Au sujet des manifestations du 20 février 2011 au Maroc.(*)
(Le lecteur constatera que le texte n'est pas du genre classique de Montesquieu ou de Victor Hugo, et que si la rédaction ne maitrise pas bien la langue Français!!, elle fait quand même passer ses messages, malgré la modestie. Acceptez les éxcuses de l'administration).
Sa Majesté Mohamed VI, roi du Maroc.
La vague de contestation populaire sans précédent contre plusieurs régimes autoritaires en place depuis des décennies au Moyen-Orient et au Maghreb continuait d'être réprimée dans le sang en Libye, à Bahreïn, au Yémen et en Irak, malgré les appels internationaux à la retenue. Plusieurs personnes ont été tuées et des dizaines blessées lors de la répression des manifestations inspirées des révoltes en Tunisie et en Égypte qui ont fait tomber les présidents Zine el-Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak en moins d'un mois.
La contestation s'est propagée à plusieurs pays arabes du Golfe, du Maghreb et de la péninsule arabique, dont les peuples réclament démocratie, meilleures conditions de vie et fin de la corruption et du népotisme. Elle touche des pays alliés des États-Unis ou entretenant de bonnes relations avec Washington. Face au déferlement de protestations, la communauté internationale, y compris Washington, et les ONG de défense des droits de l'homme ne cessent d'appeler les gouvernements à éviter de recourir à la force et à écouter les doléances des manifestants.
En Libye, alors que des appels ont été lancés pour faire une "journée de la colère" contre le régime de Kadhafi, au pouvoir depuis bientôt 42 ans, des personnes ont été tuées à Benghazi, la deuxième ville du pays, et d'autres sont également blessées par des coups de feu à balles réelles. Le mouvement de contestation en Libye a débuté à Benghazi, et quatre autres grandes villes, dont la capitale Tripoli, ont été gagnées par les protestations, au cours desquelles des autres personnes ont été tuées et autres blessées. . Mais face à ces manifestations hostiles au pouvoir, des centaines de partisans du pouvoir sont déscendus dans la rue pour se moquer des autres manifestants, dont Kaddafi lui même et en personne a fait bain de foule.(c'est une des "Kaddafyattes" comme disait feu Hassan II que Dieu ait son âme).Celà étant, permettera de prévoir un avenir Lybien trés sombre, au cours duquel il y aura vachement beaucoup de repressions sanglantes, à la manière du faux roi-singlé des rois Africains, qui se baigne dans une planère, outre que celle la terre. Ce nouveau phéraon a fait appel sans hésitation à des engagés Africains(mercenaires noirs) pour sémer la pagaille au sein des manifestants à travers le pays.
Bahreïn, Yémen, Irak et l'Algérie:
Dans la région du Golfe, à Bahreïn,l'armée s'est déployée en force à Manama, se disant déterminée à rétablir l'ordre après la répression par la police d'une manifestation anti-régime qui aurait coûté la vie à des manifestants et suscité la colère de l'opposition. C'est la première fois dans une pétro-monarchie arabe du Golfe que se déroule une manifestation de cette ampleur pour réclamer des réformes politiques. Profondément inquiets et craignant une contagion, les alliés régionaux du petit royaume ont apporté leur "soutien total" aux autorités de Bahreïn, siège du QG de la 5ème flotte américaine chargée de soutenir notamment les opérations en Afghanistan et de contrer une éventuelle menace Iranienne. Au total, cinq manifestants ont péri depuis le début de la contestation à Bahreïn à l'initiative d'internautes pour réclamer des réformes politiques et sociales. Cet appel a été très suivi surtout par la majorité chiite, qui s'estime discriminée dans ce royaume gouverné par une dynastie sunnite.
Au Yémen, pays pauvre et instable du sud de la péninsule arabique et un allié-clé de Washington dans sa lutte contre al-Qaida, les manifestations se sont multipliées et étendues faisant des morts et des blessés. réclamant le départ du président Ali Abdallah Saleh. Les manifestants n'étaint pas pacifiques puisqu'ils en avaient mis dans la liste de griefs de prendre d'assaut les postes de police et la prison centrale, attaqué trois hôtels de haute gamme et des commerces, et coupé la circulation en incendiant des pneus, selon les journalistes sur place. Dans la capitale Sanaa, quelque 2 000 étudiants ont été attaqués dès leur sortie du campus de l'université par des partisans du parti présidentiel armés de gourdins et de pierres. "Le peuple réclame la chute du régime", ont scandé les étudiants, certains ripostant à coups de pierres à leurs attaquants. Des personnes ont été blessées. Les forces de sécurité ont tiré en l'air pour séparer les deux camps. Les manifestants veulent toujours le départ d'Ali Abdallah Saleh, au pouvoir depuis 32 ans, même après qu'il eut annoncé avoir renoncé à briguer un nouveau mandat en 2013 et promis des réformes politiques.
En Irak, inspiré par les contestations des autres pays arabes, un mouvement de contestation sociale est lancé dans le pays et s'est étendu même au Kurdistan autonome. Je ne parlerai pas d'Irak car il est plongé dans l'anarchie depuis la disparition du régime Seddam.
Sortant de sa réserve Mr.Abdelhamid Mehri, un homme politique Algérien de classe. Alors forcément, ce qui se passe en Algérie « l'interpelle ».Il a même donné une leçon de démocratie au président Algérien, estimant qu'il fallait promouvoir "des réformes audacieuses" et bannir la répression dans son pays l'Algérie.Par aspiration à la liberté il a accueilli comme « une bonne surprise et immense espoir» la chute des régimes autoritaires Tunisien et Egyptien selon ses termes «Le peuple Algérien aspire depuis longtemps à la liberté, à la dignité, au travail. Et cette demande légitime n'était pas malheureusement prise en compte par les gouvernants», observe-t-il. Cette figure Algérienne qui avait participé à la fondation de l'Etat Algérien depuis les négociations d'Evian en France (1960-1962) et même avant reste mesuré quant au sort incertain de l'Algérie.
Il disait en plus « Les Algériens souffrent encore des événements qui ont suivi la révolte de 1988, où le pays est certes passé du parti unique au multipartisme, mais où la tragédie a succédé à l'euphorie. L'aspiration à la liberté n'a pas disparu depuis. Le peuple en a tiré une leçon et ne veut plus revivre cette violence terrible. Cet honnête homme d'Etat qui était pratiquement témoin oculaire et attentif de toutes les discussions et les accrords conclus entre les Algériens et le Royaume du Maroc au sujet des frontières Algéro-Marocaines et du Sahara Marocain oriental en général depuis l'époque des feus S.M.le roi Mohamed V et MM. Ferhat Abbas et Youssef Ben Khaddah, respectivement présidents du GPRA(Gouvernement Provisoire de la République Algérienne) de 1958 au début 1962.On le reconnait physiquement d'une manièrre trés visible dans les vidéos YouTube parmi les membres des délégations Algériennes qui visitaient le palais royal à tout temps.
Cet homme crois aujourd'hui, par bon esprit ou à tort, que le gouvernement de son pays pourrait maintenant amorcer un véritable changement, en faisant confiance au peuple algérien ». Or, dit-il, la démocratie peut éxister en Algérie comme il existe bel et bien dans les pays musulmans. La Turquie et l'Indonésie en sont les exemples.
Si c'était l'avis de cet exilé volontaire Algérien du poids lourd, qui connait bien la mentalité de ses concitoyens au pouvoir!!. Moi je pense le contraire. Dans l'article précédent la CIA (Central Intellegency Américan) selectionnait en groupes les pays qui sont exposés à un risque de troubles et d'anarchies conduisant vers un changement de régime à court et moyen terme (un à cinq années..!) et inclurait l’Algérie en deuxième groupe. J'ai le sentiment d'un mouvement de fond en Algérie, d'une aspiration de toute sa jeunesse à la liberté. Mais on sait qu'en Algérie, la situation n'est pas si simple avec un régime à parti unique autoritaire, dont la survie est garantie par une junte militaire de sous-officiers Gaulistes(?). l'Algérien garde tout de même espoir d'un changement dans ce pays.
On voit qu'une grande partie de l'opposition, très divisée jusqu'à présent, commence à se rassembler au sein de la Coordination pour le changement et de démocratie, mais aussi a la faculté de s'indigner : « L'Algérie est un pays très riche : il y a 155 milliards de dollars dans les caisses de l'État, et le peuple vit dans la précarité, et rien n'est fait pour partager la richesse du pays, en forme d'indemnité de chômage, pour les jeunes défavorisés et pour les familles démunies ! Face aux suicides des jeunes par immolation ou par immigration clandestine, l'État est aveugle ! Les revendications des Algériens sont identiques à celles des Tunisiens ou des Égyptiens. Les gens en ont marre de la corruption massive et veulent la liberté ! » .
Cela me donne ainsi qu'à tout autre observateur l'envie de voir ce qui va se passer en Algérie ». J'ajoute à celà que le pouvoir Algérien fera en premier temps la sourde oreille et minimisera sûrement toutes les circonstances, croyant pouvoir tenir fort et faire de l'Algérie l'excéption de tout celà! Je pense qu'en fin de compte il cédera, et il ne pourra pas éviter la détermination du peuple Algérien d'aller avant dans ses protestations, auxquelles le pouvoir de Bouteflika doit obeir pour sauver la face et accepter la fin inévitable de son éxistence.
Les autorités sont décidées de réprimer dans le sang les mouvements de protestation sporadiques dans différents pays arabes, et les manifestants, désireux d'en finir avec les pouvoirs en place, seront de nouveau dans les rues, en Algérie comme au Yémen.En Lybie comme en Bahreïne et probalement en Jourdanie aussi. Et les scènes continuent..?.
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En ce qui nous concerne nous Marocains, vu la stabilité politique, la paix sociale et sécuritaire que nous sommes entrain de vivre. avec une grande dégustation... Nous manifesterons «en écho» aux manifestations qui se déroulerent actuellement dans les pays arabes contaminés de la révolte du Bou Aâzizi: Ici, nous avons le droit de pouvoir manifester librement, alors nous le faisons avec beaucoup de liberté que nous garantisse l'Etat de loi et de droit où nous vivons. Les Marocains, les jeunes surtout, entendent bien participer à ce printemps arabe : « Quand on a la chance de vivre dans un État de droit, on mesure l'écart qu'il y a avec un pays comme l'Algérie.Nous en sommes sûrs que les pays arabes ciblés n'échapperont nullement à des amples agitations en puissance durant cette année. Par contre nous Marocains nous voyons en contre partie notre pays progresse remarquablement dans ces grands chantiers constructifs. Et voilà, je citerai ci-aprés un seul exemple, un projet intégré d'habitat, projet prometteur parmi d'autres :
On a vu naître ces jours-ci la dernière récolte de la poltique fructueuse royale dans le domaine social. Prévu en six phases sur une durée de 10 ans, ce projet d'envergure prévoit la réalisation de 34.460 logements, dont 17.000 unités d'habitat social et permettra de générer à terme 12.000 emplois directs et indirects.
-L'émergence de ce nouveau pôle aux alentours de Rabat contribuera activement au dynamisme économique et urbain de la capitale et à la résorption du déficit de logement en faveur des catégories défavorisées en droite ligne des Hautes orientations royales dans le domaine socio-économique.
-Ce projet intégré concerne en outre la mise en place des équipements collectifs de proximité, (établissements d'enseignement, équipements sociaux, administrations, centres de santé, mosquées, équipements sportifs, musée, théâtre, bibliothèque et salle de fêtes). l'aménagement de zone de loisirs (Académie de sports) zone d'équipements hôteliers, et d'une zone d'animation et de divertissement, en plus d'espaces verts et de voirie.
-La conception retenue pour le projet prend en compte les exigences du développement durable en termes de valorisation du potentiel naturel, d'inclusion de l'énergie renouvelable et de choix d'espèces végétales adaptées, tout en favorisant une répartition optimale des équipements publics et une localisation des typologies de logements et des densités pour assurer une grande mixité sociale.
Je dois rappeler que nous vivons d'autre part les bienfaits incommensurables dont Dieu a gratifié le Maroc en le dotant de l'institution d'Imarat Al Mouminine (la principauté de croyants), qui procède de la Charia(la tradition) du prophète Sidna Mohamed(sws) et qui a une double dimension, l'une fonctionnelle et l'autre politique et spirituelle ayant trait aux liens de la Baiâ (allégence) qui fait la symbiose entre le Trône Alaouite et la nation Marocaine. Sachant que les Marocains sont bien satisfaits durant 12 siècles de monarchie de la mission fonctionnelle d'Imarat Al Mouminine, laquelle est illustrée à travers la Haute sollicitude royale, dont Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, entoure les institutions d'encadrement de la vie de la communauté en relation avec le champ religieux, en particulier concernant les domaines fondamentaux de la nation, à savoir : le Saint Coran, les Ouléma, les imams, les mosquées, l'enseignement originel et l'effort de prédication.
Néanmoins malgré tout ça, les Marocains veulent manifester en signe de la large liberté d'expression qu'ils en ont. Le mouvement du 20 février a des revendications unifiées, des comités d'organisation, et un soutien de plus en plus ample de la part d'associations de droits humains et de partis politiques : le mouvement appelant à manifester le 20 février prend forme. Lors d'une conférence de presse, les organisateurs ont demandé à ce que l'expression des revendications soit respectée, et à ce que les attaques personnelles n'auront lieu dans la liste de griefs.
La rédaction du blog a apprit d'une source plus proche des organisateurs que les manifestations du 20 février seront placées sous le signe de "l'élargissement de l'action politique".
Les revendications sont: "l'élaboration et le vote d'une nouvelle constitution., sans demander expressément une diminution des prérogatives royales ou l'instauration d'une monarchie parlementaire, et que dans cette constitution, « chaque article doit correspondre au principe du changement démocratique qui prévaut au pays".Cela étant signifie que les Marocains ne demanderont pas plus de liberté d'expression puisqu'ils en ont assez, ou demander gratuitement du pain sur la planche!.
Ce que je crois, des slogans purement politiques seront scandés pour : la démission du gouvernement Abbas ElFassi ou plutôt de la famille "ElFassi Fihri". La dissoulution du parlement(?) et à la mise en place d'un gouvernement transitoire pour préparer les échéances de 2012. Une justice indépendante par l'élaborations des procès pour dilapidation de biens publics conformement aux rapports de la Cour des Comptes. La reconnaissance de l'amazighité comme langue officielle au Maroc?. L'intégration des diplômés en chômage dans la fonction publique et l'augmentation du SMIG, se sont les revendications clés du mouvement. Formulées de telle manière, ces revendications sont le fruit de discussions entre les différents éléments du mouvement, un effort pour trouver le plus grand dénominateur commun.
Le mouvement, qui se structure d'ailleurs en dehors du réseau social "Facebook", a mis en place différentes commissions sur le contenu et les aspects pratiques de l'organisation de la manifestations, et a obtenu le soutien de plusieurs associations des droits humains au Maroc. En dehors des signataires de la déclaration commune, d'autres ONGs soutiennent individuellement l'appel à la manifestation(1). Certains partis politiques d'extrême gauche ont également lancé l'appel à soutenir le mouvement ou à manifester pacifiquement le 20 février 2011, comme le PSU (Parti Socialiste Uni).la voie démocratique(annahj addimoqrati).et El'Aâdl wal ihssane de Nadia Yassine, un mouvement obscurantiste non reconnu par les autorités.
D'autre part, si les partis d’extrême gauche y sont favorables, cette manifestation divise la classe politique marocaine. Les grandes formations majoritaires au Parlement font savoir le contraire. Non sans des dissensions internes, surtout au niveau des structures de leurs jeunes militants.Le PAM(Parti d'Authenticité et de Modernité) garde le silence et le PJD(Parti de Justice et de Démocratie) s'est abstenu à la dernière minute aprés avoir réussi de libérer un des leurs "El Moâtassim" qui était en prison. Une position qui précède probablement des vives dissensions(?).Une autre partie de la société civile marocaine se montre réticente quant aux appels lancés pour manifester le 20 février. Des associations aussi comme « Touche pas à mon pays » ou encore « Marocains pluriels » craignent une déstabilisation du pays, manifester serait irresponsable. Des réformes peuvent être déclenchées par voie institutionnelle et à travers les urnes.
Mr. khalid Naceri, ministre de la communication et porte-parole du gouvernement disait en substance durant un point de presse que:
1-." Nous allons écouter ces revendications et veiller à leur satisfaction pour montrer que nous ne nous contentons pas de rester à l'écoute mais que nous sommes en train d'y trouver des solutions dans le cadre d'un partenariat constructif pour édifier cette société de justice sociale et de démocratie vivante en perpétuel mouvement".
2-." Nous nous attelons à satisfaire ces questions politiques, économiques et sociales dans le cadre du grand chantier de réformes initiées par SM le Roi Mohammed VI en parfaite harmonie avec les attentes des citoyens", notant que "cette approche que nous n'avons pas l'intention de changer, fait la singularité de notre pays".Fin de citation.
De mon modeste coté, je me réjouis de rappeler encore, que le "Maroc est un pays qui s'est engagé depuis plusieurs années dans un large processus de réformes et a commencé à réfléchir à ces questions depuis au moins la constitution de 1996, avec l'alternance consensuelle de 1998 et ensuite avec le règne de SM le Roi Mohammed VI qui a eu le courage de tourner la page du passé après avoir créé les conditions d'une lecture publique des pages d'un passé que nous voulons révolu".
Tout autre observateur peut faire remarquer que "le Maroc connaît une moyenne de 25 protestations et revendications par jour,(selon Mr.khalid Naceri) chose qui lui permet de rivaliser avec les plus grandes démocraties et d'être parfaitement à l'aise et sereins dans le traitement de ce genre de revendications".
L'approche de notre pays consiste à tenir compte des besoins sociaux exprimés par les citoyens et cela est un devoir institutionnel. A cet effet, le gouvernement est obligé d'être à l'écoute des revendications sociales des Marocains pour leur apporter les solutions adéquates". Sachant que le budget de fonctionnement d'Etat a été réduit cette année de 10% pour soutenir les projets sociaux.
Ces appels à manifester sont enfin perçus avec beaucoup de sérénité et comme une chose tout à fait naturelle étant donné le cadre démocratique et de liberté qui prévaut dans le Royaume. Notre pays est convaincu de l'esprit de patriotisme et de cohésion de l'ensemble des composantes de la société marocaine, à leur tête les jeunes dont personne ne doute de leur attachement aux valeurs suprêmes et aux grandes causes du pays. En conclusion, je termine cet article en disant que cette manifestation n'est tout simplement qu'un mouvement d'imitation.! Usant de la démocratie et de la large marge de liberté d'expression au pays...,On se contente spontanément de jouer politique et de manifeste pour rien (!) Et tant qu'on mélange frivolement le signe "Tifinagh" et la figure "ché", toutes les manifestations de ce genre n'auront pas d'effet influent et seront plus péjoratives que bénéfiques. Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25
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(1) Parmi les associations soutenant la manifestation du 20 février:
- La Ligue marocaine pour la défense des droits de l’Homme,
- L’Association marocaine de défense des droits Humains,
- Le Forum marocain pour la Vérité et la Justice,
- Amnesty International - Maroc,
- L’Observatoire marocain des prisons,
- L’Association démocratique des femmes marocaines,
- Forum des femmes marocaines,
- Observatoire marocain des libertés publiques,
- L’Association marocaine des femmes progressistes
- Société Maroc pour défendre l'indépendance de la magistrature,
- Adala,
- L’Association marocaine de lutte contre la corruption,
- Le Centre marocain des droits de l'homme,
- Le Forum Karama pour les droits de l'homme,
- L’Association marocaine pour la citoyenneté et des droits de l'homme,
- Organisation pour la liberté d’information et d'expression,
- Forum des alternatives Maroc,
- Le forum des citoyens.
(*) Procédant continuellement à la mise au point textuelle, grammaticale, et à la correction de frappe, la rédaction présente ses excuses à ses lecteurs internautes.