le postulat selon lequel l’islamisation aurait marqué la fin de l’histoire des Berbères, leur conversion massive à l’Islam, il y a quatorze siècles, les ayant inscrits de façon irréversible dans l’aire culturelle de l’Islam, donc de l’arabité.

La guerre interne au courant nationaliste laissa des traces et l’opposition entre berbéristes et arabo-islamistes se prolongea durant la période de la guerre d’indépendance de l'Algérie, durant laquelle le berbérisme fut évacué de la revendication au profit de l’arabo-islamisme qui devint la doctrine officielle du FLN. Or, sur le terrain, la guerre contre la France fut essentiellement menée par des Berbères dont les chefs étaient Abane, Amirouche, Krim Belkacem ou encore le faucon Kabyle Hocine Aït-Ahmed.

Une fois l’indépendance obtenue, face au rouleau compresseur du FLN et après l’échec de la rébellion kabyle soulevée en 1963 par Tahar Z'biri, la revendication berbère fut clandestine. Avec le maudit Boumédiène, la politique d’arabisation devint en effet systématique, fondée sur les conclusions de la Conférence nationale sur l’arabisation qui fit totalement encadrer le pays par la langue arabe et nia toute existence à «l'amazighité Kabyle». Le courant berbériste se reforma ensuite, notamment à Paris où, en 1967, fut fondée en l’Académie Berbère d’Echanges et de Recherches Culturels qui se transforma, deux ans plus tard, en 1969, en Académie Berbère dont la revendication fut plus militante.

En 1988, l’ouverture démocratique du président Chadli Ben J'did donna une forte impulsion à la revendication berbériste avec la création du MCB (Mouvement culturel berbère) mais, au même moment, Abbassi Madani et Ali Belhaj fondèrent le FIS (Front islamique du salut) dont le programme était la création d’un Etat islamique arabe et au mois de juin 1990, ce mouvement remporta les élections municipales. Pour tenter de freiner la montée du courant islamiste, les autorités Algériennes lui donnèrent des gages en renforçant encore l’orientation arabo-musulmane de l’Algérie. «La loi du 16 janvier 1991» renforça ainsi encore davantage l’exclusivisme de la langue arabe, de fortes amendes étant prévues pour les contrevenants.

La contestation berbère reprit ensuite avec la «grève du cartable» quand, durant les années 1994-1995 les élèves kabyles boycottèrent les écoles. Ce mouvement réussit à faire plier les autorités qui créèrent le HCA (Haut Commissariat à l’Amazighité), rattaché à la Présidence, puis la langue berbère fut introduite dans le système scolaire.

Ces mesures cosmétiques ne freinèrent cependant pas la prise de conscience berbère et en 1998, de très violentes émeutes suivirent l’assassinat du chanteur Oranais Maâtoub Lounès. A partir de là, le climat devint insurrectionnel. Au mois d’avril 2001, la Kabylie fut même en feu à la suite de la mort d’un lycéen prénommé Massinissa, abattu par la gendarmerie. Puis, le 14 juin, les Kabyles marchèrent sur Alger avant d’être durement réprimés par la police.

La revendication ayant échoué sur le terrain politique, les militants berbères choisirent d’abandonner ce dernier pour mener le combat culturel. Ce retour aux sources leur fit alors déchirer le voile de la fausse histoire enseignée dans les écoles de l'Algérie depuis 1962 et ils découvrirent ce qui se murmurait, à savoir qu’ils avaient été les «dindons de la farce» de l’indépendance algérienne. Certains affirmèrent même que les Berbères avaient subi une nouvelle colonisation dès le départ des Français.

L'orgueil aveugle... Face à l'oppression de violences en Algérie, la junte est toujours confrontée à la pénurie de tout genre alimentaire… de viande d’ânes spécialement, mais voulait apprendre la dance Brésilienne la (samba). Le nouveau "haut rate" chez les militaires qui gouvernent l’Algérie : les ânes commencent à manquer à l’appel - à force de faire avaler leur viande, comme à des couleuvres, aux citoyens impuissants.

Mais alors qu’au royaume militaire de l’équivoque, on se creuse les méninges pour pallier cette panne animalière, le général-pisseur Saïd Chengriha se tourna vers le Brésil pour sceller une alliance militaire. De nouvelles armes rouillées se font attendues en perspective aux ports Algériens, pour démolir, dans l'imaginaire-dz, la «Forteresse d'un Maroc Stable» de la carte de leadership nord-Africain et arabique, ou du moins pour le faire trembler, selon une conviction parfumée d'urine.  Et la suite reste toujours la même, c'est faire du bruit, que du bruit, avec plus d'ivrognes aux casinos de la racaille-armée à travers tout le pays. et faire augmenter, en parallèle, le volume de consommation de viande d'ânes aux casernes, sans pour autant accepter de réclamations.

 

                                                                     

                                                                                    Force de la spiritualité Marocaine

La clarté ancestrale-ma... Le maudit Houari Boukharouba baisant la main de son maitre Sa Majesté le Roi feu Mohamed V, une position qui dérange "inlassablement" l'esprit d'hostilité et d'orgueil de l'Algérien. Au lectorat d'en juger et faire la différence entre une Algérie perdue au risque des sales bottes et un Grand Maroc qui a : «Une riche histoire et un patrimoine culturel exceptionnel qui ont forgé un Maroc Monarchique à la personnalité d'«État-Nation-Social» au rythme d'une Royauté particulière au Monde.

Alors qu’il est toujours vainqueur, préservant son concept leadership concevable et irrévocable, s’apprêtant à garder le cap de ses victoires montant au «Podium de couronnés» avec une grande fierté, de plus de 60 ans de confrontations victorieuses face à une Algérie folle. Se réjouissant du respect qu'il en a acquit auprès de la communauté internationale, et relever d’autres défis qu'attendent ce Royaume Chérifien, qui n'est pas d'ailleurs, du sort de l'-Etat équivoque Algérien- pour préserver son leadership et parfaire sa construction de sa modernité».

Face à cette haine, pas ordinaire de l'ennemi Algérien...Unissons-nous sans réserve aucune dernière notre Monarchie, baisons bien, ouvertement,(sic) les mains propres du Souverain, en se mettant volontairement à genoux, en respect à la spiritualité Royale et ce pour le vexer davantage, tout en préservant l'honorabilité et la particularité du leadership Royal, laissant-le dans la contrainte de baiser, en défaillance, les sales bottes de ses gouvernants. Bonne lecture.

                                                             Très Cordialement,Chihab25

                                  -------------------------------------------------------------------

¹.-Le votant Algérien sans conscience aucune.

Les commentaires sont fermés.