4/5.-Algérie:Debout les morts, on change de cimetière...! (QG Boutef)
Chez nous d'abord..Si la rédaction du blog accompagne actuellement la mascarade de la présentielle algérienne, ses obligations l'acculent à ne pas négliger les efforts louables qu'entreprend Sidna, que Dieu l'assiste, pour la grandeur de notre pays, tout en rappelant cela, à nos voisin Algériens, pour leur mémoire et pour les vexer sûrement.
Avec leur goût d'absurde, d'arrogance, de non-engagement et de la subversion contre notre pays, le Royaume Chérifien du Maroc, avec sa Monarchie Alaouite, bien ancrée dans l'histoire, les algériens ont toujours contribué à bousculer toutes les règles de la fraternité et de voisinage. Déjà durant un demi siècle, il n'ont pas manqué de tout leur mieux pour contrarier le Maroc, cherchant ainsi, l'aiguille dans le tas de foin, pour façonner de miracles moyens, devant leur guider à concrétiser leur identité dans l'univers, l'identité d'hommes de parole et de l'État crédible.
Bien sur cela ne doit pas masquer le fait que l’Algérie, avec son arrogance, ne fait que revenir à son niveau d’abois de toujours. Celui-ci a fait de cette Algérie, un entité qui a perdu de grosses décennies d'errance entre le mirage d'un leadership introuvable et les écueils successifs d'un pouvoir autoritaire qui n'arrive pas à vaincre les différents groupuscules terroristes qu'il créa de ses propres mains, dans l'obscurité d'une décennie sanglante.
Par exemple, un sinistre individu qui s’appelle Mokhtar Bel Mokhtar, suite à sa défaite face à l'armée algérienne en Janvier 2013. Ce Bel Mokhtar, alias le «borgne», qui selon nos aigles migratoires, s'est séparé d’AQMI, en raison de conflits internes survenus lors de partage du butin, recueilli illégalement à travers des collectes de rançons, et la mise en œuvre d’attaques, afin de devenir le leader de sa propre organisation «les cagoulés», puis «les signataires de sang», groupes, qui ont organisé l’attaque suicidaire, à la mi-janvier 2013 de Tiguentourine à In Amenas dans le sud de l'Algérie.
Selon les témoignages de terroristes qui lui sont proches rapportés par les presse algérienne, son expérience en Afghanistan le distingue du reste des terroristes de son genre, faisant de lui, «le plus meurtrier et le plus sanguinaire» travaillant à son propre compte, il contrôle toujours la vente d'armes en provenance de la Libye, la contrebande de drogues et de cigarettes dans le désert, son désert à lui, qu'il contrôle au grand sud algérien, à l'insu du GAS, le général-bougre, patron de l'armée Algérienne. Selon des investigations privées en provenance de Bamako, le «borgne» se trouve actuellement dans un pays loin de la zone de turbulence contrôlée par l'armée française, d’où il transmet ses ordres. Selon les mêmes témoignages, il a l'intention de mener une attaque-surprise en Algérie, il vise aussi à travers le harcèlement de l’armée algérienne, revenir sur la scène avec force et ce après avoir été longtemps dans l’ombre.
Pour se conforter davantage à News York et avoir un soutien plus fort cette fois-ci, en mensonges et en désinformations, il change de paramètres en chassant du poste de porte-paroles de l'écurie algérienne des affaires étrangères, Ammar Belani qui épuisait ses termes de pratique, et recruté à sa place, un certain Abdelaziz Benali avec un nouveau souffle consigné dans cahier de charges de taille, avec plus de désinformation et mensonges, lui permettant, en parallèle, la mainmise sur l'APS, pour combattre, ou du moins affaiblir dans hospices de la 4ème commission, l'intelligence diplomatique imbattable du Maroc.
Dans le vocabulaire du 7ème art, on dit souvent, "ça va barder!", Oui ça va prendre une tournure violente à l'ONU en ce mois d'avril, les signes d'une éventuelle guerre diplomatique féroce entre le Maroc et l'Algérie, sont bien visibles de la lettre adressée, tout dernièrement à Mr. Ban-Ki-Moon par le Baskettman de la diplomatie Marocaine Mr. Salah Eddine Mezouar, dans laquelle il souligne que le Maroc a “honoré l’ensemble de ses engagements” et pris des “mesures qui vont bien au-delà de celles recommandées” par le Conseil de sécurité des Nations Unies, appelant les autres parties à “démontrer un engagement qualitatif similaire”.
غداةَ انكبابِ مجلسِ الأمن الدولي على بحث ملفِّ الصحراء في جولة أخرى لا يتوخى منها أي جديد، فِي اجتماعهِ الاستشارِي غير الرسمِي في نيويورك، وزيارة كاتب الدولة في الخارجية الأمريكية إلى المغرب، رأى السيد عبد الحمِيد الوالِي ، أستاذ القانون والخبير الدولي في قضية الصحراء ، الذِي حلَّ ضيفًا على منتدى "وكالة المغرب العربي ، لاماب "، أنَّ وضع حقوق الإنسان في الصحراء لا يدعُو إلى إحداثِ آليَّة يعهدُ إليها بمراقبة احترام حقوق الإنسان..
ثم قال إنَّ الجزائر التي تتحرك خلف الكواليس، توظف ملفي حقوق الإنسان واستغلال الموارد الطبيعية بهدف تحريف مسلسل تسوية نزاع الصحراء عن المسار الذي أثمره مقترح الحكم الذاتي المغربي، متسترة على ألإنتهاكات الجسيمة لحقوق الإنسان لديها ، وخاصة في مدينة "غردايا" في الجنوب الجزائري، أين اضطر المزابيون الى طلب ألإغاثة و تدخل المنتظم الدولي لحمايتهم، داعيًا إلى تحرك فعال على الصعيد الدبلوماسي المغربي من أجل التصدي للجزائر التي تعبئ كل إمكانياتها من أجل النيل من وحدة المغرب الترابية. .
Or, le Maroc malgré sa tendance d'établir de bonnes relations avec cette mauvaise race, il ne convoitait nullement sa mentalité malencontreuse, durant toute sa période d’existence qui s'étale de 1962 à 2014, et est allé incarner son existence qu’État, jouissant de toute la crédibilité requise pour être respecté, en construisant sur terrain les piliers de son État de loi et de droit. Le Maroc a ainsi, accumulé dans ce domaine des acquis fondamentaux en matière de droits de l'homme, à son nord comme à son sud.. ces acquis font le fruit d'un processus progressif consolidé par une vraie constitution - pas comme le chiffon de papier en Algérie (?) -, réalisant en parallèle, ses propres infrastructures de base, son développement économique et social, nécessaires à la dignité des sujets de Sa Majesté le Roi, dont le dernier coup d’épée du Souverain en date: "lancement, mercredi 2/4/14 du plan national d’accélération industrielle 2014-2020, un programme d'envergure qui s’inscrit dans le prolongement de la stratégie Émergence.
Cet ambitieux plan d'une valeur de 3,5 milliards de dollars US,(29 milliards de Dh) permettra au Maroc de renforcer sa résilience économique, de conforter sa place parmi les Nations émergentes d’Amérique, d’Europe, du Moyen-Orient et d’Afrique et, ainsi, de tracer son chemin économique d’un pas assuré. Capitalisant sur ‘’nos réalisations et nos acquis, tels que l’aéronautique, l’automobile ou l’Offshoring’’, ce plan stratégique, se veut inclusif et réintègre ‘’nos industries classiques, créatrices d’emplois’’.(500 milles possibilités d'emploi à l'horizon de 2020).
Ce nouveau plan qui représente ‘’Une évolution d’Émergence vers des écosystèmes performants afin de renforcer les acquis et d’amplifier les résultats’’, a visiblement attiré la ruée des grandes compagnies d’investissement internationales vers l'offshore Marocain, et a provoqué l'orientation du Maroc vers l'Afrique, avec une opportunité pour le développement économique du Royaume et des pays Africains. En preuve la disponibilité de la Fondation "Mo Ibrahim", une institution au service de la bonne gouvernance en Afrique, dirigée par un homme d'affaires éclairé au service du développement de l'Afrique, reçu le jour même de la cérémonie de lancement par Sidna au palais royal de Casablanca.
Algérie: Un président et un peuple?
Qui sauve qui?.. l'annonce jeudi (27/2/14) par Mouloud Hamrouche, ex-premier ministre de l'époque de feu Chadli Ben Jdid de sa décision de ne pas concourir aux présidentielle 2014 aura sans doute ”tué” le rêve de certains algériens de voir s’amorcer un changement au lendemain du 17 avril. Il était en quelque sorte l’homme de la “dernière chance” pour de nombreux algériens qui voyaient en lui le candidat le plus crédible et le moins “mouillé” pour porter les aspirations du peuple algérien.
Mais la déception est à la mesure de l’espoir que son “ex future” candidature a suscité auprès de l’opinion publique locale et de la classe politique algériennes. En parfait enfant légitime du système, Hamrouche s’est, une nouvelle fois, rendu compte que les règles du jeu n’ont pas changé et qu’il ne valait pas la peine de s’engager dans un scrutin fermé à tout point de vue.
Le retrait de Hamrouche ressemble à un oracle rendu par le pouvoir; à savoir qu’il n’est pas encore prêt à lâcher le Trône, même s’il montre de graves signes de santé et de maladie. En l’occurrence, du haut de ses 77 ans et, facteur aggravant, son AVC qui l’empêche depuis 10 mois d’assurer la présidence à temps plein, voire à se montrer physiquement aux siens en bonne forme, Abdelaziz Bouteflika a décidé de rempiler pour… cinq autres années. Avec ou sans les algériens, il entrera dans l’histoire comme le seul président à s’être maintenu au pouvoir au moins pendant 15 ans et en pleine tempête locale. Qui plus est, dans un contexte marqué par une allergie générale contre les présidences à vie (ou à mort c’est selon).
l’insupportable escroquerie politique..A l’heure où un dictateur, Victor Ianoukovitch est chassé par les manifestants en Ukraine, l'ex-premier ministre Sellal annonçait aux algériens sa bonne nouvelle : Bouteflika restera au pouvoir pour cinq ans encore ! La terre tremble, les Algériens retiennent leur souffle. Le régime algérien ne fait pas les choses à moitié. Bouteflika va mener la campagne électorale par relais interposés et par procurations à l'algérienne ( pas moins de huit souteneurs, huit crieurs publics, gros calibre, une première dans le monde politique). Sa cour s’en occupera. C’est dit officiellement par son premier thuriféraire Sellal, chassé, au grand jour d'Ouargla, lors d'une de ses séances de plaisanterie, sous les hurlements de l'assistance, le qualifiant en menteur et hypocrite.
Décidément les tenants du pouvoir en Algérie ont la mémoire courte ; ils sont de mauvais élèves. Le sort que fut celui de Ben Ali, Moubarak ou Kaddafi, Ali Salah et bientôt Bachar en Syrie, eut pu leur donner à réfléchir, mais non. Trop sûr de leur puissance et de la machine répressive pour revenir à la raison et toujours maintenir l'Algérie à sa case départ, le moment où les pays arabes similaires participent aux compétitions de changement et marquent des bonnes performances.
La faiblesse de Bouteflika c’est sa force..Il faut que les algériens admettent que Bouteflika et son régime ont pris tout le monde à contre-pied. Printemps arabe ou pas, maladie ou pas, il a incroyablement réussi a transformer ses points faibles en carburant à la conquête d'un 4ème round. Pour lui et pour ses proches, c’est un retentissant succès personnel. Mais pour l’Algérie, c’est une nouvelle fois l’échec recommencé de sortir le pays de la tutelle d’une génération qui a berné le peuple par un faux “Tab Jnanou”. Mais le régime a en effet bâti sa force par la manipulation et la clientélisation.C'est du moins, ce qui est pratiquement senti par tous les algériens.
La base sociale du système s’est progressivement élargie pour enrôler même des segments qu’on pensait hermétiques et allergiques à tout concubinage avec un régime qui est la négation même de la notion d’État de droit. Mais, grâce aux pétrodollars de la rente, la machine à acheter les âmes a fonctionné à plein régime… en faveur du régime et de la mafia qui se place en bande organisée pour le soutenir à n'importe quel prix.
La mangeoire a ainsi attiré même des jeunes qu’on voit parader sur les plateaux de certaines télés “privées” pour louer les “réalisation gigantesques" de Bouteflika. Alors Val-de-Grâce ou pas, c’est encore une fois l’état de grâce pour Bouteflika à qui l’on prête une intelligence à "l'Einsteinienne" qui ferait de lui un homme absolument indispensable pour la stabilité de l’Algérie…si on croit le mot d'ordre de sa campagne électorale. Contrairement à la fameuse femme d'Algérie, la candidate Louisa Hanoune qui hisse le ton, haut et fort, contre l'ingérence de la main étrangère qui menace potentiellement la stabilité de l'Algérie.
En termes de cynisme, les algériens aveugles, doivent remercier le bon Dieu pour cette chance inestimable de leur avoir offert un Bouteflika. N'attendront un siècle pour voir un autre de son calibre. Je sais que ceux qui ne l’aiment pas, et je les plains, ces personnes sèches et stériles comme les palmiers Algérois, vont rigoler, mais l’histoire jugera. Tout algérien à l'envers, doit être de ceux qui pensent que l’histoire sera clémente pour Bouteflika le bâtisseur, le sauveur et stabilisateur de l'Algérie avec son mot d'ordre creux : "Rfaâ Rassak abba". En route a Old Bab Sidi Abdelwahab, la piste est bien praticable pour un quatrième cauchemar, tant qu'il n'y a pas de bons hommes en Algérie, qui t'en font barrage.( Tborad Aâlihom abba?).
Au diable la neutralité..On prépare déjà le tapis rouge pour le 18 Avril..L’ancien Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a été nommé ministre d’État et directeur de cabinet à la présidence de la république .Abdelaziz Belkhadem, ancien chef du gouvernement, ancien secrétaire général du parti du FLN, a été nommé lui aussi ministre d’État, conseiller spécial et représentant personnel du président. Par ailleurs, c’est ce mercredi 12/3, que le Premier ministre, Abdelmalek Sellal a laissé sa place pour diriger la campagne électorale du candidat Bouteflik, au ministre de l’énergie, Youssef Youssfi, qui assurera l’intérim, c'est autre dingue, "moul Ch'kara" , à qui, les malfaiteurs Taflikiens peuvent en revenir en cas de fort besoin de liquidité pécuniaire, pour en procurer de «bons plats de méchoui électoral pour les hommes, de rentes d’arrérages pour les veuves et objets de distractions pour l'électorat féminin».
Pour Ahmed Ouyahia, cela n’est en rien glorieux. C’est même une forme de grand bond 20 ans en arrière quand il occupait ce poste de 1994 à 1995. Ses thuriféraires argueront que c’est là une merveilleuse position d’attente pour endosser les habits de Vice-président, une fois que la Constitution aura été modifiée après la victoire annoncée de Bouteflika. À voir ! D’autres trouveront là une médiocre récompense pour un homme qui, à son âge, a encore besoin d’être glorifié de pareille position politique, alors même qu’il a été plusieurs fois ministre et Premier ministre. Napoléon disait que c’est avec des hochets que l’on mène des hommes, Bouteflika, lui, dirige ses pions en distribuant des strapontins et des offrandes politiques de grande échelle.
La guerre des Clans en Algérie, c’est un mythe sans fondement, estime l’ancien Premier Ministre Ahmed Ouyahia. Ce dernier a révélé lors d’une émission spéciale que lui a consacré la chaîne de télévision Ennahar TV que ni le général Toufik ni le DRS ne sont opposés au 4e mandat d’Abdelaziz Bouteflika.
Selon Ouyahia, Abdelaziz Bouteflika fait consensus au sein des cercles de l’armée et du DRS, les services de renseignements algériens. Mieux encore, l’ancien Premier ministre signe et persiste : “en tant que parfait connaisseur de ses services, il n’y a aucune opposition à Bouteflika. Il est le Président de la République et détient toutes les prérogatives. C’est lui qui décide”, a-t-il affirmé.
Ahmed Ouyahia a nié aussi l’existence de cabinet noir qui désigne les Présidents en Algérie. “Les généraux n’ont jamais fabriqué les présidents en Algérie”, croit-il savoir. “L’armée nationale est un exemple presque unique au monde dans la discipline et ceux qui parlent d’influence de l’armée sur la Présidence se basent sur de fausses données”, a-t-il encore commenté. Ahmed Ouyahia est revenu jusqu’aux élections présidentielles de 2004 pour prouver ses propos.
La situation est de plus en plus tendue au sommet de l’Etat algérien. La prochaine élection présidentielle prévue le 17 avril prochain cristallise toutes les luttes claniques autour du “Pouvoir” et ses privilèges. Et depuis la sortie médiatique de Saïdani et ses graves accusations à l’encontre du patron du DRS, le Général Toufik, un parfum de guerre empoisonne l’ambiance au sein des plus importantes institutions politiques en Algérie.
Désormais, le linge sale de la guerre froide entre l’entourage d’Abdelaziz Bouteflika et les fidèles du général Toufik, le patron du DRS, s’étale en public. Chaque jour nous réserve son lot de révélations. Accablé publiquement et accusé d’avoir failli à sa mission et de déstabiliser le pays et ses institutions en mobilisant les agents du DRS dans des manoeuvres politiciennes, le général Toufik semble être sur la sellette. Jeudi dernier, El Khabar nous a appris que Bouteflika prépare sa mise à la retraite. Une manière très peu élégante d’appeler directement le général Toufik à la démission pour qu’il ne subisse pas l’affront d’une éviction inamicale. Mais, selon toute vraisemblance, le général Toufik fait de la résistance face à toutes ces pressions.
Samedi, un autre quotidien arabophone, Dajazaïr News, nous révèle que le général Toufik refuse de démissionner et s’accroche à son pouvoir. Pis encore, le patron du DRS défie ses adversaires et fait savoir que si on veut se débarrasser de lui, on a qu’à le relever de ses fonctions. Il n’est donc pas question de jeter l’éponge pour le général Toufik. “Une source proche de l’entourage des services du renseignement a confié que le général Mohamed Médiène, alias Toufik, aurait signifié à ceux qui l’avaient conseillé de démissionner de son poste de patron du DRS, qu’il occupe depuis plus d’une vingtaine d’années, qu’il préférerait être « démis de ses fonctions par le président de la République plutôt que de jeter l‘éponge”, a-t-on indiqué. Contactées par nos soins, deux autres sources sécuritaires ont indiqué à Algérie-Focus que cette information est fondée et fiable. Selon nos sources, il est inimaginable de voir le général Toufik partir en déposant sa démission. “Si le clan présidentiel veut le dégager, il va falloir employer les gros moyens et le mettre sur la touche par un décret qui devra être publié dans le Journal Officiel”, nous a-t-on expliqué. “Le patron du DRS sait désormais que les services qu’il dirige font l’objet d’un plan de déstabilisation, mûrement réfléchi et préparé de longue date par l’entourage du Président et ses soutiens, à tous les niveaux. C’est ainsi qu’il veut contraindre le président de la République à signer sa mise à la retraite et non sa démission sous la contrainte”, explique encore pour sa part Djazaïr News.
Chaque clan muscle ainsi ses bras et refuse de faire des concessions ou de s’avouer vaincu. La suite des évènements promet d’être dangereuse pour la stabilité du pays à la veille d’une stratégique élection présidentielle. Une élection qui risque de se jouer uniquement autour de ce bras de fer qui oppose deux clans puissants du régime algérien. Quant au développement du pays, les problèmes sociaux et les chantiers économiques, ils ne bénéficieront d’aucune attention de la part de nos décideurs préoccupés par leur lutte intestine.
Abdelaziz Belkhadem, le ministre d’État et Conseiller spécial du président, rappelez-vous, a assuré auparavant le rôle de charlatan et de recteur de la république, il revient masqué en pieux, vêtu de son costume traditionnel, "Guendora et turban blancs", pour revivre l'ex-beau temps et dire sans aucune honte aux algériens, dans un entretien accordé à une chaîne de télévision arabe, que l’état de santé Bouteflika ne l’empêcherait pas à accomplir ses fonctions présidentielles contrairement aux rumeurs distillées ici et là par certains milieux. S’exprimant ainsi, il a confié aussi que le président a juste besoin d’une rééducation fonctionnelle de ses membres inférieures tout en assurant que Bouteflika a toutes les capacités mentales pour analyser et comprendre.
Belkhadem a saisi l’occasion pour distribuer, à tort et à travers, des flashs qui lui sont remis en poche, lors de sa reconduite. Les algériens doivent se poser la question et l'interroger : "Si son état de santé ne l'empêchait pas d'accomplir ses fonctions présidentielles, comme tu le soutiens, pourquoi est-il donc dans l'incapacité de mener sa propre campagne? - Pourquoi ne s'est-il pas adressé aux algériens depuis presque deux années déjà, alors qu'on le montre souvent aux algériens discuter, voire poser seulement avec des étrangers et avec le général-bougre, chef d'état-major-vice ministre de la défense? Pour quelles raison n'a-t-il donc pas jugé nécessaire de s'adresser au peuple algérien pour lui annoncer sa candidature ? Serait-ce parce que ce peuple ne représentent rien à ses yeux, lui importe peu et qu'il n'a finalement pas besoin de ses voix pour être... «réélu» ?
Programme de Bouteflika : «mensonges, paroles, et mensonges»... Bouteflika n’a pas tenu ses promesses pendant ses 15 années au pouvoir, Comme il a promis pour les 15 années passées. -Il n’y a que les naïfs qui vont le croire. les promesses de Bouteflika ne sont que des paroles et écrit de paroles du refrain de la chanteuses Dalida. «Parole, parole, parole».
Pour faire croire aux algériens et par leur intermédiaire à l'opinion internationale que les élections se tiendront dans la transparence.., il est fait obligation aux agents chargés de l’organisation du scrutin de remettre les copies des procès-verbaux de dépouillement et de recensement de voix aux représentants de partis et ceux des candidats. ( PV déjà disponibles selon les normes de fraude).
Toutes ces promesses de neutralité et de transparence, qui constituent, en apparence, un scrutin au dessus de tout soupçon, sont loin d’être convaincantes. Car à chaque scrutin, certes, la fraude a été au rendez-vous. Les algériens ne croiraient à l’appel de Bouteflika, que s’il était seulement arbitre. Mais, ils lui diront non ! en tant que candidat-handicapé qui précède un troupeau de dingues, un peuple d'ovins - comme on le distingue sur cette photo expressive au centre de la note - .
Fini "T'bourida", de «Rfaâ Rassak abba» au «allah aâlik ya jazaer» en passant par «Tab Jnanna». Ce Bouteflika, l'Algéro-Oujdi a pu attirer l’attention des algériens, par sa rusé, tromperie et ses bla-bla, tout en leur faisant oublier les promesses de prospérité, de réformes effectives qu’ils attendaient de lui depuis qu'il est arrivé à la magistrature suprême de son pays en 1999… avant qu’ils ne découvrent qu’il ne savait pas grand-chose de la bonne gouvernance. Mais aujourd’hui, tout le monde espère qu’il laissera derrière lui son attachement indéfectible au pouvoir pour s’occuper de son sort physique et préparer son départ pour l'enfer. Bonne lecture.(A suivre..)