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Mes écrits - Page 37

  • Maroc-Algérie : Dites à Boukharouba que les Rois ne tombent pas et que leurs conseillers ne sont pas méprisés..(Hassan II)

     

                                                                                                              drapeau-du-maroc-image-animee-0008 

     

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                                                                         S.M. le Roi feu Hassan II lors d'une réflexion

    Nota bene..Dans une précédente note, j'ai promis à mon lectorat de publier le message qu'avait adressé Sa Majesté le Roi Feu Hassan II au président Algérien Houari Boumediene que la malédiction divine soit sur sa tombe. Promesse tenue, contrairement au désengagement Algérien que visait le message Royal suivant. Au lectorat d'en juger la clarté Royale et  l'hypocrisie de Boukharouba à ce sujet.   

    A la rédaction du blog, on ne fait rien de mal à personne. Certes avec un grand plaisir qu'on s'exprime, taclant l'ennemi Algérien, face à qui nous défendons nos valeurs sacrées,  croyant profondément à  la : «liberté d’expression, à l'Etat nation de loi, de droit, de démocratie et de fidelté à la Monarchie Marocaine. On a pas besoin de lubrifier à personne, le lacet pour qu'il glisse. A la rédaction nous sommes conscients de ce qu'on fait de bon pour mieux satisfaire  au lectorat assidu».

    Un journal satirique Algérien, censé pour rire en dépit de la peur, parlant au nom d'opposants Algériens qui se disent "politico-intellectuels", à majorité Kabyle,  souhaitait changer le monde en Algérie, faisant entendre «Qu'avec des scies, on refait le monde». A mon avis, au contraire, avec les scies on fait tomber les ponts de l'humanité - «Perdu pour perdu, autant dire ce qu’on a à dire».

    Le Maroc, en tout cas, s'en sortira vainqueur de tous les vents poussièreux et marrées en provenance d'Alger et capable de déjouer toute aventure malencontreuse Algérienne. Ses ennemis Algériens n'arriveront jamais à tordre ses bras, ni à arriver facilement à son graal.(les gifles antérieures en témoignent). 

    Après de bons et loyaux services, rendus aux Algériens, Sa Majesté le Roi feu Hassan II meurt, laissant un lourd héritage à son successeur, le bien élevé dans les sillages de commande, contrairement à tout venant, à la veuve voisine qui succombe, malgré elle, au pieds de sales bottes. Une fâcheuse chance qui sonnait le glas aux normes d'un voisinage fuctif. Et malgré tout,  Sa Majesté le Roi feu Hassan II a adressé au Président Algérien Boumediene le message suivant : 

    Rabat, le 16 février 1976..- Monsieur le président du Conseil de la révolution. Ce n'est point de la galeté du cœur que je vous adresse ce message, car sa teneur, s'il Nous fut désagréable d'en être l'auteur ne manquera pas quant à vous de vous déplaire. Par trois fois durant l'été 1975. Votre excellence me fait savoir officiellement ceci et si je cite ses termes.

    «Dites au Roi du Maroc et dites lui bien que, quelles que soient nos divergences sur le problème du Sahara et quelle que soit l'issue qui l'oppose à l'Espagne, je prends l'engagement envers lui qu'il ne verra jamais un soldat Algérien ou un engin militaire Algérien sur le sol du Sahara dans le but de combattre un frère Marocain».

    Ce sont là vos termes, Monsieur le Président. Mais que furent vos messagers? Je les citerai par ordre chronologique : Son Excellence le Président Habib Bourguiba, le Président Léopold Sedar Senghor, le Président El Mokhtar Ould Daddah. Ce sont là, je crois des témoins dont la moralité et la sagesse ne sont plus à démontrer.

    Pour plus de précisions que ce même engagement me fut confirmé par votre ministre aux affaires étrangères à la même époque et J'ajouterai pour l'histoire que vous aviez dit à Moulay Ahmed Laâraqui venu vous voir à Alger.« Dites à Sa Majesté qu'il ait à croire ce que lui dira Abdelaziz, car lui et moi sommes des frères siamois».

    Mais voilà, Monsieur le Président du Conseil de la Révolution que le 29 janvier 1976, les Forces Armées Royale se trouvent en présence de l'ANP à Amgala, partie intégrante du Sahara Marocain. Et que le sang entre nos deux peuples a coulé, car votre engagement n'avait pas été tenu. Et voila encore que pas plus tard qu'hier, la garnison Marocaine laissée à Amgala a été prise à partie,  traitreusement -- car Moi je mets mes officiers et mes soldats au courant de ma politique afin qu'ils apprécient la motivation de ce qui peut aller jusqu'au sacrifice suprême -- par les unités de l'ANP dotée d'armement lourd et d'effectifs dont le nombre a été conçu pour une opération d'anéantissement, causant des dizaines de victimes parmi mes fils et les combattants de mon pays.

    Ainsi Monsieur le Président, par deux fois et en moins de dix jours vos actes ont démenti vos engagements. Pour l'honneur de votre pays et de votre peuple auxquels s'attachent tant d'adjectifs historiques. Je vous adjure d'éviter au Maroc et à l'Algérie un autre drame. Je vous demande aussi de faire en sorte, soit par une guerre loyalement et ouvertement déclarée, soit par une paix internationalement garantie, que dorénavant on ne dise plus chez moi, dans mon pays, parmi mon peuple : «Algérie égale inconstance». «Que votre Excellence accepte à travers la franchise arabe, musulmane et maghrébine dont est tissée la trame de ce message, la considération en laquelle je la tiens». Sa Majesté Hassan II, Roi du Maroc.

                                                                                        -:-:-

                         

                                                                      l'Algérien au doigt bleu 

    Le régne turbulant..A mon sens, les paragraphes les plus «excitants et irritants», ayant fait trop de mal à Boukharouba étaient certainement : «-Vous et moi savons bien les risques et les dangers qu'entraine généralement le déclenchement d'hostilités.  -Je vous adjure d'éviter au Maroc et à l'Algérie un autre drame. -Je vous demande aussi de faire en sorte, soit par une guerre loyalement et ouvertement déclarée, soit par une paix internationalement garantie ».

    Le 19 juin 1965, Houari Boumédiène, jusque-là ministre de la Défense a mené un coup d’Etat militaire contre Ahmed Ben Bella. Au Maroc, ce changement a été perçu positivement par Hassan II, au point que ce dernier a envisagé de tourner la page de ces péripéties à travers une normalisation des relations avec l'Algerie.

    Pour la première fois depuis le début du conflit Algérien artificiel en 1975 autours du Sahara Marocain, ce maudit-président a usé de son esprit malade de superiorité et d'intelligence rependant au message Royal, avec un ton aussi conciliant, selon les Algériens.

    Mais l'observateur Marocain avéré le voyait autrement, puisqu'il souhaitait -hypocritement- de son coté..."régler ce problème politique et assurant qu'aucun soldat algérien n'a franchi et ne franchra jamais les frontières Algériennes, (sic!) disant, entre autre, beaucoup d'hypocrisies, dont voici quelques passages :

    Alger,le 16 octobre 1976..Le moment est venu de redire avec la plus grande solennité qu'il n'y a aucun contentieux bilatéral entre l'Algérie et le Maroc...En toute conscience, je puis assurer Votre Majesté, au nom des liens indissolubles qui existeront toujours entre nos deux peuples, que jamais aucun soldat algérien n'a franchi et ne franchira les frontières nationales, précisément celles que nous avons scellées ensemble en 1972. Cette période avait été marquée par la signature du traité d'Ifrane qui avait mis fin au conflit frontalier entre les deux pays, en imposant la souveraineté algérienne sur le Sahara Marocain oriental y compris de Tindouf, soulignant l'attachement indéfectible de l'Algérie à ce traité, il écrivait, : "Nous nous sommes empressés, pour ce qui nous concerne, de ratifier ces accords dans leur double volet : institutionnalisation de la coopération et délimitation des frontières entre le Maroc et l'Algérie, une fois pour toute".fin de citation. 
     
    Selon une anecdote populaire au Maroc.«Même si le voleur vend, à bas prix, ses butins, il serait toujours gagnant»,.(!) S'agissant de Boukharouba qui se réjouissait de parler de -délimitation frontalière-! Un sujet capital qui est pour nous Marocains et il est toujours.. «Un terme choquant qui laisse beaucoup à désirer».
    Sachant que les attaques Algériennes perpétrées vachement sur terre Marocaine à (Hassi Beida et Tinjoub, province d'Ouarzazat en octobre 1975, avec la complicité de l'autre maudit Jamal Abdenacer d'Egypte, précisaient forcement, les grandes orientations de haine et d'hostilité envers le Royaume, qui rappelons-le, avait abrité à bras ouvert, les Algériens durant leurs peines (merdes) de libération.
     
    Nous devons en principe regarder au retroviseur de la petite histoire concurencielle Algérienne pour comprendre ce qui s'est passé...-Le soutien militaire et diplomatique entretenu entre le Maroc et le Front de libération nationale en Algérie, pendant la Guerre de libération qui a abouti à l’indépendance algérienne en 1962, a laissé place à un froid dans les relations entre les deux pays, en raison des divergences sur la démarcation des frontières entre l'Algérie-indépendante et le Sahara Marocain oriental qui se constituait notamment du : le Grand Touat et Oued Saoura - Colomb Béchar - Kenadsa - Tiguelt et Tindouf.

    Au début des années 1970, par générosité Royale, je dirai fraternellement "trop abusive", feu Hassan II a demandé l’aide des Etats-Unis sous Richard Nixon, pour protéger la personne de Boumédiène, au moment où Gamal Abdel Nasser aurait usé de tous ses moyens pour prendre le dessus sur le monde arabe, quitte à envisager d’éliminer Boukharouba qui a renversé son pretit gamin, l'adjudent-président Ahmed Ben Bella. Au moment où les tensions sont montées au créneau, jusqu’à la confrontation armée qui a donné lieu à la Guerre des sables, en octobre 1963. Pour rappel, les affrontements ont pris fin avec une médiation de l’Organisation de l’union africaine (OUA) et les deux pays ont signé un accord de cessez-le-feu, le 20 février 1964 à Bamako (Mali).

    Toutefois, les positions algériennes et Marocaines n'ont pas changé. Maitre feu M'hamed Boucetta, alors ministre des affaires étrangères, avait rappelé à l'ONU que le Royaume Chérifien du Maroc «estime irréversible le recouvrement de son intégrité territoriale». Boukharouba s'était adressé directement à Sa Majesté le Roi feu Hassan II. Son message, diffusé par l'APS (Agence de Presse officielle) , répondait à celui envoyé par Sa Majesté  le Roi.

    Jusque-là, Boumédiéne n'avait jamais directement répondu aux interpellations de Sa Majesté le Roi, qui l'avait sommé à plusieurs reprises, et notamment après les violents combats d'Amgala en février 1976, de s'expliquer sur ses intentions. S'il l'a fait cette fois-ci, c'est sans doute pour tenter de faire tomber la tension, pour situer clairement les responsabilités et parce qu'il ne pouvait s'interdire de penser que les violations répétées à la frontière Marocaine par la racaille Algérienne (armée) ne tendaient qu'à justifier une agression préméditée contre son pays. 

    Et depuis, les conneries Algériennes passent mais ne se ressemblent pas. Celles présentées par le régime Algérien depuis son existence à notre frontière, encore moins que les autres. En ouvrant ses pages de préjugés et d'atteinte au normes de bon voisinage, on ne trouve que de la traitrise aux valeurs d'Etat. Le pouvoir Algérien prend depuis toujours la charge d'opposition à la main Marocaine qui lui était trop généreuse. Plus singulièrement pour des positions devenus les pivots d'une politique malmenée, disposant malgré tout, d'une manne relativement pétrolière pour en faire les dépenses de charge contre le Royaume.

    L’avenir n’est pas écrit à l’avance et le pire avec l'Algérie n’est jamais écarté. Cependant, depuis le début de la haine Algérienne, force est de constater que tous les présidents Algériens qui se sont succédés au pouvoir n’étaient pas guidés par le calcul rationnel et le poids de coûts et de bénéfices politiques qui les concernait, mais la haine viscérale, devenue leur obsession, qui se renforcait au fil du temps en illusions de supercherie. 

    Ni l’échec de toutes leurs offensives contre le Maroc, ni les gifles Marocaines endossées, les autorités Algériennes ne reconnaissent pas la force de leur ennemi qui pèse lourdement sur leur petit poids politique et ne semblaient pas en mesures d'entamer le rythme du bon voisinage et de gagner la sympathie, quoi qu’il en coûterait, n'imposant, en parallèle, ni la capitulation, ni la correction de leur esprit d'une vengeance irréalisable, et ce pour trois raisons au moins poussent la bande d'Alger à la fuite en avant.

    1-.Tout d’abord, la conviction que le véritable enjeu de confrontation avec le Royaume ne serait qu’une énième défaite, résidant dans sa propre survie, qu’il lie intimement au destin de l'incertitude. 2-.Le demi siècle de règne autoritaire d'Alger, sans partage, a persuadé ce pouvoir mafieux de sa mission dans l’histoire contemporaine d'Algérie, sans pour autant pouvoir établir sa grandeur, en faillite gestionnaire, ou renforcer ses positions dans le monde face à la domination de leadership Marocain ou même renverser la donne à sa faveur. 3.-Les pontes de dicordance existentes décrivent depuis longtemps la confrontation entre les deux pays en termes de divergeance. Dans plusieurs de ses discours, chaque président Algérien cherchait à achever la tâche haineuse commencée par ses prédecesseurs, à savoir affaiblir durablement le Maroc, voire le démembrer.

    L'art d'hypocrisie..En toute évidence, les divergeances antérieures, actuelles ou postérieures avec la frivolité Algérienne, se justifient à l’échelle historique de l'Algérie et pas du Maroc. La preuve en est malgré les illusions Algériennes, déjouées en tout temps par le Royaume, la guerre présente aux esprits haineux du pouvoir d'Alger est sûrement inévitable, mais ce pouvoir est peureux, hésitant de frapper le premier, il n'y a que du bla-bla ? Ils sont formés par l'orgueil et l'ingratitude, que leur en causeraient que du mépris et l'humuliation - La guerre des sables63- et les gifles qui se sont suivies aprés en témoignent clairement.

    D'autant plus, ce pouvoir..Attise - des feux de guerre partout - de la sédition et soutient les groupes séparatistes terroristes (le groupe terroriste de l'Algérien Mokhtar Bel Mokhtar aux pays du Sahel en témoigne). - offrant ainsi, contre le gré des pays arabes l'allégeance indéfectible et rites d'obéissance à ses souverains suprêmes, les versets Sataniques d'Iran.

    Or, chez la force de frappe, les drones tombent, là où en manque du lait. Un pays au bord de la crise de nerfs. Alors que faire? continuer à faire tomber des têtes. Le peuple, on l’occupera à faire la queue à l’infini, exportant, le gazoduc à qui alimentait discrètement les comptes suspects des gouvernants en Suisse? C'est ça la puissance de la force de "frappe" qui nous  crève les tampons depuis un demi siècle.

    Leur rêve brisé est d’accéder à l’Océan atlantique, de desserrer cet étau cruel qui les coince comme dans un enclos avec une marge maritime réduite.Concluons..Autrefois, dans les temps lointains, des empereurs s’exerçaient à des guerres, livraient des batailles pour conquérir des rives et accéder à la mer. Boumediene a maudit le Maroc parce qu’il bénéficie de deux façades maritimes, l’une plus importante que l’autre, l’une ouverte sur l’Europe dont nous séparent seulement quelque treize kilomètres, l’autre sur le vaste continent des Amériques, et plus particulièrement les Etats-Unis

    Il nous rappelle ce tropisme 'Hitlerien' sur «l’espace vital de la grande Allemagne» qui a avalé les territoires de la Tchécoslovaquie, la Pologne, l’Autriche, la Belgique et une partie de la France …C’est peu dire que l’expansionnisme algérien se nourrit d’une telle fantasmagorie. Or, la double vocation maritime confère au Royaume du Maroc un certain poids, stratégique mais aussi économique que le gouvernement algérien ne se résout jamais à tolérer.

    Boumediene, qui a vécu à Oujda, a reçu l’hospitalité et le soutien précieux du Maroc, au moment où l'algérie était nulle contre la France. Contre toute attente, il créa, aprés l'independance de son pays le problème du Sahara Marocain. Il avait donc enterré à la fois le soutien Marocain et les promesses tenues à divers moments. Boumediene, de son vrai nom Mohamed Boukharrouba , non seulement a renié ses engagements, mais s’était lancé dans une campagne sournoise et plus tard hargneuse contre la générosité Marocaine.

    Après un demi siècle de guerre d'usure sans nom, livrée contre le Maroc, marquée au sceau d’un échec patent, la vérité transcendantale impose désormais ses lois.  Au faîte de ses illusions, il a créé dès 1969 le mythe de l’Algérie forte et de puissance continentale et «désigné» le Maroc  comme l’ennemi à combattre.

    Ce terme sera inscrit d’ailleurs dans la rhétorique politique des dirigeants algériens comme une lancinante antienne, motivant une hargne paroxystique. «On va créer  l'M'rarca une épine dans le pied avec l’invention d'un peuple dit du (Sahara occidental…) affirmait-il sans vergogne. Peut-être devrait-on rappeler que, outre la destruction du Maroc et de ses institutions, le machiavélique plan de Boumediene, devenu une obsession, est d’accéder à l’océan atlantique, ensuite d’encercler par le sud le Royaume et de le couper de ses racines africaines.

    Le Roi feu Hassan II ne l’entendait pas de cette oreille, mais faisant contre mauvaise fortune bon cœur, il avait raisonnablement proposé à Boumediene d’ouvrir un couloir d’accès à l’Atlantique facilitant le transport du fer de Ghar jebilet, non loin de la frontière du sud est marocain.Mais l’outrecuidant Boumediene repoussa l’offre de feu Hassan II lui ouvrant un couloir sur l’Atlantique, étant qu'il projetait districtement d'ouvrir lui seul, et par foece, une grande fenetre sur l'Atlantique pour voir loin et saluer son acolyte, l'autre maudit le Cubain Fidel Castro.

    À chacun son mantra.  Nous au Maroc, on se répète souvent les mots : «Pour nous, les dés sont jetés». C'est aux Algériens de décider, à leur guise, le sort leur convenant..non seulement, comme pouvoir à crédibilité perdue, mais comme équipe de toutes les merdes qui choisissait de ne désespérer de rien. Quand on voit ce que la presse algérienne, toutes tendances confondues - publie chaque jour sur le Maroc, sur son Roi et ses institutions, on tombe à la renverse. 

    Je ne suis nullement obssédé par l’Algérie, bien au contraire et encore moins, porté à jouer au funambule, de tout ce que produit mon pays, la vraie force de frappe et de Leadership.En tout cas, la sobriété nous est imposée, nous Marocains, comme une nécessité d'interlocution avec les fous d'Alger.Tant qu'il y a les militaires qui commandent l'Algérie, les relations avec Alger ne seront jamais normales.Bonne lecture

                                                                              Cordialement,Chihab25