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  • 2/3.-La Marocophobie à l’algérienne..!

     Suite...

     استطلاع: أغلبية الفرنسيين يحملون انطباعا جيدا عن المغرب          


          




     

     

     

     

     

     

    S.M.Le Roi Mohamed VI et le Président Français,Une poignée de main, en respect d'amitié d'Etats.

                                                                       Un Maroc en mouvement.

    Fort de son histoire séculaire et de son ancrage civilisationnel, le Maroc chemine vers le progrès et la modernité, sous le leadership de S.M. le Roi Mohamed VI que Dieu l'assiste. Quand nous comprenons notre histoire et nous disposons de la vision nécessaire, il nous est facile d'appréhender notre avenir, ainsi que le chemin que nous voulons emprunter pour y parvenir et c'est bien le cas de notre pays aujourd'hui.  Le Maroc, dans ses contrées les plus reculés, assimile l'opportunité qui lui est offerte aujourd'hui pour entrer de plein-pied dans la modernité en étant profondément imprégné des solides fondations de son histoire.

    Concernant les réformes mises en oeuvre dans le Royaume, je me réjouis comme d’autre Marocain d’observer que celles-ci s'inscrivent dans une logique de progression inscrite dans l'histoire du Maroc qui renseigne sur le présent tout en rendant disponible des outils qui aident à comprendre l'avenir et à mieux s'y préparer,

    C’est ainsi, la communauté internationale démocrate, au sens du terme, est très impressionnée par les réformes Marocaines, dont l'adoption de la constitution de 2011, toute aussi impressionnante, ayant permis la mise en place d’un gouvernement  issu des urnes. Un gouvernement qui pour porter le notion de gouvernement politique, doit  selon les observateurs,  subir un examen de passage réussi, passer par une phase obligatoire d’apprentissage profond, pour atteindre, peu à peu, le niveau du vrais gouvernement politique d’alternance de Abderrahman Yousfi qu’a connu notre pays à la fin de l’ère Hassania dans  le cadre de la constitution de 1996, aux années quatre vingt dix du siècle écoulé.

    Le peuple Marocain conscient du changement de la carte politique qui se façonne ailleurs est impressionné par l'approche du changement local adopté à la Marocaine dans tous les secteurs vitaux du pays. Un changement réussi qui a débuté, non pas avec le printemps arabe comme on y croit, mais  mis en oeuvre bien avant, depuis le discours royal d'octobre 1999 à Casablanca, discours ayant instauré le "nouveau concept d'autorité", qui met l'État au service du citoyen et pas le contraire.

    Cet acquis honorant la dignité du Marocain, fut suivi aprés par le grand chantier INDH (Initiative Nationale pour le Développement Humain), qui venait à la rescousse des démunis et à l'éradication progressive de la précarité. Les faits concrets sont là et bien visibles, justifiant sur terrain ces deux aspects constructifs, portant le cachet de la bonne gouvernance de Sidna. Partout au Maroc les populations y vivent matériellement le changement et considèrent qu'il n'y a rien de plus important que de crier satisfaction.Touchez le Marocain dans ses yeux, comme on dit, et ne lui toucherez pas Mohamed VI, acclamé, partout à travers le pays, par des vivats de coeur.

    Le printemps arabe pour nous Marocains est un fait médiatique qui se passe ailleurs et ne nous concernait pas non plus. En preuve, la rapidité dont il agissait le souverain dans ce sens s'inscrivait dans une agenda proprement royale, arrêtée depuis le 30 juillet 1999, au lendemain de l'intronisation de Sa Majesté le Roi.Les sorties du M20F, et autres étaient une coïncidence avec les nouvelles révolutions survenues en Tunisie, en Egypte et en Libye, au Yamen et actuellement en Syrie. Des  autorévolutions mal préparées et malmenées, venues à l'insu du hasard et on y vit les conséquences. Par contre notre révolution à nous, si j'ose employer vachement le mot, a donné ses récoltes et donne encore ses fruits sans bruit.

    Une Liberté encombrée.

    Néanmoins, la fièvre des mouvements que nous offrent les médias, les diverses chaînes satéllitaires arabes ou autres, à travers le monde, incite les mauvais esprits de chez nous à imiter les autres, à sortir dans la rue, à manifester pour rien. Et pourtant les manifestants d'ailleurs n'ont pu jusqu'à présent atteindre le 1/100° de leurs revendications, par rapport à ce que nous y sommes entrain de vivre pratiquement d'un changement constructif, dans les domaines de la politique, de la liberté de presse, de la liberté d'expression par tous les moyens. Malheureusement on y voit que ces acquis sont mal intérpretés par certains opportunistes qui haussent le ton montant sur le chantage de la rue pour y arriver à leurs propres intérets.

    Chaque socièté a de nature, ses Skinners et ses pigments, mais dans la nôtre il y a certains  instigateurs (KS.et AA et autres du 5ème escadron) qui n'ont de soucis que de sémer le désordre pour survivre.C'est pourquoi on les remarque qu'à chaque occasion et même sans occasion, abusaient de la grande marge de liberté d'expression qui sévit dans le pays, pour devancer des marches d'adolescants frivoles, et de chômeurs de toutes tailles, pour revendiquer des futilités, dans le seul but, est de crier pour faire sortir le sanglier, le moment où toutes les institutions constitutionnelles de l'État et les instances de défence opposées, marchent normalement, s'activant avec objectivité, pour se positionner légalement dans les sillages de l'État de droit et de loi. Le fait de crier ou lever hostilement des slogans injurieux, ce serait que pour régler, d'une manièrre ou d'une autre, des comptes avec des politiques ou d'entacher d'autres influents qui les ont exclu la scène politico-associative, d'autant plus que ce non-sens s'inscrivant dans le contexte de «la caravane passe et les chiens aboient!» n'a et n'aura aucun impact sur les acquis démocratiques enregistrés jusque-là..

    C'est en cette période de turbulence arabe, qu'il nous faut revisiter les notes de réussite obtenues du changement blanc Marocain, d'évaluer ses moments forts de stabilité en politique, en sécurité et en paix sociale qui les accompagne, contrairement à ce qui se passer à l'Est et au Nord de nos  frontières. État jugé trés favorable par les experts et les analystes politiques, grâce à l'intéllégence royale qui sait se retrouver là où ont échoués les autres. d'autant plus, la Monarchie Marocaine appuyée par ses fidèles sujets aura bien le talent d'innover davantage dans le sens le plus fructueux pour mettre du Maroc un foyer de progrès, d'humanisme et de modernité, ce qui mettra en toute évidence ses potentialités prometteuses à la disposition de tous,  des potentialités attirant les hirondelles Européennes à venir  pondre tranquillement leurs oeufs sur cette partie calme de la rive-sud de la Méditerranée.

    C'est dans cette culture libérale, du respect mutuel et du savoir vivre ensemble que le Maroc devient de plus en plus un pôle de destination et d'accueil,  espoir de beaucoup de partenaires, soit d'Europe, du Machreq ou d'Afrique. Outre que la Communauté internationale avait maintenant pris la juste mesure de la réalité et de la profondeur du consensus national au Maroc autour d'une Monarchie encrée dans l'histoire et autour d'une société inclusive, qui a su se réapproprier tous ses atouts pour se démocratiser, à la faveurs des générations futures, de son éxistence et à son avenir, à l'horizon de la globalisation qui avance pour dévorer tout.

    En proposant au peuple marocain une Constitution qui écrit dans son préambule la place fondatrice des civilisations arabo-musulmane, berbère, juive, hassania et andalouse dans notre patrimoine et dans notre identité, S.M. le Roi Mohamed VI a donné toute sa force et toute sa légitimité à l'exceptionnelle singularité de notre destin national, en invitant les partenaires à méditer sur ce choix, alors qu'autour de nous, juste à notre Est, la régression, l'exclusion et l'archaïsme stagnent de façon arbitraire là où le peuple algérien combattait,ou faisant vainement le semblant, pour les faire disparaître.                 

    Volonté à développer les acquis

    Ce que je crois, le Maroc a une volonté sincère à développer les acquis réalisés qui touchent directement le quotidien de sa population, à évoluer les droits de l'homme et à maintenir sa courbe positive en renforçant en parallèle le suivi de son image dans les rapports internationaux en tant qu'État crédible émergent.

    Pour cela, les acteurs chargés de la réalisation et la mise en scène misent pour que le fait de rétablir l'équilibre au sein de la société se concrétisera à travers la bonne gouvernance, par création des conditions propices à réduire les disparités sociales et à offrir des opportunités équitables à tous les citoyens à travers tout le Royaume., et que  l’Etat consolidera davantage la portée solidaire, veillera à instaurer plus d'équité de manière directe  pour toucher les tranches marginalisées. A cet égard,  les dispositions sont prises par l'Exécutif pour la généralisation de la stabilité politique, la stabilité  sécuritaire, la sécurité sociale, et la poursuite de la concrétisation de l'Initiative Nationale pour le Développement Humain.

    La Marocophobie persistante. 

    Je reviens à l’algérie qui met la Marocophibie le principal repère dans son agenda, et qui concentre, depuis les années soixante son hostilité aseptique à notre pays, sans être réellement capable de dépasser les querelles de ses histoires tourmentées en ce sens, ni d’inscrire sa relations dans un cadre stratégiquement fructueux, faisant prévaloir nos  intérêts partagés.                         

    Si les algériens en avaient la bonne fois, nos deux pays nord-africains, ont pourtant tous deux la vocation à être des acteurs régionaux et aspirent à faire valoir leurs valeurs au plan mondial. À ce titre et pour qu'on arrive pas là, les algéiens font de leur mieux pour écarter le Maroc en se faisant unilatérallement  le moteurs d’initiatives régionales spériles inspirant une certaine méfiance, voire plus, à leur voisin de l’Ouest qui, selon la fausse conviction algérienne, peut dresser parfois des agendas cachés anti-algériennes les contraignant à supporter des propensions imaginaires "dirigistes" jugées, à tort, trop excessives à leur mentalité haineuse.

    Du fait de leur taille relative dans la région, de l’importance de leur population, du partage d’une langue commune du potentiel humain, de leurs besoins et enfin de leurs intérêts croisés, nos deux pays ont pourtant de nombreuses raisons de se rapprocher et de se concerter pour créer de la confiance et coordonner leurs actions respectives lorsque celles‑ci impactent les intérêts de fraternité et de voisinage. Cette coordination est malheureusement toujours bloquée par le pouvoir algérien, pour ne pas dire rejettée en bloc, évitant tout développement allant dans ce sens. Tandis que les déclarations prometteuses d’appaisement et de confiance qui s’affichent, de part et d’autre, ne sont qu’une sorte de consommation hypocrite

    Les obstacles les plus importants au développement harmonieux de la relation avec l’algérie, souhaitée à la fois, par notre pays et aussi par le peuple algérien opprimé sont artificielles aux yeux de tous, autant que des analyses, peuvent être regroupés en trois domaines : les interventions algériennes ressenties par nous Marocains, comme des ingérences dans nos affaires d’intérêt national. Tels que  la question du Sahara Marocain.-La question épineuse de frontières et  le dédommagement des biens des déportés Marocains de 1975. 

    Des questions cumulées après cinquante ans de face‑à‑face entre notre pays et le régime algérien, pour ne pas dire entre nos deux nations.  Les dirigeant algériens n’en finissent pas de ressasser leur passé et leur ressentiment de haine, leur ingratitude. Il semble être temps aujourd’hui pour nous Marocains surtout, de regarder l’avenir et de construire une relation plus confiante qui accorde la plus grande priorité au devenir de nos populations dans cette époque, politiquement, socialement et économiquement troublée chez nos voisins de l’Est.

    L'observateur aura la certitude que cet appel vision n'aura pas le bon accueil à l'autre coté de la frontière, là où les dirigeants sont incapables d'éradiquer même le terrorisme local et lever les faux barrages qui s'hissent de temps à autre partout chez eux. Preuve à l'appui:Tout récemment, trois citoyens algériens ont été blessés par balles,  le lundi 17 décemre vers 22h, heure locale, dans un faux barrage sur la route de Mâatkas, à une vingtaine de kilomètres au sud de la ville de Tizi Ouzou, selon des sources sécuritaires. Arrivées au niveau du faux barrage, dressé sur le chemin, les trois victimes ont refusé de s’arrêter et ont foncé sur les auteurs du barrage, en l’occurrence trois individus cagoulés ont ouvert le feu sur le véhicule, blessant ses trois occupants.                             

    Pour autant, doit‑on définitivement obérer l’avenir avec le poids du passé ? Il me semble que la plus grande partie des populations, de part et d’autre, accordent plus d’importance à l’avenir qu’à la lecture toujours recommencée des pages les plus sombres du passé algéro-Marocain qui  sont marquées, chez les algériens par les séquelles de la guerre des sables et par les défaites  de l'armée algérienne dans les Amgala en fèvrier 1976 au Sahara Marocain. Pour ce qui est de la question de leadership, elle est aujourd’hui confisquée en Algérie par des composantes politiques qui l’instrumentalisent à des fins de légitimation ou populistes au service d’intérêts particuliers de leur politique intérieure. 

    Un analyste algérien de retour du Maroc, aprés avoir vécu de prés, la générosité Marocaine dans laquelle s'est tenue la semaine culturelle algérienne au Maroc, a laissé entendre ses émotions d'amertume et dans une colère trop avancée, il a écrit quelque part sur un site algérien  de révolte: «Ceux qui se révoltent de l'étranger, soi par voix sonores ou par éccrits, ils ont droit et raison de s'exprimer ainsi, étant donné  qu'il y a pas d'opposition éffective, là où il n'y a pas de démcratie. L'algérie, selon cet analyste, a atteint l'abîme plongée dans l'inconnu, vers un avenir incertain, éloignée des critères de l'État crédible et respecté, dépourvue de tout horizon prometteur, elle n'a ni réligion, ni idéologie». (la dine!.. la mella! dit-il).  

    Sa situation sociopolitique  a-t-il écrit, va en s’exacerbant et que le régime n’a ni la capacité, ni la volonté d’épargner  au pays l’explosion politique et sociale qui pèse sur a socièté algérienne. à cause de la névralgie qui touche au corps de cette socièté par la haine qu'observent les constituants du clan du "royaume de Tlemcen" et avant eux les Chawis contre le royaume du Maroc. Celui qui revient de son cavale du désert et qui détient aujourd'hui les destinées du pays n'est qu'un agent d'éxecution d'un mauvais héritage cumulé par ceux qui l'ont précédé,  ceux qui sont venus à bord des tanks en juin 1965 et en Janvier 1991, pour violer l'ambition populaire algérienne et parer à tout rapprochement avec le Maroc et à la réconciliation avec la générosité de nos frères Marocains. et pire encore, si celui-là arrive à briguer un 4ème mandat, ça sera une 4ème couche de médiocrité pour l'Algérie.

    Devant l’exacerbation du pouvoir algérien, par l’insistance du peuple à lui contester sa légitimité, le qualifiant de pouvoir despotique répondant au nom du clan d’Oujda, celui-ci, saisissant l’occasion de la visite d’Hollande en Algérie, l’invite à Tlemcen, bastion de ce clan, comme pour adresser "un bras d’honneur" au peuple algérien, suite à son insistance dans la contestation de sa légitimité..Fin de citation. 

    Nul n'ingore qu'une sourde indignation est montée des profondeurs du pays il y a plus de dix ans. à cause de ce qu'on appelle en algérie "la décennie noire", on se croyait trouver l'issue. Bien qu'unanime, le constat d'un régime soumis aux mafieux, aux puissances de l'argent et aux politiques n'est pas une révélation. Ce qui a frappé le fond de la socièté algérienne à mon avis, c'est de réaliser avec tristesse et crainte comment l'on peut tomber deux fois dans la route? : d'abord aux mains de féodaux intouchables, puis aux mains d'une junte militaire corrompue improbable agissant derrière les coulisses et qui avalise l'attitude des premiers. , mais le drame inévitable qui peut arriver à chacun en algérie. c'est si un algérien, déjà violenté, est poussé au suicide, c'est qu'il a eu raison puisque  ses droits son bafouillés et que la justice télécommandée n'a pas réussi à réparer l'injustice a posteriori. Et plus largement, quand la violence s'imbrique dans l'impunité pour faire corps avec l'injustice, que reste-t-il  à cet algérien comme recours ? A part se faire vengeance en s'achetant une arme au grand marché noir de la désillusion ou en montant au maquis par la voie de la colère, il n'y a pas grand-chose à faire à Alger, le pouvoir impose aux algériens d'y croire que l'algérie fonctionne si bien et à plein régime.

    La socièté algérienne, elle-même, est partie intégrante dans cet ordre dominant ; puisqu'elle croit à aveuglement à une revendication stérille, que le régime aurait pu constituer  une occasion pour faire préoccuper son opinion publique locale et de faire entendre à la France, par une voix cassée, la réclamation d'une repentance impossible. Pour se faire, Bouteflika et peut-être des autres avant lui, aurait chargé le Secrétaire Général de l'ONM (Organisation Nationale de Moujahids) d’habitude très virulent à l’égard de la France, pour lui réclamer sans cesse, qu’elle se repente sur ses crimes coloniaux, ce  qui va leur valoir les attentions de la presse  locale. A eux de mener à bien une mission exploratoire de programmation de l'opinion publique algérienne. Une manièrre que l'on cache derrière l'écran de fumée et qui risque de sonner le glas des espoirs et des illusions.

    Les deux poids, deux mesures d'Alger..

    Les discours qu'ls produisent séparemment les valets de Bouteflika, à la veille de la visite du président Français en algérie étaient tellement contradictoires au profit des poids en attendant les mesures.

    -Abdelmalek Sellal, le nouveau lêcheur de bottes du régime Boutef. ajoutait dans une interview à Fr3 que l’Algérie souhaite bâtir avec la France une relation résolument tournée vers l’avenir, expurgée de «concepts éculés» mais sans que ce soit au détriment de la mémoire et la gloire du peuple algérien. Cela étant prouve l'historiette qui dit que les algériens sont dingues de nature (dix cerveaux en un) et sont si simples à enrouler par les leurs. 

    -Morad Medelci le ministre algérien des Affaires étrangères, explore d'un autre angle, la souplesse de ton, il tape sur un autre tambour, lêchant d'une certaine manièrre, les bottes Français. Dans une interview à France 24, à la veille de la visite du président français, François Hollande en Algérie(19-20/12/12), a déclaré que son pays n'a pas appelé la France de présenter des excuses pour la période coloniale 1830-1962. En réponse à une question, il a ajouté que: «La question de la mémoire entre l'Algérie et la France est une réalité», mais l'Algérie n'a fait aucune demande d'excuse officielle. Je rappelle dans ce sens que l'Assamblée Nationale Française avait adopté, le 23/2/2006, une motion de fièreté, glorifiant la France et ses colonisations à travers le monde. Ni François Hollande  construit par l'expérience de ceux qui l'ont précédé ( Jacques Chirac en 2004 et Nicolas Sarkozy en 2007), ni celui qui le succédera, ne peuvent défier le législateur Français et  reconnaître le passé colonial et les crimes de la France en algérie et mettra également fin aux instrumentalisations et calculs politiciens entretenus, de part et d'autre, à cet effet. 

    -Du coté de Dahou Ould Kablia, ministre algérien de l'intérieur, il jete des pièrres aux quatre coins : Moi, je n’exprime pas une position officielle mais ma position personnelle sur ce sujet. Je considère que ces choses-là sont dépassées. La parenthèse est fermée. Comme on l’a toujours dit. Il faut tourner la page mais sans oublier le passé. Car les souffrances, les sacrifices nous les avons consentis pour libérer le pays. Nous avons obtenu ce résultat, ça fait maintenant partie de l’Histoire. Aujourd’hui, il faut envisager l’avenir et je pense que ce n’est pas en ressassant perpétuellement les mêmes demandes, les mêmes exigences que l’on fera avancer les choses. 

    Quel jugement peut-on donner à la mascarade que représente cette photo, pour "l'Algérie de fièreté et de dignité"? . Si le président Bouteflika était contraint, mesures protocolaires obligent, d'embrasser à la manièrre occidentale, la main de la maîtresse de Hollande. On le voit en position de  vieux célibataire thuriféraire, devant une femme représentant la chancellerie Française, dans un pays dépourvu de sa première femme censée honorer sa présidence dans des situations protocolaires pareilles. C'est une faille flagrante qui entache un pays se prétendant la particularité au monde. C'est vrai,  c'est une particularité  "Made in Algéria" ne se trouvant pas ailleurs.

                                               

    Etre thuriféraire pour Bouteflika, est de mise en ses circonstances. 12 partis politiques algériens accusent le président français d'intervenir dans les affaires de l'Algérie. Pour eux Bouteflika a fait des concessions à la France , tout en faisant circuler "le peuple veut Bouteflika encore au pouvoir", souhaitant décrocher l'appui et le visa de  Hollande pour en arriver-là.

    Un autre algérien, a fait de même, il baisait volontairement la main de François Hollande¹. Cela a permis aux observateurs de se poser la question, s'adressant aux algériens qui  se disent avoir le "nez" qui, à mon sens, ne sent que de l'ordure..Où sont passés les arrogances et les orgueils abusifs dont ils sont atteints, où est-elle passée la virtue qui s'en vantent la préservation? Nous Marocains, nous ne faisons cette discipline respectueuse qu'à Sidna, en tant qu'Emir El Mouminine. Inversement, les algériens nous envient et nous font face pour ça. Pour nous, c'est de une tradition spirituelle encrée dans l'authenticité et dans l'histoire de notre pays, dont nous faisons preuve envers la personne du Souverain, issue des nobles descendants de la dynastie chérifienne qui attire ses origines du prophète Sidna Mohamed (saws).(Regardez la photo en bas de la page).

    Malgré l'hypocrisie algérienne, officielle et officieuse, comme nous l'avons vu, le président français François Hollande, a reconnu  le 20/12/12 devant le Parlement algérien les "souffrances" que la colonisation Française a infligées au peuple algérien. Ce discours,  qui était une sorte de jeu sur les mots, n'a occulté ni le passé ni l'avenir, mettant effectivement en exergue le système colonial brutal et profondèment injuste et la souffrance du peuple algérien" et la relation franco-algérienne reste toujours éruptive.

    Si les hommes sont les ennemis de ce qu'ils ignorent, disait Ibn Larabi, Je ne crois pas que la classe culturelle algérienne ignore le sens, , je ne dirai pas la classe politique, car cette dernière ne s'en mêle pas de ce genre de culture, étant donné qu'elle est déjà consignée en otage dans l'extrémisme politique et dans le dogmatisme,  elle aurait juré parait-il, voire programmée et mémorisée, de ne pas aller  à la reconquête des valeurs de l'être, de justice et de dignité pour eux tous.  Le corps de l'Algérie ,à mon sens, a besoin de la grande ablution pour se purifier.

    Comment voulez-vous qu'on avance avec cette  mentalité malencontreuse? Le pouvoir politique en place en Algerie, que nous savons, est illégitime et mafieux à plus d’un titre, cela me donne l’occasion à travers ce factum politique,  faire éveiller l'opinion publique algérienne, trop souvent abusée par les mensonges, les manipulations ou les silences, d’une désinformation sournoisement orchestrée par les médias publics, les lobbies, et autres relais de l’ordre dominant.

    Je ne fais pas allusion aux algériens exprés ou par haine, c'est la Marocophobie à l'algérienne qui m'en dicte la teneur. Ce volet  ne peut être clos, sans préciser que si le sujet de la rédaction, était bien clair ! ce qui précède démontre, qu'il fallait bien au contraire l'appeller «Algérophobie à la Taflikienne» Bonne lecture.Chihab25.

    A suivre..

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                                                                            ¹.- Un petit commentaire algérien:

                                                                                                                                             عمروش   

                                                                                               بسبب هاؤلاء بقيت فرنسا 132 سنة في الجزائر

                   وبمثال هاؤلاء دمرت الجزائر وإبيد الشعب الجزائري منأجل بقأ جنرالات فرنسا عاهرات قصر الإليزي فيالحكم         

                            وبسببهم اليوم نذل ونهان على رؤوس الأشهاد  أصبحنا مهزلة بين الأمم يارجال...لا نامت أعيون اجبناء