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La Marocanité du Sahara, oblige l'Algérie à organiser un banquet funéraire et à pleurer sur ses défaites contre le Maroc..!

                                           
                                                                                                                 drapeau-du-maroc-image-animee-0008 
 
                                                       Emmanuel Macron et le roi Mohammed VI à Tanger en novembre 2018.

 

La Seine se déborde.. Si la clarté de l'Elysée se déchaine, cela pourrait dépendre de la sincérité de la politique Française au moment difficile de Gaullois. Les experts-conseillers du maitre de la Seine ont bien tranché et brisé les barrières défectueuses, ayant entaché, durant un certain moment, l'air et l'atmosphère des cieux de Paris et de Rabat...

En se précipitant, pour prendre sa première place au rang des  mouchards, l'Algérie a anticipé les régles en publiant et retirant soudainement, un communiqué-chiffon, indiquant catégoriquement que la France a mis fin à ses réticences et reconnaît le statut du Sahara "occidental", tout en soutenant son autonomie sous la Souveraineté Marocaine, considérant comme étant, l'unique solution pour y mettre fin à un conflit de brouille âgé de plus de cinquante ans.

Effectivement, Paris vient tout juste le confirmer, émettant une déclaration officielle d'Etat. Mais auparavant et pour se préparer à gifler l'Algérie, Paris avait envoyé plusieurs signaux à travers ses responsables affirmant son intention de soutenir le Maroc dans son intégrité territoriale, dont le Sahara Marocain, dit occidental, redonnant ainsi du chaud à ses efforts et à ses relations perturbées avec Rabat, mettant fin à une période de réticence et de froideur dues à sa mauvaise politique à l'égard d'un partenaire aussi international et fiable.

Lors d'une récente rencontre avec son homologue Marocain, le ministre français aux Affaires étrangères a qualifié les relations entre son pays et Rabat  d'«uniques», soulignant la nécessité de mettre en œuvre toutes les dispositions possibles de  feuilles de route qui viseront à renforcer les liens entre le Royaume et l'Hexagone, membre permanent, possédant le droit de "véto" au Conseil de sécurité Onusien. 

Persistance de tabac à chiquer.. Les relations entre Paris et Alger ne sont pas au beau fixe. Elles crampent toujours au carré de tensions, alors que la France a finalement sortie de l'obscurité du tunelle, de crânes et de pression gazière de l'Algérie, pour intensifier ses efforts et lancer de nouvelles phases de coopération avec le Maroc, après s'être convaincue que ses intérêts s'établissent avec le Maroc,  l'ex-protégé d'autrefois et l'allié crédible, possédant, actuellement, le poids d'interlocuteur fiable qui joue un rôle important dans une région extrêmement sensible.

Pour aleger le choc et sortir de l'état de panique, la junte d'Alger avait organisé un banquet de deuil funéraire et avalé, malgré elle, la venin et la couleuvre, dénonçant, le soutien de Paris à l'intégrité territoriale du Royaume.

Dans le même sillage, le pseudo-Président d'Alger, avait reçu, le Général Michael Langley, chef du contingent d'États-Unis à l'AFRICOM pour lui exprimer la colère et le mécontentement de l'Algérie en l'objet, dans un contexte de tensions croissantes autour du soutien Algérien au Polisario et aux groupes terroristes similaires qui s'enfantent, ici et là, et aux relations formelles de l'Algérie avec l'Iran, suscitant les préoccupations Américaines, qui selon des rapports de l'oncle Sam, Tehéran mène toujours, via son serviteur Algérien, le soutien militaire au Polisario,à l'instar de ce qu'il est en train d'offrir aux Houthistes au Yémen.

Selon les observateurs, le mariage illégitime Irano-Algérienne,constituait une escalade pour les USA qui pourrait résulter du soutien à d'autres terroristes qui gangrènent, «aux grains moisis Chiites» au Sahel et en Afrique.Le monde est devant une réalité de mal, accentuant le terrorisme d'Etat avec la coordination Algéro-Iranienne sur les réponses à donner à l'assassinat d'Ismail Haniyeh, d'une part, et les gifles ponctuelles et frappes des FAR, endossées constamment par le Polisario, ici et là à l'Est du mur remblai.

Un franc-parler et vérité choquante...Une diplomate pas comme les autres, ayant eu du courage en disant :  l'appui à la Marocanité du Sahara par les États-Unis était bien le «fait historique» expliqué avant sa proclamation aux Algériens par l’ex-Ambassadrice Américaine à Alger «Mme, Elizabeth Moore Aubin», une élève de l'oncle Sam,qui était alors en poste à Alger.

Dans un entretien-bilan accordé au site-chiffon Algérien avant de déposer les clefs, -La Patrie News-, un des principaux jongleurs et porte-voix de la junte au pouvoir en Algérie, la diplomate a clairement signifié qu’il n’y aura aucun changement au soutien de Washington à la Marocanité du Sahara et à son plan d’autonomie proposé par le Maroc en 2007.

-Eclairante et sérieuse avec ses propos, fidèlement étalés à la portée d'observateurs et analystes de la chose Algérienne, et face à des questions directes, formulées au demeurant sur le ton de reproche, la diplomate Américaine a été tout aussi claire.

Pour rattraper l’évident coup d’épée dans l’eau sur le Sahara et pour se soulager, le média Algérien précité avait tenté de jouer grand en diplomatie d'autruche de son pays et d'interpeller la diplomate, et que lui a fallu s’y attendre, sur les tensions et risques que provoquerait à ses frontières, ce qu'il appelle : «le couple Israëlo-Marocain». Une thèse purement inventée, que la diplomate a évincé d’un revers de main, insistant,  je cite :

«Je ne vois pas la relation entre le Maroc et Israël comme ayant causé des tensions en Afrique du nord, il y a énormément de questions qui provoquent des tensions sur le continent et qu’Israël ait pas besoin d’en être une, d'autant plus, qu'Israël n'est pas une menace pour l’Algérie plus que ses insurgés internes»

De quoi réaffirmer que le soi-disant complot «Marocco-Israélo/Franco-Américain» et plus encore, contre l'Algérie est une pure fiction. Tout comme l’est l’option d’impossibles «autodétermination ou indépendance», qui n’ont, à aucun moment, été que suggérées, lors de l'entretien de Mme Elizabeth Moore. Et ce n’est pas Mr.Bernard Lugan, le célèbre historien français qui en dira le contraire via ses écrits, et plus particulièrement la chronique«Le Sahara Marocain en 10 questions».

Avec cartes et documents à l’appui, un de ses écrits, montrait juste, que le Sahara Marocain "occidental" est un territoire arraché au Maroc par la colonisation espagnole et que «Le Sahara Marocain» n’est qu’une partie de l’ensemble des territoires Marocains que les colonisations Franco-Espagnoles arrachèrent, avec prémiditation, au Maroc, mais il y a aussi son «Le Sahara Marocain oriental», arraché pour y être ajouté à l'Algérie Française en le passant, via les fâcheux accords Franco-Algériens d'Évian-les-Bains¹, signés le souffrant à contrecœur»aujourd'hui sous le joug du néo-colonialisme Algérien.

Le Maroc fut largement amputé, et cela, tant par la France que par l’Espagne, de toute sa profondeur Saharienne, notamment de ses provinces comprises entre  celle de Figuig et l'Oued-Saoura, la région spoliée par l'Algérie d’une part et le Tafilalet-Drâa et les frontières de Mauritanie et du Mali d’autre part.

C'est la vérité qui éclaterait désormais au grand jour et à laquelle les chancelleries du monde entier ont accès. Les écrans de fumée montés par le régime d’Alger à ce sujet, n’y pourront rien changer de la réalité historiques de  l'Empire Marocain.

La France est revenue à la raison en tant qu'Etat de pointe en Europe, membre constituant au Conseil de Sécurité de l'ONU. Elle vient de s’aligner sur la position du Maroc, au risque d’une nouvelle crise avec son département d'outre-mer, l’Algérie.

Autre ton fort...Dans une lettre adressée au Souverain, ayant fait trop de bruits, Emmanuel Macron juge que le plan d’autonomie du Maroc est la «Seule base» pour régler le conflit artificiel du Sahara Marocain. Un revirement qui fait suite à plusieurs années de tensions avec le royaume. C'est un tournant, rigoureux et vigoureux, dans la diplomatie française, qui risque «d'éveiller le diable, sans pour autant pouvoir le calmer» suscitant, certes, de nouvelles rancunes.

Paris persiste et signe est censée d'aboutir à une solution politique juste, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies, la popsition y afférente est confirmée par la lettre Française adressée à Sa Majesté le Roi, rendue publique par l’Elysée et sans aller jusqu’à parler franchement, la missive précisait au passage que :

«le présent et l’avenir des relations bilatérales Franco-Marocaines s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté Marocaine sur tous ses territoires y compris l’intangibilité du Sahara Marocain qui dérange certains antagonistes du Royaume Chérifien». .

Le locataire de l'Élysée, qui est né, rappelons-le, bien après l'indépendance algérienne, a multiplié les gestes de bonne volonté pour bâtir une relation apaisée avec son ancien département d'outre mer, l'Algérie; mais en vain, la crise est désormais ouverte.

Le Sahara est Marocain et puis aprés?. Bien des interrogations se posent quant aux effets de la décision historique de la France concernant sa position à ce sujet. Sur le plan national, le président Macron a «sanctuarisé» cette position pour les trois ans restants de son mandat. Et à l’international, l’on peut penser que la diplomatie de l’Hexagone va prendre des initiatives allant dans le même sens, dans le cadre des Nations unies comme au sein de l’UE.

La décision de la France est seule base de solution au conflit Algéro-Marocain divise au sein du Parti socialiste Français. Si les critiques concernent la démarche adoptée par Emmanuel Macron, d’autres voix se lèvent pour se féliciter ouvertement de la nouvelle position envers le Maroc, dont «Mme Marine Le Pen», (photo) leader du -Front National-, le principal parti d'extrême droite en France.

 

                                                                             
                                                                                                     Marine Le Pen
 

Exception remarquable et panique extrême...«Mme Le Pen» est une femme politique  Française. C'est -Nabila Mounib- de France, une activiste qui heritait de son père Mr.Jean Marie Le Pen², le droit de faire du bruit à tout locataire de l'Elysée. Son père, rappelons-le, ressemblait au Marocain d'autrefois «Noubir El-Amaoui» de la CDT au Maroc. .

Cette femme farouche s'est réjouit de marquer sa présence au champs politique Français, tendant son «'seau d'eau'» parmis les seaux qui tournent, autour d'un conteneur polémique en France, par lequel, ont tenté faire du bruit et chanter l'Elysée. Elle jalonnait, avec audacité sur son site, ce qu'elle croyait être priorité et pas un quelconque fait secondaire! :

«Le gouvernement français n’a que trop tardé pour reconnaître l’engagement constant du Maroc depuis des décennies dans la stabilisation et la sécurisation du Sahara, partie intégrante du Royaume Chérifien, elle aurait du en faire, comme les grandes puissantces du monde, depuis fort longtemps. Nous devons soutenir toutes les initiatives pragmatiques des autorités Marocaines qui permettront de consolider la pacification de ce territoire, garante de son développement».

Important : Si Mme -Marine Le Pen- serait, un jour, présidente dela France aprés la fin du mandat de Macron ou de n'importe quel autre président, elle demontrera, à  sa façon, le systhème de granges, précisant tout récamment à la presse de l'Héxagone, je cite : «Si j'étais au pouvoir et que l'Algérie retire son ambssadeur, je retirerais le drapeau Algérien, conçu par Emily et l'hymne, dont nous avons le droit d'auteur géographique que nous avons déssiné à notre guise à Paris. Les Algériens sont nus sans nous».fin de citation.

Ceux qui ne connaissent pas  la réalité de l'Algérie, devront savoir que l'histoire de la création du drapeau-chiffon Algérien a donné lieu à plusieurs hypothèses.
La première affirme que c'est Émilie Busquant, l'épouse de Messali El Haj³, qui a conçu la forme définitive de ce drapeau-chiffon en 1934. Cela dit, prouve que l'Algérie n'existait pas avant 1830.Cela étant n'est pas étrange à ce que disait avant le général Charles De Gaulles sur l'Algérie.(point de vue consignée en blog dans une précedente note).

Le persistant mal-dz : L'hystérie ne quitte plus d’une semelle le régime algérien. son ministre Khattaf a révélé que le président français aurait informé l'Algérie de la reconnaissance historique par la France de la Marocanité du Sahara lors de leur rencontre en Italie, le 13 juin dernier en marge de la réunion du G7.

Cette annonce, qui marque  formelle vient de brouiller davantage le ton Algérien contre le Marocain. Sans ambages, Paris, a en effet provoqué depuis ce jour-là une fronde inconscience en Algérie, exacerbée par un climat de désordre inédit au sein de la diplomatie d'autruche à l'étranger!

En riposte, l'Algérie retire son ambassadeur en France  à cause de l'intégrité territoriale di Maroc. Le ministère des affaires mensongères algérien a dénoncé ce qu'il a appelé le : « un pas qu’aucun autre gouvernement français avant celui de Macron, n’avait cru devoir franchir». Face à l'initiative Française, Alger a annoncé le «retrait avec effet immédiat» de son jongleur en France. et sa représentation diplomatique en France est désormais du ressort d’un chargé d’affaires.

La France, consciente de sa volonté décisive et de sa souveraineté, a immédiatement répondu avoir pris note de la décision Algéroise . «Nous n’avons pas à commenter cette décision souveraine», a souligné une source diplomatique de l'Elysée, précisant entre autre, que pour la France : nous restons déterminés à poursuivre l’approfondissement de relations bilatérales avec tous nos partenaires».

L’ONU considère de sa part que «le plan  Marocain d'autonomie» comme seule base de règlement du conflit divergent (Algéro-Marocain), convenant à la légalité internationale, censée parachever la décolonisation des pays du monde.

C'est pourquoi dans ce sens, le gouvernement français a fini par donner sa caution franche et catégorique au rapatriement du Sahara à sa mère patrie le Maroc et que toute proposition négative prise par l’Algérie dans ce sens, serait nulle et non avenue, estimant que la France avait agi, avec beaucoup de loyauté, mesurant, éventuellement, toutes les retombées potentielles Algériennes.

Qui pourrait dire mieux...y aura-t-il quelque chose qui pourrait obliger n'importe quel Etat à justifier l’une de ses décisions Souveraines...N'est-il pas totalement libre de prendre la position qu'il juge utile et appropriée..! Certains pourraient argumenter.

Mais un pays comme l'Hexagone-fr peut-il avoir la liberté de prendre sa position, qui peut affecter non seulement, un pays voisin comme le Maroc, mais également l’ensemble de la région?.  La réponse ne pourrait venir, pas seulement du locataire de l'écurie d'AlMouradia d'Alger, mais aussi de ses sponsors qui s'activent en coulisses de cette maison close Algéroise.

Le problème est que l'Algérie, qui ne cesse de répéter à chaque occasion qu'elle n'est pas partie au conflit qu'elle à créé autour du Sahara Marocain et qu'elle n'accepte ce que les parties concernées acceptent, refusant toujours avec force de vanité de mettre sur table l'offre d'Autonomie depuis 2007.

Quelqu’un pourrait dire : que si même Ben Battouche accepterait cette offre, l’Algérie la rejetterait pour continuer à aveugler le peuple Algérien de ses propres problèmes en le contraignant à multiplier ses fils d'attentes pour des futilités alimentaires qui font défaut dans Algérie qui se prend en force régionale de frappe!.

Points de vue tonnerre...Le Royaume du Maroc apparaît aujourd’hui comme un îlot de stabilité démocratique au sein d’un monde traversé de multiples crises et divisions. Tandis que Son Roi est un homme de large culture et d’une finesse intellectuelle éblouissante». Ce sont les paroles de Mr.Nicola Sarkozy.

L’ancien Président français déclarait, qu’il a toujours été surpris par la profondeur de la vision et la magistrale réactivité de Sa Majesté le Roi... débutant son conte sur le Maroc par une petite exclamation..Pour s'enrichir de ce temoignage inédit, la rédaction du blog reprend textuellement le contenu, tel quel était dit...

Début citation : «On ne mesure pas assez en France la chance qu’a le Maroc d’avoir un roi comme Mohamed VI. Il est un rempart contre le fanatisme et les extrémistes. Il est l’un des rares dirigeants musulmans sincèrement engagé dans le combat pour le développement d’une réelle vie démocratique dans son pays », a écrit l’ancien président français.

Pour ce qui est de la vision de la politique étrangère de la France et particulièrement celle de l’Afrique du Nord, Sarkozy n’y va pas par quatre chemins: « J’ai toujours aimé le Maroc.

Des trois nations d’Afrique du Nord, celle qui nous est la plus proche, c'est un pays frère le Royaume du Maroc. C’est un égal de la France qui doit désormais être considéré comme son meilleurs ami, d'une grande puissance africaine. «Ses entrepreneurs, ses intellectuels, ses artistes, ses élites n’ont plus rien à envier aux nôtres».

-Dans cette rare prise de position aussi claire et explicite d’un président français, a expliqué que le Maroc a « réussi son entrée dans le monde moderne sans brader son style de vie, ses traditions, son univers si particulier. Ce n’est pas aux Marocains que l’on a besoin d’expliquer l’importance de la sauvegarde d’une identité nationale »,

-N’est sans doute pas né celui qui voudra la leur faire perdre ! La France doit chérir cette relation privilégiée. Elle doit la préserver, car elle ne va pas de soi. Le président Macron n’a pas toujours su trouver les mots ou les gestes que les Marocains attendaient. Son tropisme algérien lui procurera bien des déceptions.

-C’est sans doute un point de désaccord qui existe entre nous. « Je ne crois pas qu’il nous faille multiplier les initiatives auprès des dirigeants algériens dont la représentativité à l’intérieur de leur pays est aussi faible que la popularité. Plus nous essaierons de bâtir une amitié artificielle plus ils la refuseront.

-Ils ont besoin d’un adversaire pour détourner l’attention de leur peuple de l’échec patent dans lequel ils ont plongé ce pays magnifique ». Mon opinion rejoint celle exprimée par l’ancien ambassadeur français en Algérie (Xavier Driencourt), une fin connaisseuse de l’Algérie puisqu’il y a été affecté pour deux mandats. Et d’exhorter à ne pas bâtir une amitié artificielle avec l’Algérie.

-Ces initiatives, dont je peux comprendre les raisons et qui partent d’un bon sentiment, sont à mes yeux vouées à l’échec. En outre, elles risquent de nous détourner du Maroc. Ce dernier est ulcéré de l’attitude de son voisin, qui lui a fermé ses frontières au nez depuis trente-deux ans !». À ce jeu-là, nous risquons de tout perdre, en se basant sur le jeu auquel Emmanuel Macron se livre en essayant de séduire l’Algérie.Nous ne gagnerons pas la confiance de l’Algérie et nous perdrons certes, celle du Maroc. La reconnaissance de la Marocanité du Sahara est en parfaite cohérence avec la position de la France.(!)

C’est un pari dangereux, de surcroît condamné d’avance ». Sarkozy arrivera in fine par faire la leçon à Emmanuel Macron en parlant sans langue de bois sur le sujet du Sahara.« La France devrait maintenant prendre clairement position en faveur de la Marocanité du Sahara.

-Cette question est centrale pour les intérêts stratégiques du Maroc. Elle permettrait d’éviter une république fantoche dont la solidité et la pérennité laissent tous les observateurs informés plus que perplexes. Savoir choisir ses amis, ne pas craindre d’encourir le courroux de ceux qui le sont moins, s’inscrire dans une perspective longue, s’appuyer sur l’histoire commune : telles devraient être les boussoles de tout président Français.

-S’il est un domaine de la diplomatie française qui mériterait d’être revisité et amodié, c’est celui de notre engagement auprès de nos frères Marocains ! »,. Passant en revue la lente dégradation des relations franco-marocaines (revenant à un parti pris algérien,  constatée depuis la fin de son mandat depuis une décennie, Nicolas Sarkozy dira: «Cette situation est d’abord la conséquence de l’entêtement de mes deux successeurs à vouloir à tout prix sur jouer et surinvestir des relations obsolètes avec l’Algérie». Fin de citation. Bonne lecture.

                                                                      Très cordialement, Chihab25

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¹résultat de négociations entre la France et le (GPRA) pour mettre fin à la guerre d'Algérie. ² En avril 1961, lui et 4 généraux, refusant l'indépendance de l'Algérie, tentérent de renverser le cours des faits,faisant coup d'État contre De Gaulle. ³ Méssali Lhaj était le pseudo-nationaliste de l'Algérie Française.

 

                           

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