Les fâcheuses négociations Franco-Algériennes d'Evian et l'effet préjudiciable au Maroc!


Tant mieux, mais quel avenir pour cet enfant?
«Le conflit du Sahara n’oppose pas un «peuple à un «occupant», ni une affaire de «mouvement de libération» mais deux États, le Maroc et l’Algérie». Oui. Il s’agit bel et bien d’une confrontation directe entre deux États. Tout le reste n’est que mise en scène».
Avec ces mots seulement, il a balayé des décennies de propagande, réduisant à néant la fable fabriquée par Alger, osant dire, ce que ses prédécesseurs n’avaient pu franchir le pas de formuler. Cette fois, c'est la clarté qui provient, si j'ose dire, d'un représentant de l'ONU, en mission officielle! plaçant l'Algérie, face à sa responsable et l'incite à envisager le dialogue autour de tables rondes, plutôt que l'intransigeance et la complexification de la crise, opposant l'Algérie à ses illusions.
Certes, cela ne tardera pas à mon avis, de rebattre, les cartes de l'Algérie, car dans la perspective, il est probable de voir à l'avenir des démarches étrangères, mettant concrètement, en œuvre le plan Marocain d'autonomie, comme solution, «sine qua non», définitive au conflit appliquant Alger en partie prenante.
Je disais dans la dernière note que l'Algérie n'existait pas avant 1962, la preuve en est que le : Le drapeau-chiffon de l'Algérie a été conçu, dans un jeu enfantin de filles, par Emilie Busquant, épouse de Messali l'haj¹, qui a cousu en 1934 la première version de ce qu'on a appelé à l'époque «le drapeau de l'Étoile nord-africaine» qui était le précurseur du chiffon actuel.
Ce chiffon se disant symbole de l'Algérie, n'incarne pas l'identité d'une nation ancestrale ni la résistance Algérienne au colonialisme, mais impose le faux concept adopté et officialisé par les Algériens après leur indépendance en 1962.
Le sujet de la note : Quelles étaient les accords d'Evian?. Les archives Françaises prouvent que les accords d'Evian sont : «une série de protocoles signés le 18/3/1962 entre la France et le GPRA (le Gouvernement Provisoire Algérien)», ils avaient pour objet :«mettre fin à la guerre d'Algérie Française et organiser la transition vers l'indépendance».
Ils ont abouti le 5/7/1962, à la naissance "césarienne" d'une entité baptisée en «Algérie indépendante, supprimant de l'Algérie Française le terme Franquisme, après la reconnaissance du droit à l'autodétermination d'un peuple multicolore, constitué de plusieurs ethnies hétérogènes :
«-Un cessez-le-feu, -l'amnistie des prisonniers et -l'organisation d'un référendum sur l'indépendance», mais malgré, cela pas mis fin à la violence, qui a continué. surtout au «Sahara Marocain oriental, groupant administrativement :
«le Grand Touat, la Saoura, Tabelbalat, Erg Iguidi et Tindouf», où les populations locales et le Caid Marocain Abdallah Sanhouri, agissant par Dahir Sultanine, avaient exprimé, leur Marocanité, refusant d'y participer au référendum organisé à ce sujet.
Les Accords ont été le résultat de négociations secrètes entre la France et le (GPRA) qui ont eu lieu à Évian-les-Bains, en France, après lesquels, le cessez-le-feu a été décrété le 19/3/1962, mettant officiellement fin à la guerre, ouvrant la voie à la reconnaissance de l'indépendance de l'Algérie
Les Pieds-noirs² : Ainsi, le 1er/7/ 1962 a été l'occasion pour les Algériens d'en profiter de la libre-circulation en France et aux «Pieds noirs» à se révolter. Ces derniers, rappelons-le, sont des colons Français, possédant des biens et vivaient en Algérie Française, qui se sont soulevés contre la décolonisation et la perte de leurs privilèges en Algérie Française.
On se demanderait certes, d'où vient le mot pied-noir?...il est né d'interprétations multiples, ce mot raconte à lui seul l'histoire complexe de l'Algérie Française. D’abord injure, il devient au fil du temps un marqueur identitaire pour les rapatriés de 1962 avec leur origine controversée...
L’origine du mot, encore disputée, est révélatrice des bouleversements de la colonisation. Longtemps, les historiens ont avancé que ces pieds noirs faisaient d’abord référence aux militaires français arrivés en Algérie, en 1830, en raison de la couleur de leurs bottes. Sauf que cette hypothèse ne repose sur rien, selon l’historien Français Guy Pervillé, spécialiste de l'Afrique du nord, précisant qu'il s’agirait d’un terme dépréciatif apparu au début du XXe siècle et ayant désigné les Algériens autochtones.
C’est au lendemain de l’insurrection de novembre 1954 que le terme désigna les rapatriés d’Afrique du Nord. Une façon dédaigneuse de les assimiler aux autochtones algériens et pourtant reprise à leur compte, plus tard, par les pied-noir eux même
Malgré les accords, recrudescence et violence ont eu lieu, notamment avec les attentats de ce qu'on a appelé à l'époque l'OAS (Organisation de l'Armée Secrète), et OS (Organisation Spéciale) deux filières Françaises qui se sont autoproclamées contre tout vent dévastateur à leur existence, s'opposant à toute indépendance improvisée de l'Algérie Française.
Derrière ces accords, la France et le FLN ont façonné une transition où le contrôle de France restait intact, notamment sur le Sahara Marocain Oriental, tandis que le FLN consolidait son autorité., via, ce qu'on a appelé, -l'armée de frontière- prise au tenaille par le clan d'Oujda qui avait fait sa révolution au jeu de cartes et de loisir au Maroc, à Nador, Oujda et Meknès plus précisément!.
Mailles et souveraineté: ..Les négociations n’ont jamais été faites au nom du GPRA ni au nom du FLN. Ce fut le triomphe depuis les barbelés de la frontière Algero-Marocaine au clan d’Oujda. La mise à l’écart du GPRA par le FLN était une idée bien française pour asséner un coup fatal aux gouvernements en exil de Ferhat Abbes et Youcef Ben Khadda.
Ceci montre à quel point l’indépendance de l’Algérie n’a été obtenue ni au nom d’un peuple algérien ni au nom d’une souveraineté réelle sur le territoire. Les slogans politiques relevaient d’un registre différent de celui de la négociation suivie par le FLN pour exclure du droit à l’autodétermination et l’annexion des territoires du Maroc, tels que le «Grand Touat et la Saoura au Sahara Marocain Oriental».
Tout au long des négociations d’Évian, dans aucun texte, la France n’a parlé de peuple, mais elle utilisait plutôt l’appellation de populations locales. Le handicap dont souffre l’histoire de l’Algérie actuelle est celui de la cohésion de ces populations collectées d'ici et de là!. Le recours et l’adoption du principe de l’intangibilité des frontières héritées du diable, sont le symptôme et l’unique rage, excitant l'Algérie, de manière aveugle.
Cependant, les archives secrètes montrent que jusqu’en 1962, la France compte bel et bien organiser un référendum octroyé aux populations de l’Algérie Française, mais en faveur de deux territoires distincts :
L’Algérie d’une part, et le Sahara Marocain oriental en département d'outre mer d'autre part, ne furent rajoutés qu’à la suite de cette déclaration tonitruante du maudit négociateur Algérien, qui fait suite à celle du 26/10/1961, résumant la fin des négociations, sanctionnées par la signature des accords.
Mise à mort du GPRA : la mort du GPRA, mise en lumière conjointement, par la France et le FLN était en partie due à l’obstacle que constitue le traité³ du 6 juillet 1961 signé entre Sa Majesté le Roi feu Hassan II et Ferhat Abbes, président alors du GPRA : «Donnant opportunité au Maroc de restituer les territoires du Sahara oriental, dès que l'Algérie aura eu l'indépendance». Cela était conforme, de bonne fois, à la volonté de Sa Majesté le Roi feu Mohamed V qui, se croyait être devant des hommes crédibles de paroles.
Ce traité aurait dû changer le cours de l’histoire, et éviter des décennies de mensonges et de trahison de la part de l'Algérie, étant que les accords ont été rendus caduc et quasiment inexistants après les Évian, puisque la France n'a pu négocier en quiétude, le troc entre ses intérêts en l’Algérie, et la restitution par le Maroc de ses territoires Marocains spoliés actuellement par l'Algérie. Le terme «Algérie Française», fait référence à la colonisation Française de 1830 à 1962, est une expression qui montre, la voie suivie par les négociateurs pour écarter les droits historiques du Maroc sur ses territoires amputés.
Stupidité made in Algerian : Loin de tout ça et à la recherche d'alibis actant sa haine envers la générosité Marocaine, Alger a fait enfanter, de relation illégale, un peuple bâtard qui pourra lui permettre d'avoir, facilement accès à l'atlantique. Pour s'y réaliser, le maudit Boukharouba, n’a pu en «inventer qu'un qu’en 1973» créant le Polisalgérien à Tindouf; lequel fut adopté après par le fou de la Lybie.
Mais aujourd'hui avec la force des vents violents soufflant de chez l'oncle Sam, l'Algérie se trouve contrainte de courir contre la montre, après avoir sentie la menace d'initiative inédite visant à classer son bâtard de Tindouf en -groupe terroriste-, le régime algérien déploie une diplomatie de crise pour amadouer l’administration USA et infléchir l’action de certains députés Américains
Il a dépêché en juillet dernier son jongleur (Bou-Guadoum) à Washington chez le Sénateur influent, «Jimmy Panetta», l'un des deux qui ont déposé le projet de loi, qui l'avait auditionné, en juge responsable devant un criminel en menottes !.
Une agitation qui révèle l'ampleur du désarroi d’Alger et ses contradictions sur un dossier qui lui colle à la peau, et qui n’avait jamais affiché une telle fébrilité diplomatique. Mais l’annonce a eu l’effet d’un coup de tonnerre dans les cercles du pouvoir algérien. Dans les coulisses, c’est une véritable panique qui s’est emparée du régime, inquiet de voir sa marionnette séparatiste perdre et démolir le jeu de Tindouf.
Tentant d'éteindre les incendies qui l'entourent, l’Algérie avec ses vannes de mal ne pourra jamais appréhender, la Marocanité du Sahara. Sa diplomatie de mallette d'autrefois, ne sert plus à rien, créant derrière, l'incapacité d'imposer, son 5ème peloton de mal, pour tordre le bras Marocain qui, sait déjouer tout vouloir haineux, motivé par cupidité et intérêt d'ennui de la part d'Alger, par la sobriétéة, la sagesse et le désir généreux d'un «Royaume Chérifien», agissant en toute responsabilité d'Etat crédible de premier plan. Bonne lecture.
Cordialement, Chihab25