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Mes écrits - Page 40

  • A force de haine, d'hostilité et d'entêtement aussi, cette Algérie de merde, ne va pas cesser ses stupidités contre le Maroc...

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                                                                     Fièvre et malaise à cause du Maroc  

    Souffle à l'oreille-ennemi...Il en résulte qu’avant de parler d'Algéri6e, il est impératif de faire comprendre,voire de rappeler à nos ennemis Algériens que sans le sérieux et l'honnêteté il n'y aurait pas d’identité ou soubassement pour l’Algérie. L'imitation du modèle politique Marocain et des "Mades in Morroco" est à la portée suspecte Algérienne à l'exception de la mentalité Marocaine qui vaut dix cervelles en Algérie. Imiter ou pas, ne pourra pas créer chez eux l’élan vital ou une identité, toute particulière, qui en manquent si cruellement aujourd’hui en Algérie.

    Je ne parlerais pas du domaine politique, étant un stade interne de concurrence et de divergences entre nos politiques. Un stade hors ma portée, mais du niveau économique, le domaine le plus difficile à bâtir solidement dans un pays non pétrolier même s'il y en a à l'horizon des étincelles de gisements de gaz et de pétrole à Tendrara à l'Est  et au Gharb à l'Ouest du Royaume, à savoir :

    Le Maroc a connu ces vingt dernières années des transformations majeures et avant tout indéniables. Au niveau infrastructurel et sans bla-bla-, plusieurs grandes réalisations Royales peuvent en témoigner, en allant du port de Tanger-Med au TGV L'Boraq, en passant par le futur port de Dakhla Atlantique au Sahara Marocain et les centrales solaires Noor I et II  à Ouarzazat et à Beni Mathar pour ne citer que ces importantes infrastructures.

    Mais un sentiment d’incomplétude semble traverser chacun de nous, chaque Marocaine et Marocain, à différents degrés. Quelque chose d’essentiel semble manquer pour donner un sens à cette armature, pour nous donner un élan vital. Un liant projet commun, capable de canaliser toutes les énergies vives du Royaume vers un idéal lointain, qui ne saurait s’exprimer en taux de croissance, d'investissements ou d'imaginations irréalistes et concrètement irréalisables. 

    On ne peut nier sérieusement que plusieurs fragilités demeurent, mais le potentiel est là, n’attendant que d’être pleinement exploité. Quant à la dimension diplomatique, le Maroc a su, pas à pas, s’imposer comme un acteur géopolitique incontournable dans la région malgré l'acharnement hostile du pouvoir Algérien depuis son existence à nos cotés.La sagesse, l'expérience et le silence de Bourita vaincront certes toutes les sauvageries de Lahmamra et de ses maitres militaires.

    Le lecteur remarquerait-il qu'on parle que de Lahmamra sans parler ou donner d'importance à son président Jebboune qui n'existe pratiquement pas d'ailleurs sur la scène de gouvernance sauf sur le plateau de désinformations et de bluffs gérant, généralement, la politique interne et externe d'Algérie.                             

    Le bouc-émissaire..La faillite du régime militaro-politique d’Alger le pousse à chercher constamment des querelles à notre pays le Maroc. Pour un régime Algérien en perdition qui cherche à resserrer les rangs de sa population, rien de tel qu’un ennemi identifié pour jouer le rôle de bouc émissaire, comme s’il s'engageait, d’ores et déjà dans une guerre. 

    Le pouvoir algérien en a même trois ennemis auxquels il se prépare à les confronter virtuellement, tandis que la confrontation, corps à corps, n'est pas des son sort : -Le Maroc, l'ennemi de toujours depuis la guerre des sables et les Amgala au Sahara Marocain. -La France pour la non reconnaissance de ce qu'ils appellent "crimes coloniaux" en Algérie française. -Israël l'ennemi communément permanent d'un nationalisme arabe révolu. Nationalisme Égyptien d'expansion de Jamal Abdenacer.En faisant preuve d’une agressivité grandissante, l’Algérie s’égare cependant sur une pente périlleuse, au point qu'une guerre avec le Royaume est aujourd’hui une hypothèse qui ne peut plus être exclue, si on croit les dernières musculations de Chengriha, le général-pisseur de la racaille Algérienne.

    Pour en dire plus, je me rappelle d'une anecdote se focalisant autour de ce qu'on peut appeler le «Jeu de calme». Cette manière est une illustration de la condition humaine. Ramené à toute société, ce jeu mortel ne pourrait s’appliquer à l’Algérie d'aujourd'hui où l’exploitation de la sauvagerie politique bas son plein. Cette sauvagerie détruisant le système de gestion d’État censé être crédible et responsable. 

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    Qui-est-ce le doigt bleu..Je commence par rappeler que l'Algérie, avec sa grande superficie géographique, y compris les territoires du Sahara Marocain oriental spolié, et son peuple en grande majorité de "doigts bleus¹" ne méritant pas être État digne de respect, étant qu'un monde de fous, disant que cette entité que j'appellerai désormais, la "veuve Algérie" ne remplissait pas les conditions d’état indépendant comme les autres.

    Pour rappel la dénomination «doigt bleu est attribué à l’Algérien par les curieux, voire les moqueurs du 5ème peloton qui pour eux «Cet Algérien, vote que pour voter, à la faveur du pouvoir sans idée majeure aucune, ne savait nullement pas pour quel élan politique était appelé à voter». C'est le dingue, l'équivalent au «M'kallakh» chez nous au Maroc.

    L'Algérie souffrait depuis son arrivée au monde indépendant en 1962 de troubles de fausse supériorité étatique dans la région et dans le tiers monde. Mais ses hommes politiques ayant conduit les négociations d’Évian pour l''indépendance sont considérés de traîtres, par contumace, par les caporaux de France et devaient, purement et simplement disparaître sans pitié. Ils sont passés presque tous  à la liquidation physique. 
     
    Le premier assassinat "public" était exécuté en Espagne visant Mohamed Kheider, l'un de ce qu'on appelait  "les 5 leaders de la révolution Algérienne" et le dernier assassiné était Kasdi. Merbah.A propos, ce dernier était le redoutable chef de la sécurité militaire algerienne pendant vingt ans, il subsistait peu de mystère. Lui aussi était un Maroco-Algerien d'origine "Meknasi". Un tyran qui coupait le souffle aux gouvernants Algériens.  
     
    Juste après sa mort, même le journal officiel Algérien "Mojahid", affirmait qu'il fallait chercher les commanditaires de son meurtre, non parmi les islamistes armés du FIS, mais chez «les espions, les corrompus et les autres mafieux du genre des généraux.. Smain Amari, Khaled Nezar, Mohamed Mediane, alias Toufik et Mohamed Amari». Ces quelques généraux qui se partageaient le pouvoir et l'argent en l'absence de compétences civiles écartées de toutes décisions ou encore menacées de vie.

    En revenant sur cette exécution, sur son site internet, le Mouvement Algérien des Officiers Libres (MAOL), organisation clandestine basée à Madrid, ajoutait, a un moment donné, un éclairage sur le  l'assassinat de Merbah. Selon ses officiers dissidents, «le vrai projet de Merbah était le renversement des généraux», ses pairs qui ne partageaient pas sa volonté de trouver une solution politique à la crise avec le voisin Marocain. «Avec le concours d'officiers restés fidèles au principe de la révolution, Merbah avait planifié un soulèvement des unités de l'armée pour la nuit du 31 octobre au 1er novembre 1993.

    Le destin en a voulu autrement et le "cabinet noir des généraux ordonnait l'arrestation de plusieurs centaines d'officiers et de sous-officiers ["].» Le 21 août 1993 à Alger, Kasdi Merbah tombait dans un traquenard que raconte en détail le Maol. Paradoxalement, c'est sur ce dossier Merbah le Maol ouvre le plus de pistes : si ses dénonciations contre le régime ont acquis une crédibilité et une audience qui inquiètent de plus en plus Alger, sa composition reste mystérieuse. Pour la première fois ou presque, ces officiers se revendiquent un parrainage : Merbah et ses troupes putschistes.

    Pourquoi perpétrer les assassinats, c'est pour permettre aux caporaux de France de se mettre à l'aise aux postes de commande et d'écarter de la scène de gouvernance toutes les capacités culturelles et politiques de l’Algérie. Je dis bien les caporaux de France car le premier président de l’Algérie était le Maroco-Algérien Ahmed Ben Bella, originaire de Sidi Rahal L'Boudali, région de Marrakech, un simple adjudant de l'armée française, puis par Houari Boukharouba qui a fait sa propre révolution avec Boutefrika dans les cafés-maures et dans les rues de Nador au Maroc.Boukharouba rentrait heureux en Algérie avec le grade de colonel qui s'est fait donné lui-même, sans passer par la hiérarchie militaire, trouvant devant lui des dingues en Algérie pour s'imposer en la qualité de leur président. 

    Cela étant lui ouvrait facilement les portes secrètes du pouvoir pour sauter le 19 juin 1965 sur le palais présidentiel d'AlMoradia d'Alger et mener, à bord de chars, un putsch blanc. En parallèle avec cette situation conduisant l’Algérie vers l'inconnu, les vrais hommes politiques de l’Algérie disparaissant, en mourant en silence dans l'obscurité. En exemple trois personnalités : deux ex-présidents du GPRA (Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne) et un leader Kabyle pour ne citer qu'eux,  en l'occurrence : 
     
    -M Ferhat Abbas qui suivait de loin de chez lui, par le trou de la serrure les acquis de liberté et d'indépendance qu'il aurait apporté à l’Algérie...  -M.Benyoussef Benkhada, contraint de se faner, malgré lui, dans sa pharmacie à Tizi-Ouzou en Kabylie... -Feu Houcine Ait Ahmed, lui poussé à s'exiler volontairement en France, puis au Maroc pour vivre en paix à coté de son gendre à Kénitra au Maroc et visiter, d'un moment à l'autre, son compatriote, feu Mohamed Boudiaf avec lequel constituait, un duo, un «tiers honnête», des cinq leaders de la révolution Algérienne.
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    La valeureuse perle (la patate)..Faut-il débuter ce coté d'énième défaite diplomatique Algérienne qu'Avec Lahmalra, le prétendu secouriste..L'Algérie a perdu sa crédibilité diplomatique.  Il est du même monnaie que Bougadoum.Il revenait avec des connaissances périmées, trouvant que le Maroc a trop changé, voire progressé en pente diplomatie silencieuse.C'est la vérité  que, ni lui ni d'autres de chez lui ne peuvent facilement l'avaler.  
     
    Je viens de terminer en un moment de distraction de regarder la série coréenne qui fait fureur actuellement dans le monde, «Squid Game». Au début, j’étais réticent et je ne voulais pas entrer dans cette histoire étrange et à la limite du supportable. Ensuite, je me suis laissé prendre et je n’ai pas décroché. Il faut dire, après comparaison, que la mise en scène du «Jeu de calme Algérien» était exceptionnelle pour moi. L’attitude transversales de ses dirigeants contre le Maroc et contre la raison est configurée, voire filmée par tout le monde comme un des grands films classiques dégueulasses. «Décors hallucinants, dialogues créatifs réduits au minimum, personnages typés représentant chacun son caractère défini à lui et à lui seul, agissant à la guise qui parlait d'une Algérie de "fièreté et de dignité" imaginaire de l'ère Boutefrika».

    D’où l’aspect universel de la série haineuse Algérienne dépassait toutes les normes de la raison et tout ce qu’on a l’habitude de voir sur les plateformes qui nourrissaient le besoin humain d’images-La presse mondiale s’est penchée sur le phénomène Algérien qui n'est que pour mentir et pour encore déjouer toutes les vérité. L'affaire des deux camions brûlés a l'est du mur de défense Marocain en prouvaient cette aspect avec la conviction sincère de M.Antonio Guterres, le secrétaire général de l'Onu en l'objet.

    Nous sommes concernés par l'acharnement de cette Algérie qui joue à risquer contre la grandeur du Maroc et espère vachement l'affaiblir en injectant davantage de lots de millions d’euros pour soutenir son mirage polisarien au détriment de faim et de soif de son peuple que le monde avait vu clairement, via une vidéo, une de ses composantes partie quelque part en Algérie, en train de se bousculer dans un terrain vague pour s'enquérir de la pomme de terre. Les Algériens qui se battaient à ce risque connaissent la rigueur de la faim dans un pays pétrolier, faisant de la patate un produit valeureux de luxe.

    Par contre, pour nous Marocains courir pour la patate seraient que de simples conneries que les enfants au Maroc jouaient dans la cour de récréation. Sauf que là, c'était pris au sérieux par le père Algérien d'une famille affamée.

    Dès que la foule se dispersait et que quelqu’un de la foule gagnait son lot de patate, il se fut vivement acclamé et applaudi par la foule présente pour le même but d'avoir rien que la patate. Tandis que les affamés en Algérie se comptent par dizaines de milliers. Ceux qui se débrouillaient, d'une manière ou d'une autre, assistaient au massacre sans bouger.

    En fait, le «Squid Game» est un avertissement aux dirigeants Algériens qui, tout en installant leur pays sur la scène de la merde, devront d'abord revoir sérieusement leur politique sociale qui dégénère de jour en jour mettant son peuple de "Nif" aux abords de la catastrophe.

    Soyons équitable. Je ne peux continuer à frapper l'Algérie de pierres sans pour autant regarder ce qui pourrait se passer chez nous. La vie n'était pas rose. Tout part de l’injustice et de ses conséquences sur la dignité de l’homme Algérien. Nous savons que chez nous, dans le plus beau pays du monde le Maroc il n'y est pas, tout est rose, il existe des comportements fâcheux, des pratiques que ni l’un ni l'autre, ni les droits de l'homme de Madame Amina Bouaâyach oseront accepter. Pourtant, on ferme les yeux, ici et là, et on passe à autre chose.

    Regarder «Squid Game» ne peut être innocent ou banal. On en sort lessivé, plein de doute et de questionnements. La réussite de l'homme nord-Africain réside là, dans ce qu’un produit purement populaire puisse concerner un grand public si éloigné de la sociologie fraternelle Maghrébine. Si le nouveau gouvernement Akhenouch a un peu de temps, il serait utile de lui organiser une projection, non de toute la série misérable qui peut en y avoir chez nous, mais d’un résumé bien choisi.

    No passaran!..Scandale : Ramdane Lahmamra proxénète et gaspille de l'argent Algérien pour la cause prioritaire Algérienne consacrée pour le Sahara Marocain qui ne concerne pas d'ailleurs le peuple algérien. Le problème "clou rouillé" qu’enfonçait au corps Algérien avant de disparaitre pour l'enfer le maudit Houari Boukharouba.

    Dans l'état de tyrannie et le régime des généraux, l'argent public Algérien est de l'argent en vrac qui est gaspillé bêtement et de manière incontrôlable. Une partie se compte en milliards absorbés en fumée par les tyrans de casernes ayant fait naitre, hors liens de mariage légitime, un bâtard qui choisissaient pour lui un lit qui n'est des leurs à Tindouf.

    Cet argent est gaspillé sous forme de projets inimaginables sans intérêt concret pour l’Algérien, un type dépourvu de son droit primordial de vivre dans la dignité. Une partie de cet argent est gaspillée dans ce qu'ils appellent la fraude et le camouflage pour soutenir de petits projets qui ne valent rien, voire qui n'existent pas en premier lieu….

    Et la cocaine.. Les vrais projets des généraux se font réalisés par l'importation suspecte de cocaïne par le principal serviteur de casernes (Kamal Cheikhi alias L'Bouchi). Une saisie de 701 kgs était opérée par coïncidence par les douaniers du port d’Oran. Cette forte quantité de drogue "la cocaïne" n’en finit pas d’ébranler les institutions et l’État algérien.Le 23 juin 2018, 11 magistrats,deux procureurs ont été placés sous mandat de dépôt pour avoir bénéficié «d’avantages indus» et la liste des personnalités que Kamel Cheikhi fréquentait ne s’arrête pas là.

    Ses connaissances au sein de la police, de l’armée, de certains ministères sont aussi nombreuses que puissantes. L’homme filmait ses rencontres avec ses interlocuteurs. Magnat de l’immobilier, un jeune Algérien Kamel Cheikhi s’est converti dans l’importation de la viande congelée pour l'armée. Surnommé «Kamel El Bouchi», ce milliardaire a vu sa carrière prendre fin le 29 mai 2018 à Oran. Sur un bateau en provenance du Brésil, en plus de la viande congelée, les douaniers Algériens, alertés par leurs homologues espagnols, découvraient 701 kg de cocaïne, la plus importante saisie de l’histoire de l’Algérie. 

    Le scandale devient politique et met à nu des complicités dans l’appareil judiciaire. Appartements, maisons, des millions d'euros en liquide, le principal accusé, (le convoyeur) s’est montré très généreux avec ses «amis». Sans les avertir, il aurait filmé à chaque fois ses rencontres avec ses obligés: magistrats, procureurs, enfants de responsables politiques, dont les fils d’un ancien Premier ministre., entre autres les fils des généraux Khaled Nezar et l'inhumé Ahmed Gaid Salah Des magistrats suspendus, deux procureurs placés sous mandat de dépôt, des enfants de généraux et de responsables politiques impliqués... 

    Selon de nombreux spécialistes, la cocaïne n’est pas destinée au marché local, trop restreint pour absorber une telle quantité. Algérie, pays de transit vers l’Europe? « aucune commission rogatoire n’a été délivrée aux autorités espagnoles et brésiliennes pour connaître les circonstances de cette expédition de plus de 700 kg de cocaïne dans des cartons censés contenir de la viande». L’enquête aurait échoué dès ses débuts pour ne pas dévoiler trop de complices, civils et militaires.

    Malgré les avertissements, les directives et les chiffres scandaleux qui abondent dans les rapports officiels, le déplacement des procédures judiciaires et injonctives pour demander des comptes aux fonctionnaires reste faible et même insignifiant par rapport à l'étendue de la corruption, de la négligence, du chaos et des troubles qui imprègnent de nombreux récits de leurs institutions publiques qui disposent de l'argent public à titre de collecte et de dépense, alors que leur reste-t-il?.

    Ou est-ce la tromperie, le camouflage, la projection de cendres dans les yeux des Algériens et l'illusion sur les apparences et les formes qu'il y a du sérieux dans l'inspection, la surveillance et la responsabilité, et cela se termine ensuite par la négligence et l'oubli ?  

    Et les derniers scandales de gaspillage d'argent Algérien, révélés par un responsable de la Direction des cérémonies et des visites officielles du ministère des Affaires étrangères, que les visites touristiques (diplomatiques) effectuées par le ministre appelé au secours des Affaires mensongères de l’Algérie, le sieur Ramdane Lahmamra dans le reste du monde ont été dépensées en milliards pour le gang du Polisario dans une affaire perdue, derrière laquelle, selon la presse locale, plus de 500 milliards de dollars ont été dérobés par le système "vole qui peut" et le trésor de l'État Algérien a été vidé.

    Les cadeaux que Ramdan Lamamra apportait toujours avec lui en offrande pour aux ministres et chefs des pays qu'il visite, sont des montres, des épées et des pistolets d'or tres coûteux, mais les cadeaux étranges offerts, de façon honteuse par Lahmamra est l'invitation à proxénétisme à passer une semaine de  divertissement payée dans une station balnéaire en France y compris le service d'entraineuses et de nuits rouges.

    Je m'excuse de ce passage de honte inhabituel de la part de la rédaction du blog. Un passage qui n'est pas du tout digne au respect du lecteur, me contraignant de dire en substance que l'argent Algérien est effectivement permis (halal) à tout venant rejetant la Marocanité du Sahara.        

    A force de forger sa propre politique "contre-attaque" aux traces de Bourita, Lahmamra se donnait l'opportunité gratuite de réagir. Mais comment doit-il agir? agir certes avec ses procédés largement dépassés. Avec une intelligence de dingue diplomate,il n'arrivait à faire que des coulées de boues ne servant même pas à badigeonner les fissures ayant atteint la politique d'autruche étrangère de son pays. Une politique entachée de frivolité, voire moisie depuis ses prédécesseurs M'sahel, Bougadoume et même avant. 

    Laissons Lahmamra et ses commanditaires galonnés se dilater  (يتسكعون) dans leur orgueil et d'y croire en leurs fausses forteresses contre la grandeur Marocaine, contre un Maroc imbattable, même en virtuel. Enfin leur haine sera-t-elle vaincue. Certes, la volonté Marocaine et la raison l'emporteraient sur la folie destructive Algérienne et en parallèle il n'y aura pas d'entente avec les délinquants d'Alger.

    Les failles présidentielles de Ben Bella à Boutefrika, sont nombreuses et y sont vécues depuis l'indépendance de l’Algérie par le citoyen Algérien comme des humiliations intolérables ne lui permettant, même ps, faire clin d’œil sur les maux qu'il porte en soi. Ce qu'on peut concluer de cet article, je le dirai en quelques mots.

    Vu le cumule de merdes et de méfaits qu'enregistrait l'Algerie contre le Maroc depuis da naissance en 1962, le Maroc qui n'est pas si simple à avaler par quiconque et par les cons d'Alger en particulier, restera toujours vigilant et capable de gifler davantage le moment où ses intérêts seront menacés par quiconque, qu'il soit au nord ou à l'Est. 

    «Quoi qu'il en soit, nous sommes les meilleurs,  mieux que les Algériens avec leur gaz et pétrole et avec leurs mentalités de dingues.Cette particularité de stabilité politique,d'alternance,de gouvernance et de bonne gestion, est conforme aux orientations royales ayant jalonné la voie à l’État des institutions et des droits de l'homme, celoa étant constitue pour eux, gouvernants et opportunistes, un fardeau Marocain insupportable»Bonne continuation,

                                                              Cordialement,Chihab25


     
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