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  • Calmons-nous et allons y, rappatrions notre Sahara Marocain oriental..!

                                                                                       drapeau-du-maroc-image-animee-0008

     

                                                     

                                                                                                  L'écurie de commande-DZ en pleine tractation

                                                

    Calme et placide...Calmons-nous, restons loin des polémiques. Et réfléchissons un peu à ces autres histoires qui nous passent sous le nez. Et à ces vies de merdes, dont le peuple dupe de la voisine d'à-côté, ignore l’existence…

    La vie de mules, parlons-en. C’est forcément une situation que tout le monde a su de la frivolité du régime d'Alger, ou dont quelqu’un a dû en parler, ici et là au moment de détente dans un coin calme de discussion entre amis. À la limite, on ne parle pas de cinéma ici, mais c'est du réel, dans lequel se sont coincés nos amis ennemis de l'Est..

    Comme avec un téléphone plus intelligent que les autres, ou n’importe quel gadget électronique, on vous en parle tellement que vous allez finir par l’essayer. Presque malgré vous. Il faut dire aussi que ce ne serait pas -le bouche-à-oreille- qui fonctionne dans cet état, mais par voix de crieur public, pour que tout le monde saura le mal que porte de cette voisine enragé à son entourage géographique.

    Parce que l’histoire avec ces dupes Algériens est terrible et qu’elle est estampillée «d’après son harcèlement en continu, dans la contrainte de supporte par le Maroc». Cela rajoute au choc d'injecter clandestinement, presque au quotidien son -tabac à chiquer- à l'oriental Marocain, seul produit d'en se disposé à l'export. 

    Un jeune Indien décide de tout plaquer et de partir tenter sa chance en Algérie. Il a un contrat de travail pour lequel il a sacrifié toutes ses économies. Cette situation de départ n'en rappelle rien à l'observation ? Mais bien sûr que si…

    La suite de l’histoire ne surprendra pas non plus. Arrivé sur place, le jeune rêveur se retrouvait face à un «réseau de trafiquants d'hommes et de drogues» qui, généralement, par mesures de sécurité, confisquent.. passeport et pièces d'identité à l’embarquement, comme une bête de somme, vers une destination inconnue.

    Le jeune homme, qui était censé travailler et vivre en pleine quiétude, se retrouvait à traire des chèvres au milieu du désert. Voilà, cette situation extraordinaire porte un nom, évidemment. «Esclavage moderne à l'Algérienne».

    Elle est assez puissante et  parce que même le public le plus averti, qui ne se laissera pas duper par le banditisme, tenta le droit à la sortie, même pas le cinéphile exigeant, ne poussera un soulagement quand il s'émergera vivant de son interminable traversée du désert.

    Soulagé par «l'heureuse fin», donc, mais traumatisé par la mention «d’après son aventure». Toute la force du récit est là. Au-delà des poncifs. Ce qui reste, c’est cette horreur qui se saisit du lecteur à l’idée de savoir que de telles horreurs existent en Algérie, et peut-être même au moment où ces lignes sont écrites.

    Cet acte d'humiliation, est évidemment insupportable, que des hommes traitent d’autres hommes comme des chèvres, et pire encore…Le mérite est d’ailleurs là. Il ouvre les yeux du monde sur des pratiques moyenâgeuses d'une junte de pisseurs.

    Chacun parmi nous a entendu parler de ces histoires, d’hommes et surtout de femmes Algériennes prises au piège une fois arrivés dans leur pays, privées de passeport et embarquées dans des histoires d'humiliation terribles…Malgré le côté dégueulasse qui malgré, ses invraisemblances, son manichéisme, il fait mouche.

    Preuve à l'appui. C'est de l'histoire qui dérange l'Algérie et qu'elle ne pas modifier ou tailler à sa mesure... Les actes administratifs du Maroc sur le «Sahara Marocain oriental» tels que documentés par les archives de Touat (1727-1772)

    À travers des documents officiels, administratifs et fiscaux, ou ce qu'on appelait à l'époque (Tertib), les archives de la province de Touat en témoignent de quatre siècles d’histoire étroitement liée au Maroc.

    Ce précieux héritage, laissé par les greffiers des gouverneurs successifs et les registres fiscaux locaux, permet de retracer l’évolution de la région sous l’influence Marocaine. Aujourd’hui, nous appréhenderons la période allant de (1727 à 1772), à savoir trois règnes de sultans de la dynastie Alaouite de :

    Moulay Abdelmalek ben Ismaïl, Moulay Abdallah ben Ismaïl et Sidi Mohamed ben Abdallah, marqués par des actions de premier plan dans le «Sahara Marocain oriental» constitué du Grand Touat et les territoires de la Saoura.

    À la mort de l'Empereur Moulay Ismaïl en 1727, son fils Moulay Abdelmalek s’empara du pouvoir, bien que brièvement, de cinq mois. Il s’empressa de rallier les villes du Sahara oriental à sa cause, en leur faisant parvenir une lettre d’ordonnance, quelques mois avant de faire son entrée à Meknès où il usurpa le trône à Moulay Ahmed, héritier légitime désigné par leur père.

    Voici la lettre, datée de rebiâ II 1140 de l'hégire, correspondant au ( 5/12/ 1727)». telle que reproduite dans l’ouvrage. «Quatre siècles d’histoire Marocaine au Sahara oriental de (1504 à 1902)», qui se trouvent aux archives et documentations indigènes», publié en 1926, aux Éditions F. Alcan (Paris) :

    «Aux gens de Touat, et spécialement adressée à Oulad Sidi El-Bekri, à Sidi Mohamed, de Zaouïet-Kounta, aux gens d’Aâryane-Erras, Oulad sid cheïkh ben Abdelkerim et cheïkh Belkassem,  cheïkh Ali ben Moussa de Tamentit et à tous les M'rabtines:

    «Louage à Dieu : «Que le salut soit sur vous. Apprenez que les gens du Souss, de la montagne et de la plaine, Arabes et Berbères, et que tout le pays du Gharb (…) se sont rangés sous notre autorité sans avoir été achetés, ni priés, ni vaincus par les armes, mais de leur plein gré, tant Chorfa que lettrés, M’rabtines et tout notre peuple Marocain. Ils ont proclamé leur soumission, stipulant -ce à quoi nous avons accédé -que nous n’exigerions d’eux que la -zakat et l’aâchour-, qui sont d’institution divine». 

    Le sultan agissait avec une grande rapidité pour asseoir son autorité. Son premier objectif était de garantir l’allégeance des villes du «Sahara Marocain oriental», une région stratégique, tant pour ses ressources, que pour sa profondeur Marocaine. S’assurer du soutien des tribus locales renforçant, non seulement sa légitimité, mais aussi son pouvoir spirituel et militaire.

    Trois mois plus tard, la régence de Touat adressa sa réponse au sultan Moulay Abdelmalek; précisant : «Les Oulad Sidi El-Bekri, Sidi Mohamed et Sidi Mohamed-Abdelkrim, ayant convoqué par lettres tous les habitants du Touat et dépendances de la Saoura, tous les notables se sont réunis… et tous ont décidé de proclamer leur adhésion au Prince avec joie et reconnaissance».

    Ils déclaraient se ranger sous l’autorité du Prince des Croyants et Maitre Abdelmalek, de par leur foi en le Coran et la Sonnat Sidna Mohamed (sws), dont ils se font un collier à leur cou et un moyen d’intercession auprès de leur souverain.  Acte dressé en Rajeb 1140 (février 1728).

    Chioukhs de Touat.. L’empire Chérifien du Maroc se trouvait plongé dans une période d’instabilité politique marquée par des luttes de succession dynastique. Moulay Abdallah (règne entrecoupé de 1728 à 1757)  détrôna son frère Moulay Abderrahmane et «bientôt le Touat comme le reste de l’empire reconnut à son tour Moulay Abdallah.

    À Fès où une délégation formée par de nobles et de personnages de la province de Touat s’est rendue au nouveau sultan «accueillit avec faveur la soumission et les présents» des représentants et désigna le jour même le caïd Bahou-ou-Ali avec 20 cavaliers, pour accompagner les députés» au retour et prendre ensuite les Oasis».

    Le caïd ne se privera pas de faire une inspection générale sitôt arrivé dans la région. «Après un court séjour à Timimoune où il s’est rendu d’abord, le gouverneur passa à Timmi, puis il descendait tout le long du Touat et continuait ensuite par le Tidikelt jusqu’à Aïn-Salah et Tamanrasset, où il arriva, les derniers jours de 1729».

    Peu de temps après son arrivée, le gouverneur Bahou-ou-Ali apprenait que de «grandes caravanes parties pour le Soudan, quelques jours auparavant ont été pillées par les Touaregs et partait à la tête de tous les contingents du Tidikelt, il se mettait à la poursuite des Touaregs qu’il atteignait à El-hajira wilaya de Touggourt en Algérie.

    Il finissait par obtenir la soumission des tribus Touareg, dont les notables l’accompagnèrent au retour jusqu’au Timmi; là il leur faisait préparer des lettres de soumission qu’il envoya, en leur nom au sultan par l’intermédiaire du cheïkh Lhaj El-Abbès du Timmi. Cette année 1730, le gouvernement Chérifien Marocain faisait remise à la région de Touat...«l’impôt sur les eaux et sur les dattes».

    Perception d'impôts.. Moulay Abdallah envoya à Touat, en 1737, une expédition commandée par le caïd Jilali-Saffar, qui avait sous ses ordres, -Cinq caïds Oulad Jarrar, -Cent de Abid-El-Bokhari et -Mille cavaliers et ce pour renforcer  les percepteurs de taxes.

    Les archives de cette période contenaient une liste officielle recensant avec précision les familles et propriétaires terriens ayant accumulé des arriérés d’impôts. Ce document constituait un rappel formel de leurs obligations fiscales, pressant les contrevenants de régulariser leurs dettes impayées. Cette liste traduisait ainsi, un effort de centralisation du pouvoir fiscal, cherchant à s’assurer que même les communautés éloignées, respectaient les impératifs fiscaux imposés par le teneur du trône en règne.

    Un jurisconsulte Marocain de Touat recevait une lettre d’un homme d’affaires lésé.. Cette lettre portait, d’une écriture large et hardie, la propre signature de Zine  L'âbidine. Ce dernier exprimait son mécontentement face aux sommes considérables qui lui ont été dues par un commerçant de Touat, nommé Abou-Lanouar ben Abdelkerim.

    L’affaire ne se limite pas à une simple dispute commerciale locale, mais s’étend sur plusieurs juridictions, impliquant les districts juridiques du Mali, du Sahel et du Maroc. Un certain Saïd, de Haouara, avait cité en justice Abou Lanouar ben Abdelkerim, le Touâtien dans une décision du tribunal de l’empire à l’avantage du plaignant Zine-El-Abidine, ainsi que l’ont déclaré les juristes de Tombouctou, du Sahel et du Tafilalet. Cet homme d’affaires sollicitait l’aide du jurisconsulte pour récupérer l’argent, ou bien la même valeur en immeubles, en faisant miroiter la menace:

    «Si le défendeur (avocat) émet une prétention contraire, nous te prescrivons de contraindre  ce Touati Abou-Lanouar ben Abdelkerim,  à venir chez nous à Tafilalet, afin de comparaitre en justice comme il le doit».

    L'ère de l’intrépide....En 1757, la mort de Moulay Abdallah mettait fin à un règne mouvementé de trois décennies, marqué par des rivalités internes. À sa disparition, le pouvoir Souverain passait à son fils, Sidi Mohamed ben Abdallah, également connu sous le nom de Mohamed3, qui régna de 1757 à 1790.

    Ce changement de souveraineté intervenait à un moment crucial. À peine monté au trône, le nouveau sultan était rapidement confronté à un conflit majeur dans la région stratégique du Touat, où les habitants se révoltaient contre les nouveaux caïds, nommés pour administrer la province. Sidi Mohamed se retrouva donc, dans la tourmente et dans l’obligation d’intervenir sans délai pour apaiser la situation et réaffirmer l’autorité du trône. Il envoya dans ce sens une missive aux populations, dont voici la teneur, début citation :

    «À nos serviteurs, les gens du Touat, Chorfa, M'rabtines, que le salut soit sur vous. Et ensuite est parvenue à notre connaissance Chérifienne la nouvelle des exactions qu’à commises dans votre région notre serviteur le pacha Tahar et de la contrainte qu’il vous a imposée, en soumettant au fisc les eaux d’irrigation malgré votre opposition».  -Ne versez aucun impôt pour ces eaux, nous vous en dispensons; versez seulement l’âchour pour vos dattes, ou bien pour les orges si vous faites les orges, comme par exemple El-haj El-Abbès, le cheïkh Ali El-Aroussi, le cheïkh Bahamou Brahim, El-Hadj Ahmed Backhi de Beni-Tamert (…)  -Ce que nous voulons affirmer, c’est que nous n’avons envoyé notre serviteur résider parmi vous que pour apaiser tensions et discordes qui s’élèvent entre vous.  Doul-hija 1172 ( août 1759)».fin de citation. 

    Expédition Chérifienne...Un événement majeur du règne de Mohammed3, qu’il convient de souligner, est l’expédition militaire qu’il ordonna en 1772 pour réprimer les «R'ziats²» auprés des tribus locales, qui mettaient en péril toute la région et le commerce avec l’Afrique subsaharienne.

    Les insurgés, racontent les archives, montaient en puissance et «multipliaient les coups de main contre les ksours; ceux-ci implorèrent l’assistance du sultan Sidi-Mohamed, qui, en 1772, envoya une expédition pour les réduire; elle leur livra un combat à Zaouïet-Sidi-El-Bekri et les défit (…).

    Cette expédition n’était pas simplement une réponse militaire, mais également une action politique symbolique. Elle marquait la volonté du sultan de ne tolérer aucune remise en question de son autorité, tout en envoyant un message clair aux élites locales: le pouvoir central était prêt à intervenir de manière décisive dans les provinces du «Sahara Marocain oriental».

    Enfin, l’ordre fut restauré et quand des renforts arrivèrent de Touât, les insurgés «s’enfuirent vers les Oulad-Sâïd». Très vite, disent les archives de la région, «les troupes du Makhzen se divisèrent : une partie vint construire une nouvelle kasba au Timmi et les autres allèrent bâtirent à Timimoun»

    Ces archives de Touât traduites et publiées par A.-G.-P. Martin se révèlent être une source inestimable mettant en évidence les interactions régulières et dynamiques entre les autorités centrales de l’empire et les diverses communautés sahariennes. Ces échanges témoignent aujourd’hui d’une perpétuelle intégration qui a mobilisé la politique marocaine sur plusieurs siècles.

    Le «Sahara Marocain oriental», loin d’être une région périphérique, apparaît dans l’histoire comme un acteur stratégique essentiel dans les décisions politiques et économiques de l’Empire Chérifien, une province à chaque fois guignée et inspectée, choyée par tous les nouveaux règnes des sultans du Maroc.

    Je crois, le fait d'évoquer cette histoire du Sahara oriental, c'est pour prouver aux Algériens que ce territoire spolié actuellement par l'Algérie est purement «Marocain et ne pourra être Algérianiser» à cause d'une grave erreur commise par la  France Gaulliste!».

    D’après mes valeurs et principes d'admin, je n’attaque jamais une personne sur son physique. L’important, ce n’est pas ce qui apparaît, mais ce qui est dit et fait. Certes, mais si je me fie à l'écrivain Français Jean Cocteau,  le « touche-à-tout » de génie. qui a dit que, «passé quarante ans, on porte son âme sur son visage», je constate qu’en politique, cet adage n’épargne personne.

    Combien ces gens d'ingratitude, nous veulent du mal et rêvent un jour anéantir notre quiétude pour vanger es gifles Marocaines qu'ils ont endossé durant la guerre des sables d'octobre 1963. Ils le disent et le clament en toute clarté. C’est leur obsession.

    La lâcheté de voisinage nous apprend que les Algériens, obsédés par le Maroc, par ses réussites, par sa stabilité et par sa diplomatie efficace, ils passent tout leur temps à élaborer des plans pour faire obstacle à tout ce qui est Marocain.Ce Marocain qui fabrique, pas les mensonges, ni gonfler seulement les pneus, mais qui, silencieusement, produit, à haut la main, les voiture et les pièces de rechange aéronautiques.

     

                                                          Rappel du spectre  d'octobre 1963…

     

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    «1-Ils sont laids parce qu’ils sont malhonnêtes. -Ils sont laids parce qu’ils sont remplis de haine et de volonté de nuire. 2-Ils sont laids parce qu’ils portent le malheur sur leur visage. 3-Ils sont laids parce qu’ils sont dans l’échec et le rejet par leur peuple.4-Ils sont laids parce qu’ils sont menteurs et cruellement envieux.5-Ils sont tout simplement que des voyous, des laideurs et convoyeurs de mal».

    Le passé de l'Algérie avec ses mensonges à répétition pour se refaire une virginité et les armes qu’elle porte encore et pour toujours contre le Maroc… Nous souhaitons faire davantage de révélations explosives pour les dénuder de plus.Or, les dirigeants de l’Algérie, avec leur obsession anti-marocaine, ne savent qu’amasser de la boue pour la jeter sur ce voisin qui les gêne et les rend fous de jalousie.

    Tant que ce ne sont pas des bluffs, qu'on ne leur répondra pas.Il convient donc, de rappeller à ces dupants que : «deux lions ne pourront régner dans la même vallée», même si l'Algérie dans ce contexte n'est pas une lionne, puisqu'elle n'est qu'une sale mule bannie de tous, autour duquelle la planète politique ne tourne plus, tout près d'elle.

    Nous rappelons aux à ces ingrats Algériens, qu'il serait souhaitable que leur junte militaire fasse preuve de raisonnement et du même caractère que le général de Gaulle quand il décida de leur donner l'indépendance en 1962 et de ne penser qu’à l'amélioration de voisinage avec le Royaume au lieu de se concentrer sur un leadership irréalisable dans sa région..

    Nous rappelons aux Algériens que l'histoire revient souvent sur ses pas. En quelle année sommes-nous? sans doute en 1963, quand l'Algérie s'est écroulée devant la bravoure des FAR, sous «le général Driss Ben Omar» qui projetait de s'emparer de Tindouf et pourquoi pas envahir l'Algérie jusqu'à sa capitale,durant, ce qu'on appelle désormais, «la guerre des sables-octobre63».

    «Sachant qu'il voulait, à ce propos, faire déguster à l'Algerie les douleurs de l'un de ses explois et expériences de terrain, qu'il a eu le privilège d'emporter durant les batailles de la 2ème guerre mondiale de 1944. mais sûrement pas, devant le refus catégorique de S.M.le Roi feu Hassan II qui ordonna, de bonne foi, d'arrêter l'effusion du sang Algérien».

    Nos chroniqueurs et experts de la chose Algérienne ne peuvent, en aucun cas, décrire l'état fantoche actuelle de cette voisine de mal et avec ses cons qui usurpent son pouvoir, même s'ils opteront à réagir dans «Un livre truffé de contre-vérités Algériennes».C'était pour nous Marocains, une guerre symbolisant l'effondrement de l'ambition Egyptienne, via l'adjudant-président Algérien, sanctionnée par les lourdes défaites, endossées par la racaille-armée de voyous, sans pour autant, pouvoir atteindre auncun objectif ou percer le «mur et la grandeur Marocaines».Bonne lecture. 

                                                            L'Admin, Chihab 25