Algérie : La Californie de l'Algérie.!
Le discours Royal à l'occasion la révolution du Roi et du peuple a démenti haut et fort, le rêve mensongère Algérien, rapporté et applaudit par des canaux engagés à cette fin, accusant dans l'imaginaire haineux Algérien un prince de l'assassinat d'un prince.
Les deux princes, Dieu merci, sont sains et saufs, jouissant pleinement de la bénédiction Royale, malgré le degré élevé de haine chez les gouvernants Algériens.
Pour qu'ils remettent la pendule à l'heure et faire de l'ordre à leur mentalité malade, les gouvernants Algériens, surtout en ce qui concerne l'ogre Marocain qui leur fait peur, il leur a fallu attacher le taureau par les cornes.
C'est tout simplement une suggestion pour les dingues Algériens qui sont égoïstes de nature avec un Président-pion qui s'active frivolement pour se mettre sur le pont avec envie de passer en maitre d'horloges,.
Pour se déguiser en bon élève il tient entre autres à crédibiliser, devant ses parrains militaires, en dance de canard, les positions trompeuses de son pays contre le Maroc.
Au détriment de ses dingues Algériens, l'heureux président Tebboune est venu rouler sa bosse au palais d'AlMoradia et partir comme les autres, laissant à l'instar de ses prédécesseurs sa page d'histoire vide de toute positivité au profit de l'Algérie.
Une Algérie qui, pleure son sort de veuve,incapable de trouver à qui porter plainte. Tandis que nous Marocains nous n'aurons pas, par obligation, la faculté de baisser la garde tant que le destin nous impose, pour toujours, un voisinage bourré de malades mentaux.
Toute aventure qui peut émaner de ces fous ne dépassera certes ce que dit un dicton de chez eux (Quand la guerre se déclare entre les moineaux, c'est le céréale qui subira les dégâts).
Pays source d'égoïsme et d'hypocrisie.
Expression libre..«Si dans certaines cultures, la honte et la culpabilité sont ressenties après un échec, dans le modèle chinois, seul le manque d’envie d’apprendre est honteux et culpabilisant» «Jin li» un généticien chinois prof-chercheur à l'Université Fudan. à Shanghai.
Oui c'est bien vrais, étant que l’être humain vient au monde équipé d’un puissant arsenal de prospection, et d’une vaste et fougueuse réserve de curiosité. Et étant tributaire d’un contexte favorable, et risquant, faute de quoi, de se pervertir et gâcher tout le reste, la soif d’apprendre s’avère souvent plus décisive que les facultés d’acquisition.
On ne se lasse jamais d’éprouver de la satisfaction chaque fois qu’on assimile quelque chose de nouveau, et l’apprentissage représentant une fin en soi plutôt qu’un moyen vers d’autres objectifs, c’est du berceau à la tombe que sont ressentis ses bienfaits.
Et c’est sans surprise que plusieurs études sur la vieillesse ont révélé que les facultés cognitives, régulièrement défiées et stimulées, résistent mieux au déclin, et améliorent la qualité de la fin de vie.
Au-delà des besoins de l’instinct de survie, la curiosité humaine est naturellement branchée et ouverte sur un large spectre de connaissances.
Le célèbre visionnaire Robert Heinlein, écrivain Américain, auteur de science-fiction, Californien d'origine et un inconditionnel de la polyvalence, dresse le portrait-type du citoyen avec le minima des compétences requises. A savoir :
«Un être humain devrait savoir : «changer une couche-culotte, planifier une invasion, égorger un mouton, manœuvrer un navire, concevoir un bâtiment, écrire un sonnet, établir un bilan comptable, monter un mur, réduire une fracture, soutenir un mourant, prendre des ordres, donner des ordres, coopérer, agir seul, résoudre des équations, analyser un nouveau problème, répandre de l’engrais, programmer un ordinateur, cuisiner un bon repas, se battre bravement, et mourir dignement». En effet et à mon avis la spécialisation n'est bonne que pour les insectes.
Et pourtant, le lecteur constatera certes que le titre de la note est très amusant du fait que je n'ai jamais visité la Californie en Amérique pour en parler profondément de cette contrée.
Mais pour en élaborer un tel sujet, je crois qu'il faut avoir le talent d'analyste. Peu importe, j'ai en ma possession pas mal de connaissances et informations, que je cumulais au petit feu, sur l'Amérique ce qui me permettra de traiter un pareil sujet.
Dennis Ross
Œil sur le Maroc..En fait, en 1971 j'ai eu le privilège d'accompagner un chercheur Américain en histoire de l'Université de Californie à Los Angles, qui avait pour mission d'étudier "la situation économique au sud-est du Royaume du Maroc avant le protectorat Français en 1912".
Il s'agit de Mr.Dennis Ross venu au Maroc en visite de travail scientifique accompagné de sa femme (...) une prof des beaux arts. C'est lui qui brillait en tant que conseiller politique du président Américain Barak Obama sur le proche orient.
Ma mission avec lui a duré presque deux mois durant lesquels j'ai limé mes connaissances et ma culture générale et j'ai appris même ce que j'ignorais auparavant sur l'Américain blanc, sur ses importations d'esclavage d'Afrique et sur ses guerres de conquête avec les peaux rouges. (indiens), loin des frivolités et victoires mensongeres attribuées au Zoro.
Nous avons commencé le périple de la ville d'Oujda avec un programme simplifié de visites couvrant les localités de Tandrara, Bouarfa, Figuig dans la province d'Oujda - Ain Chaer, Bouanane, Boudenib, Ksar Es Souk, Aoufous, Erfoud et Taouz. Les visites les plus bénéfiques étaient celles des Ksour El ghorfa et Abou'âm à Rissani, les berceau de l'histoire de Tafilalet à l'extrême sud-est de la province de Ksar Es Souk (Errachidia actuel).
Les séances se sont faites par étapes à la base d'interviews de vieilles personnes parmi des dizaines de connaisseurs de l'histoire de la région qui ont vécu, côtoyé ou entendu parler des événements pré-protectorat. Les gens de conte et d'écoute ont été sélectionnés par les autorités locales et chargés de la réussite de cette circonstance.
A partir de chez lui, de San Francisco il m'a adressé une missive d'éloges, me remerciant pour l'effort que je lui faite pour l'accomplissement de ses recherches Il aurait certainement fait de même, à mon administration centrale qui l'a généreusement sponsorisé. Sponsorisé veut dire que chaque étape était couronnée par repas gastronomique et dans la plupart de cas honorée par un méchoui.
-:-
Les hôtes de la prison d'Alharrach à Alger
La Californie de l’Algérie ! En attendant d'amples surprises du blocage actuel vécu actuellement par le pouvoir algérien et combler de notre coté ces vacances,du moins en information; permettez-moi de rigoler un peu ci-dessous sur ce qui était pour les algérien un changement de saison pas plus...
La culture californienne de tout ce qui se rapporte à la prospérité et au bien-être de l’être humain s’exporte au moindre coût et elle est très bien connue dans les quatre coins de la planète terre à travers des chansons, des poèmes et une super industrie productrice de culture qu’est la cinématographique de Hollywood ainsi que la production musicale et le divertissement, un art le plus répandu en Californie grâce au cinéma qui consomme le temps vide des californiens.
Le cinéma est le 7eme art dont sa source est bien Hollywood. La Californie est devenue une ville modèle unique au monde, qui est devenue par convoitise positive et une référence de jumelage.C’est pourquoi, en Algérie à entendre un exemple..
C’était un lundi 7 mars 2014 à Mascara, l'ex-premier ministre algérien Abdekmalek Sellal, le charlatan de l'Algérie, alors directeur de campagne de Bouteflika pour le 3ème mandat, avait enchaîné des meetings dans différentes villes algériennes. Et devant les Mascaréens, esquivant volontairement les sujets épineux que les algériens les vivaient très mal (Hogra-injustice-chômage-corruption-passe-droit,saleté, ruralisation, régionalisme, bureaucratie, récession…).
À la foule qui scandait «Bouteflika raïsna», de speech de campagne, le directeur de campagne d'un président candidat absent a promis, je cite : «Nous ferons de cette wilaya un pôle agricole par excellence.» avant de rajouter plus de miel «Mascara sera la Californie de l’Algérie !» et deviendra le rêve de tous les Algériens !
Par ailleurs, et depuis cette date à aujourd’hui à Mascara les gens savouraient amèrement les répercussions malveillantes d'une telle rigolade, mais aussi supporter difficilement leur vie sociale, comme partout en Algérie.
Il n’est pas jolie , ni gai, ni bien , c’est sale de partout et le sourire des gens ne figure plus sur les facettes, surtout durant cette période de blocage et de statu quo qui met un connard à la tête du pays.
Il n’y a que le soleil qui est propre et chaud et qui fait briller l’atmosphère pour que la ville de Mascara et autres villes algériennes se réchauffent et font semblant de vivre dans une fausse prospérité d'un slogan Taflikien révolu..(R'faâ rassak abba, nta fi jazaer l'Aîzza oul'karama).
Une ville fantôme, dite M'âskar, épellation en dialectal que lui donnent les Algériens devienne la «Californie d’Algérie» c'est bizarre, ça ne jouera même pas au cinéma ni au théâtre.
A propos et pour mémoire, l’histoire de la Californie, rappelons-le, a débuté par la fameuse histoire de la ruée vers l’or qui a transformé profondément la contrée, faisant de la Californie le symbole et mythe même du «Rêve Américain» la population de San Francisco augmentant alors de manière exponentielle.
C’est de cette façon qu’a débuté la Californie américaine par contre, celle de Mascara n’a pas été dévoilée par Sellal qui ignore totalement les prémices de l’histoire de la naissance et de l’évolution positive de la contrée californienne qui reste un modèle prisé par tout le monde.
Mais comme tout vraiment, pour le simple Algérien tout bascule, même l’espoir de ressembler à la Californie ? Pas de renouveau politique ni économique avec le peu qui reste de la rente pétrolière, pas de démocratie et pas d'avenir stable, plutôt qu'un rafistolage du rêve Américain que Sellal leur a promis en tant que premier jongleur, responsable du pays et prenant le peuple algérien dingue à témoin, même ceux qui se trouvent ailleurs, à l'étranger, peuvent en témoigner.
Quand on parle de rêve il faut penser à un avenir radieux. Les Algériens croyaient fort bien que demain, ils seront plus agréables et puis toujours plus - cons - qu'on peut imaginer devant une poignée de militaires issue de l'armée Française.
Pourquoi passer autour de ce rafistolage du rêve Américain , hé bien pour rappeler aux Algériens qu'ils étaient bêtes et trop dingues pour y accepter à êtres commandés par des cons de premier rang du genre de Sellal, Ouyahia,Tebboune et Benflis.
En preuve de ces thuriféraires, deux (Sellal et Ouyahia) paient actuellement les pots cassés par une mauvaise retraite à la prison d'Alharrach d'Alger, essayant de modeler vainement les jours de leurs peines.Les deux autres, l'un (Tebboune) garde le troupeau de sa t ante et l'autre (Benflis) chasse les mauvais esprits et les sorcières.
Par contre à leur coté, là où se trouve leur ennemi potentiel de toujours, au Royaume. du Maroc nos ex-premiers ministres sont récompensés par l'Etat honorés chez eux, bénéficiant chacun en ce qui le concerne, d'une retraite confortable.. dernier en date,le fameux barbu-bavard avec 70 milles dirhams par mois «Une offrande Royale Spéciale», l'équivalent en Algérie à un peu prés de 55 millions.
D'autre part, en ce moment de pagaille Algérienne où je trouve anormal qu'un Algérien écrivait de quelque part pour exprimer en douleur la colère de l'Algérien de la rue ..je cite ;
«Les convocations sans pitié : Tu écris un statut sur fb : convocation - Tu fais une vidéo : convocation - Tu poses une question : convocation -Tu dis merde à la maîtresse :convocation - Tu détournes l’argent public : on te nomme ministre.
C’est abusé. Même le prof de français de l’école primaire de Bab louad n'a pas envoyé autant de convocations aux parents d’Ali Haddad et Tahkoune. Franchement ça craint. L’Algérie, c’est la Corée du Nord..! Quelle misère! Surtout quand tu te dis que dans un cas comme dans l’autre il y a toujours un trou de balle derrière».
Objectif Tebboune (le cocaine)
Les derniers ivrogne du bar-dz..(Tebboune-Benflis). Si ces trois connards, ex-premiers charlatans de l'Algérie jouaient au jonglage avec ceux qui deviennent désormais en Algérie "les doigts bleus", de son coté Ali Benflis, le gendre des Ait Bouteflika pleure sur les ruines du statut de loser espoir du système pour le projet “dictaturship” de son ère de gala.
Il soufflait le chaud et le froid pour y être un des composants du panel de dialogue composé de fausses blondes et de faux oignons, en vue d’anéantir le hirak au profit de son ex-parrain et organiser une fraude présidentielle, brossant les bottes de l'ex-homme fort de l'Algérie l’inhumé-maudit général Gaid Salah.
Mais qui était vraiment le nouveau sauveur d'un système Taflikien pratiquement révolu. Il était 2 fois chef de gouvernement au règne de son gendre Bouteflika (époux de sa sœur) et mille fois opposant, même aux vents qui soufflaient de n'importe quel coin du sud Algérien.
Ce thuriféraire de tout temps, les Algériens le désignaient déjà "en potentiel vice président du maudit Gaïd Salah. Mais la volonté divine était-la pour stoper ce rêve. Pourquoi? parce que la chance à l'heure actuelle, donne aux opportunistes à y en profiter largement de la vacance de pouvoir en Algérie.
C'est un bâtard, puisque il a été abandonné au pied d’une mosquée, quelque part en Algérie, mais les sources ne précisent pas le lieu exact. Le régime militaire l’a adopté, allaité et formé jusqu’à ses 20 ans, n’arrêtant pas de pleurnicher depuis sa naissance.
Durant sa formation de convoyeur de poubelles, il a perdu 5 fois l’élection pour des raisons esthétiques. Une expérience qui lui a inculqué les valeurs de l’échec et que le physique ne compte pas autant que le déshonneur dans la politique en Algérie.
Il a été nommé, accidentellement, ministre de la justice pour écrouer les opposants de Bouteflika, secrétaire du FLN puis premier ministre, par hasard, uniquement parce qu’on n’avait pas trouvé plus pire que lui.
Il a été limogé par Bouteflika pour avoir répudié sa sœur et aussi après qu'on l’a trouvé en attente de communiquer chaque soir avec les généraux surtout avec celui qu'on dénommait "Rabb Dzaier", le général Drsiste Mohamed Mediene, alias Toufik.
Il a été le premier à avoir dénoncé la corruption durant le règne Bouteflika. Seul, chez lui, pendant que sa famille était en sécurité en Suisse où elle avait la faculté de s'en servir des vannes du pétrodinars qu'il avait caché à l'intérieur des sept frontières Helvétiques.
Les Égyptiens disaient "Qui voit haut, se fatigue". Lui regardait partout et ne se fatiguait point. Il va perdre la présidentielle contre lui-même et avec le soutien de l’armée. Son ange gardien veille sur son échec depuis sa naissance.
Il vient d’être hospitalisé pour échapper des coups de ballet de son garde-pont militaire, même suite à des complications chirurgicales simultanées. Sa greffe du charisme n’a pris personnes de ses pairs de vagabondage politique.
Pourquoi dénicher dans la vie politique de quelqu'un qui vaut rien et citer précisément que ce connard et pas d'autre, hé bien parce que en temps de ses détentes dans le salon d’hôte de la présidence, c'etait lui qui proposait à Bouteflika le partage du Sahara Marocain. Que dites-vous de ce salaup. C'est au lecteur de trancher.Bonne lecture
Cordialement,Chihab25
--------------------------------------------------------------------------------------------