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Printemps arabe - Page 11

  • 3/3.-Le bilan positif du 20 février, et les retembés de l'insurrection Libyenne.(*)

                                                                        

                                       Arrêt sur commentaire injurieux:                                                    

                         Un lecteur Algérien parait-il, ou un obscurantiste Marocain, qui s'est  contenté de s'approprier du nickname "observateur", m'a fait parvenir un commentaire injurieux, plein de diffamation et d'insulte, m'accusant, entre autre, d'être le porte-parole royal, déguisé en internaute, et agent de renseignements engagé par les pouvoirs publics Marocains, et  plus particulièrement par les services de sécurité, pour  faire essuyer avec une grande  volonté d'adulation, d'éloge et de flatterie excessive, l'image du Maroc, et de glorifier abusivement la personne du Roi, faisant beaucoup d'échos aux agissements du régime, qu'ils  soient prometteurs, défectueux ou défaillants.(!) tel que, selon ses termes?.

                        Peu importe,  j'en serai  volontiers d'encaisser les  bienfaits, et trés fier d'en faire le frais, pour appartenance à ces avancements honorables... Et pour lever toute ambiguïté chez mes lecteurs, je tiens à préciser, à souligner, par un grand trait rouge, et de rassurer, tous ceux qui pourront avoir tendance, à un doute quelconque en l'objet, que la rédaction du blog, n'a aucun esprit  tendancieux contre quiconque, sauf  contre les ennemis de notre patrie, à leur tête cette sale Algérie. De même, elle n'a aucun lien,  ni avec le pouvoir, ni avec les partis politiques, qu'ils soient de gauche ou de droite, ou encore, avec les acteurs associatifs  au pays.

                       Je me réfère, tout simplement, dans le développement des choses, à ce que je considère, comme vérité écrasante, et pas plus, me basant, avec sincérité, sur les témoignages et réactions des personnalités étrangères, visitant ou s'intéressant, à notre pays, lesquels rapportés, par  bon ou mauvais esprtit, par les médias, pour alimenter  mes pensées. Je me lance dans mes écrits, comme je le faisait d'ailleurs, par mes interventions en Paltalk, de ma propre conviction. Et c'est à"prendre ou à laisser!", par ce genre de frivoles.

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    La feuille de route royale est toujours innovante, silencieuse, et efficace en ligne droite sans discontinue:(la caravane passe et le chiens aboient, dit-on!).                                                

                         Sa Majesté le roi poursuit avec ferveur ses bienfaits, laissant les boulevards manifester, les acteurs politiques se confronter, discuter à leur guise, leurs  propres préoccupations politiques, et se disputer le champ politique national. En réponse à la nécessité fondamentale du pays,  et renforçant les piliers de l'État de loi, le souverain vient de présenter à la nation le 21/2/11, un autre fruit de sa politique économique et sociale par l'installation, tant attendue, du Conseil Économique Social (CES) prévu initialement par la constitution nationale. Par l'installation de cette nouvelle  instance institutionnelle, le souverain  donne une forte impulsion à la dynamique réformatrice, enclenchée dès qu'il est échue la mission d'assurer la conduite de notre pays. Ce faisant, il avait constamment veillé à ce que la construction d'une démocratie effective, aille de pair et en concomitance, avec le développement humain durable.

                          En donnant le coup d'envoi de ce Conseil aujourd'hui, c'est parce que le Maroc, a constamment refusé à céder à la démagogie et à l'improvisation dans l'action royale, comme disait SIDNA dans le discours  d'installation. Action visant à consolider notre modèle singulier de démocratie et de développement. Sachant que chaque chose doit intervenir en son temps, il a fallu prendre le temps nécessaire pour faire murir le processus ayant conduit opportunément à la mise en place de ce conseil,qui a vocation à être une institution de bonne gouvernance en matière de développement, et qu'il soit un nouvel et large espace, apte à conforter ce qu'offre l'État des institutions en termes de structures et d'instances de dialogue constructif, d'expression responsable et de réactivité positive aux aspirations des diverses catégories sociales et des différentes générations.

                        Ainsi se trouve concrètement réaffirmée, la démarche que suit résolument  Sa Majesté le Roi pour associer les forces vives de la nation en quête de réponses collectives innovantes aux grandes questions de développement qui retiennent toute l'attention de la nation Marocaine. Si le conseil a compétence pour présenter au gouvernement ou au parlement des avis consultatifs et des études prospectives de nature à renforcer et à enrichir leurs actions respectives. L'obligation ne manquera certainement pas de les inviter, l'un et l'autre, à requérir son avis, le cas échéant, concernant les questions économiques et sociales, auxquelles nous  Marocains sommes d'autant plus attentifs et optimistes qu'elles sont au cœur des droits et de la dignité de l'Homme, et représentent le pilier de la justice sociale, pour laquelle le Souverain, Allah Ihafdhou, ne cesse de donner signes fructueux et prometteurs de prospérité à son peuple..

    Le Maroc est sur la bonne voie.

                       Dans le cas de notre pays, le monde est convaincu que la légitimité du roi est incontestable, et le roi tire sa légitimité de caractère monarchique du régime. En ce 20 février, on a entendu aucun manifestant demandait de remettre en cause la légitimité de la monarchie Marocaine. Ce qui veulent les manifestants, c'est plus de réformes économiques et sociales, et plus de liberté politique. Sachant que le roi est le commandeur de croyants dans tout le monde. C'est pas du tout, la même chose comme Bouteflika et les autres tyrans du monde arabe, dont la légitimité est uniquement politique.

                         A la différence de l'Algérie, le Royaume du Maroc est le seul pays arabe où les manifestations sont autorisées et se déroulent librement y compris en cette période qui défier le pouvoirs arabes. Et en plus, le pouvoir de chez nous ne ment pas, et ne fait pas de  propagandes ou de manœuvres de désinformation envers ses citoyens.D'autant plus, le  Maroc continue silencieusement ses constructions infrastructurelles, dans tous les domaines. Il dispose d'une accumulation démocratique qui lui permet de répondre positivement aux demandes des citoyens.

                        Par ailleurs, me référent aux manifestations pacifiques du 20 février dans certaines villes du Royaume,  je dois souligner la nécessité d'accélérer le rythme des réformes qu'entreprend notre pays, afin de répondre positivement aux demandes exprimées dans la rue, sur la base de la solidité des repères nationaux et l'enracinement de la Monarchie dans l'histoire du Maroc, et la vision réformiste de SM le Roi Mohammed VI. C'est ainsi, les pouvoirs publics, sont attentifs aux préoccupations exprimées, notamment la "modernisation des institutions, la réforme en profondeur de la justice et la lutte la plus efficace contre la corruption".

                     "Sa Majesté le Roi, et en quelque sorte, le gouvernement, travaillent au jour le jour, pour accélérer ces efforts et répondre comme notre pays l'avait fait depuis toujours, aux préoccupations et aux attentes de la société marocaine et la jeunesse en particulier dans une lutte pour le développement et la cohésion sociale",

                      J'ajoute encore que les efforts que mène SIDNA sans aucune relâche, visent à réduire les disparités, que ce soit entre les régions ou entre les classes sociales, lutter contre la corruption et avoir une meilleure justice,et que tout cela fait partie des priorités qui sont les nôtres et nous sommes surs qu'un partenariat utile, pertinent avec l'union européenne et avec les deux acteurs majeurs de l'Amérique du nord, les USA et le Canada, peut aider à démontrer que notre pays avec la conduite éclairée de son jeune Roi est compatible avec le progrès, avec la tolérance, avec l'ouverture sur l'autre.

                         C'est ainsi que des délégations étrangères multiplient, voire accentuent, les visites à notre pays, pour  prospecter le marché national et étudier les opportunités d'investissements qu'il offre. l'Agence marocaine de développement des investissements (AMDI) a été créée à cette fin dans le but d'orienter les investisseurs et diriger éventuellement les entretiens y afférents, qui pourront se porter notamment sur les différentes stratégies sectorielles du Maroc et le rôle que pourrait jouer le Royaume en tant que plateforme pour les investisseurs.D'autant plus que le Maroc jouit de la confiance du monde d'affaires, des acteurs financiers, concrétisés par la banque mondiale, le FMI(le Fond Monétaire International), et les fonds similaires internationaux de développement régionaux, et ce pour la crédibilité dont il dispose, pour sa stabilité politique, sécuritaire, et pour l'effort inlassable qu'il  mène dans la voie de démocratie, pour la concrétisation et l'instauration de l'État de loi et de droit.

    Le Maroc « décidé à entreprendre des réformes »

                          Au moment où des pays comme le Bahreïn ou encore la France, qui n’est pourtant pas directement concernée par les secousses actuelles du monde arabe, ont déjà procédé à des remaniements et entrepris des réformes, rien n’a encore été annoncé au Royaume. Toutefois, depuis le 20 février, plusieurs signes laissent penser naturellement que cela ne saurait tarder.

                         Ce n'est pas le 20 février qui vient d'imposer ses réformes! bien sûr que non.  C'est la machine royale réformatrice qui marche en ligne droite avec son ton normal. Les réformes seront-elles mises en œuvre prochainement ? Des partis et organisations appellent de plus en plus à de profonds changements que ce soit dans les champs politique, social ou économique. Une réunion entre les représentants de syndicats et l’un des conseillers du Roi s’est tenue dernièrement pour parler réformes, et installer plateforme.                  

                       En effet, une large  réunion s'est tenue à grande échelle, rassemblant les représentants des syndicats de l’UMT, la CDG, la FD, l’UNTM et l’UGTM et Mohamed Moâtassim, conseiller du Roi. Ce dernier, a assuré que le Roi est « décidé à entreprendre plusieurs réformes, notamment politiques, économiques et sociales ». Ajoutant que le royaume « ne peut rester indifférent à ce qui se passe autour de lui ».

                       Cela étant, prouve qu’il y a  en effet« une exception marocaine » bien que « nous partageons les mêmes problèmes que notre entourage régional ». Il est visible que cette réunion est une innovation importante. Pour la première fois les syndicats se sont vus sollicités par le  palais , et pas par le gouvernement, par rapport à « la nécessité d’entreprendre des mesures réformatrices ».

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    Bouteflika imite toutes les actions du Maroc, sauf dans le droit de liberté d'expression. 

                         Jugez-vous même et faites la comparaison entre notre 20 et leur 27 : Première marche après la levée de l’état d’urgence, énième violation en Algérie du droit des citoyens à manifester. Moins de 48 heures après, les policiers ont durement empêché, pour la quatrième fois en un mois, une manifestation initiée par l’opposition. Et, comme avant la levée de l’état d’urgence, le même dispositif sécuritaire impressionnant est encore une fois déployé par les autorités pour empêcher l’action des partisans du RCD, FFS de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), qualifiés par Morad M'Delci, ministre des Affaires étrangères, il y a quelques jours sur Europe1, de : “minoritaires”, à battre le pavé de la rue algéroise. Et, comme si cela ne suffisait pas, l’on a mobilisé une nouvelle fois quelques jeunes désœuvrés et, nouvelle trouvaille, même une flopée de filles des rues, pour ne pas dire autres"termes"(!). Deux d’entre elles,  enceintes de bâtards certainement, se baladaient au milieu des manifestants, les provoquant et les narguant, pendant que d’autres insultaient copieusement certaines figures de l'opposition.

                        Comme d'habitude Alger-capitale était ce samedi 27 février et le samedi suivant complètement cernée par la police. Sa grande esplanade, elle, était totalement barricadée par des barrières et des policiers, même par les dresseurs de chiens. Des groupes de policiers prenaient position çà et là. Le même décor était ainsi planté : même sans l’état d’urgence, le régime algérien n’entendait pas laisser l’opposition investir la rue au risque de voir se réaliser sur la terre Algérienne un scénario à la tunisienne ou à l’égyptienne.

                        Le satisfecit exprimé par Sarkozy et Obama, suite aux mesures prises pour la levée du plus vieux " état d'urgence", âgée de 19 ans, a-t-il donné des ailes à Bouteflika. Il faut arrêter avec ce grand gamin sous l'emprise du cancer,  sous l'effet de la chimiothérapie et de médicaments qui le rendaient un fardeau de merde, qui ne veut pas digérer, ni lui ni son équipe, que y a pas d'Algérie sans le Maroc? Malheureusement Bouteflika se base aveuglement sur les orientations du charlatan Belkhadem, qui constitue pour lui "la machine à laver", qui pratiquement ne lave rien à mon avis! Il faut le renvoyer, il n'est plus valable pour gérer les destinées d'un peuple. Probable. “Où est la levée de l’état d’urgence de Bouteflika ?”, s’est exclamé  Dr.Said Saâdi,le président du RCD, pris en sandwich par des policiers le repoussant violemment avec leurs boucliers. Dans un cafouillage indescriptible, le leader du RCD a réussi à grimper sur le toit d’un véhicule de police pour prendre parole, en faisant avec ses doigts le signe de la victoire. Des hurlements “Pouvoir assassin” fusaient de la masse des manifestants. Les policiers interviennent énergiquement en traînant avec une rare violence ce docteur psychologue et un de ses gardes de corps.

                        Face aux médias présents pour la circonstance, Said Saâdi a lancé les phrases ci-après désignées, qui sont pleines de détermination: -C’est une réussite dans la mesure où le pouvoir a mobilisé tout son dispositif policier pour nous empêcher d’organiser notre marche.-C'est plus pire que l'état d'urgence.!, qu’ils respectent (allusion aux gouvernants) le droit de manifester et ce sont tous les Algérois et les Algériens qui vont sortir dans la rue”.-Nous reviendrons, nous serons ici autant de fois qu’il faudra jusqu’à ce que le peuple algérien puisse faire tomber le régime?, et faire en sorte, ce qu’il puisse choisir librement ses dirigeants”.

    Les ministres Algériens jouent sur les mots calmants:
                        De ce qui précède, vous constateriez que le bilan des manifestation du 20 février est bien positif en quelque sorte. dans notre pays. Mais les Algériens qui nous envient, ne sont pas du tout satisfaits de cet acquis "made in morocco".En fait, l'exception du Maroc de ce qui se passe dans le monde arabe n'exclut pas de marquer un bref arrêt phare pour mesurer le degré de haine enregistré à cet effet chez nos voisins-ennemis Algériens.
    Les retombées positives des manifestations du 20 février au Maroc ont fait augmenter le degré de "haine"  chez les services secrets algériens, brouillant toutes leurs cartes qu'ils  jouent contre notre pays.

                     En fait, on n'a remarqué au lendemain du 20 février le recteur-DRS Algérien "Dany_us" en paltalk ne manquait pas de lire et relire les prêches préparées à cette fin pour galvaniser les assistances des rooms Algériennes et pro-polisario, lesquelles ne reflètent dans leur globalité que l'esprit haineux que porte le pouvoir Algérien à l'égard du Maroc. Ce Dany_us  n'hésitait pas d'avancer par ses interventions beaucoup de conneries qui mettent la stabilité et la sécurité de notre pays en doute -dans son esprit bien sûr- Il juge en évidence frauduleuse, et rend lui même, le verdict virtuel le plus sévère, "qui ne nous dérange pas d'ailleurs", et qui plonge  d'une manière gratuite le Maroc dans l'embarras,  si non dans l'anarchie totale,  et dans la faillite à la suite des manifestations du 20 février, et même avant depuis le "Gdim Izik"!.

                         Concernant les bilatérales Maroco-Algériennes sur le plan officiel, et en réplique. Une des mammifères du palais d'ElMoradiah d'Alger, Morad M'Delci, ministre Algérien des affaires étrangères n'a pas manqué de son coté d'exprimer à l'antenne de Franc24 le désir et la tendance de son pays de ré-ouvrir avec le Royaume Chérifien du Maroc(!) des négociation sereines, et que les efforts consentis actuellement par l'Algérie et le Maroc s'inscrivaient dans le cadre de l'instauration d'un « nouveau climat positif » à même de favoriser la dynamisation des relations entre les deux pays?.

                         Pour nous simples observateurs, cela affichait la contradiction entre les faits et les paroles,car c'est les même déclarations qu'auparavant, faites très récemment par ce baron d'une mauvaise diplomatie défectueuse au quotidien Espagnol "El Pais" et à la télévision Française. Pour moi c'est une nouvelle manœuvre du palais d'ElMoradiah, destinée uniquement à la consommation locale, pour alléger la pression de la rue  sur Bouteflika, surtout à l'Ouest du pays. Si on croit les slogans entendus à Oran, Tlemcen , et à Sidi Bel Abbes, durant les dernières manifestations Algériennes de janvier et février, et qui auraient édicté à ce veux connard, et c'est le but du poème de toutes ses déclarations : "Le Maghreb, tous les peuples de la région y croient pourtant "dur comme fer" comme en témoigne le nombre d’initiatives citoyennes réclamant, entre autres, la réouverture des frontières terrestres entre le Maroc et l’Algérie, fermées depuis 1994". Contrairement à cela, et dans une déclaration trés recente qu'il   vient de faire à la presse Algérienne. Il revient sur ses paroles, indiquant que l'ouverture de la frontière avec le Maroc, n'est pas à l'ordre du jour!! A vous d'en juger mes chers lecteurs.!!

                         A la veille de la levée de l'état d'urgence, un autre salop Dahou Ould Kablia, le ministre Algérien de l’Intérieur a déclaré, de son coté, qu’à l’heure actuelle, il est impossible de délivrer des autorisations pour manifester (!), tout en soulignant que les marches à Alger ne sont pas interdites, mais plutôt non autorisées...!, mais doivent se soumettre à des mesures dont le dépôt d’une demande auprès des autorités trois jours avant la tenue de la marche ou du rassemblement. En plus de ça, les initiateurs de telles actions doivent donner des garanties contre d’éventuels dépassements en prétextant que l’occupation des espaces publiques provoque des problèmes à la sécurité.  Pour calmer les révoltes, il a ensuite donné des promesses en signe de nouveaux calmants de la rue.

                        Sur le plan intérieur Algérien.Les révoltes qui secouent les régimes arabes, ont permis pour la première fois à ces deux ministres de briser le mur de silence  et parler ouvertement des dossiers qui constituaient jusque-là en Algérie des "tabous"! et ce pour apaiser les tensions qui montent au sein de la population depuis le déclenchement des manifestations.

                     Ces deux ministres clés au gouvernement algérien viennent de faire des sorties médiatiques spectaculaires, utilisant des termes tabous, comme " les centres secrets de détention- la guerre civile- et la présidence à vie de Bouteflika.

                        Dahou Ould Kablia, ministre de l'intérieur, s'adressant à la presse locale algérienne, reconnait l'existence des centres  secrets de détention gérés par le services de sécurité militaires(SSM), signalant qu'ils renferment à ce jour un grand nombre indéterminé de détenus,  à l'insu des autorités civiles et des familles! ajoutant qu'après la levée de l'état d'urgence, les choses vont changer en ce qui concerne ces comportements de l'armée, et que les détenus seront sous la responsabilité de la justice, qui leur garantira, de son coté, de faire recours, par le biais de leurs avocats, au sujet de leur détention abusive, et auront aussi le droit aux visites familiales.

                        De son coté Morad M'Delci, ministre des affaires étrangères, qui parlait aux médias français est allé plus loin que ça. Il parlait sans aucune hésitation, ni manœuvre sur la présidence à vie de Bouteflika., disant à ce sujet que cela n'est qu'une "anecdote" et que Bouteflika. est venu au pouvoir en 2000(?) le moment où nous vivions les dernières étapes de la guerre civile! « Le chef de l’Etat n’a pas l’intention de partir avant 2014, date de la fin de son troisième mandat », a déclaré recemment le ministre des Affaires étrangères, M. Mourad Medelci, tout en soulignant que la question d’une présidence à vie «n’est pas soulevée». M. Medelci a également précisé que la santé du chef de l’Etat est «excellente».

    Pour moi, et pour d'autres, il n'y avait pas de guerre civile!. Il y avait confrontations directes et règlement de comptes, entre l'armée, avec ses services spéciaux, et  les groupes intégristes rebelles du FIS(Front Islamique de Salut de Abbasi Madani et de Ali Belhaj) après le complot constitutionnel (électoral )de janvier 1992, qui a fait tombé le pays dans une décennie noire, de désordre et d'anarchie, causant la mort à 500 milles personnes, un nombre de disparus indéterminé, et la déportation de milliers d'Algériens dans des prisons à ciel ouvert, au désert Algérien? Cela ne signifie nullement une guerre civile.(!!).Sauf, si ces mammifères du gouvernement veulent, avec cette appellation, se dégager de la responsabilité du malaise Algérien.

                        Pour la première fois un ministre algérien utilise le terme "guerre civile" en parlant de la décennie noire provoquée par le complot électoral de 1992. M'Delci disait en suite que le premier but primordial de Boutelika, c'était, instaurer la paix et la réconciliation nationale, lesquelles sont acquises sans tenir compte du début et de fin  de ses mandats(!).

    L'Algérie  "d'Al âizza? wal'karama? wan'nif ?":

                       Au lieu de  donner priorité au conte des anecdotes, il leur a fallut s'occuper en premier lieu de leurs citoyens bloqués en Libye et partir à leur secours. Les sujets de l'Algérie de "dignité" sont donc délaissés, errants, et abandonnés face à leur sort incertain. Et c'est cette Algérie, qui a du "nez"(?) selon sa propre perception et sa visualisation égoïste. Le "nez  aquilin", qui  à mon avis, ne sent que la mauvaise odeur, a mis l'Algérie dans l'inconscient dans ces circonstances périlleuses, pour laisser les sauveteurs-généreux s'en occuper des siens. A noter que le concepte du "nez" chez la Algériens veut dire :'l'égoïsme, la superiorité, la dignité, et la particularité," ce n'est pas un sentiment inné, au contraire c'est une fauce invention particulariste à eux.

    En effet, et sur ordre de SM le roi, 36  travailleurs Algériens en Libye, et peut-être plus, ont été embarqués à bord du ferry Marocain,"Berkane" et sont  effectivement arrivés à Tanger-Med parmi les 4200 marocains de même situation.Ils sont pris en charge, ainsi que 164 autres étrangers de différentes nationalités,  durant leur séjours au Maroc, par les traiteurs Marocains engagés à cette fin, aux frais de la fondation Med V pour la solidarité.

    Face à l'Algérien, le Marocain a l'honneur:

                          Sur hautes instructions de Sa Majesté le Roi, que Dieu L'assiste, la Fondation Mohamed V pour la Solidarité, a mis en œuvre un dispositif d'accueil et d'accompagnement spécial destiné aux citoyens marocains résidant en Libye, de retour au royaume via les ponts aérien et maritime mis en place à cet effet par l'État.

                          Un dispositif, opérationnel depuis le 5 mars aux niveaux de l'aéroport Mohamed V de Casablanca et du port Tanger Med, apporte aux ressortissants marocains toutes les facilités nécessaires à leur accès au Maroc et leur prête une assistance appropriée à leur situation jusqu'à leur arrivée à destination auprès de leurs familles. Chaque poste d'accueil est animé par une équipe d'assistantes sociales et de médecins du CRM qui veillent à ce que chaque citoyen puisse être accompagné administrativement et soutenu médicalement et logistiquement afin qu'il retrouve rapidement sa famille.

                          Cette action humanitaire s'inscrit dans le cadre des missions assignées par Sa Majesté le Roi à la Fondation Mohammed V pour la Solidarité, au Croissant Rouge Marocain et aux autres services d'appui qui agissent dans la complémentarité des autres démarches entreprises pour que les ressortissants marocains résidant en Libye puissent disposer de l'aide nécessaire et des facilités adaptées pour un retour sécurisé, honorable et serein au pays. En effet, 19.560 Marocains évacués sont déjà chez eux, aprés avoir réquisitionner ,et mis en marche par les autorités Marocaines, de 150 bus et autocars au départ de Tanger, plus de 300 taxis du 1ère et 2ème catégorie, 50 petites camionnettes de marchandises, pour acheminement gratuit à domicile. Et c'est ça, le Maroc généreux qu'envie l'Algérie.

     
        Ils ont dit:

    Des témoignages plus particuliers :

                        a)Le président du gouvernement Espagnol, Mr.José Luis Rodriguez Zapatero, a mis en avant "la particularité" du Maroc, pays qui a entrepris des réformes depuis des années. Le Maroc  dit-il,  est dans "une situation différente" des autres pays de la région  parce qu'il dispose effectivement d'un "système multipartite", et ce dans un entretien à Reuters, dont se sont  fait l'écho plusieurs médias espagnols et Marocains.

                          "Les choses sont bien sûr différentes au Maroc. C'est un pays qui a réalisé  des réformes... Les citoyens veulent certainement davantage de réformes, mais  c'est une situation différente avec un plus grand potentiel de stabilité et de  progrès graduels", a estimé  Mr.Zapatero qui réagissait au vent de changement dans  le monde arabe. Il a, dans ce contexte, relevé que le Maroc qui dispose d'une "réalité  institutionnelle", a choisi, depuis des années déjà, d'aller de l'avant dans le  processus des réformes.

                         Évoquant les manifestations pacifiques qu'ont connues dimanche 20 février plusieurs  villes du Maroc, ce président, qui fût pour moi et  probablement pour un bon nombre de Marocains le "Bon voisin du nord" a considéré que ces  marches ont été l'occasion pour les citoyens de demander davantage de réformes. Le chef de l'exécutif espagnol a par ailleurs estimé que l'Europe se doit  d'apporter un soutien économique et politique aux pays d'Afrique du Nord, , en particulier au Royaume du Maroc, pays  en émergence appelant l'Union européenne à réfléchir sur la création  d'une banque pour aider ces pays comme elle l'a fait pour l'Europe de l'Est  après la chute du Mur de Berlin, en 1989. 

                           b)Un autre témoignage de haute gamme vient de tomber ces jours-ci indiquant que Les USA par l'intermédiaire du sous secrétaire d'État aux affaires politiques, Mr Williams Burns, ayant visité le Maroc, ont fait savoir que le Maroc constitue le seul "modèle" de réforme et de démocratisation dans la région, et le partenariat Américain avec le Maroc constitue une priorité pour L'administration Américaine. Ce partenariat n'a jamais était plus important qu'aujourd'hui.a-t-il indiqué.

                       Sur la situation dans la région, le responsable Américain affirmait que le Maroc continue clairement à déployer des efforts considérables, sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI, dans le but de garantir davantage d'opportunités politiques, économiques et sociales, et à faire face à des défis, mais à plus d'un titre, le Royaume demeure le modèle unique de réformes et de démocratisation au Maghreb, par les organisations de la société civile qui y sont en augmentation remarquablement soutenue, outre une volonté réelle de poursuivre le processus de modernisation et de liberté d'expression, contrairement aux autres pays d'Afrique du nord. Bonne lecture.

     

                                                   Cordialement,Chhab25

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     (*) Le texte n'est pas du genre classique de Montesquieu ou de Victor Hugo. Si la rédaction ne maitrise pas bien la  langue Français!!, elle fait quand même passer ses messages, malgré la modestie. Procédant continuellement à la mise au point textuelle, grammaticale, et à la correction de frappe. La rédaction vous prie d'accepter ses excuses.