Maroc-Algérie : Imposé au pouvoir par la junte militaire, le Pion-président Algérien cherche sa légitimité en s'attaquant au Maroc.. !
Principe de haine et d'hostilité..Rester sur la voie de haine est le principe inchangé pour tout nouveau venu au pouvoir Algérien..
Initiée il y a presque un demi siècle par le maudit président Boumediane, la politique Marocaine de l’Algérie n’a que peu évoluer à cause du cumule de défaites militaires et d'échecs diplomatiques hérités de l'ère de Boumediane qui, faut-il rappeler, après son écrasement dans les deux Amgala, pleurait devant un parterre de dingues Algériens, sur le destin dépourvoyant l'Algérie d'hommes et de capacités.
L'Algérie est donc déclarée souffrante de crise d'hommes. Abdelmajid Tebboune qui en fait partie de la crise profitait de son sort d'abruti et dépasse même de loin tous ses prédécesseurs, se positionnant ainsi en héritier d'hypocrisie de Boumediene.
Malgré les "doigts bleus", formant les dingues électeurs qui l'ont emporté illégitimement à la présidence, Tebboune l'homme de cocaïne cherche par tous les moyens d'imposer, de façon supplétive, sa légitimité implorant les faveurs des Algériens qui n'ont pas voulu voter, pour ne pas plébisciter les enjeux polémiques imposés par Gaid Salah pour le 12 décembre dernier. L'abstention de ceux qu'on appelle désormais en Algérie les "doigts d'or" était remarquable, jamais enregistrée.
Le Maroc, ce Grand fantôme que les dirigeants d'Alger depuis l'adjudant H'mimd poussaient les Algériens à en considérer en tant qu'ennemi potentiel de toujours qui tenait au viseur l'objectif dévorant l'Algérie.
Il ne trouvait de moyen propice disponible à sa disposition que de déclencher et réanimer une nouvelle vague d'hostilité à la mesure de sa silhouette contre le Maroc. Sachant que ce Maroc était le premier pays à soutenir l'Algérie durant ses peines de libération. Le pays qui a préféré se sacrifier ses intérêts pour le bien de la révolution Algérienne.
Nous généreux, oui je dis bien Marocains généreux, nous ne demandions pas de prix à cette générosité plus que nous souhaitions en compensation de voir à notre voisinage des Algériens dignes du terme. Des voisins censés afficher un minime degrés d’abnégation et reconnaître pour une fois, les sacrifices le peuple Marocain pour une Algérie indépendante.
Malheureusement les expériences en prouvaient que l’excès de toute générosité n’enfantait en général que du mal. La citation arabe l'en mentionne ainsi "méfiez-vous du mal de celui à qui on a fait du bien". C'est vrais l'Algérie n'était qu'une camelote. Il n'y a pas d'hommes honnêtes sur lesquels on pouvait compter ou du moins, qui pouvaient lever les voix reconnaissant les bienfaits de ce Maroc. Ce n'est pas moi qui l'invente, la crise est confirmée de Boumediane.
Ainsi la guerre médiatique entre le Maroc et l'Algérie a repris de plus belle avec l’élection d’Abldemajid Tebboune qui a mis fin à la «trêve» observée jusque-là, surtout à l'initiative du Royaume, durant les marches du Hirak des Algériens.
Il est bien à noter qu’en seulement six mois d’exercice du pouvoir, le chef de l’Etat algérien a battu les records de ses prédécesseurs, multipliant les déclarations anti-Maroc. En voici quelques unes :
-.Déjà le 11 novembre 2019, dans une interview accordée à la chaîne Algérienne "ElBilad", il a qualifié la présence Marocaine au Sahara d’ «occupation». Selon lui c’est un dossier de décolonisation qui doit être réglé en accordant le droit à l’autodétermination» pour savoir si les "sahraouis" «veulent être des Marocains ou pas (…)».
-.Une position qu’il défendra le 19 décembre 2019 lors de son investiture. «Je souligne clairement que [le] Sahara "occidental" relève d'une question qui est entre les mains des Nations unies et de l'Union africaine».
A noter dans ce sens que l'UA s'est désengagée de cette affaire depuis le retour du Maroc à la famille africaine, jetant à la largeur du mur les diktats de l'Algérien Smain Chergui qui les distribuait à tort et à travers devant la chaise Marocaine vide pendant plus de ses 15 ans de tyrannie à la tête de ce qu'on appelle le "Conseil de paix et de sécurité de l'UA" qui dort et se réveille avec le polisario de son pays.
Quant à Tebboune il fait du Sahara Marocain, un dossier présidentiel. Le dossier est régulièrement présent dans son agenda, évoqué dans toutes les interventions présidentielles à l'intérieur de l'Algérie comme à l'étranger.
-.Le 22 janvier 2020, il s'emporte violemment contre l'ouverture de consulats de pays africains à Laayoune et Dakhla. «Si vous ne respectez pas les actes constitutifs en tant qu’organisation continentale, comment voulez-vous que les autres organisations nous respectent ?», déclarait-t-il en tentant d’impliquer l’Union africaine. Et de promettre que son pays «ne gardera pas le silence (…) Certains disent que c’est une décision souveraine, mais personne ne doit toucher à la souveraineté d’autrui. Allusion à son RASD qui disait-il, est un membre fondateur de l’Union africaine».
-.Le 20 février, lors de sa première intervention lors d'un sommet de l’Union africaine, il révélait avoir «exhorté dans une lettre» le secrétaire général des Nations unies de hâter la désignation d’un successeur à Horst Köhler afin de relancer le processus de règlement de la question du Sahara Marocain".
-.De retour à Alger, le voilà qui revient à la charge. Dans une interview accordée au quotidien Français "Le Figaro", il accusait indirectement le lobby du Maroc de saborder les relations franco-algériennes avec d'étranges arguments affirmant que «L’usine Renault d'Oran n’a rien à voir avec celle qui est installée au Maroc».
-.Tebboune a offert une autre manifestation de sa politique hostile envers le Maroc. Le jeudi 30 avril à l’occasion d’un point de presse avec certains directeurs de médias algériens, il a en effet rejeté catégoriquement la piste du recours aux emprunts extérieurs du FMI ou de la Banque mondiale, au motif que son pays «y perdra sa souveraineté et ne pourra parler,ne citant la Palestine que pour citer la question du Sahara Marocain"».
Ne dérogeant pas à sa politique, il saisi l'édition du sommet des pays du Mouvement des non-alignés, organisé le 4 mai par visioconférence, pour lancer un appel, sous forme d'ordre, au Conseil de sécurité des Nations unies pour se réunir, dans les plus brefs délais, et adopter une résolution appelant solennellement à l’arrêt immédiat de toutes les hostilités à travers le monde, notamment en Libye, sans omettre la situation dans les territoires occupés, soit en Palestine ou au Sahara Marocain.
Depuis, Sabri Bougadoum, le ministère Algérien des Affaires étrangères propagandistes a pris le relais pour condamner à chaque cérémonie d’ouverture d’une représentation diplomatique d’un État africain au Sahara Marocain.
Une évocation qui a irrité le ministre Nasser Bourita, qui dans un discours a souligné que l’Algérie «au lieu d’utiliser ses ressources pour améliorer la situation précaire de sa population dans le contexte de la pandémie Covid-19, les détourne pour alimenter la déstabilisation régionale».
Sabri Bougadoum, le ministre Algérien aux affaires mensongères a déclare de son coté regretter les propos tenus par le ministre Marocain Nasser Bourita d’autant qu’en Algérie déclarait-il aux médias Algériens, «toutes les autorités, que cela soit aux Affaires étrangères ou ailleurs, nous faisons attention à ne pas jeter de l’huile sur le feu, notamment dans nos relations avec le Maroc frère», rapporte le journal de l'écurie de hyènes Flnistes "Al Moujahid".
Bougadoum a affirmé qu’il aurait « aimé que le ministre Marocain des Affaires étrangères ne fasse pas de telles déclarations », qualifiées, par la diplomatie algérienne, «d’exhibitionnistes et provocatrices parfois».
Faut-il souligner à mon sens que Bougadoum ne visait pas à répondre pratiquement aux propos de Nasser Bourita, plus que parait-il, vouloir alerter les consommateurs de ses diffamations diplomatiques, à l'intérieur comme à l'extérieur à s’arrêter de préférence devant le paragraphe sur les relations entre Maroc et Algérie : «Nous faisons attention à ne pas jeter de l’huile sur le feu» Cela étant prouve que ce Bougadoum tente à corriger la faille qu'il avait faite auparavant disant que «l'Algérie tient à jeter de l'huile sur le feu». visionnez la vidéo pour écouter.
Échantillon des doigts bleus
Presque tous les responsables politiques Algériens s’en tiennent à l'application presque religieuse de lignes fondatrices du ministère algérien aux affaires de mensonges .
Imitant son prédécesseur la mule Messahel qui dans un état d'ivresse, tenait à montrer son engagement à la politique Marocaine de son pays en s’en prenant au Maroc. Bougadoume qui s'est élevé et sorti de l'école du maudit Ramdane Lahmamra, incapable d’expliquer la forte percée diplomatique Marocaine en Afrique, y compris dans des zones autrefois réputées proches de l’Algérie, il a opté pour la fuite en avant.
Pour sa part, un certain général à la retraite (Abdelaziz Moujahid), également membre du soi-disant "Comité algérien de solidarité avec le Polisario", traitait le 28 mai 2018 le Maroc de «supplétif des stratégies hégémoniques colonialistes et impérialistes occidentales».
Et d’ajouter que la relation entre le Maroc et l’Algérie est «condamnée». Un verdict qui ne se confirme au fil des jours, notamment avec l'escalade de ces derniers mois entre les deux pays voisins.
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Ainsi le 1er mai 2013, il réclamait lors d’un meeting organisé à Rabat réclamant la récupération de Tindouf et Colomb-Béchar. Une position réaffirmée le 6 juillet de la même année. Depuis Bouarfa, ville frontalière avec l’Algérie, il insistait sur la chaîne Al Aoula que «son parti maintient la revendication de la récupération de tout le territoire du Sahara oriental, incluant Tindouf, colomb-Béchar, Knadssa, Touat, la Saoura, Hassi Beida et tous les territoire spoliés».
De son coté, le 4 décembre 2013 Mohand L'Aansar, président du parti Mouvement populaire, demandait au gouvernement Benkirane de porter le dossier du Sahara oriental devant les Nations unies.
Si les déclarations de Chabat n’ont eu aucun effet sur la politique Marocaine à l’exception d’alimenter la guerre médiatique entre les deux pays, la sortie de Salaheddine Mezouar sur l’Algérie a été fatale pour la carrière de l’ancien ministre des Affaires étrangères à la tête de la CGEM.
Le 12 octobre 2019 alors qu’il participait à un forum politique à Marrakech, il s’est permis de commenter la politique algérienne, appelant le général Gaid Salah à «partager le pouvoir avec le peuple algérien». Mal lui en a pris. Il a été poussé à présenter sa démission de la présidence de la CGEM.(Confédération Générale des Entreprises du Maroc).
Conclusion..
Aux Gouvernements et en diplomaties, plus que dans d’autres métiers, les mots ont un sens, parfois directs pour établir les faits et sanctionner un état d’esprit. En diplomatie, les actes ont une valeur. Ils consacrent l’attachement d’un peuple aux principes et idéaux qu’il revendique à travers ses représentants.
De nos jours, les principes agréés au niveau des instances internationales et les faits bien établis sont ignorés ou bousculés par les mauvais voisins au profit de leurs objectifs hégémoniques. Des paroles vagues et démentis futiles sont alors proposés par des autorités farfelues en panne d’argumentaire.
C'est le cas des Algériens. Les tentatives inutiles du pouvoir d'Alger de «voiler le soleil avec le tamis», en apportant des démentis à son implication directe dans l'affaire artificielle qu'a créée avec préméditation le maudit Boumediane autour du Sahara Marocain, participent à la politique délibérée de déformer l’information suivie jusque-là, surtout par l'agence officielle algérienne de mensonges (APS).
La politique Marocaine de l'Algérie est bâtie sur le mensonge et la posture victimaire qui ne parvient pas non seulement à polluer le sens de fraternité et de bon voisinage censés êtres établis entre Marocains et Algériens, mais démarrer définitivement l'hostilité au Maroc avec un vocabulaire d'apprenti par le supposé président Algérien est condamnable.
D'abord, ce soi-disant président qui tombe accidentellement du plafond de la merde entourant l'ex-homme carton de l'Algérie Gaid Salah disparu à l'improviste doit respecter la vertu des règles immuables stipulées par la Convention de Vienne que surement le président Algérien ignore totalement.
Cependant il se doit, nécessité oblige, apprendre à lire les normes diplomatiques, qu'exige le voisinage d'un pays, surtout même considéré vachement, voire unilatéralement ennemi.
A la longueur des discours officiels algériens qui relèvent toutes sortes d'hypocrisie, d'arrogance et d'orgueil n'ont jamais été bénéfiques pour le Maroc. S'adressant au peuple Marocain au rythme clin d’œil, ce jockey de la merde Algérienne déclame la fraternité, mais trahie en parallèle la bonne volonté par esprit belliqueux porté à l’écran par un vocabulaire politiquement polémique.
Enfin, et surtout, qui est l’ennemi de qui ? Un simple rappel factuel des graves violations par l'Algérie du code de la fraternité indique qu’au contraire, le Maroc est victime d’assauts répétés. Inutile de remonter à 1963, à la fameuse Guerre des sables déclenchée dès l’indépendance par la folie d'un adjudant de l'armée Française mis à la tête d'une veuve Algérie.
Il suffit de se remémorer l’ingérence Algérienne à nos affaires internes. Les événements de mars 1973 au Tafilalet et l'attaque d'Asni-Atlas à Marrakech en 1994 en témoignent l'implication directe des services secrets Algériens et tracent clairement les repères de sabotage entrepris par le pouvoir d'Alger qui, au lieu de servir son peuple, il s'autoproclamait en fausse "force Régionale" se mettant à concurrencer vainement ce Grand Maroc.Bonne lecture.
Chihab25
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Selon Mohamed Larbi Zitout, un Algérien exilé à Londres..Plus de 8 millions d'Algériens vivent actuellement en bidonvilles, d'autres ne trouvaient quoi à manger et d'autres meurent de faim.
La femme en photo-générique est une porteuse de bois, comme citée au coran (حمالة الحطب في جيدها حبل من مسد) C'est la jumelle, pour ne pas dire la marâtre des deux femmes polémiques Algériennes Louisa Hanoune et Naima Salhi.