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Nos affaires - Page 28

  • 4/5-.)Les services secrets et de renseignements Algériens endossent l'échec du siècle à Laâyoune

     

                                              

     

     

     

    القوات المسلحة الملكية

    Le général de corps d'armée Said BENNANI présente au souverain le manifeste d'allégeance du peuple Marocain. Allégeance Marocaine signifiant l'unité du peuple autour de son roi, son unanimité autour de l'intégrité territoriale nationale,pour la grandeur de notre pays, le Royaume Chérifien du Maroc...Bonne et heuereuses année 1432 de l'hégire coïncidant avec l'année grégorienne 2011.

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                      Le drapeau national flotte haut et fort pour toujours...témoigniant le sang Marocain, déverssé dans la verdure paradique.

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    Aprés les échecs successifs de sa diplomatie à l'échelle internationale, BOUEFLIA reçoit une grande gifle par les événements de Laâyoune au Sahara Marocain.

    (4ème Partie,Suite)

     

            Je termine par plucher la pomme Algérienne moisie, de façon à dire qu'un dupe lecteur Algérien m'a fait parvenir dans un commentaire sur la 1ère partie de cet article la phrase suivante, en hommage au patron de la DRS  Algérienne (Direction de Renseignements et de Sécurité) disant que..: "Chose sure ,le patron de la DRS est une personne juste ,loyale et patriotique jusqu'à preuve du contrair". 

    Je lui réponds en substance, tout en notifiant en même temps à mes lecteurs assidus du blog, que j'ai des confidences qui touchent directement l'activité  et le débordement inutile de cette instance militaire. Une instance aux mains tachetées de sang Algérien, entachée de méfaits houleux, perpertrés contre le peuple Algérien depuis son indépendance. Une instance prise aux tenailles par l'esprit de  fausse superiorité et de l'ntéllegence particulière au monde. Des confidences que je ne peux publier publiquement, ni dévulguer en quelque sorte, en respect de la confidentialité d'usage, pour ne par entraver le travail silencieux des rouages de nos services de renseignements. Des confidences graves qui déshonorent le patron de la DRS Algérienne, coincé à l'éternité en mort clinique, des confidences qui secoueront le grand public de toute l'Algérie en cas de publication. Des confidences qui ne font nullement  partie des publications inopinément improvisées du genre Wikileakes.  Se sont des secrets trés particuliers collectés au hasard par un "faucon" Marocain dans un pays non étranger à l'Algérie??. Un butin précieux que même Si.Mohamed Yassine Mansouri avec ses grandes potentialités n'aurait pas pêché  en basse marrée non plus.

            Néanmoins, la mafia Militaire Algérienne, elle était là, depuis le début des événements de Laâyoune et plus encore dans le quotidien de l'Algérien! Sans faire entendre pour autant aux Algériens les pertes matérielles et humaines qu'a endossé l'Algérie  dans cette affaire perdante, qui est loin de leurs préoccupations directes. Une enveloppe de 5 milliards de dollars gaspillée pour rien, 17 bons hommes de la DRS arrêtés par  les services de sécurité de notre pays et différés devant la justice militaire, le moment où une grande partie du peuple Algérien se nourrit des décharges. Mais voilà,  cette mafia, elle était tellement là que les algériens avaient fini par ne pas la voir aprés la fugue de ses grands ténors et  aprés que le comma (punition divine) emprisonnait son grand patron. C’est un phénomène que tous les ophtalmologues qui n’ont pas acheté leurs diplômes d'Ukranie, ou qui n’ont pas triché à leurs examens pourront vous confirmer. Un point visible, bien visible, au centre même de leur champ de vision, peut devenir invisible, comme absorbé par le plan d’ensemble au bout d’un certain temps. Et c’est ce qui est arrivé ! Dans le déluge d’informations concernant les événements de Laâyoune, les unes plus désopilantes que les autres sur la corruption en Algérie, sur son degré inouï d’expansion, sur l’implication directe des plus hautes autorités du pays, y compris Bouteflika, sa famille et son entourage le plus proche." Nous n’arrivions plus à distinguer l’essentiel  entre le faux  et le vrais! entre la vérité et le mensonge!", disait un algérois en colère : La presse Algérienne, toute tendance confondue nous  parle disait-il :

    du Maroc expansionniste, impérialiste têtu, la monarchie Marocaine caractérisée par le terme foudroyant  "AlMakhzen  , et que le Sahara occidental ne pourra pas être Marocain ! , le Royaume chérifien est un agresseur, un oppresseur, et a souvent été qualifié par les médias proches de nos gouvernants comme un colonisateur. C’est l'hôpital qui se fout de la charité!!." 

    Et voilà qu'on cherche avec celà cacher le soleil par le tamis ajoutait-il, pour que personne n'osera dire quelque chose sur leurs délits d.initié.!  Voilà par exemple ce sont trois ministères, au moins, tous tenus par des islamistes Nahdawi, qui sont au cœur des scandales de corruption. Et ces trois ministères sont, ou étaient, sous l’autorité directe d’un président  corrompu qui se drape, depuis  son arrivée au pouvoir en 1999, dans un discours islamawiste remplaçant le recteur et le "Mufti"de la république. Un discours sourcé aux hadiths, aux versets coraniques et aux citations religieuses, fin de citation.

           Il y a d’abord eu ce ministère des affaires islamiques tenu par Boujerra Soltani et qui avait placé l’argent des assurés dans les comptes de la banque déficitaire du groupe Khalifa. Et il y a, aujourd’hui, les ministères des Travaux publics et de la Pêche, tous deux dirigés par des islamistes, en plus du ministère de souveraineté de l’énergie qui plane hors du peloton. D’habitude, en Algérie, dans cet espace, je prends  souvent un malin plaisir à grossir le trait. C’est le but du jeu. Mais aujourd’hui, l'Algérien n’a même plus besoin de grossir le trait, ni de le colorer en manchette rouge. Il lui suffit juste de livrer les faits, sans un gramme de matière grasse en plus. Jamais il n’y a eu autant de corruption et de désordre en Algérie que depuis la présence des faux islamistes aux commandes (parti pro-gouvernemental "Nahda" de Abdallah Jad Allah حزب مُتملِق يخلف في الصدارة حزب المرحوم نحناح    ) sous la supervision téléguidée du charlatan Belkhadem, le concubin et le 3eoeil de Bouteflika. Au palais d'El Moradiah, d’abord, dans les ministères, ensuite.

     

         Je vous invite à re-imaginer, ou à revoir les images vues, archives, transmises pour consommation locale par toutes les chaînes de l'ENTA (Établissement National de la Télévision Algérienne), mais qu’il faut tout de même revoir. Celles de ces dirigeants islamistes justement qui donnent l’impression à l'observateur algérien à voir généreusement l’image de leur piété les jours de Ramadan et des Aïd religieux, à la Grande Mosquée d’Alger, filmés sous toutes les coutures et les couleurs, sauf celles des poches de leurs pantalons, cachées par les burnous bien épais., et ce en imitation de la  réelle générosité périodique de la Fondation Mohamed V de solidarité. Par contre la junte militaire s'enrichit des pots de vins qui leur sont donnés en offrande par les faux marchés d'armement avec la Chine, la Russie, et les États Unis d'Amérique!, faisant taire en parallèle toutes les voix cassées qui se lèvent de temps à autre, pour demander à savoir le sort des ressources  des firmes laitières de la Sonatrach et de la Sonalgaz.

     

          « Allah Ghaleb » disait le pauvre algérien ! C’est comme ça ! Toutes les retransmissions télés de toutes les fêtes d’Aïd et de toutes les marques affectées de piété ne pourront effacer ce fait têtu : la jonction de l’islamisme bien taillé à la pointe de Belkhadem « le faux islamisme » avec le pouvoir politique algérien, en place depuis 1999 pour donner une image de tolérance nationale dans l'espoir de marginaliser le grand recteur du FIS Mr. Ali Belhaj et d’apaiser sa pression régulière sur les masses populaires qui l'écoutent avec grand intérêt.

          Jonction mal combinée qui n’a produit que la pire ère de corruption que l’Algérie indépendante, ait connu après le scandale du groupe Khalifa. Trouvons, au moins, un motif de satisfaction dans ce fatras honteux des déchéances du système : je pense que c’en est définitivement fini du mythe qui voulait jusque-là aux algériens de faire accroire qu’avec des faux dirigeants islamistes, l’honnêteté aurait enfin droit de citer et la corruption serait combattue. Hi ! Laissez le pauvre algérien rire, c’est gratuit ! Laissez-le fumer du thé  à la place du "Canabis d'Adrar et de Timimoune" pour qu’il reste éveillé, car le cauchemar continue dans l'absence absolue d'une présidence sereine non truquée.  Qu’est ce que peut-il faire un président corrompu ? Rappelez vous, un président qui a bouffé plus de 47.milliards de dinar algérien( l'équivalence de 470.000 000 euros environ) durant la panique politique qui a suivi la mort de Houari Boumediane en décembre 1978.Trente-deux ans après sa mort, il est le seul ancien président qui n'ait pas sombré dans l'oubli et dont la popularité est toujours intacte, y compris chez les plus jeunes, à qui je leur demanderai de répéter  toujours avec moi :

     

     (جدد الله عليه اللعنة في قبره حتى تكون له في النهار قِلادة،وتكون له في الليل ِوسادة ...).?

     

        " la colère du président Bouteflika n'était pas feinte,assure Jamal ould Abbas,ministre de la solidarité et de l'action sociale. Je me souviens dit-il, de sa première déclaration à l'issue de sa fugue dans le golf arabique, et de sa longue traversée du désert (quelques moi après la disparition de Boumediane, Bouteflika avait été victime d'une cabale judiciaire et exclu du comité central du FLN, (Front de Libération nationale). C'était lors d'une réunion des cadres historiques du parti unique en 1989. Soit dix ans avant son élection à la magistrature suprême. Son intervention était axée sur le phénomène de la corruption .Son analyse était simple : aucune stratégie de développement ne saurait sortir l'Algérie du sous-développement en l'absence d'une lutte efficace contre le clientélisme, le népotisme et la corruption??!!."

    Rien n'est fait  de tout çà !!  du moins durant ses deux premiers mandats. Dix ans aprés, on entend que du blal-bla.,  et les promesses  prises et distribuées en abondance par le président au cours de ses campagnes éléectorales n'ont  été tenues que par la chasse à la sorcière, "made in Algéria".et par la programmation des médias algériens sur une ligne collective de rédaction haineuse hostile au Maroc. Pour vous en êtres assurés en l'objet, lisez s'il vous plaît ci-dessous  cette mise au point concernant au premier plan les révélations du site Wikileaks,  et au second  plan, veuillez voir chaque matin les conneries de la presse Algérienne sue le Maroc.

    Primo : Détails de la révélation WikiLeaks.

    La question du Sahara est-elle l’unique raison du refus d’Alger d’ouvrir sa frontière avec le Maroc ? Pas uniquement. C’est ce qu’a fait savoir un haut responsable espagnol au commandant en chef des forces américaines en Afrique. C’était lors d’une entrevue en 2008 dans la capitale espagnole.

    Les fuites des notes diplomatiques publiés par Wikileaks n’ont pas encore fini de révéler leurs secrets. Surtout sur les relations entre le Maroc et l’Algérie. Cette fois, il s’agit d’un mémo rédigé et envoyé en juin 2008, par des diplomates américains à Madrid qui vient lever un coin du voile sur l’inimitié politique entre Marocains et Algériens. Selon cette note qui cite le secrétaire général de la présidence  du gouvernement espagnol Bernardino Leon, le refus d’Alger d’ouvrir sa frontière avec le Maroc n’est pas réellement  lié au problème du Sahara,  mais est plutôt motivé par ce que les Algériens considèrent comme une « attitude peu coopérative du Maroc lors de la guerre civile d’Algérie ».

    Ces propos ont été tenus en juin 2008 à Madrid, lors d’une entrevue avec le général William E. "Kip" Ward, commandant en chef de l’AFRICOM (Commandement régional américain pour l’Afrique). Il a également constaté qu’ « il était grand temps pour l’Algérie d’accepter la main tendue du Maroc pour l’ouverture de la  frontière ». Mais selon Bernardino Leon toujours, le problème est que « l’Algérie prend toujours la question du Sahara comme prétexte pour paralyser, à la dernière minute, la réalisation de projets » avec ses partenaires.

    Et ce, bien que ses dirigeants soient conscients que le Maroc qui dépense 5% du PIB pour les provinces sahariennes, «  ne lâchera  jamais le Sahara Occidental », confirme Bernardino Leon au général Ward. Il ajoute que « l’Algérie, tente uniquement de compliquer les choses pour le Maroc,  en usant de cette affaire pour régler d’autres comptes ». Leon confirme donc la version du Maroc qui ne cesse d'affirmer que l'Algérie est partie prenante au conflit et que le pays voisin fait tout pour maintenir le statut quo et ainsi affaiblir le Royaume.

    Le collaborateur du premier ministre espagnol a enfin fait savoir à son interlocuteur qu’il ne croyait pas au succès des négociations actuelles sur le Sahara. Comme il exclut tout recours à la force par le Polisario pour arracher le Sahara Occidental au Maroc.

     Secondo : les conneries de la presse Algérienne.(à voir chaque jour dans ses éditions éléctroniques)Bonne lecture...

     

                                                  Cordialement,Chihab25

    à suivre...