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Coup de force MA/DZ - Page 9

  • Les conditions "d'Algésiras" de l'Algérie! 1ère partie

    شروط الجزائر لفتح الحدود مع المغرب عودة إلى "الحرب الباردة"
                               

     Le Maroc doit se soumettre au diktat algérien?..Mourad Medelci ministre algérien des affaires étrangères a déclaré par voie de communiqué, publié par son porte parole Amar Belani, que l’Algérie posait trois conditions pour accepter de lever l’embargo terrestre qu’elle dit imposer au Maroc, par la fermeture de sa frontière.

    Premièrement, «le royaume doit cesser de dénigrer l’Algérie dans les médias, dans les rencontres mondiales et devant les personnalités internationales».
    Deuxièmement, «Le Maroc doit investir de gros moyens financiers et logistiques pour protéger l’Algérie, des trafics de drogue et des contrebandes».
    Troisièmement, «Le Maroc doit amplement respecter la position algérienne sur l’affaire du Sahara , qui la considère comme une question de décolonisation, ne devant se régler qu’à l’ONU».

    Le Maroc a vite fait cette fois-ci. Dans la première réaction officielle marocaine sur les conditions de l'Algérie à rouvrir la frontière terrestre avec le Maroc, le ministère Saad Eddine El Othmani PJD a profité de l'immencité de l'espace et a fortement condamné  les déclarations faites par homologue algérien Morad Medelci, qui parlait en nom de l'Algérie officielles, hypothéquant la normalisation des relations bilatérales et la réouverture de la frontière entre les deux pays.  Ces conditions algériennes que le ministère des Affaires étrangère du Royaume a aconsidérées, comme nous d'ailleurs, nous simples Marocains observateurs, comme "infondées et incompréhensibles, au moment où le Secrétaire Général de l'ONU Mr. Ban Ki-Moon, aprés sa dernière rencontre avec Taïeb Fassi Fihri, le conseiller de Sa Majesté le Roi aux affaires étrangères, a laissé entendre que l'ONU appelle les deux pays à se réconcilier et l'algérie à revenir à la raison. 

    Ajoutant à ces balivernes, le porte parole de Morad Medlci, avec ses termes de menace, a conclu ses diktats, comme il a l'habitude de s'adresser à Mohamed Abdelaziz Lmarrakchi, que l’oligarchie petro-militaire Algérienne, n’accepterait pas de médiateurs entre elle et le Maroc et que «ce dernier doit s’exécuter à remplir ses trois conditions, sous peine de se voir perpétuellement sous embargo terrestre».

    Elle persiste et signe en démarche anachronique..Le bon voisinage et la coopération sont des valeurs universelles et internationales qui ne sauraient être conditionnées par des états d'âme ou des sautes d'humeur.Personne n'a le droit aujourd'hui de prendre en otage le destin d'une région et de deux peuples. Réagissant aux conditions posées par plusieurs responsables algériens pour la normalisation des relations avec le Maroc, notre pays con sidère que cette triple conditionnalité constituait «une approche dangereuse et inacceptable qui nous ramène à une logique obsolète et à une lecture largement dépassée, rappelant la culture et les réflexes de la Guerre froide».

    Pour la première condition posée par Alger, à savoir la prétendue campagne de diffamation médiatique menée par des médias marocains, bien au contraire, il n'y a pas un jour où le Maroc n'appelle à la construction d'une relation forte avec l'Algérie et ne fait l'objet d'attaques aveugles et injustifiées par la presse algérienne, pro-pouvoir ou  privée. Il n'y a pas un jour sans que le Maroc exprime son engagement pour le renforcement de ce qu'on appelle le Grand Maghreb et l'émergence d'un nouvel ordre maghrébin, comme proposé par Sa Majesté le Roi Mohamed VI, que Dieu l'assiste.

    S'agissant de la deuxième condition (les allégations liées au trafic de drogue et de contrebande), il est à rappeler qu'aujourd'hui, c'est le Maroc et sa jeunesse qui sont victimes de la profusion des psychotropes et des drogues dures introduites frauduleusement à partir du territoire algérien. Et de s'interroger : «pourquoi l'Algérie n'évoque-t-elle pas ces questions lors des contacts entre les responsables des deux pays ? Pourquoi l'Algérie n'a-t-elle toujours pas répondu à la proposition officielle marocaine de mettre en place un comité conjoint des ministres des affaires étrangères et de l'intérieur pour traiter de l'ensemble de ces questions ? Et depuis quand la lutte contre les trafics se fait à travers la fermeture des frontières et l'arrêt de la coopération douanière et policière ?»

    Le Maroc n'a à recevoir de leçon de quiconque, aujourd'hui, l'action du Royaume Chérifien du Maroc contre le trafic de drogue est reconnue tant sur le plan bilatéral qu'au niveau de la communauté internationale. Il est temps de renvoyer tous ceux qui dénigrent les efforts du Maroc à consulter les rapports du Département d'État américain et des institutions onusiennes compétentes qui ont tous loué l'action du Maroc dans ce domaine, et de préciser que lorsque la confiance et la volonté politique existent, la coopération bilatérale ne peut être que concluante et fructueuse dans ce sens. «C'est le cas de la coopération du Maroc avec l'Espagne et avec les pays amis africains». La lutte contre les trafics de tout genre est une responsabilité partagée, qu'il appartient à l'Algérie de s'investir pleinement dans le cadre d'une approche concertée pour faire face à ces fléaux. 

    Quant à la troisième condition, à savoir la conditionnalité entre la question du Sahara marocain et le processus de normalisation entre les deux pays, nous constatons que «l'Algérie place son soutien aux ennemis de notre intégrité territoriale au-dessus de toute considération, que cela soit la relation bilatérale, la construction maghrébine, ou encore la construction d'un espace de paix et de prospérité partagée en Méditerranée».

    «Aujourd'hui nous constatons aussi que l'Algérie rompt, de manière unilatérale, un engagement, convenu au plus haut niveau et réitéré à maintes reprises, de découpler la gestion du dossier du Sahara marocain de l'évolution des relations bilatérales», notre pays considère que l'Algérie se contredit. Il s'agit là d'un nouveau discours. Plus encore, d'une position nouvelle, que la clique du "club des pins d'Alger"  est appelée à clarifier sa position.

    Si l'Algérie se considère partie à ce différend régional, elle doit s'impliquer, de bonne foi et dans un esprit de compromis, dans la recherche d'une solution politique négociée, selon les paramètres définis par le Conseil de sécurité, dernière en date, la dernière résolution du Conseil de sécurité qui a appelé l'Algérie à remplir ses obligations internationales à l'égard des populations des camps de Tindouf en permettant leur recensement, la protection et la liberté de circulation.

    Cette résolution est venue conforter la position marocaine et couronner les efforts et l'action déployés par le Souverain. Si l'Algérie ne se considère pas comme partie dans ce différend régional, il est légitime de s'interroger sur cette conditionnalité. Le Maroc, en tout état de cause, continuera, comme par le passé, à agir, sous la conduite éclairée de Sidna, de bonne foi, pour l'émergence d'une relation forte avec l'Algérie malgré son têtu, basée sur le bon voisinage et le respect mutuel, points cardinaux de la politique étrangère silencieuse du Royaume.

    Révélatrice de son implication dans le conflit..Les conditions d'Algésiras de l'Algérie pour une normalisation des relations avec le Maroc, révélatrices de son implication dans le conflit artificiel autour du Sahara marocain». Que de telles déclarations ne constituent pas une surprise d'autant plus qu'elles rappellent la position de l'Algérie, qui œuvre à saper tout effort visant à améliorer les relations maroco-algériennes. Ce n'est pas la première fois que les responsables algériens, surtout ceux du Royaume de Tlemcen, font des déclarations posant des conditions pour la réouverture des frontières avec le Maroc. Ce qui est positif dans ces déclarations, c'est qu'elles dévoilent la position pure et simple de l'Algérie qu'elle a, depuis 40 ans, cherché à occulter, à savoir son rôle instable dans le conflit artificiel que le maudit Boukharouba a créé autour du Sahara marocain,

    Les responsables algériens ont évoqué trois conditions, mais la condition qui met à nu le rôle de l'Algérie dans ce conflit est bien celle qui appelle le Maroc à respecter la position du gouvernement algérien au sujet de la question de nos provinces du Sud, alors que les responsables algériens n'ont eu de cesse d'évoquer leur neutralité vis-à-vis de cette question, jugez-en.

    L'autre côté positif aussi dans ces déclarations c'est qu'elles vont de pair, en fin de compte, avec la conviction du secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon et celle de son envoyé spécial, Christopher Ross, selon laquelle le prélude à une solution au conflit du Sahara passe par l'amélioration des relations maroco-algériennes, mais aussi avec l'idée selon laquelle l'Algérie fait partie du conflit - ce dont témoignent les conditions posées par l'Algérie.

    Les deux autres conditions, à savoir l'arrêt de la prétendue campagne de dénigrement menée contre l'Algérie et les flux de trafics, notamment de drogues, visent à contourner la première condition relative aux provinces de sud du Royaume.

    Le Maroc regrette vivement, pour la énième fois, que l'Algérie passe sous silence toutes ces réalités objectives pour justifier sa volonté manifeste de maintenir artificiellement le regrettable statu quo du problème du Sahara, par une telle démarche conditionnée, relèvant que la réaction du porte-parole du ministère des Affaires étrangères algérien occulte toute référence au principal motif qui a présidé à la récente mise au point marocaine, à savoir le rejet du principe même d'introduire et de fixer, unilatéralement, des conditions à l'ouverture des frontières terrestres, selon une déclaration à la chaîne de télévision Marocaine 2M Mr. Youssef Amrani, ministre délégué aux affaires étrangères et de la coopération, qui notait aussi que «les règles de bon voisinage, l'exigence de coopération et le droit des citoyens à la circulation sont des valeurs internationales qui ne sauraient être conditionnées, de surcroît par des artifices politiques injustifiés».

    L'insistance sur la prétendue campagne de dénigrement qui serait menée par des responsables politiques, parlementaires, représentants des médias ou des ONG et internautes est révélatrice de cette approche déphasée. Il s'agit là, en fait, du droit garanti à nous tous par la Loi Fondamentale (Constitution), à la liberté d'expression et d'opinion, particulièrement sur les questions fondamentales du pays, comme celui du parachèvement de  l'intégrité territoriale nationale.(Les Saharas Marocains Oriental et Occidental). 

    Alger occulte des réalités objectives..Pour le peuple marocain unanime et l'ensemble de ses forces vives, l'Algérie est bel et bien partie à ce différend artificiel, sa responsabilité historique et actuelle, son implication diplomatique, sa mobilisation politique et institutionnelle et sa responsabilité humanitaire sont bien établies à ce sujet. La Communauté internationale en est le témoin permanent, les différents rapports du secrétaire général de l'Onu le confirment nettement et la dernière résolution du Conseil de sécurité sur la Munirso le précise davantage. Le découplage agrée signifie, plutôt, que chaque partie peut défendre librement sa position sur ce dossier, tout en œuvrant parallèlement à la normalisation des relations de voisinage.

    La question du Sahara marocain est une question nationale fondamentale à laquelle est attaché viscéralement l'ensemble du peuple marocain, toutes sensibilités et catégories confondues, contrairement au peuple algérien qui exprime, quant à lui, d'autres attentes, ambitions et préoccupations sur d'autres questions purement internes, sur son quotidien, son avenir et sa liberté.Les voix algériennes de l'intérieur et l'extérieur en témoignent.

    Témoignages étrangers..Mr. Peter Pham, directeur du Centre Michael Ansari pour l'Afrique, relevant du Conseil de l'Atlantic est entré à ce débat à grande échelle, sans bon de commande et sans se salir de l'odeur Sonatrach, pour confirmer que «L'algérie essaie de se défausser de ses responsabilités. «Les conditions de l'Algérie trahissent une tactique au rabais pour éviter de faire face aux réalités pressantes sur le terrain».

    Les conditions posées par l'Algérie pour une normalisation de ses relations et la réouverture des frontières avec le Maroc trahissent une «tactique au rabais» pour éviter de faire face aux réalités pressantes sur le terrain et répondre aux préoccupations de la Communauté internationale au sujet de l'exacerbation de la situation sécuritaire dans la région, a déclaré à la MAP, Peter Pham, directeur du Centre Michael Ansari pour l'Afrique, relevant de l'Atlantic Council. «Derrière ces conditions, se profile la tentative d'Alger de créer la confusion et de se dérober face à l'impérieuse nécessité d'une coopération sécuritaire régionale immédiate, conformément aux appels répétés de la communauté internationale, pour lutter contre la montée en puissance des groupes terroristes affiliés à Al-Qaeda et des réseaux criminels transnationaux qui s'activent dans la région», a souligné Pham, qui est l'auteur de plusieurs essais sur les questions sécuritaires et géostratégiques africaines.

    Il a, dans ce contexte, mis en garde contre les dangers d'une telle posture «à travers laquelle, l'Algérie renie ses responsabilités régionales et engagements vis-à-vis de la Communauté internationale», en soulignant que cette confusion délibérée tient en otage les impératifs sécuritaires de toute la région. «Quand on a le feu à la maison, on ne se préoccupe pas du ramassage des déchets», a-t-il expliqué. 

    «L'Algérie essaie ainsi, à travers cette confusion, de se défausser de ses responsabilités», a encore estimé Pham, en faisant observer que la situation sécuritaire dans la région sahélo-saharienne appelle à une coopération régionale affirmée de tous les instants pour faire face «immédiatement et sans plus tarder» à des groupes extrémistes qui nourrissent des visées déstabilisatrices pour cette partie du monde. Le directeur du Centre Michael Ansari pour l'Afrique a, par ailleurs, indiqué qu'à travers son soutien au «polisario», l'Algérie entretient «par le biais de sa création et depuis plus de deux générations un conflit qui hypothèque l'avenir de toute la région» 

    Autres vérités certaines..Le chroniqueur de la rédaction politique d'un quotidien marocain,  le journal de celui qui se disait fier,trés fier même de son socialisme, lors de sa sortie accidentelle du dessous-bras de Mohamed Elyazghi, alors directeur de "Littihad Lishtiraki"et les Universitaires : MM.Abderahim ElManar Slimi, Mohamed Darif, Moussaoui Aâjlaoui et Khalid Chagraoui, respectivement professeurs et chercheurs Marocains en sciences politiques et d'études africaines, étaient les invités de certaines chaînes de télévision et radios marocaines locales pour commenter la dernière sortie médiatique de Morad Medelci, le ministre algérien des affaires étrangères au sujet de la frontière terrestre algéro-Marocaine. De leurs points de vue, de journaliste professionnel et de profs qualifiés, ils ont évoqué presque toutes les causes politiques qui seraient derièrre le conflit quinquagénaire Algéro-Marocain, qui bloquent toute réconciliation sincère entre les deux pays.

    De mon point de vue, en tant que simple blogueur navigant, à tort et à travers, dans l'abîme plongée de cette gigantesque étoile d'araignée universelle, j'ajouterai aux conclusions de ces deux analystes chevronnés que ;  tout ce qu'émane du département des Affaires étrangères et de tout le pouvoir algérien en général, n'est et ne sera nullement nouveau pour nous Marocains officieux.. C'était une  des déclarations de routine et de consommation locale, mais cette fois-ci,  elle constitu une particularité singulière insolite, en l'absence de celui qu'on croit le président effectif de l'algérie.

    Mes lecteurs se rappelleront bien que dans une de mes notes précédentes, j'ai bien fait allusion à "l'art de camouflage et de pilotage automatique de l'algérie". C'est dans ce contexte que vienne cette énième connerie de la diplomatie algérienne, pas pour nous rappeler au Maroc les diktats algériens que nous connaissons déjà, mais pour pour jouer du cach-cach avec l'opinion publique algérienne en détresse, suite à la disparition de Bouteflika. Le moment est propice aux algériens dirigeants d'activer ces deux options en pleine tempête, c'est leur seul moyen qui s'ajoute au plan permanent de désinformation médiatique, permettant au régime algérien:

     Primo:de se sauver en avant à chaque circonstance désastreuse et destructive qui se présente inopinément, pour montrer la stabilité, la fragile stabilité du pouvoir dans la gestion du pays aux moments difficiles et devant tout danger menaçant son éxistance.

    Secondo: enrouler, voire faire avaler à son opinion publique locale que l'algérie marche bien sur ses piliers d'État et que la hièrarchie de la haute sphère du commandement est toujours saine et sauve, avec ou sans président.

    Tertio: Vouloir faire pression, même morale, sur le Maroc en l'excitant à sortir de son silence sur l'autre dossier dormant et revenir sur les déclarations-choc de Hamid Chabat, le Secrétaire Général du Parti de l'Istiqlal  Marocain sur la nécessité de restituer le Sahara Marocain Oriental spolié par l'Algérie de 1962 et vouloir enterrer à jamais ce dossier qui constitue pour l'algérie «le Grain de sel insupportable et le piment piquant dans sa gorge».Sachant que le sujet de délimitation de frontières  Algéro-Marocaines est derièrre tous les maux avec l'Algérie depuis la guerre des sables d'octobre 1963 à celui du Sahara Marocain actuel

    En tout état de cause et en rapport avec  tout cela, la rédaction du blog ne laisserait passer l'occasion pour s'arrêter à ce nouveau épisode de l'affaire  de frontières avec le département de Morad Medlci, ministres des AE algérien qui vient de répeter ses mêmes conneries en l'objet. Cela étant prouve que Bouteflika est enterré mort-vivant et que son pouvoir est  géré par  une poignée de ses valets de chambre.

    Les conditions posées par l'Algérie pour la réouverture des frontières avec le Maroc nous les qualifions, purement et simplement de - nulles et non avenues -. Avec cette énième sortie médiatique de Medlci,Alger tente d'envoyer une balle à cartouche blanc dans le camp du Maroc avec une conditionnalité qu'on pourrait appeler du chantage pour la réouverture des frontières.

    Ce chantage montre que les algériens ne veulent pas améliorer les relations avec notre pays, et que leurs exigences quasi insultantes sont la preuve de la mauvaise volonté de leur régime militaro-mafieux, c'est aussi la preuve qu'ils portent toute la responsabilité de la mésentente avec le Maroc et de la paralysie de ce qu'on appelle l'édification d'une vraie Union du Maghreb arabe. Nous considérons cette sorte de saucisson comme étant extravagante, tant elle est choquante, tant sur la forme que sur le fond.

    Avec la fermeture de ces frontières, qui nous transgressent les tympans avec l'algérie depuis presque 20 ans, le Maroc est toujours en marche, ses roues tournent libres au rythme normal sans handicap, tandis que l'algérie " de fièreté et de dignité" qui s'en vante vachement être son support économique stagne dans sa boue de misère.. Que Mr. Medlci et ses dingues sujets sachent, contrairement à ce qu'ils inventent aux affaires étrangères d'Alger d'embargo terrestre, de blocage destructif de l'économie nationale Marocaine, que le Maroc en l'absence de toutes relations bilatérales avec l'algérie depuis son arrivée au monde, avance à la cadence normale d'Etat crédible, et continu à enregistrer des performances dans tous les domaines,

    -.Institutionnellement, il a pu renouveler son parlement à l’issue d’élections transparentes et crédibles..-.Politiquement, il a réussi à éliminer définitivement l’islamisme radical de la scène politique, en lui opposant une vision consensuelle partagée par la majorité des Marocains.-.Économiquement, il a gagné la bataille de solvabilité au point d’être sollicité financièrement par le FMI, les instances financières internationales,  les investisseurs étrangers et leurs bailleurs de fond.-.Socialement, il a instauré l'INDH (Initiative Nationale de Développement Humain) l'unique au tier-monde, poursuivant son programme de réhabilitation et de réaménagement touchant l’habitat, l’agriculture, la santé, l’éducation, la culture et l’environnement.-.Diplomatiquement, il s’est distingué en tant que partenaire stable et crédible qui ne refuse pas la mondialisation, mais qui s’autorise souverainement à opter pour des options qui ne menacent ni son intégrité territoriale ni sa stabilité politique.-.Liberté d'expression..Pas de parti unique "FLN" au Maroc, le pluralisme est garanti par la Loi Fondamentale Marocaine, ce qui fait des partis politiques au nombre exorbitant, organisations associatives de la socièté civile sont en vrac, la presse dépasse le seuil de 400 titres, les quotidiens, hébdomadaires et mensuels sont en pêle-mêle.

    En plus le Maroc vient de consolider une ouverture audiovisuelle qui ne manque pas d’audace, 8 chaîne de télévisions, dont la moitié est semi-publique, plus de 16 radios libres.L’expérience est encore à ses débuts et tout dépend des capacités réelles de ses initiateurs pour approfondir davantage la pratique d’une vraie démocratie à grande échelle, dont le sens et l'importance démocratique échappent certes aux prêcheurs algériens de la haine qui nous envient que, pour notre leadership à la rive sud de la méditerranée, la situation géographique priviligiée, la stabilité politique et sécuritaire, dont ils n'ont pu s'offrir, et pour notre progrés dans tous les sens, et ce grâce Sidna, à sa politique élégante qui n'accepte aucune concordance avec celle de la vieille tôrtue et de son entourage octogénaire pourri.

    On ne peut évoquer tous les progrès enregistrés depuis l'intronisation de Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu le glorifie, sans jeter le moindre regard sur l'évolution politique spectaculaire connue par un pays qui ne revient de très loin, pourrait dans le meilleur des cas, être assimilé à une fainéantise politico-intellectuelle qu’à un quelconque acte d’ingratitude envers ces millions de patriotes Marocains qui ont réussi à sauver leur Royaume avec sa monarchie constitutionnelle de l’anéantissement total qui frappe d'autres pays de l'Afrique du nord y compris l'algérie.

    Il y  a treize ans, jour pour jour, on était en plein tragédie nationale au seuil de l'arrêt cardiaque, comme disait feu Hassan II. Il y a dix ans, juste le 16 mai 2003 à Casa-Espagnia à Casablanca le terrorisme islamawiste entamait son infernale vengeance sur une population civile  casablancaise innocente qui ne l’a pas suivi. Acculées par les services de sécurité, les phalanges de la mort avaient opté pour le jusqu’au-boutisme criminel avec l'appui et l'aval du terrorisme algérien, aprés l'échec du terrorisme officiel algérien qui visait l'hôtel «Asni» à Marrakech en juin 1994, ce qui a provoqué unilatérallement par le Maroc la fertmeture des frontières avec l'algérie et l'instauration de visa pour tout algérien désireux se rendre au Maroc.

    Bien sûr, la concrétisation d’un tel projet n’a jamais été de tout repos au vu de sa dimension, et il était tout à fait naturel que des divergences et des désaccords apparaissent au grand jour avec l'algérie. Nul besoin de consulter l’avis de spécialistes dans ce sens.De la part officielle de notre pays il s’agit vraisemblablement d’un bon signe de volonté de réconciliation avec nos voisins de l'Est émis et répété à chaque occasion pour la réouverture de la frontière et qui apporte un démenti cinglant aux «répétiteurs algériens» de mauvaises nouvelles portant  toujours préjudice à la quiètude du Maroc.

     Rappelons-le aux dingues algériens que c'est le Maroc qui a pris l'initiative de les bloquer chez eux et parer à toutes éventualités qui pourraient le contaminer de terrorisme officiel d'Etat. Qu'est-ce-que l'économie algérienne peut nous apporter puiqu'elle n'éxiste d'ailleurs pas d'économie en algérie ni de quoi exporter au Maroc, sauf "la Chemma et le Qarqoubi", comme disait le déporté Marocain d'Algérie, l'humouriste Bou-Dallaha dans sa récente vidéo, cette voisine de mal n'aura même pas de quoi tenir un siège en cas de guerre avec l'ennemi potentiel de l'Ouest. laissons-la planer virtuellement dans une peur éternelle de sa création.Bonne lecture.

                                                                                            Cordialement,Chihab25

    A suivre..