Maroc-Algérie : Secrets Militaires.. défaites et fuites (Gaid et Chengriha en exemple).
Une Fièreté..: A l'occasion de 14 mai coïncidant chaque année avec l’anniversaire de l'Armée Royale, la rédaction du blog a l'honneur de rendre un grand hommage à nos FAR.
Pour marquer la commémoration j'ai revu mes archives à la recherche d'une des performances qu’enregistrait l'armée Royale contre l'ennemi le plus proche et aussi hors frontières en quête d'honneur à travers le monde portant les casques bleus dans des opérations de maintien de la paix des Nations Unies. J'ai trouvé plus que je cherchais me réjouissant revivre les séquences victorieuses des FAR aux Amgalas au Sahara Marocain.
Ces séquences, ou plutôt ces défaites de l'armée Algérienne devant l'armée Royale font toujours très mal aux Algériens.
Se trouver en 1960 au Congo pour la paix, en 1961 au séisme d'Agadir, cela prouve la force de départ de notre Armée Royale. Perfectionnée, pleine d'énergie elle nous a fait honneur et continue à le faire dans plusieurs points de confrontation face à la racaille algérienne.
Nous allons voir pourquoi, si le lectorat prenne un peu de son temps et voir en "pages jointes" le pourquoi de la honte ne méritant pas la publication en page d'accueil. Il s'agit de l'armée de pédés déshonorant l'arrogance du voisin de l'Est. L'intitulé fait honte aux lecteurs avérés ne méritant même pas la prononciation. (l'armée algérienne, une armée de PD).
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les aigles de Driss Ben Omar
Traces d'un général..En ce moment de crise économique et d'instabilité politiques en Algérie, le polisario est en sursis...les Algériens par aspect de laisser aller ne chercheront pas à découvrir, du moins pour l'instant, combien l’Algérie dépense pour le Polisario auquel je n'aurais besoin de reparler ou de rappeler les circonstances de sa création en toutes pièces Algériennes, du fait que tout le monde connait cette mascarade plus que moi.
En plus de la corruption qui rongeait tous les secteurs en Algérie, malgré une manne pétrolière et gazière, les dépenses de l’Algérie pour le Polisario dépassent l’entendement et la pubescence. L’Algérie prend en charge depuis presque cinq décennies, tout un mélange de peuple, sa milice, sa diplomatie, et ses réfugiés ramassés de tout bord…
C'est le fantôme choisi lors d'une nuit Algéroise arrosée pour libérer la "Saqia lhamra et Rio de Oro", si on s'amuse de traduire son enseigne qu'on lui attribuait, à sa naissance césarienne sous chantage Algéro-Libyen, il y a presque cinq décennies.
Le maudit Boukharouba qui exposait alors en vitrine de propagande le "principe des peuples", mais au fond il projetait ouvrir une fenêtre sur l'océan et respirer gratuitement sans charges l'air de l'Atlantique encerclant géographiquement le Maroc.
Pour légitimer et reconnaître l'existence à ce nouveau né, l’Algérie s'est habillée en pasteur lançant une opération "d'appel à témoin" pour ne pas dire opération "chasse à l'homme". Elle s'est mise en marche, armée d'hypocrisie, de chèques à blanc en mains, orientée en particulier vers les pays moins cultivés qui souffrent d'ignorance politique et pauvres en Afrique, en Amérique latine et aux d’îlots éparpillés, perdus dans des océans lointains.
La facture est lourde et échappe à tout cadre institutionnel de contrôle. « C’est le ministère de la Défense Algérienne qui prend en charge le Polisario. Ce n’est pas la prise en charge du corps diplomatique ni le Gouvernement de polisario ou ses réfugiés qui posent problème, mais le nombre de milliards que l’Algérie verse dans les comptes des pays profiteurs qui ont montré leur soif au dollars Algérien suivant aveuglement la thèse algérienne de déformation de la réalité du Sahara Marocain.
Plus de 80 représentations diplomatiques Algériennes avec des espions bien payés se sont faits engagés dans une course contre la montre pour collecter le maximum de reconnaissances de cette création "made in Algéria" et donner fausse crédibilité à cette organisation de mercenaires sur la scène internationale, révélait à ses pairs corrompus un journaliste Algérien de l’APS qui connait très bien le vide de dossier de Polisario sur la base des arcanes du régime algérien.
Pourquoi l’Algérie dépense autant pour le Polisario ? Des milliards de dollars sont gaspillés pour rien ou plutôt pour une affaire perdue d'avance. Tout le monde sait que des relations normalisées avec le Maroc seront d’un apport économique considérable pour l’Algérie et renforcera la stabilité en Afrique du Nord. L’Algérie dépense une fortune colossale pour son orgueil, alors qu’elle ne possède même pas un hôpital digne de nom, s'adressant à l'étranger pour faire soigner ses présidents, Boukharouba à Moscou en Russie et Boutefrika à Val-de-Grâce en France.
Tout le monde, en Algérie, parle des richesses naturelles bradées par les décideurs comme le gaz naturel que l’Algérie offre gratuitement ou du moins à des prix préférentiels à la France, en vertu probablement d'une aliénabilité des fâcheux accords d'Evian. Et de l’autre gouffre qui aspire l’argent des contribuables algériens en l’occurrence, une Rasd dans l'imaginaire Algérien, personne n’en souffle mot.
Seules les élites qui pouvaient s'en exprimer à leur manière, chuchotant dans les coulisses que je cite : "les rares pays au monde qui sont emportés par le vent de pétrodollars, les dictateurs en général de l’Afrique et de l’Amérique latine, ne soutiennent le Polisario que grâce aux paiement de l’Algérie de sommes faramineuses". Elles ont été conscients assurant en parallèle que le glas sonnera certes, tôt ou tard, pour cette «Entité fantohe», qui vit sur le dos des Algériens et à l'emprise d'illusions excessives de leur pouvoir.
En plus de la crise économique qui touche de plein fouet le quotidien des Algériens, la crise politique algérienne actuelle n'apportera certainement pas de changements profonds dans les mœurs politiques des nouveaux décideurs Algériens, tant qu'on voit au niveau de la présidence un narcotrafiquant, à l'armée un des pédophiles. Les deux imposés de fait accompli, à la suite de la disparition brutale de l'ex-homme fort le général Gaid Ahmed Salah.
Voyons à l'autre coté crédible les thermomètres de la pression internationale. Les plus grandes puissances du monde se sont montrées au niveau de leurs grandeurs politiques, elles ne tombaient point aux jeux de mômes-dz ne regardant même pas aux pancartes hissées, à tort et à travers,dans ce sens par l'Algérie.
Pratiquement les pays poids-lourds soutenaient le Maroc de loin, pas pour ses beaux yeux mais pour ne pas se décrédibiliser eux-mêmes et bafouiller la réalité historique de l'intégrité territoriale du Maroc qu'ils connaissent tous à travers l'histoire, vu que ce Maroc auquel Boumediane attend attacher son sac de berger aux Aurès était le premier pays à reconnaître l'indépendance des États-Unis Amérique.
Selon nos experts et analystes d'étude et de recherche en politique internationale, l’Algérie ne pourra plus assurer l’existence du Polisario alors que son propre existence est menacée. Notons que le conflit entre l’Algérie et le Maroc a été provoqué par Boumediène qui voulait arabiser toute l’Afrique du Nord et qui voulait priver le Maroc de feu Hassan II de sa renommée et son leadership.
Le Maroc, durant la guerre de libération Algérienne, avait joué un grand rôle pour l'indépendance de l’Algérie. Ce n’est pas un hasard si Mohamed Boudiaf, Hocine Aït Ahmed et Ferhat Abbas avaient toujours été avec le Maroc et contre le plan diabolique de Boumediène. Boudiaf, lors de la marche verte, était le premier à encourager le Maroc contre l'Espagne Franciste. C’est une vérité historique que peu d’Algériens connaissaient.
Les versions divergent quant au déclenchement de l’affrontement qui connaîtra un deuxième épisode, quelques semaines plus tard. Selon la version officielle Marocaine, le Maroc menait, depuis la très réussie Marche Verte, plusieurs opérations pour récupérer son Sahara. Ce processus de récupération a d’abord commencé par les centres urbains, à l’instar de Laâyoune, Boujdour et Smara.
Une fois ces centres récupérés, les FAR lancent l’opération baptisée «Assainissement» qui vise à progresser vers les zones frontières et chasser les détachements Algériens et les milices du Polisario occupés conjointement en ces moments par des actes d'enlèvement des nomades et éleveurs Marocains Sahraouis qui s'y trouvaient et ce selon un programme tracé par les services secrets Algériens (DRS) dans le but de meubler au maximum les camps de réfugies de Tindouf.
Juste avant la bataille, le Maroc contrôlait la plupart des villes. L’Espagne venait, en novembre 1975, de signer un accord en vertu duquel l’ancien Sahara "espagnol"est partagé entre le Maroc et la Mauritanie. Le mot partage nécessite un petit arrêt pour expliquer aux mauvaises fois que le Maroc avait accepté le partage considérant que même la Mauritatnie était jusque-là une terre Marocaine. Disant donc pas d’inconvenant d'attirer la Mauritanie du gouffre Algérien.. considérant le fait.. (Setta man assettyne) .
Tandis que l'Algérie de Boumédiane, qui joue le rôle d'acteur principal dans le conflit qu'elle créé malgré les démentis de ses dirigeants, est alors irritée. Ce voisin de Sud tout comme le Royaume sont alors harcelés, notamment par des bataillons algériens qui s’infiltraient au Maroc et au nord de la Mauritanie pour soutenir les séparatistes du Polisario. Des manœuvres qui déplaisaient à Rabat et à Nouakchott.
Pendant déjà plusieurs jours du mois de janvier, un bataillon algérien se trouvait à 260 kilomètres de ses frontières, occupant l’oasis d’Amgala. C’est d’ailleurs à ce niveau que les versions divergent, l'Algérie tapait fort sur ses assiettes faisant croire à ses acolytes que les soldats algériens se seraient déplacés pour «fournir de la nourriture et médicaments aux réfugiés à Amgala». Pour le Maroc, il s’agit d’une agression puisque les Algériens et des éléments du Polisario étaient armés jusqu’aux dents. Les termes de nourriture et de médicaments n'étaient que des alibis et ingrédients de propagande Algérienne.
«Le gouvernement algérien concentrait ses troupes à la frontière algéro-Marocaine pour maintenir la région sous tension. Enfin, il infiltra son armée au Sahara en vue d’appuyer les éléments de Polisario qui perdaient du terrain devant la pacification de tout le territoire par les armées Royale et l'armée Mauritanienne», attestait en 1992 l'Algérien Abdelkhaleq Berramdane, dans son livre «le Sahara "occidental", enjeu maghrebin».
Selon lui, par ses opérations militaires limitées, l’objectif des dirigeants algériens était d’une part faire désavouer l’accord de Madrid par la communauté internationale et, d’autre part, amener l’Organisation des Nations unies à ce qu'il appelait «arrêter ce dangereux processus de dégradation… [par] un retour à la légalité internationale». Une phrase que l’Algérie répète encore à nos jours pour évoquer le «droit inaliénable à l’autodétermination d'un peuple de son imagination».
Des prisonniers algériens capturés à Amgala.
Le jour 'J'..Le soir du 27 janvier 1976, l’armée Royale reçoit l’ordre d’intervenir. Selon des sources Marocaines, ils étaient plusieurs centaines d’Algériens et de miliciens du Polisario impliqués dans la bataille. Après plusieurs longues heures d’affrontements, les ennemis se retiraient le 29 janvier. Le Maroc aurait gagné ce premier épisode. «La bataille était assez chaude et on a dû affronter quelques 450 éléments algériens soutenus par des éléments Polisario. Après la bataille, les Algériens se sont retirés. Mais il y a d’autres points où l’armée algérienne serait encore installée, racontait le général Ahmed Dlimi, alors colonel. Quant au bilan, le Maroc évoquait que 202 soldat des assaillants algériens ont été tués et 109 autres capturés. Il y a eu des morts du côte Marocain, mais le nombre n’a pas été communiqué officiellement.
La version algérienne avance que les affrontements avaient débuté le 22 janvier avec des échanges de tirs entre des militaires opposés. Le 23 janvier, ils sont six bataillons des FAR qui se rendaient à Amgala pour l’encercler. Les Marocains, supérieurs en nombre, auraient récupéré l’oasis après cinq jours, soit le 30 janvier.La version Algérienne, qui parlait et confirmait avec amertume les chiffres communiqués par les FAR .
Le 14 février 1976, soit quelques semaines plus tard, le maudit Boumediane tentait vainement de se venger en tendant un piège aux éléments des FAR qui perdaient malheureusement le deuxième épisode de cette guerre. Amgala est alors contrôlé par un détachement Algérien déguisé en Polisario jusqu’en mai 1977, date de sa récupération par l’armée Marocaine, expliquait l'Etat major général des FAR par communiqué remis à la presse.
Cette date marquait par la suite le début de toute une série d’affrontement entre le Maroc et l'Algérie par le biais de son Polisario, à l’instar de la bataille de Bir Anzarane (12 septembre 1979), la bataille de Smara (6 et 7 octobre 1979) et celle de Tifariti (1er mars 1980) avant le cessez-le-feu, signé par le Maroc et le Polisario en 1991 sous la supervision de Javier Pérez de Cuéllar, le Secrétaire général de l'ONU à l'époque, soumis à nos jours sous contrôle par la MINURSO.