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  • Maroc-Algérie : Le Maroc officieux décide d'agir avec réciprocité et demande à l'Algérie de lui rendre Bouteflika, même dans son état critique actuel.

                                                                                                           drapeau-du-maroc-image-animee-0008

                                                                                  IMG_87461-1300x866                                                                                                                                Ceux qui font l'idiot en Algérie

    Les Algériens d'autrefois..Quand le temps donne aux ennemis les clés de prolongation des conflits artificiels. Des éléments de bonne foi montrent que le Maroc fut toujours au centre de l’éventail Afro-méditerranéen,pour ne pas dire à "l'oeil du cyclone" . Ce qui permet de mesurer chaque jour davantage les résultats d'une guerre de haine et d'hostilité que mène l'Algérie contre le Maroc, niant la générosité Marocaine d'autrefois.

    La politique de la main tendue du Roi vers l'Algérie n'est pas seulement la main du Roi, mais c'est aussi la main de tous les Marocains. Ceci m'appareterait comme un échange de mauvais procédés et de mauvais allurements.

    S'attaquer à sa propre muse, l'Algérie tombe, malgré elle, aux mains de mafieux aprés avoir perdu ses hommes les plus crédibles d'autrefois tells que Mohamed Kheider, Houcine Ait Ahmed et Abdelhamid Mehri, pour ne citer que ce trio qui, dans le respect convivial baisait, à plusieurs reprises et sans complexe les mains au Roi feu Mohamed V. Des photos en noir et blanc immortalisenvct quelques séquences du genre au palais Royal à Rabat. C'est aux Algériens de revenir aux archives pour en apercevoir cette réalité qu'on ne peut en aucun cas faire cacher le tamis de propagande abusive du pouvoir d'Alger. 

    L’on ne triche pas avec la géographie. Si nous regardons une carte, nous constaterons que le désert du Sahara Marocain oriental qui constitue le pole du moulin de toutes les divergeances avec l'Algérie. Ce désert devant normalement etre traversé par une pénétrante «verte» jalonnée de respect et de fraternité de la part des vrais Algériens.

    Cet axe naturel de circulation faisait du Sahara Marocain oriental les points de rayonnement et d’aboutissement d’un grand commerce transsaharien dont le pendant méridional était axé sur les villes-marchés Marocaines, tel que Fes, Marrakech et le Tafilalet.

    La renommée historique du Maroc provoquait évidemment l'envie  et la jalousie des néo-Algériens, les arrivistes et opportunistes ayant fait leur révolution dans des bars au Maroc et en Tunisie, tels que l'Adjudant Ben Bella et le maudit Boukharoub sans donner d'importance  au plus ingrat d'entre eux Bouteflika.

    Du Maroc au nord au fond de l'Afrique au sud, existait donc une chaîne de partenaires et d’intermédiaires dont la solidité reposait sur un vaste et complexe système d’alliances ou de connivences, dont les survivances sont aujourd’hui utilisées par les trafiquants Algériens de pouvoir et de cocaine (701kgs) qui déstabilisent le pouvoir d'Alger. dont sont impliqués les militaires et le pseudo-président Tebboune via son fils Khaled.

    Aux liens économiques et caravaniers, il importe d’ajouter le phénomène religieux car l’islamisation de la région péri-Africaine, qui est ancienne mais qui fut longtemps , se fit à partir du sofisme rayonnant à parti du Maroc et de ses Zaouia.C'est delà, de cette histoire Marocaine riche et diversifiée que commence la gravité et l'envie que portent et porteront jadis les Algériens contre le rayonnement du Royaume Chérifien du Maroc.

    Aujourd’hui, le Sahara Marocain oriental n’est plus au confort, souffrant d'une «Algérisation» mafieuse, attendant toujours le sauveur qui le rappatrierait à la mère patrie le Maroc. Les conséquences de cette situation imposée par le fait accompli, se font sentir dans toutes les populations meublant cette région, zone de forte conflictualité en raison de foyers et familles cindés en deux, touchant en particuliers les tribus frontalières en souffrance de Ben Guil, Laâmour, Doui-Meni'ae et Ouled Jerier?

    Malheureusement, «il n’y a pas de divinité à part Allah et son messager Sidna Mohamed (ص)». Tels sont les termes qu'on peut partager avec les Algériens. Ces principaaux accusés de tous les maux avec leur veuve Algérie, alors qu'elle devait décliner son identité de mauvaise voisine à nos cotés. Excusez l'utilisation du terme "veuve", car ses honnêtes hommes ne sont plus sur terre aujourd'hui.

    En parallèle, durement touché par l'effondrement des valeurs dans son pays, l'Algerien se trouverait en colère pour la simple raison de voir l'authenticité et la crédibilité de son Algérie (de fierté et de dignité, selon la discription de frivolité Taflikienne) s'écrouler devant ses yeux sans pour autant pouvoir faire quelque chose pour sauver son image embourbée dans la corruption et dans de profondes galeries d'isolement.

    C'est la pure escalade faisant des brulures au coeur du simple Algérien impuissant, même si largement ligide d'honnetéte et de valeurs de politesse.Un Algérien miteux de nature, ne possédant aucune feuille de route ou de détermination,souffrant d'improbabilité, tenant dans son bec un coutelats superflu pour désespérement se défendre.

    La différence qui saute aux yeux c'est que l'Algérien est tout simplement un outsider malheureux déguisé en faux tigre sans canines, pleurant sur les ruines de ses diverses défaites qu'il s'en procurait à travers sa petite histoire d'éxistence depuis le départ de la maman "Faffa".(France).

    Et pourtant, c'est l'ennemi farouche du Maroc à ne pas négliger surtout, et qu'il faut toujours prendre avec des pincettes bien limées, préservant ainsi la flambée de réussites et d'avancement progréssif du processus démocratique du Maroc qui fait carton plein en tout azimut. 

    L'exemple de ce victoire à triple scrutin, le plus marquant depuis l'indépendance du Maroc est bien la réussite solonnelle du comité "ad hook", dans l'organisation des élections du 8 septembre et ce gräce à sa stabilité et de la démocratie constructive qu'il mène avec Conviction. Le Royaume raflait ainsi toutes les mises marquant un gain enviable sans précédent qui ne se produira jamais chez l'Algérien.

                                                      David T. Fischer

    Ce qui honnore là-dessus le Maroc, c'est ce que disent les grands démocrates du genre de l'ex-ambassade ssadeur Américain au Maroc M.David Fischer (photo) et le porte-parole de l'Union Européenne et non pas ce que font mijoter conjointement les prédicateurs anti-Maroc, tels que Angela Merkle, la chancelière Allemande et le bourricot Algérien Ramdane Lahmamra pour ne citer qu'eux. 

    Par ordre du gouvernement Américain du temps du président Donald Trump «l'ex-ambassadeur des Etats Unis au Maroc qui honnorait, haut et fort, par son empreinte digitale la carte géographique du Maroc avec toutes ses provinces du Sud». C'est un coté qui fait rage aux gouvernants Algériens et à leurs acolytes corrompus, dont le nombre se rétrécit davantage devant la crédibilité et la raison Marocaines. 

    Je me rappele dans ce sens d'un anecdote disant intéressant en quelque sorte : «Un milliardaire Britanique dépensait toute sa fortune pour soigner sa femme atteinte du cancer. Quand elle guérit, elle l'abondonnait, car  selon la gratitude naturelle de femme «il est devenu pauvre». C'est bien le sort Algérie indépendance pareille qui cultivait et gardait dans son esprit de haine la récompence du genre attribuée à l'ingénieur architecte Byzantin Cynemar qui, selon ce qu'on a apprit au primaire - se fut tuer par un de ses maitres-rois de l'empire Romain d'orient  aprés avoir lui construit un bon palais Monarque.

    Je pourrais dire à la fin de ce volet ce qui pourrait s'appliquer à l'Algérie actuelle. Le proverbe du poète et écrivain Allemand Heinrich Heine disant. «La où on brûle les livres, on finit par tuer les hommes». À-propos, en 1933 en Allemagne, les adeptes d'Hitler, avec des étudiants en première ligne, au nom de la culture rasiste et mus par le désir de purifier l'esprit Allemand ont brûlé des milliers de livres.

    Dans l'esprit des exécuteurs, la production culturelle devait nécaisserment se trouver en accord avec l'idéologie Nazie et glorifier le germanisme. Tout ce qui ne répondait pas à ces impératifs devait disparaître. 

    La frontière de la discorde..! J'insiste de revenir toujours aux défaites de l'Algérie face à la force Marocaine. Cette force que tout Marocain se trouverait fier d'en parler avec soulagement, rappelant aux algériens..deux étapes marquantes qui leur font constemment mal à la gorge chaque fois qu'on parlait du Maroc.A savoir :

    -La guerre des sables d'octobre 1963 conduite sous les feux du général feu Driss Ben Omar. Cette guerre qui marquait les frontières de la discorde avec l'Algérie. -Les gifles des deux Amgala en 1976 que donnait le général Dlimi avec ses faucons militaires à la racaille Algérienne (armée)au Sahara Marocain.

    Rien ne sera plus jamais pareil. L’annonce unilatérale de rupture de relations diplomatiques avec le Maroc dans tous ses aspects signe la fin d’une ère réconciliatrice, tant souhaitée par les  peuples Marocain et Algérien… RIP le choix de haine et d'hostilité d'un régime de mafia, dominant le destin d'une veuve-Algérie, mais aussi de choix de tonalité de discorde permanent.

    Dans cette nouvelle vie aux allures de dystopie, on ne pourra donc plus s’improviser un petit calme, comme ça, en y allant les mains dans les poches, avec juste ce qu’il faut pour payer les charges inappropriées de la haine Algérienne.

    Seule solution pour échapper à ce climat oppressant avec l'Algérie, faire ses adieux au reve Maghrebin et se mettre au vert, là où l'espoir n’a pas encore détruit l’enchantement de la vie voisinale.C’est finalement dans la vie la plus simple que l’on pourra continuer à goûter à la joie de vivre en paix à coté d'une folle, sans peur du lendemain, et retrouver l’insouciance de l'espoir commun.

    Aux oubliettes le voisinage de l’imprévu et le romantisme de bonnes relations aux chandelles improvisé dans une bonne atmosphère. Il faudra désormais s’assurer qu’on a bien tous (Marocains et algériens) un pass de confiance bilatéral et que le chemin de paix est bien chargé de sécurité et de stabilité.

    En tout état de cause, la rupture avec ces voisins de mal nous l'accueillerons, nous simples officieux, avec pleine satisfaction, tout en revenant à quelques dates clefs marquant les grandes lignes liant dans l'histoire contemporaine l'Algérien et le Marocain et que les gouvernants-dz n'hésitent pas de cacher, voire d'écarter la reconnaissance, échouant d'éffacer les constantes infructueuses de leur petite histoire. . 

    L’Algérie oublia l’élégance de la position marocaine pour se poser en mauvais voisin très farouche, refusant de reconnaître que le Maroc, Etat existant depuis le VIII ème siècle, avait été territorialement amputé par l’ex-puissance coloniale Française au profit d’un Etat algérien venu au monde le 1er juillet 1962.

    Les bonnes intentions-ma..En 1960, l’Algérie étant encore française, le général de Gaulle proposa au Maroc une négociation directe afin de régler définitivement le contentieux frontalier algéro-marocain résultant des amputations territoriales subies par le Maroc au profit de l’Algérie et datant de la colonisation.

    Sa Majesté le Roi Mohamed V refusa car il ne voulait pas négocier «dans le dos» des Algériens, et il répondit au général de Gaulle de la manière la plus nette que: «toute négociation qui s'engagerait avec le gouvernement français en ce qui concerne les prétentions et les droits du Maroc sera considérée comme un coup de poignard dans le dos de nos amis algériens qui combattent, et je préfère attendre l'indépendance de l'Algérie pour poser à mes frères algériens le contentieux frontalier».

    Le 6 juillet 1961, Sa Majesté le Roi feu Hassan II ayant succédé à son père le Maroc signa avec le GPRA (Gouvernement provisoire de la République algérienne) sous la présidence du président Algérien en exil feu Ferhat Abbas un accord stipulant que les problèmes frontaliers existant entre les deux pays seraient résolus par la négociation dès que l'Algérie aurait acquis son indépendance.

    Plein d’illusions, le Maroc, pensait alors que l'indépendance à venir de l'Algérie allait permettre de régler l’ensemble de la question entre ces pays dit-on «pays frères», puisque le contentieux du Sahara Marocain oriental résultait de décisions coloniales.

    Or, une fois indépendante, l’Algérie oublia la générosité Marocaine pour se porter, tout au contraire, en seule héritière de France, refusant de reconnaître que le Maroc, est un «Etat existant, à part entière, depuis le VIIIe siècle», avait été territorialement amputé par l’ex-puissance coloniale au profit d’un Etat futur algérien venu au monde le 1er juillet 1962…

    Douze cents ans après sa propre naissance sous les bottes des Ottomans (turcs) Ces envahisseurs qui n'ont pas pu coloniser, en parallèle le Maroc qui les arrêta à sa frontière-Est près d'Oujda, malgré sa faible armada militaire de l'époque. 

    Au pouvoir après le coup d’Etat de l’été 1962 qui vit l’Armée des frontières renverser le GPRA, Ahmed Ben Bella, appuyé de son maitre Jamal Abdenacer ne s’estima pas lié par les engagements pris par le GPRA avec le Royaume du Maroc, et il refusa d’appliquer l’accord du 6 juillet 1961 comme le lui demandait le Maroc.Un accord qui par la suite fut considéré par le maudit Houari Boukharouba comme simple "papier-chiffon"(sic).

    Les rapports se tendirent alors entre Alger et Rabat et le 8 octobre 1963, l’armée algérienne lança une attaque surprise contre les petites garnisons marocaines d’Hassi-Beida, Tinjoub et Tinfouchay. La «guerre des sables» venait d’éclater tout azimute. 

    Le 14 octobre les FAR (Forces armées royales), reprirent les positions perdues, puis elles avancèrent vers Colomb-Béchar-Tindouf à la hauteur d’Igli, cependant que, pour tenter de soulager la pression militaire qu’ils subissaient, les Algériens ouvraient un nouveau front à Ich dans le cercle de Figuig, dépendant alors de la province d'Oujda.

    La colère d'un général..Le 25 octobre, les FAR remportèrent deux importantes victoires, l’une à Hassi Beida, l’autre à Tinjoub et le 28 octobre, elles étaient à portée de Tindouf.Le général Driss Ben Omar proposait alors au Roi Hassan II une offensive générale à travers le Sahara Marocain oriental afin de reconquérir les régions Marocaines que la France avait rattachées à l'Algérie, à savoir, entre autres, la Saoura, le Touat, le Tidikelt et Gourara, sans parler de Tindouf que Ben Bella avoua lui même sa Marocanité devant la presse.

    Le Souverain fit alors la réponse suivante : «(...) ça ne servira à rien, moi je pars du principe, peut-être cynique, que lorsqu'on fait la guerre à quelqu'un c'est pour avoir la paix pendant au moins une génération. Si on n'est pas assuré de la tranquillité pendant trente ans après avoir mis au tapis son adversaire, il vaut mieux éviter de lancer une opération militaire, parce qu'on défigure le présent, on compromet l'avenir, on tue des hommes, on dépense de l'argent, pour recommencer quatre ou cinq années après».

    Cette réponse de sage était de feu Hassan II, dans «La mémoire d’un roi»,d'Eric Laurant Paris 1993 page 86).Cela prouve qu'il était soulagé de ces petites victoires et que le chemin vers la paix avec Ben Bella et Abdenacer était praticable plus qu'on croyait surtout aprés avoir déjà entre ses mains une carte de pression meublée par la capture inoppinée d'officiers Egyptions venus au rescousse de l'Algérie.

    Une position Royale inappropriée, voire inattendue provoquant l'indignation du général Driss Ben Omar qui pour exprimer sa colère en l'objet, il jeta parterre son Képi (coiffe et caracasse) de général à 4 étoiles. Dans son état fureur, le général froissa l'agenda devant lui permettre d'envahir l'Algérie et libérer victorieusement tout le Sahara Marocain oriental et déjouer l'intention expantionniste Algero-Égyptienne contre l'intégrité territoriale Marocaine. 

    Le Maroc qui avait l’avantage militaire se trouva diplomatiquement à l'époque dit-on bien "isolé" alors que l’Algérie bénéficiait au contraire du soutien du bloc de l’Est, de la Ligue arabe d'Ahmed Chouqairi et de l’OUA (Organisation de l'unité africaine).

    Cuba de Fidèle Castro (Kaddafi de l'Amérique) envoya de son coté des troupes et des blindés à l’Algérie. Le Maroc rompit ses relations diplomatiques avec Cuba et rappela son ambassadeur au Caire après la capture par les FAR de l'hélicoptère algérien transportant la plus grande proie de poissons égyptiens et Algériens..(5 officiers Egyptiens dont l'ex-président Egyptien Hosni Moubarak et 4 autres Algériens dont Lyamine Zeroual l'ex-président Algérien, alors un petit lieutenant)

    Une médiation fut ensuite menée par le président Modibo Keita du Mali et par l’empereur d’Ethiopie Haïlé Sélassié. Finalement, sous la pression de l’OUA, et alors que le Maroc était l’agressé, le Roi Hassan II accepta un cessez-le-feu qui fut négocié les 29 et 30 octobre, à Bamako.

    Le 1er novembre 1963, les troupes Marocaines évacuèrent leurs gains territoriaux en Algérie et elles se retirèrent sur les lignes qu’elles occupaient à la veille du conflit. L’OUA mit en place une zone démilitarisée sur la frontière entre Figuig et Tindouf, sur 1000 kilomètres de long, surveillée par des observateurs Africains (éthiopiens et maliens).

    Le facheux traité de paix..Le 15 janvier 1969, un traité de paix fut conclu entre le Maroc et l’Algérie.En n’allant pas au bout de sa contre-offensive militaire, et alors que l’armée algérienne avait été défaite, le Maroc avait fait un geste d’ouverture, espérant en retour que l’Algérie le soutiendrait dans son futur combat pour la récupération de ses provinces sahariennes alors sous souveraineté espagnole.

    Ce fut une nouvelle illusion, car Alger fut créateur et le parrain de ce qu'on appelle en Algérie la RASD (République Arabe Sahraoui Démocratique) et le soutien militaire du Polisario. L’on frôla alors une nouvelle guerre quand, le 27 octobre 1976, l’armée algérienne qui occupait accidentellement Amgala, au Sahara Marocain pour le compte du Polisario, en fut chassée de façon humiliante par les FAR. 

    Concernant l'intitulé de la note..«Le Maroc demande à l'Algérie de lui rendre Bouteflika». Un journal de sarcasme Algérien se positionnant en tribune d'humour et d'opposition, qui a sa ligne de rédaction spectaculaire, telle que : "Avec les scies en refait le monde", inventait entre autre, le contenu imaginaire d'une pseudo-lettre Royale que Sa Majesté le Roi aurait adressé au président Algérien, dans laquelle le Roi grondait virtuellement le soi-disant président Algérien.Le rédacteur humoriste de cette tribune écrit en se moquant de la stupidité des siens, je cite :

    «Rien na va plus entre l'Algérie et le Maroc.Les relations déjà pas très bonnes, sont rompues.Le divorce est acté. C'est fini, chacun devra se débrouiller seul désormais. L'Algérie devra planter son canabis. Le Maroc devra créer son propre patrimoine musical. Mais ce n'est pas tout. Le Royaume Chérifien veut reprendre Bouteflika. ça tombe bien, nous non plus on en veut plus.

    Ramener Bouteflika..C'est l'ordre insolite. Les autorités Marocaines somment l'Algérie de restituer l'ancien président déchu Abdelaziz Bouteflika. Dans une lettre adressée à Tebboune, Sa Majesté le Roi Mohamed VI  aurait fait le voeu de récupérer.

    «Bonjour à toutes et à tous. j'ai été surpris de l'annonce faite par Ramdane Laâmamra au sujet de la rupture des relations entre mon pays le Royaume et l'Algérie. Sitôt aprés, je découvre que le président Tebboune m'a bloqué sur facebook et sur instagram. Bien sûr ça me fait mal. Mais qu'est-ce-que ça aurait été sans ma maladie sanguine.

    Nous étions si proche lui et moi. Je lui envoyais des selfes en joint, il m'envoyait des stories en noir et blanc. Mais plus en blanc q sur les rails.u'en noir. Ah ce mec, il a su remettre l'Algérie. Je me sens trahi.L'Algérie a changé de comportement dès qu'elle a pris le goût de la cocaïne. Mais bon, assez pleurer comme ça.

    Si je vous écris, c'est pour vous demander de me remettre tout ce qui est Marocain. Ce n'est pas grand chose. Dans l'inventaire qui m'a été dressé, figure le nom d'Abdelaziz Bouteflika. Il y a aussi l'ancien président par intérim Abdelkader Ben Salah. Mais vu l'état dans lequel il est, je préfère vous le céder.Par contre, j'aimerai bien récupérer Abdelaziz. J'ai lu le communiqué qui annonce la rupture.Vous avez énuméré un nombre de complots fallacieux ordis par nos services à votre encontre :

    Pégasus, l'alliance avec Israël, les feux de forets dans la Kabylie, etc..Mais il se trouve que mon plus grand complot pour vous ça été Bouteflika. C'est tout naturellement que je souhaite donc le récupérer. Je lui rendrai hommage en l'installant dans l'un de mes palais où il fera sa propre statue.fin de citation.

    Je m'amuse en citant cette connerie, car je constate que même les Algériens se moquent, à leur niveau, de leur régime mafieux. Cela ne m'épargnerait pas de revenir au salaup dit le général Chengriha. Ce grand charlatan de l'armée Algérienne qui ne manquerait pas d'user de son mieux pour se venger, même en bla-bla, de son ancien maître-geôlier la Marocain.

    Devenant le maître décideur du destin des Algériens après avoir liquidé physiquement son parrain l'ex-maudit général Gaid Ahmed Salah. Rattrapé de son passé et de son présent en criminel de guerre, apparament ce Chengriha aurait ordonné de faire feu en Kabylie. Tout observateur avéré constaterait bien que les feux de forêts en Algérie étaient faits par les hélicoptères Algériens qui visiblement étaient en train de jeter du carburant sur les forêts de la Kabylie au lieu de jeter de l'eau pour maîtriser les flammes.

    L’actuel chef d’état-major de l’armée algérienne, Saïd Chengriha, serait bel et bien un criminel de guerre. Il est aujourd’hui rattrapé par son passé d’assassin durant la décennie noire (1991-2001) qui a ensanglanté l’Algérie. Le témoignage de l’un de ses ex-subalternes donne froid dans le dos.

    En 1994, et alors qu’il n'était encore que colonel, Saïd Chengriha, actuel chef d’état-major de l’armée algérienne, a commis un crime, de sang-froid, devant ses hommes. Il a sans raison exécuté un homme, un civil désarmé, d’une balle dans la tête. Ce crime a été décrit par l’un des témoins oculaires de la scène, un officier qui servait sous les ordres de Chengriha et qui a pris part à une patrouille, composée de 5 véhicules.

    En 1994 donc, et en pleine Kabylie, Chengriha a exécuté froidement et sans raison un civil désarmé. Il n’a jamais démenti les faits rapportés en 2001 par son subalterne Habib Souaidia. Seul un officier sans morale et sans honneur peut tirer froidement sur un homme désarmé. Et c’est ce même gradé, entaché par un crime qui déshonore toute l’armée Algérienne, qui dirige aujourd’hui la junte militaire au pouvoir en Algérie.

    Deux autres généraux, aux mains tout aussi entachées de sang pendant la décennie noire, composent avec Chengriha le triumvirat qui dirige aujourd’hui l’Algérie: Khalid Nezzar et Mohamed Mediène, dit Toufik. Tous trois dirigent l’Algérie de 2021, avec les recettes qu’ils ont appliquées pendant les années 90. Respectivement âgés de 76 ans, 82 ans et 84 ans, Chengriha, Toufik et Nezzar sont dépassés par les mutations du monde actuel et freinent l’essor de l’Algérie. La place de ces trois criminels de guerre n’est pas au gouvernail d’un pays, mais dans une cellule de prison.