Maroc-Algérie : l'Algérie accuse le Maroc d'avoir porté le danger Israëlien à ses frontières et Mahmoud Abbas en profite..
Le trésor de Tendrara
Le miracle Sound energy...Je commence par ces mots qui déplairont nos ennemis Algériens. Il s'agit du Gazoduc-Tendrara. Constituant à l'improviste une fièreté-ma et une déception à l'autre coté de notre frontière-Est. C'est un cadeau divin qui émerge au grand jour, à la surprise du pouvoir d'Alger,il est l'équivalent de l'importance d'une fusille trempée dans le miel avec une citation de merde à la figure du pouvoir d'Alger qui mérite plus d'insulte et d'humiliation. Heureux d’emmerder ce pouvoir de mafia, substituant ainsi les officiels Marocains qui ne pourront, par raisonnement, se baisser à ce niveau de tension.
Après le retrait de l’offre gazière algérienne, le royaume chérifien a besoin de s’appuyer sur ses réserves de l’est du pays pour développer une offre interne solide. Cela permettra de réduire sa dépendance actuelle vis-à-vis du marché extérieur.Surtout de la saleté gazière Algérienne.
British Chariot Limited ..Pour couper court, cette compagnie énergétique Britannique est descendue via une licence de prospection de gaz et de pétrole à Larache, affirmait avoir localiser un grand gisement de gaz dans la région.
C'est une autre gifle qui s'ajouterait aux cumules contre la supériorité imaginaire, que les ingrats Algériens n'en pourront atteindre que dans leur rêve éveillant. En parallèle, en entend là bas, que des hurlements désespérés d'un peuple opprimé par son régime autoritaire.Par contre, notre devoir à nous Marocains, c'est d’être vigilants, en particulier devant ses gouvernants mafieux de nature, haineux et hostiles pour leur ingratitude à la générosité Marocaine d'autrefois.
Le 'tout' d'abord.. Ouvrant deux parenthèses et répondre aux gouvernants Algériens. je veux dire serait la manière la plus adéquate à leur rendre de la monnaie..? Ajoutant que si le Maroc se rapproche de l’État Hébreux, c'est qu'il ne reconnait pas l’État d'Israël en tant que tel, il reconnait ses milliers de concitoyens Marocains de confession Juive se trouvant là bas. Ces Marocains juifs sont arrivés à enfanter de hauts responsables au niveau de "Ministres" natifs de Rabat, de B'ejaâd et de Sefrou en concurrence avec les arrivants Juifs de l'Europe de l'Est.
Et si le Maroc doit officiellement renouer des relations diplomatiques avec Israël, il le fera ouvertement et sans complexe. Il ne serait ni le premier ni le dernier arabe à agir ainsi.Il reconnaît Israël, assumant son entière responsabilité en tant que nation -arc-en-ciel- renfermant toutes les races.
Le bla-bla du nationalisme arabe d'autrefois est enterré avec les maudits Abdenacer et Kaddafi.Et quoi qu'il en soit, reconnaitre Israël, c'est reconnaitre la force d'un État exceptionnel dans la région. Il représente le poids d’État à coutoyer plus que la veuve Algérie.le pays de dix mecs en une cervelle.
La simple interrogation..les Palestiniens ont-ils eut le privilège de manger l'argent algérien comme se fait le cas du Polisario ? Personne ne donnera la réponse exacte.En comparaison entre l'histoire de la création de l’État d'Israël en 1948 en vertu de la déclaration d'Arthur Balfort en 1917, et l'histoire du problème artificiel du Sahara Marocain créé par les maudits Boukharoba et Kaddafi.
Le lecteur en trouvera qu’Israël existe depuis des décennies, comme vérité sur terre, contrairement à la création fantoche du polisario créé en 1975. Et depuis, le déclenchement des hostilités Algériennes contre le Royaume deviennent chroniques, voire une routine habituelle jusqu'en 2021, malgré la disparition des satins créateurs Algéro-Libyens du problème du Sahara Marocain.
Évoquant les Palestiniens dans ce contexte, je voulais provoquer le lecteur à chercher davantage, «le comment et le pourquoi?» que le pouvoir Algérien se met à ennuyer davantage le Maroc. Lahmamra, le ministre-pompier appelé en rescousse aux mensonges étrangers de l'Algérie, qui a récemment déclaré à CNN que l'Algérie aura dépensé pour le Polisario 500 milliards de dollars et d'ajouter, je cite : «L'Algérie a été extraordinairement patiente face à toutes les actions commises par le Maroc contre sa souveraineté et son unité.fin de citation.
C'est l'aveu d'un général mafieux d'Alger que Ramdane Lamamra ait autorisé à prononcer ce grand chiffre de milliards, même si les généraux Algériens ne connaissaient pas vraiment le chiffre exact, et que seul Dieu connaît le vrai nombre.
En fait, les chiffres diffusés en l'objet sont rejetés, par les pseudos partisans d'opposition Algérienne qui avançaient d'autres chiffres dépensés par l'Algérie au profit de l'affaire perdue du polisario en dépit des souffrances des plusieurs masses populaires d'algériennes démunies .
Cela n'est pas étrange pour les experts de la chose Algérienne.Oui, ce n'est pas étrange également pour moi aussi, tant que les sympathisants du polisario deviennent une force influente en Algérie.«C'est un pays dans un pays». Pour l'argent du peuple algérien, chaque centime est fondu dans le vide, comme tout autre argent passé par les généraux influents en contrebande à l'étranger.
Les experts qui connaissaient bien la mentalité du régime Algérien depuis l'indépendance en 1962 l'ont dit, prouvant que l'Algérie est plongé dans le triangle des Bermudes pour gaspiller plus d'argent encore, pas pour avoir les infrastructures nécessaires de bases, mais seulement pour contrarier la grandeur du Royaume Chérifien du Maroc.
Nezzar, et Toufik les généraux criminels de la décennie noire d'Algérie
Le retour des tueurs..Devant la faiblesse de la présidence Algérienne et son incapacité de bien gérer le pays et garder la ligne hypocrite du régime militaire face à la forte lumière Marocaine éclaboussant l’œil Algérien, les décideurs du palais d'AlMouradia d'Alger n'ont pas eu de honte d'appeler des généraux mouchards pour gérer la stagnation hebdomadaires de la rue offerte par la pandémie Covid-19.
Il s'agit du général Nezar condamné par contumace et innocenté, rappelé d'Espagne pour reconduire sa spécialité de "tueur" et créer, éventuellement, d'autre décennie noire en Algérie et du général Mediène, dit Toufik, a été démis de ses fonctions en septembre 2019 après avoir dirigé pendant 25 ans les services du renseignement algérien,DRS. Victime des règlement de comptes d’un système dont il était lui-même l’un de ses piliers. dont il avait fait "un État dans l'État considère comme le faiseur des rois". Toufik rappelé en urgence pour reprendre l'opération de nettoyage des culottes du pouvoir d'Alger et dicter à Tebboune le maximum d'attitudes destructives et d'ennuis contre la Maroc.
Le président Mahmoud Abbas s'est rendu en Algérie sur à la demande urgente de la présidence d'AlMoradia d'Alger, partant avec 100 millions de dollars dans sa poche sans aucun effort, ni aucun acquit politique bénéfique au peuple Palestinien. Se renforçant au contraire contre son adversaire Ismail Hanyi qui se battait unilatéralement en pion au service des Ayat Echaitan d'Iran.
Il était porteur d'une lettre d'affection et de sympathie de Tebboune aux autorités Israéliennes, dans la quelle l'Algérie souhaiterait établir des relations diplomatiques à l'instar des autres pays arabes. L’intelligence des généraux Nezar-Toufik, les principaux décideurs actuellement en Algérie, ne s’arrête pas la?. Ils sont en train de trainer la Mauritanie vers un groupes de pays corrompus créé par bons de commandes pétroliers par Lahmamra en vue d'isoler la Maroc de son entourage Africain.Mais, hélas, Ould Lghazouani,le président Mauritanien ne serait pas facile à manipuler, il garderait certes la fidèleté au dortoir où s'est allongé pendant quatre ans à la Royale Académie Militaire de Meknes.
Les plus curieux des Algériens se demanderont certes, combien de centaines de millions du pétrodollars algériens les Palestiniens ont-ils pu manger depuis la naissance de l'Algérie en 1962? Serait peu apparemment, par rapport au gaspillage de fonds Algériens réservé à Tindouf.
1)Le lecteur considérera que la bande au pouvoir d'Alger se vantait avoir apporter de l'aide financière aux Palestiniens depuis 1962, ce qui est impossible de vérifier, bien sûr, et illogique, car la situation en Algérie ne s'est stabilisée depuis 1970 qu'au bout d'environ 8 ans au moins, mais avec cette stabilité supposée, le lecteur remarquera cependant que depuis que cette mafia est au pouvoir, elle ne fournit d'aide financière aux Palestiniens que sur les colonnes de sa presse locale et par du bla-bla, citant vocalement,à la "solde de vante" que l'Algérie est avec la Palestine "qu'elle soit injuste ou opprimée.".
2) En supposera également que les dirigeants palestiniens qui ont visité l'Algérie depuis Yasser Arafat jusqu'à ce jour, que ce soit avec Fatah ou contre, seront au nombre exagéré. Cependant, l'observateur le prendra comme une règle hypothétique pour découvrir l'horrible malheur du peuple algérien alors qu'il vit dans la précarité, puant du Polisario, et non pour défendre autre droit fondamental de quiconque.
Dix milliards d’abois, seulement sont accordés par l'Algérie aux Palestiniens durant 60 ans, mais ces gouvernants promeuvent qu'ils n'entretiendront jamais de relations vivantes avec Israël, même s'ils savent que les premiers qui ont influencé et établaient des relation avec Israël sont les Palestiniens eux-mêmes, ce qu'on le retrouve dans les propres de Mahmoud Abbas. N'en parlant pas davantage de son adversaire Ismail Hanyi' de la bande de Gaza qui nage seul, à son profit, dans ce qui reste de boues Palestiniennes au moyen Orient.
Sachant que Yasser Arafat était le premier à utiliser le mot "normalisation"avec Israël dans une lettre y afférente ... et les idiots de la bande dirigeante en Algérie sont fiers que nous n'imprimions pas avec Israël (sans entrer dans le bruit des réunions secrètes avec des agents secrets algériens en l'objet) ...
Mr. Johann Holst, le ministre Norvégien était un homme politique, connu pour son rôle dans les Accords d'Oslo signés en 1993. Il était Ministre de Défense et aux Affaires étrangères Norvégiennes jusqu'à sa mort en. Pendant son court moment, il participait néanmoins au processus de paix israélo-palestinien et aux discussions tenues secrètes à Oslo, qui aboutissaient à ces Accords devenus «pièces maitresses» à toute négociation.
Puis avec des avantages que les Palestiniens ont pu accidentellement retirer du pouvoir d'Alger pendant 60 ans, en plus du battage médiatique de propagande, de démagogie, de la calomnie et des mensonges de l'Algérie, on constate que les Palestiniens n'ont profité de l’Algérie que de futilités de milliards de dollars de bluff.
Menace Royale..A propos de la cause Palestinienne et dans le cadre de flatterie que les Palestiniens sont des maitres.. Yasser Arafat, parlant des Accords d'Oslo de 1993, portant la première déclaration de paix et de principes avec Israël, faisait des clins d’œil hypocrites aux Algériens durant une de ses visites à Alger, je cite : «Le peuple frère du Sahara occidental supporte, malgré lui, les mêmes souffrances que nous autres Palestiniens».
Une déclaration démesurée, dont les conséquences n'étaient pas bien calculées par Arafat. La réaction Marocaine était vite faite et Arafat a du payer cher, provoquant une colère générale auprès des Marocains..C'est après quoi feu Hassan II menaçait ouvertement, via un discours flash à ce propos, je cite : «tout Marocain soutenant les Palestiniens, je ne manquerais pas de peindre la porte de sa demeure par d’excrément sale, plus sale que du "caca" (sic) fin de citation.
En fin de compte, l'argent du peuple algérien avec le Polisario est devenu lâche et incontrôlé. Avec toute sottise, cynisme, méchanceté, la mafia de caporaux de France dirigeant l'Algérie depuis Boukharouba, ont ouvert le trésor Algérien pour que les Polisariens en retirent tout ce qu'ils veulent, et vivre en galas avec des milliards, au détriment du peuple Algérien qui fait de longs fils pour s'enquérir d'un kilogramme de patate.?ليق
La rédaction du blog est tombée sur le général-pisseur Said Chengriha qui dans son état de gémissant et bourdonnant, répétait sous l'effet de son ronflement nocturne, sa pensée devenue une fixation d'ordre militaire anti-Marocanisme.Il bouillonnait considérant qu'il a des comptes à régler avec ses anciens geôliers Marocains.
Entrer dans la tête d’un ex-caporal français, déguisé aux galons de général d'une racaille dite "armée" n’a pas été une mince affaire. On aurait dit que le général avait été dopé à l’anti-Marocanisme primaire, une sorte de maladie orpheline. Aucun dictionnaire ne l’explique et aucun médicament ne la soigne.Ce Chengriha aurait soufflé à ces acolytes lors de claquement de verres de vodka à la base militaire de Colomb-Béchar, une vérité incontournable concernant le Maroc. Il aurait dit que le Maroc est parti loin par la conduite effective de son Monarque..je cite :
«Ils ont un Roi, pas comme les autres, un Roi aimé, adulé, célébré...élevé et éduqué dans les sillages de commande.Avec sa haute stature de chef d’État capable audacieusement de tordre, les bras à l'Allemagne, à l'Espagne et à la France.Une qualité de chef d’État unique au monde,dont nous ne disposons et ne disposerons pas à Alger.»
L'épineux problème de frontières..Les généraux et les dingues politiques hurlèrent d’une même voix: il faut rompre. Et malgré ce niveau très élevé de haine, le Maroc bouge, il est passé à la vitesse supérieure.Pour les vexer davantage, je leur dirais : attention quoi qu'il en soit, ils n'auront pas de privilège de marcher aux mêmes pas que la machine Marocaine.
Car il n'y en avait pas de nation ni de gouvernement en Algérie avant 1830. Les Algériens n'ont pas d'histoire ni d’authenticité d'existence comme disait le président Français Emmanuel Macron, créant une sorte de polémique artificielle, entre lui et les opportunistes Algériens qui tentaient, par voie d’harcèlement vocal de monter à cheval de Troie et miser sur le rappel mémorial Franco-Algérien.Une thèse rejetée jusque-là par la classe politique Française qui refuse d'en discuter.
Mais en ce qui nous concerne nous Marocains, l'accusation Algérienne du Maroc d'avoir apporté le danger Israélien à ses frontières est une frivolité équivalent à l'anecdote racontée au sang froid de connaisseur par Tabboune : «Gorge Washington et les armes à Abdelkader old Mohyeddine, alias Émir Abdelkader».
La frontière entre l'Algérie et le Maroc constitue pour nous un objectif unique de "vie ou mort". S'agissant d'une frontière terrestre internationale délimitée par une convention signée, à tort, à Rabat en 1972 et ratifiée par l'Algérie une année après, puis par le Maroc en 1992 par volonté de bonne fois, aidant le président Mohamed Boudiaf à ouvrir de nouvelles issues de fraternité entre les deux pays, mais les germes de trahison ont vite actionner les armes, assassinant en direct Mohamed Boudiaf.
Et l'aiguille d’espoir à toute normalisation avec la junte d'Alger repose à nouveau sur le point zéro de départ.Et malgré, le problème de frontières avec l’Algérie est primordial pour le Marocain d'aujourd'hui, de demain et d'après demain. Il constitue en contre partie, pour l’Algérien un piment piquant qui brûle la gorge chaque fois abordé.
A noter que le Maroc revendiquait le territoire du Sahara Marocain dit occidental également limitrophe de l'Algérie. Selon cette revendication la frontière entre l'Algérie et le Sahara Marocain (41 km) serait englobée dans la frontière algéro-marocaine qui s'étendrait alors à 1950 km2.
La frontière entre l’Algérie et le Maroc est fermée, rappelant le, à tout passage depuis 1994 à la suite de l'actes terroriste perpétré par des Franco-Algeriens (oulad l'haka) à l'hôte Asni à Marrakech, tuant deux touristes Espagnoles.
Pour compléter son Intégrité territoriale et souveraineté nationale, le Maroc doit revendiquer ses territoires spoliés par l'Algérie en l'occurrence : le Sahara Marocain oriental qui regroupe les territoires de :«Touat, Tidikelt, Gourara, Oued Saoura, Colomb-Béchar Kenadsa et Tindouf.» L'Algérie doit se raisonner, se mettre à l'évidence et reculer devant la raison avec le Royaume et considérer le principe «d’intangibilité des frontières héritées du colonialisme» est nul et non avenu.
Les cartes et les observations de terrain révèlent la difficulté à cerner, au Sud-est, une frontière Maroco-Algérienne du fait du gommage de la ligne onusienne par les autorités de l'Algérie Française. Tous ces territoires du Sahara central appartiennent au Maroc de «jure et de facto», concédés arbitrairement et unilatéralement par la France coloniale à l’Algérie en 1962.Les archives historiques, les traités, les pièces officielles en témoignent. Ils avaient été arrachés au Royaume chérifien du Maroc, sans scrupules, sans accords signés, sans négociations, mais en violation du droit international, avec cette invocation fallacieuse du « fait accompli ». Ils étaient incorporés dans le grand projet que la France avait lancé et mis en place en 1957 de l’OCRS ( Organisation commune des régions sahariennes).
Évoquer le problème de frontières Algéro-Marocaines, c'est amputer la main du voleur.Et pour se faire,le temps des révélations historiques et des documents juridiques resurgit en ce moment où la France aurait promis de libérer les archives concernant l'Algérie-Française et comme par enchantement semble reprendre le dessus dans cette affaire du Sahara marocain oriental, qui constitue à n’en pas douter le plus grand hold-up du siècle commis, via des amputations, par la France. depuis la 3ème république Française (1870), le gouvernement Guy Mollet et même avant jusqu'au général Charles De Gaule.
Je sais que difficile d'arriver à une solution avec ce genre de gouvernants actuels d'Alger. Fabriquée de toutes pièces par le pouvoir du maudit Boukharouba que la malédiction divine repose toujours sur lui, l'Algérie de 1962 a bénéficié notamment de conditions que les marxistes qualifient « d’objectives », autrement dit du contexte de la guerre froide, qui opposait les deux blocs de l’époque, occidental d’un côté et soviétique de l’autre.Elle a également été subvertie par la littérature et le catéchisme politique des années soixante à l’aune du triomphe relatif du langage socialiste sur lequel l’Algérie et certains pays du Tiers-monde avaient allègrement surfé. .
Les archives coloniales enfouies au Centre historique du ministère français de la Défense à Vincennes, consacrées à sa présence de plus de 43 ans au Maroc, témoigneraient vite de l’injustice absolue qui a été faite à notre pays. Autrement dit, la partition arbitraire a été entérinée aussi impunément que pouvait l’être une violation par un État fort – la France – contre un pays affaibli, morcelé à la Conférence d’Algésiras en 1906 par les impérialismes de toutes sortes, objet ensuite d’agressions commises par les puissances, l’Espagne au nord et au sud, la France au milieu et sur le littoral…
Jamais jusque-là , en effet, l’intégrité territoriale du Royaume chérifien n’avait été mise en cause. Et l’Algérie, fief reculé vers l’ouest de l’empire ottoman, colonisée par la France en 1830, n’existait pas en tant qu’État, sinon sous forme d’un département français avec un peuple que le Maroc, fondant ses espoirs unitaires dans sa future émancipation soutiendra et appuiera dans sa lutte de libération à partir de 1956.
Les germes de la trahison algérienne...Les germes de la trahison algérienne envers le Maroc existaient-elles déjà dans l’esprit des futurs dirigeants algériens ? Ils étaient nombreux à faire le voyage de Rabat, à obtenir l’aide, en argent et en armes, des Rois du Maroc, en l’occurrence Mohammed V et Hassan II. Ils faisaient tous serment de fraternité envers notre pays et ses institutions.
Membre fondateur de l’Organisation de l’Unité africaine (OUA) en 1961, le Maroc avait rejeté dans la foulée la sinistre théorie de «d’intangibilité des frontières héritées du colonialisme» que les résidus de la littérature coloniale entendaient perpétuer.
Car, le Maroc en accédant à l’indépendance en 1956 avait aussi réclamé avec force le parachèvement de son intégrité territoriale, ensuite déposé une requête aux Nations unies pour revendiquer son territoire du sud occupé depuis 1934 par l’Espagne, comme il fera de nouveau en 1962-63 et en défendra bec et ongles le principe de décolonisation devant la fameuse 4ème Commission des Nations unies, harcelée et transformée plus tard en «chasse gardée» par l’Algérie.Libérant ainsi les villes de Tarfaya 1958 et Sidi Ifni en 1969.
Le territoire est source de contentieux. L’apparition des nouveaux États issus de la décolonisation ne pouvait que multiplier les difficultés en raison du caractère le plus souvent artificiel des frontières coloniales. Aussi l’une des premières initiatives de l’Organisation de l’Unité Africaine ( OUA) a-t-elle été le vote d’une recommandation destinée à geler la situation telle qu’elle résulte du découpage colonial afin d’éviter une remise en cause généralisée qui aurait été la source d’un gigantesque et inépuisable contentieux entre le Maroc et l'Algérie indépendante.
«Il eût été trop beau de croire qu’une recommandation pouvait régler un problème aussi complexe.« L’Avis de la Cour Internationale de Justice sur le Sahara Marocain, 16 octobre 1975) en témoigne clairement. Ce témoignage, on ne peut plus éloquent, se suffit à lui-même. Il rejoint et résume la position du Royaume du Maroc qui, documents et pièces à conviction à l’appui, affirme avec force que les Saharas Marocains, qu'il soit occidental ou oriental n’ont jamais été « terra nullius » et l’avis de la CIJ l’a démontré, des liens juridiques et historiques forts, ont toujours existé depuis la nuit des temps avec le Royaume du Maroc.
Il a été dit, ici et là, que ceux qui formaient ce qu’on appelle « le clan d’Oujda », entre autres Boumediene et Bouteflika qui y avaient pignon sur rue, se sont en fin de compte révélés être au lendemain de l’indépendance les plus obsessionnellement antimarocains…L’un et l’autre ont tout simplement enterré la gratitude et la fraternité du peuple du Maroc, comme aussi cette déclaration solennelle de Juillet 1961 signée par Farhat Abbas, président du GRPA à Rabat avec le Roi Hassan II, et reconnaissant clairement les frontières internationales du Maroc…y compris le Sahara Marocain oriental.
Déclaration écrite noir sur blanc le 6/7/1961 mais rejetée par Boukharouba quand il était arrivé à gouverner l’Algérie sur "chars" la considérant de chiffon de papier.
Pourquoi insister encore sur ce problème épineux. Hé bien pour s'arrêter et reprendre, en quelque sorte, l'anecdote populaire Marocaine disant : «frapper l’âne pour la paille, il oubliera l'orge» .Et nous resterons très insistants, soit nous actuellement, soit les générations futures, jusqu'à ce que l'Algérie revienne à la raison aux sujets des frontières héritées du colonialisme Français.Bonne lecture
Cordialement,Chihab-25