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  • Maroc : La diplomatie Royale est différente des autres...

    Rencontre entre Mohamed VI et le président malien Ibrahim Boubacar Keïta | Crédits Photo -- REUTERS/Thierry Gouegnon
                             Sa Majesté le Roi Mohamed VI et le président malien Ibrahim Boubacar Keïta

    Les derniers paragraphes de la note précédente du 25/9/13 citaient le témoignage d'un diplomate Français à Dakar au Sénégal dans lequel il désignait le Maroc comme  «Le Grand frère de l'Afrique», ressemblant la situation de l'Algérie à «Un éléphant dans un magasin de porcelaine». La rédaction du blog se voit obligée de ne pas consacrer tout son temps et énergie à la saleté de l'Algérie. Logiquement la nécessité exige qu'on mets en exergue tout succès enregistré à la faveur de notre pays, pour que nos lecteurs Marocains surtout,en prennent connaissance et se réjouissent de la grandeur de leur pays.

    Tout, d’abord, il y a lieu de rappeler que, dans son discours d’investiture, du 19 septembre 2013, le Président malien, a tenu à remercier Sa Majesté le Roi Mohamed VI pour sa présence effective à sa cérémonie d’investiture.

    Une présence qui, à mon sens, constituait pour le Chef de l’État malien un incommensurable et insigne honneur pour le peuple malien et un signe incontestable d'estime et d'amitié. Des remerciements, exprimés devant plus de 20 Chefs d’État et des dizaines de milliers de personnes, qui constituent une marque de gratitude publique pour les actions et la solidarité engagées par Sa Majesté le Roi envers le Malien.

    On se rappelle aussi, que le Souverain avait entretenu avec plusieurs Chefs d’État, notamment les Présidents: français, tunisien, gabonais, Guinéen, nigérien, tchadien et ivoirien. Des entretiens qui ont porté essentiellement sur la qualité des relations bilatérales et les moyens de les renforcer, tout en mettant l’accent sur l’importance de la coopération Sud-Sud entre États africains. Les différents chefs d’État ont, à cette occasion, exprimé au Maroc leur reconnaissance pour le rôle joué par le Souverain dans la consolidation de la paix et du progrès en Afrique, faisant allusion aux casques bleus Marocains, hôpitaux militaires de campagne et aides alimentaires aux pays sinistrés.

    Ces mêmes représentants ont saisi cette occasion pour rendre un vibrant hommage au Souverain que Dieu le glorifie pour son leadership humanitaire et saluer son action inlassable en faveur de la paix et la stabilité du Mali meurtri par près de deux années de conflit.

    Changer mule par mulet..Je dois revenir d'autre part, aux algériens qui doivent savoir en parallèle, que la nomination de Ramtane Lamamra à la tête de la diplomatie Algérienne n'aura aucun effet sur notre politique étrangère, au contraire  notre diplomatie est un «Sujet royal majeur» qui  ne fait qu'augmenter davantage l'effet  diabétique  à nos voisins Algériens.  Ce nouveau pion-Taflikien ne nous fait pas peur, comme se fient croire certaines tribunes électroniques.

    Ceux d'Afrik.com qui auraient dégusté eux aussi la saveur des offrandes Algériennes, avançaient que cette nomination «risque de donner du fil à retordre au Maroc» ils se trompent, car il n'est, pour nous Marocains, qu'un figurant qui a moisit dans les halls  d’Addis-Abeba en Éthiopie et qui avait seule mission de négocier et acheter les faibles esprits Africains pour applaudir la création Algérienne "Rasd" et d'appuyer Hammati Marrakchi¹ dans sa paillardise.

    Sa venue à la tête de la diplomatie Algérienne ne change en rien, de même qu'il n'aura pas d'impact, ni énergie astucieuse ou ingéniosité plus que le masochisme de son prédécesseur du quartier "Laânnasser" d'Alger, qui a échoué dans ses missions anti-Marocaines, tout au long de son périple diplomatique, même si par ignorance, l'Afrik.com lui colle une dépêche bien sélectionnée de l'APS (Agence de presse officielle Algérienne) qui adopte les lignes de direction des services secrets algériens (DRS) concernant le Maroc, rapportant que :

    «Lamamra est un fin connaisseur des dossiers les plus sensibles auxquels l’Algérie est impliquée, dont le plus important est celui du Sahara occidental". Il a siégé à la commission à la paix et à la sécurité de l’Union africaine  pendant cinq ans. Sa carrière a également été marquée par son passage à Washington et aux Nations Unies, ce qui lui a permis de tisser un vaste réseau à l’international. Négociateur très habile, Ramtane Lamamra est un médiateur avéré dans les conflits sur le continent». fin de citation.

    A notre avis, nous qui connaissons bien la mentalité hypocrite Algérienne, il ne peut ni traiter, ni remédier à "ce qui est déjà gâché en politique étrangère générale de l'Algérie", pas  seulement avec notre pays, mais presque avec tout le monde.Tout ce supposé parcours ne serait ce qu'un des ingrédients du remaniement effectué au gouvernement Sellal, pour justifier le choix, de dernière heure, d'un malade


                                                               «La diplomatie Royale n'est pas comme les autres.»

    La reconquête de l’Afrique..La visite de Sa Majesté le Roi Mohamed VI au Mali, suivie d’une conférence sur l’avenir de l’Afrique après 2015 organisée par le Maroc au siège de l’ONU, constitue une suite logique à plusieurs initiatives entreprises par le Royaume Chérifien du Maroc dans le cadre de sa stratégie de repositionnement sur le continent africain. Conscient de l’enjeu géopolitique représenté par l’Afrique subsaharienne, on a vu que Sidna s’efforce d’accroître ses influences dans cette région. Notre pays dispose de plusieurs intérêts géostratégiques très importants qui le poussent à se rapprocher davantage des pays de l’Afrique. Le Maroc en fait une priorité fondamentale de sa politique étrangère supervisée par une volonté Royale bien conçue.

    Le développement du Maroc, en tant que puissance dominante dans la région nord-Africaine, a vocation à concurrencer la rivalité de l’Algérie qui a généralement pour ambition d’isoler notre pays de son entourage africain. Le renforcement de la position marocaine en Afrique demeure primordial car susceptible d’offrir au Royaume un dynamisme économique en plus d’un soutien diplomatique important dans les dossiers les plus sensibles, en particulier celui du Sahara Marocain. L'arrivée à la tête du ministère algérien des affaires étrangères d'un certain Ramtane Lamamra, avec toute son expérience hypocrite, dit-on, aux affaires Africaines n'aura aucune valeur ajoutée ou à "ajouter" à la politique étrangère de  son ex-patron Morad Medelci.

    Influence politique..Le royaume Chérifien du Maroc membre créateur de l'OUA (Organisation de l'Unité Africaine) en mai 1963 à Casablanca avec les sages de l'Afrique : (Kawme Nkrouma, Modibo Keita,Ahmed Sékou Touré et Lépold Sédar Senghor), s’est retiré de cette organisation en 1984 en claquant sa poste entachée de lubrifiants de la Sonatrach Algérienne, suite à l'admission  par Edem Kodjo, alors Secrétaire général, du bâtard Algérien (RASD) comme membre à part entière à l'organisation. Depuis, l'OUA s'est scindée en deux blocs, un pour la légitimité de l'Afrique, l'autre pour le carnaval diplomatique Algéro-Kaddafien et puis après l’organisation est devenue en  juillet 2002, une Union africaine à l'initiative de l'Algérie et de la Libye sous la présidence d'un certain Sud-Africain Thabo Mbeki pour effacer tout simplement son historique et céder la chaise vide du Maroc au Polisario. 

    Pourtant, le Maroc bien qu’il en soit à l’origine de l'OUA, a toujours gardé les liens avec le continent et maintenu des relations bilatérales très profondes avec les pays d’Afrique subsaharienne pour éviter son isolement ou céder le terrain à l’Algérie. Ce rapprochement diplomatique bilatéral constitue le socle sur lequel s’appuie la nouvelle stratégie marocaine pour la reconquête de l’Afrique subsaharienne. Les relations profondes avec la majorité des pays en Afrique (plus de 40) restent le point fort de la politique étrangère du Maroc. L’augmentation considérable du nombre des représentations diplomatiques en Afrique subsaharienne a fait en sorte que le drapeau marocain soit présent et flotte partout en Afrique.

    Le renforcement de la présence politique et diplomatique se conjugue avec la multiplication des visites officielles des responsables marocains et vice-versa en Afrique subsaharienne. Pour exemple, Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu l'assiste, a effectué de nombreuses tournées africaines entre 2000 et 2013 qui l’ont mené à se rendre dans plus de 12 pays subsahariens, dont le dernier le Mali.

    L’accroissement de l’influence politique du Royaume va de paire avec la confiance des pays subsahariens. Le Maroc ne manque pas de défendre la cause africaine, soit directement en participant aux multiples opérations de maintien de la paix en Afrique, comme en Côte d’Ivoire, soit indirectement en plaidant, dans tous les Sommets internationaux, pour le développement humain et social des pays de la région subsaharienne, ce qui n'est pas le cas pour l'Algérie. Pari réussi, puisque le Maroc a été élu pour représenter l’Afrique au Conseil de Sécurité (2011-2013). L’approfondissement de la coopération Maroc-Afrique subsaharienne se traduit aujourd’hui par la multiplication des commissions mixtes chargées de renforcer le cadre stratégique et politique entre le Maroc et la majorité des pays d’Afrique subsaharienne.

    Le Maroc tente d’appuyer sa politique africaine par la diplomatie culturelle. Toujours dans le but d’accroire son ascendant, le royaume espère exploiter ses liens religieux avec plusieurs pays du sud du Sahara. Souvenez-vous, un pieux Malien de la Tariqa Tijania disait en marge de la visite Royale au Mali : «Si dans nos prières, on s'oriente vers la Kaâba à la Mecque..Fes qui abrite le sanctuaire de Sidi Ahmed Tijani est aussi notre  Qibla».
     
    En mai 2013 et malgré l'ingratitude de l'Organisation Africaine, la ville de Rabat a organisé une journée africaine. À cette occasion, une rue baptisée «Unité africaine» fut inaugurée dans la capitale Marocaine, pas pour riposter à l'Union Africaine, comme le souhaitait la presse Algérienne, mais pour confirmer pour la énième fois l'appartenance du Maroc à la famille Africaine et des conférences pour la circonstance traitant des relations Afrique-Maroc furent aussi organisées, animées par des universitaires d'Afrique du Maroc et d'Europe.

    Une présence fructueuse..Dépourvu de la manne pétrolière,  notre pays le Maroc s’appuie sur la diplomatie économique en plaidant pour une coopération sud-sud. Le Souverain -Aâzzaho Allah- a pris l’initiative d’annuler les dettes des pays très pauvres d’Afrique. Cette décision n’était que le début d’une longue stratégie économique du Maroc le conduisant à se repositionner convenablement sur la scène africaine. C’est à travers des projets de développement humain et social que le Maroc s’inscrit pour renforcer sa présence économique dans toute la région subsaharienne. La participation du secteur privé constitue aussi un atout très important en faveur de la politique Marocaine.

    Plusieurs entreprises marocaines publiques ou privées se sont implantées en Afrique subsaharienne pour investir dans des secteurs susceptibles de favoriser la croissance des pays de la région. Sont visés le secteur bancaire (Attijari wafabank présente au Sénégal et au Mali), le secteur financier (CDG, Groupe Achâabi présents en Côte d’Ivoire, Mali, Guinée) ou même le secteur des télécommunications (Maroc Télécom qui contrôle des sociétés de communication du Sénégal, Mali et Burkina Faso). Ajouter à cela, l’exportation du modèle de l’énergie renouvelable qui constitue une innovation importante dont les retombées seront positives pour les pays Africains qui souffrent de coupure d’électricité et d’eau de manière très fréquente.
    Une situation qui permettra sans doute au Maroc de préserver ses intérêts politiques et stratégiques, principalement en ce qui concerne l’affaire de son intégrité territoriale.

    Il apparaît évident que l’Afrique subsaharienne constitue un enjeu majeur pour la diplomatie marocaine. Le rapprochement semble pouvoir se faire sans irriter les rivaux qui auront sans doute tendance, avec le génie (!) et le nouveau souffle de Lamamra, à contrecarrer la montée de l’influence Marocaine, bien consolidée par l'intelligence Royale, dans cette région du monde. Un nouveau défi à relever postérieurement pour le Maroc.

    Une diplomatie d'efficience..Avec les nouveaux enjeux diplomatiques et stratégiques, le Maroc s’efforce de se doter d’une politique étrangère plus cohérente et plus efficiente.C'est dans cette optique que s’est déroulée la première édition de la Conférence des Ambassadeurs du Royaume, avec pour objectif de mettre en place une feuille de route pour une nouvelle diplomatie plus efficace.

    Pour défendre ses intérêts sur la scène internationale, le Maroc s’appuie sur une politique étrangère dynamique certes, mais qui s’inscrit toujours dans un cadre purement officiel. L’échec essuyé par la diplomatie marocaine dans certains dossiers stratégiques a poussé les responsables du pays à restructurer le mécanisme de réalisation de la politique étrangère.
    Si les objectifs de la politique étrangère marocaine restent inchangés : la défense de l’intégrité territoriale, le renforcement des partenariats stratégiques avec les pays voisins, la promotion de l’image du Maroc dans le monde, et la défense de la cause africaine et arabe. La méthode de travail mise en place pour les atteindre va devoir impérativement changer.

    Les diplomates marocains sont tenus de s’adapter à l’évolution rapide de la pratique diplomatique, alimentée par le changement des relations internationales, le phénomène de la globalisation et les crises régionales successives. Cela suppose, par ailleurs, la mise en place d’une vision diplomatique plus professionnelle et moins traditionnelle.

    Conscient de cette situation, le Maroc, sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a organisé à Rabat une conférence des Ambassadeurs accrédités dans les différentes représentations diplomatiques étrangères dans la perspective de réorienter la machine diplomatique du pays. Le Souverain a précisé que  : «les priorités de la diplomatie marocaine et la méthodologie que doivent adopter les diplomates marocains de par le monde». Morad Medlci ex-ministre Algérien des affaires étrangères qui s'est vu très gêné par cette conférence,  ordonna à son porte parole de crier au Monde que : la conférence de Rabat est une déclaration de guerre par le Maroc contre les intérêts de l'Algérie?.

    Pour Sa Majesté le Roi, le système diplomatique notamment le travail des diplomates est tenu de se conformer à la dynamique politique et économique que connaît le Maroc actuellement. Ce qui veut dire qu’il ne suffit plus d’assurer une fonction représentative, il faut innover en participant activement pour satisfaire les intérêts stratégiques, économiques et culturels du pays. La politique étrangère marocaine doit passer à présent par des mécanismes nouveaux comme promouvoir la diplomatie économique et renforcer la diplomatie parallèle.
     
    Véritable innovation dans la nouvelle politique étrangère du Maroc, Sa Majesté le Roi a insisté sur la nécessité d’intégrer la diplomatie économique dans le cadre du travail des représentations diplomatiques marocaines auprès des gouvernements des États étrangers. Le recours à la diplomatie économique marque la volonté des responsables marocains d’assurer le redressement économique du pays. Et pour ce faire, les Ambassadeurs marocains doivent jouer un rôle important pour faire valoir l’image économique du Maroc en multipliant les partenariats économiques puis en attirant les investisseurs étrangers sur les chantiers nationaux, notamment dans le domaine de l’énergie renouvelable, le plan vert agricole.

    Le développement de la diplomatie économique doit permettre, outre de dégager des fonds, au Maroc de relever les enjeux stratégiques en se positionnant confortablement sur la scène régionale et continentale par le biais des investissements dans les pays africains et l’augmentation des aides au développement qui leur sont allouées. Le Royaume pourra alors renforcer sa présence et s’imposer comme un acteur incontournable, voire influent, dans la région et obtiendra, par la même occasion, un soutien très important dans le dossier du Sahara.

    La diplomatie parallèle..La feuille de route de la nouvelle diplomatie marocaine fait mention de la nécessité de renforcer la diplomatie parallèle. Le Roi estime que la participation des forces vives de la nation à la défense des intérêts du pays n’est plus une option, mais est bel et bien une nécessité, de nos jours.Tous les acteurs Marocains doivent se mobiliser pour donner du Maroc l'image d'un pays fort, stable en politique et en sécurité, solidaire et ouvert sur son environnement.

    Le parlement, les partis politiques, les universitaires et la société civile sont mis à contribution. Appelés à assister les diplomates et les Ambassadeurs dans la réalisation de leur mission, ils doivent participer activement au travail diplomatique à travers le renforcement de leurs relations avec les parlementaires et partis politiques étrangers, en participant aux conférences et réunions internationales ou en multipliant les visites aux pays étrangers.

    En combinant diplomatie parallèle et action stratégique, le Maroc essaye de projeter une image plus positive, élément essentiel dans la protection de ses intérêts, particulièrement, dans le dossier de la défense de l’intégrité territoriale qui constitue l’axe central de la politique étrangère marocaine. Tels sont, en définitive, les nouvelles orientations diplomatiques sur lesquelles mise le Maroc pour satisfaire ses intérêts stratégiques et retrouver la place qui est la sienne dans le concert des Nations. Reste à savoir si les diplomates ainsi que les élites marocaines disposent de la capacité de relever ce défi.

     و هذا التحدي  ينبني علي الحفاظ على الانفتاح على دول افريقيا الذي كان أيضاً من الملفات التي اشتغلت عليها الدبلوماسية الملكية، وأن هذا الإنفتاح عمل على تقوية علاقات المغرب مع العديد من الدول وفقا للتوجيهات الملكية، بحيث أن تجمع دول الساحل والصحراء أو ما يعرف بدول ( س.ص) سيعقد قريبا اجتماعا بالمغرب تحضره حوالي28 دولة.. وهذا مكسب كبير لم تحققه الجزائر بإتكالها على سياسة 'النفط' مقابل الإعتراف بالسراب الذي كان يجري ورائه "رمطان لعمامرة" الوافد الجديد عتى الدبلوماسية الجزائرية التي لم تعد تؤثر على عقلآ المجتمع الدولي، بدليل توالي سحب الإعترافات بصنيعة النفط الجزائري والحرب الباردة والرجوع الى الشرعية. (لم يبق من 86 تسرع بالإعتراف سوى 12 أو10 دويلات أقزام لازالت لم تتخلص، أو بالآحر لازالت لم تهضم ما تسلمته من دولارات من بوتفليقة نفسه)..

    Première sortie spectaculaire de Lamamra..Le nouveau ministre algérien des affaires étrangères Ramtane lamamra  veut montrer "tatouage de henné" de sa capacité, comme on dit en dialecte arabe.

    Intervenant à une occasion qu'il a créé pour se vanter sur la diplomatie algérienne, Lamamra a voulu mettre l’accent sur la nécessité pour cette dernière de se projeter vers l’avenir dans la fidélité à son président qui disait-il, arrête et conduit la politique extérieure de l'Algérie en tant que diplomatie compétente dans la promotion et la protection des intérêts algériens, ajoutant que sa diplomatie s’intègre dans le tissu même de la communauté étrangère,dans un moment marqué par de nouvelles menaces qui cerclent l'Algérie de toutes parts.

    La presse Algérienne se déchaîne aussi..Dans l'attente de réactiver, reconfigurer et redémarrer les rouages les affaires étrangères algériennes par le nouveau figurant, les journaux algériens, dirigés et financés, par la police politique algérienne, le DRS, ont de concert, accusé le Maroc de narco-terrorisme et de culture d’opium, comme les Talibans Afghans.

    En effet, un journal francophone Algérien (l'Ex) a été missionné d’accuser le Maroc, de cibler l’Algérie à cause d'un débat politique au royaume, portant sur la légalisation du Kif, avançant que notre pays le Royaume du Maroc a ouvert récemment un débat préparant la promulgation d'une loi autorisant la culture du cannabis pour des utilisations pharmaceutiques a récité le journal, ajoutant que «L'Algérie est la cible d'une attaque narco-terroriste, à cause de la volonté affichée par les autorités marocaines dans ce sens».
     
    Pour sa part le journal (LJI), organe du DRS a affirmé lui, que le parlement Marocain a  légalisé la culture du cannabis pour droguer les Algériens, et que la nouvelle loi est conçue spécialement pour frapper la stabilité en Algérie, il a en outre accusé le Maroc de produire en plus du Cannabis, l’Opium et d’en déverser en quantité sur l’Algérie.  Désormais, la culture de l'opium est devenue "halal" au Maroc et ce, suite à l'adoption (!) de la nouvelle loi permettant aux cultivateurs marocains de faire pousser de l'opium pour avoir de la drogue et la vendre en Algérie» lit-on au journal algérien. Le journal a par la même occasion accusé l’Union Européenne d’être complice du Maroc, dans ce supposé trafic de drogue, qui viserait à déstabiliser l’Algérie, évitent de rappeler aux Algériens que la dite complicité se caractérise aux avantages du Statut avancé qu'occupe  le Maroc à l'Union Européenne. Un rang privilégié que la manne pétrolière Algérienne n'a pu en obtenir.
     
    Dans toute cette histoire, selon la pesse Algérienne qui adopte le langage-DRS, essuyant la figure du général Toufik devant la colère du malade, c'est l'Algérie qui se voit prise en otage par cette politique de deux faces d'une même pièce, «le Maroc et l'Union Européenne!». Aujourd'hui, il est clair que les relations entre l'Algérie et le Maroc ne cessent d'en souffrir davantage. Pis, on assiste à une escalade qui ne dit pas son nom mais qui risque de monter à la surface dans les prochaines années a menacé la publication algérienne.

    A rappeler que tous les médias algériens écrits, audiovisuels et web, sont contrôlés par ce qu'on appelle en Algérie l'ANEP (Agence nationale de l'édition et de la publicité, dépendant du Centre de communication et de diffusion, lui-même branche du DRS, dirigé jusqu’à récemment, par un colonel  Fawzi de la police politique, qui a été limogé à cause d’une information sur la santé de Bouteflika qui a été passée sans censures sur les journaux ‘Mon journal’ et ‘Jaridati’, fermés depuis et leurs directeur a dû fuir en France, pour échapper à des sanctions corporels.

    Cette presse Algérienne téléguidée ne surprend personne, nous sommes habitués,comme tout autre observateur à ce genre de désinformations, tant qu'il s'agit bien de dissimuler, purement et simplement, les vérités à l'opinion publique algérienne avec tendance accrue d’entacher notre pays et porter préjudice à ses valeurs nationales sacrées. Au Maroc nous sommes pas des dingues au degré Algérien, nous connaissons, comme nous le savions au passé,  que la presse algérienne, toutes tendances confondues, est indigne du mot presse, agissant loin de la déontologique, incapable de redresser, en tant qu'autorité de contrôle, la situation désastreuse algérienne, sclérosée depuis deux décennies par la problématique de l’insécurité, l'instabilité et de la dictature d'un pouvoir militaire corrompu. D’après toutes ses chroniques, ses analyses et ses sorties spectaculaires contre le Maroc, la presse Algérienne en tant que telle, ne peut emmener personne à tout croire ou cacher l’objectif que ses parrains-DRS ont lui assigné, dont la carrière de journaliste en Algérie, semblait avoir été tachée aussi par les scandales de plumes corrompues.

    Les gouvernants algériens sont sur le chemin, pas pour salir uniquement le Maroc, mais d'envoyer le peuple Algérien à l'enfer, après avoir passé des années de dilapidations,de corruptions et de "Hogra" très arrosées. Tels sont les sujets à traiter avant d'avoir eu la farfelue idée de traiter le Maroc en ennemi éternel de l'Algérie à l'aide du pouvoir et du dollar. Sachant que ce train algérien de haine, convoité par les caporaux de De Gaules n’était pas prévenu ! à une certaine époque de fraternité, dans le beau temps du GPRA de Ferhat Abbas et de Ben Youssef Ben Khadda.

    Selon les expériences et pratiques qu'on a vécu avec l'Algérie depuis 1962, tous les présidents et gouvernants algériens étaient en plein ébats, lorsqu’ils furent surpris par le train Marocain de vérité, un train de l’aube qui arrivait à vitesse de croisière. Il faisait sombre encore, et les mécaniciens apprentis politiques algériens n’eurent le temps ni la capacité de le freiner, ce qui a avec le temps provoqua la mort "écrasée" de cette Algérie de "fierté et de dignité" à cause de l'anarchie, la mauvaise gouvernance et le terrorisme, alors que l’homme, le dernier des ses "nobles?" présidents a pu sauver sa vie au prix d'un fauteuil roulant.

    Selon le destin, l’homme, hospitalisé d’urgence à Vale-De-Grâce de Paris, aurait raconté à ses proches collaborateurs, que tous ses prédécesseurs étaient saouls de vanité, d'arrogance et de leadership, passant, tout leur temps, pas à construire un État  Algérien moderne, politiquement crédible, mais à tendre les pièges au Maroc, tout au long d'un demi siècle, et ils ne purent résister à la folle idée d’y faire contrarier une monarchie bien bâtie, encrée dans l'histoire.

    Ce maudit Tab Jnanou, qui arrive au terme de ses derniers jours, souhaitant, parait-il, la clémence et le pardon de son parent adoptif le Maroc, qui n'avait pas la force de redresser en vertical le navire Algérien qui a fait naufrage, bien avant et après son arrivée la magistrature suprême du pays , aurait bien rapporté que la justice divine n’exclut pas de poursuivre ces hommes pour violation de propriété morale et matérielle d’autrui, vu qu’il n’avaient pas le droit à l'ingratitude vers ce voisin trop généreux, ou s’en prendre vachement à ses sujets.

    Je ne laisserai passer cette occasion pour rappeler aux Algériens, qu'au point de vue liberté d'expression au Maroc, il n'y a pas de presse pré-payée comme en Algérie. Il y a bien sûr les médias publics qui ont leur ligne officielle de rédaction et qui respectent à la lettre la déontologie professionnelle, face à une opinion publique nationale mûre et vigilante qui s'oppose de manière générale et par principe, à toute tentative de restriction de la liberté de parole ou d’entrave à l’action des médias et je ne saurais mettre en cause à cet  effet, l’instance judiciaire nationale, relevant que le chemin démocratique poursuivi par notre pays, pousse à espérer que notre justice pourra accomplir son travail dans la sérénité requise, pour statuer sur les violations des lois dans ce sens. contrairement à la justice Algérienne, incapable de statuer sur les grandes affaires de corruption ou mettre sous les verrous les sales plumes qui déversent le mensonge et qui entravent la réalité des choses.

    Je termine par une dépêche de coulisse de dernière minute... La communauté algérienne à l'étranger militant pour la légitimité de son pays qui, selon une source oculaire Marocaine, aurait organisé, quelque part au sud de la France entre les Pyrénées occidentales et les Bouches-du-Rhône, une rencontre réunissant des dizaines et des dizaine de personnalités d'opposition et de grandes figures de la société civile Algérienne, pour lancer, entre autres, loin des  yeux des services secrets algériens, un appel à témoin réconciliant pour "repousser le terrorisme politique Algérois" contre, dit-on, le pays frère et ami le Royaume du Maroc.Une rencontre qui aurait échappée certainement à nos courtiers de Triq Zaer, qui galopent derrière les sorcières dans les cabarets et boites de nuit en France et aux jongleurs de la caserne Daly Brahim d'Alger qui guettent, de leur part, les opposants et exilés Algériens dans les grandes surfaces et ramassent les mégots dans les grandes décharges  de France.Bonne lecture.

                                                                                                  Cordialement,Chihah25

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    1.- Le nom du maudit Mohamed Abdelaz, le polisario; par lequel il est connu par ses pairs à Laâyoune.