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  • Maroc : La diplomatie Royale capitalise sur ses alliances traditionnelles et ses partenariats stratégiques..

     

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                              المغرب يستثمر التحالفات التقليدية والشراكات الاستراتيجية في الأمم المتحدة

     

    Une diplomatie perspicace: Alors que les développements, liés au dernier chapitre du conflit du Sahara Marocain, avec enfin la résolution éclat du Conseil de Sécurité de l'ONU, la 2797, s'accélèrent, le Faucon de la diplomatie Royale Mr. Nasser Bourita, intensifie ses efforts diplomatiques sur plusieurs fronts.

    Il s'agit notamment d'une série de réunions bilatérales, de haut niveau qu'il organise ponctuellement, pour attacher les brebis galeuses qui viennent lui demander pitié et pour y profiter du pâturage de la crédibilité Marocaine! Ses entretiens avec ses homologues de poids et de positions décisives, s'articulaient sur les questions liées à la paix, la sécurité régionales, et se basent, notamment sur  intangibilité de l'intégrité territoriale Marocaine. 

    Il y a eu en premier, le Russe, Mr. Sergueï Lavrov, avec lequel étudiait les relations bilatérales et l'importance d'approfondir le dialogue politique et d'élargir les domaines de coopération stratégique entre les deux pays, il a également porté ses efforts sur le renforcement du partenariat avec les Etats-Unis lors de sa rencontre avec le secrétaire d'État adjoint Américain, Christopher Landau.

    Pour se faire, ce dernier avait clairement exprimé sur les relations privilégiées de longue date entre les USA et le Royaume et affirmé la volonté Américaine de travailler en coordination avec le Maroc pour «promouvoir la prospérité, la paix et la stabilité dans la région»», écartant de faire de même avec quiconque d'autre, allusion certes à la voisine de mal d'à-côté!.

    Dans une déclaration à la presse à l'issue de la rencontre, M. Landau a expliqué que « les Etats-Unis  reconnaissent la souveraineté marocaine sur le Sahara, par pure courtoisie, la  Marocanité du Sahara,  étant que le Royaume était  le premier pays au monde à reconnaître l'indépendance des USA en 1789 et que le gouvernement Trump encouragera les entreprises Américaines, souhaitant investir dans les provinces du sud du Royaume, dans le cadre des initiatives mondiales de l'administration Américaine».

    Pour parafer objectivement cette position, le Président Mr. Donald Trump, selon une dépêche jetée en cet espace d'araignée bleu, vient d'actionner l'un de ses mortiers pour fuser les sceptiques, qu'ils soient, ici ou là, (Algériens surtout) qui, se permettent éventuellement, minimiser la relation USA-MA, que la paix du bureau ovale  de la maison blanche relève et dépend de la paix du Royaume du Maroc.

    Les entretiens bilatéraux de M. Bourita ont également réuni son homologue espagnol, José Manuel Albares, le député américain Joe Wilson, ainsi que des responsables européens, du Golfe et d'Afrique. Les discussions se sont portées sur le soutien à l'intégrité territoriale du Maroc et la mise en place de l'initiative d'autonomie en solution réaliste au conflit avec l'Algérie.

    Action intensive : «Les Nippons enfoncent le clou plus loin». Dans un message fort et clair à l’Afrique à l’ONU, le Japon a réitéré, pour la troisième fois en l’espace d'une semaine, sa position constante de non-reconnaissance de l’entité Polisalgerie et ce à l’ouverture du sommet de la 9e Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique.

    Dès l’ouverture du sommet et en prélude au début des travaux, le ministre Japonais, Takeshi Iwaya, a fait une déclaration solennelle au nom de son pays, pour souligner que « la présence d’une entité non reconnue par le Japon en tant qu’État ne saurait affecter la position du Japon quant au statut de cette entité séparatiste«.

    De son coté, Nasser Bourita, démontre en marge de la session de l'Assemblée générale des Nations Unies que la diplomatie Marocaine opère désormais dans de multiples espaces, reflétant la transition du Maroc d'une puissance régionale à une puissance suprarégionale au sein des Nations Unies et témoigne de la capacité de la diplomatie Royale à opérer avec efficacité et réalisme dans un contexte international complexe et multilatéral.

    La diplomatie Marocaine a pu élargir sa sphère d'influence en équilibrant le soutien à l'initiative d'autonomie Marocaine, qui inclut des pays, membres permanents au Conseil de Sécurité Onusien, comme l'Espagne, les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni et la Russie,  pays favorables à la clarté Marocaine qui reflète la dimension suprarégionale du Royaume.

    Concernant cette activité la diplomatie Marocaine s'emploie à exploiter les contradictions du système international pour servir les intérêts du Royaume, que ce soit par des rencontres avec des alliés traditionnels ou en élargissant le cercle de ses partenaires en Europe, en plus de renforcer les partenariats régionaux avec les pays du Sahel liés à l'Initiative Royale Afro-Atlantique.

    Dans le cadre de la promotion de la stabilité régionale,  Mr.Bourita rencontre ses homologues du Sahel et attache continuellement les brebis galeuses qui y étaient portés par le vent poussiéreux de la diplomatie de mensonge Algérienne, se qui reflète l'engagement du Maroc à rappeler à l'ordre et faire soigner les pays Africains ayant été contaminés par pétrodollar Algérien.

    Parallèlement, les actions du ministère Algérien des affaires mensongères à New York semblaient limitées et fragmentées, en raison du soutien au mirage de son Polisalgérien, corrompant encore des corrompus pour en discuter de ses thèses malencontreuses dans les forums internationaux de manière incohérente,  paralysée par perte de crédibilité. 

    Après l'adoption de la résolution (2797) favorable aux intérêts du Maroc, l'Algérie voit sa diplomatie mise à l'épreuve. En froid avec ses voisins et sa mère France,  a vu ses principaux alliés – la Chine, la Russie et le Pakistan – s'abstenir de voter à sa faveur au détriment de la raison, la plus réalisable pour résoudre un conflit vieux de 50 ans..

    L'Algérie ne peut pas se permettre de rester en désaccord constant avec le Maroc, en se référent à sa crise cristallisée par le plan Marocain d'autonomie sur son Sahara dit "occidental" et si elle veut raccourcir l'espace de son isolement politique, elle doit pacifier ses relations, nécessité oblige, avec son environnement régional.

    Le leadership Algérien désavoué : L'Algérie en quête de souffles pour y ennuyer davantage. Le Mali et ses alliés, le Niger et Burkina Faso avaient rappelé leurs ambassadeurs, accusant l'Algérie d'avoir mener des actions hostiles préméditées à leurs souverainetés territoires par manipulation de groupes terroristes. Manipulation ressentie préjudiciable par ces pays. Et portant, se sentant à la barre d'accusation, le caporal pisseur (Chengriha) vient de nier ce qu'il a qualifié de «informations trompeuses et d'accusations infondées  concernant la «création par l'Algérie d'unités mercenaires menant des opérations clandestines au Sahel».

    La réalité sur terrain confirme les préoccupations de la région de l’expansion de groupes engagés par Alger, notamment au Mali...Quelques semaines plus tard, ces pays prirent leurs distances de cette voisine de mal, appréciant les changements majeurs survenus en faveur de la crédibilité Marocaine, tout en souhaitant, se rapprocher du Maroc, au simple vouloir d'en profiter de l'initiative Royale,  qui favorisera leur accès à l'Atlantique.

    La prise de position Américaine est sans ambages. Le plan Marocain n’est pas une option parmi d’autres, il est désormais l’option de référence, la seule option que la diplomatie réaliste puisse sérieusement envisager. Au cœur de cette posture, c’est la cohérence de la démarche Marocaine qui s’impose.

    L'Américain ne déconnait pas, voyant que l'initiative Marocaine qui conjugue légitimité historique, faisabilité juridique et stabilité régionale est une offre d’autonomie sérieuse, crédible et «ancrée dans le réel», loin des utopies figées de la thèse irréconciliables d'Alger.

    Dans ce sens, Boulos, rompu aux subtilités de la géopolitique régionale, ne s’est pas contenté de réciter une ligne diplomatique, il a, plutôt, scellé une orientation stratégique. En reprenant l’expression désormais clé, il clôt le chapitre des chimères référendaires et des discours instrumentalisés à des fins expansionnistes actant la fin d'illusion Algérienne, depuis la création Gaulliste à la «sécession Kabyle».

    Par contre, le Royaume, loin d’être isolé, il est en chef de file d’un consensus naissant, fruit d’une diplomatie Royale de clarté, de constance et de projection stratégique. À force d’engagements bilatéraux, de partenariats économiques et de gestes symboliques forts, comme les ouvertures de consulats à Laâyoune et Dakhla, le Maroc a su transformer sa proposition politique en axe géopolitique d’adhésion croissante. 

    La Marocanité ancrée dans le réel...Au-delà de la seule question du Sahara Marocain dit occidental, l’approche Américaine s’inscrit dans une stratégie régionale plus vaste, celle de la stabilité d'Afrique du Nord et du Sahel. En soutenant l’autonomie comme l’issue politique la plus crédible, Washington vise à désamorcer une source persistante de tension et à consolider un partenaire stratégique de premier plan avec le Royaume.

    Dans ce nouvel équilibre géopolitique, le Maroc s’impose comme un pilier de stabilité. Face aux menaces terroristes qui gangrènent le Sahel, à l’effondrement de l’État libyen, ou encore à la militarisation croissante du régime Algérien, le Royaume propose une alternative politique structurée, celle d’une solution inclusive, respectueuse des spécificités locales, mais pleinement ancrée dans la souveraineté Marocaine. C’est précisément le sens de l’initiative d’Autonomie que le Maroc défend depuis 2007, avec constance et méthode.

    Le soutien croissant de nombreux États, en Europe, en Afrique et dans le monde arabe, témoigne d’un basculement progressif et décisif. De Rabat à Washington, en passant par Paris, Madrid et Londres, l’idée s’impose : «la paix régionale passe par la consécration de l'autonomie Marocaine comme solution politique fiable et viable.

    Dans la diplomatie, les mots ont un poids stratégique, et lorsque Washington qualifie l’initiative d'Autonomie Marocaine de «réaliste et crédible», ce n’est pas une simple déclaration, mais une pierre angulaire posée dans l’édifice d’un règlement durable. Ce que Massad Boulos vient d’énoncer, c’est moins une prise de position qu’un constat, le Maroc est là, Souverain de ses décisions, stable, force de paix et porteur de solutions à la région.

    La parole Américaine ne fait pas que soutenir le Maroc dans son conflit avec l'Algérie, mais elle s’inscrit dans sa vision. Il ne s’agit plus seulement de défendre une Maroc, il s’agit d’entériner une solution régionale fondée sur le droit international, la légitimité historique et l’adhésion croissante d’une majorité d’États membres du Conseil de Sécurité de l’ONU.

    La question du Sahara n’est plus suspendue à l’hypothèse incertaine d’un référendum irréalisable. Elle est désormais encadrée par une solution unique, validée par les grandes puissances dans les faits acceptables par le Conseil de sécurité sont exprimés en grande pompe «le 31 octobre 2025». Journée de gloire devenue désormais, officiellement «fête d'unité Nationale au Maroc».

    C’est un tournant, un jalon stratégique, une élévation du Plan Marocain au rang de norme émergente du droit international. Il appartient désormais à la communauté internationale, et à l’ONU en premier lieu, de sortir de l’ambigüité, d’embrasser et finaliser une solution qui allie réalisme, légitimité et stabilité. 

    Tandis que l'Algérie est hors ligne, elle vit au ton de ses casernes, appliquant les mots d'ordre de quartier général, dont la répression des citoyens et des journalistes est devenue la marque de fabrique de la junte en place, du fait que journalistes et opposants politiques sont arrêtés simplement pour avoir exprimé leurs opinions sur les politiques désastreuses du régime et pour avoir manifesté leur opposition à l'écurie d'El Mouradia.

    La politique d'hostilité du régime vieillissant d'Alger, par sa création et son encouragement au séparatisme, a isolé et marginalisé l'Algérie sur la scène internationale.  Après les échecs diplomatiques accumulés par le régime, la politique étrangère désastreuse menée par cette clique malfaisante a engendré à des relations tendues avec ses voisins et nombre de partenaires internationaux.

    Cette répression reflète le climat de peur et d'intimidation chez les caporaux, qui craignent de perdre leur pouvoir, leur fortune et leurs privilèges. Cela les pousse à faire taire les voix critiques et à étouffer les idées nouvelles, allant jusqu'à recourir aux arrestations et, dans de nombreux cas, au meurtre.

    Quoi qu'il en soit, en ce qui nous concerne nous Marocains. Le Maroc en face, a sa Monarchie qui l'honore, malgré «l'intrigue d'intrigants», comme le disait l'anecdote arabe.  Oui je dis bien la Monarchie et j'ajoute «ancestrale» honorant, tout Marocain, car le Royaume vit somptueusement sous le règne d'un Monarque providentiel, seul capable à conduire son peuple vers plus de succès et de bonheur..

    Des témoignages se déchainent et parlent vérité : Je termine par des témoignages choquants, exprimés par deux personnalités politiques, pas des moindres. Présidents de deux républiques distinctes - le colonisateur et le colonisé!.  

    Il est alors possible à tout rédacteur d’écrire, en grand pompe, sans se faire traiter de «nostalgique de l’Algérie française» ou de «partisan de l’OAS¹» , que l'Algérie n’existait pas en 1830 quand se fit le débarquement français, comme l’écrivait en 1936 Mr. Ferhat Abbas, le premier président de l’Algérie indépendante, je cite :  

    «Si j’avais découvert la Nation Algérienne, je serais nationaliste et je n’en rougirais pas comme d’un crime. Les hommes morts pour l’idéal national sont journellement honorés et respectés. Ma vie ne vaut pas plus que la leur. Et cependant je ne ferai pas ce sacrifice. L’Algérie en tant que Patrie est un mythe. Je ne l’ai pas découverte. .J’ai interrogé l’Histoire, les morts et les vivants; j’ai visité les cimetières: personne ne m’en a parlé». 

    Il y a lieu aussi de rappeler aux Algériens que disait à ce sujet le créateur de leur Algérie, le président Français? fort de son époque, «Le général Charles De Gaulle²» déclara avec certitude décisive et éclatante (vidéo en bas) ce qui prouve que cette voisine de mal n'existait jamais en tant qu'entité viable :

    «Depuis que le monde est le monde, il n’y a jamais eu d’unité, ni, à plus forte raison, de souveraineté algérienne. Carthaginois, Romains, Vandales, Byzantins, Arabes syriens, Arabes de Cordoue, Turcs, Français, ont tour à tour pénétré le pays, sans qu’il y ait eu, à aucun moment, sous aucune forme, un État algérien».

    Je peux dire enfin qu'on ne peut inciter et prévoir une paix durable avec une bande d'affamés de haine, d'hostilité et de vengeance?. S'agissant d'une bande de caporaux qui a saccagé le destin de tout un peuple opprimé dans une Algérie jetée dans l'abime plongée de haine qui a déchiré la toile de la fraternité escomptée d'autrefois  et souhaitée par nous tous. Bonne lecture.

                                                     Cordialement,Chihab25

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